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2 février 2017

Canopé : un service de prêt de livres numériques avec Numilog

canopé livres numériques

Réseau Canopé (Réseau de création et d'accompagnement pédagogiques), anciennement Centre national de documentation pédagogique (CNDP) dépendant du ministère de l'Education nationale, propose désormais un service de prêts de livres numériques en partenariat avec Numilog et son outil BiblioAccess. Les livres sont proposés aux formats ePub ou PDF, ils peuvent être consultés en ligne et/ou téléchargés pour une durée de 21 jours (3 livres en même temps). L'emprunt de livres numériques requiert un abonnement auprès de chaque atelier Canopé en régions. Un catalogue de 450 titres pour l'instant, essentiellement du groupe Hachette, Hachette Education, Dunod, Armand Colin, Foucher, Larousse, Livre de Poche, etc. Sauf erreur, ces versions numériques ne sont pas proposées par des libraires qui vendent habituellement les livres imprimés aux établissements dans le cadre des marchés publics. Une telle offre bientôt dans les centres de documentation et d'information des établissements scolaires ? Voir ici.

Source: Aldus

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27 janvier 2017

Location de livres numériques dans les bibliothèques de Strasbourg

strasbourg livres numériques

Quelques curieux l’ont déjà expérimentée. Installée au deuxième étage de la médiathèque André Malraux l’été dernier, la borne de téléchargement de livres numériques est la première à apparaître dans un tel lieu culturel en France. Nommée @lapplibooks dans la lignée des actions innovantes menées dans les médiathèques de l’Eurométropole, elle vise à accompagner la découverte de la mise à disposition de 300 ouvrages numériques, nouveau support accessible à l’emprunt.

«La borne est un outil de partage intéressant, elle permet de conserver des relations humaines », justifie Franck Queyraud, le chef de projet.

Devant la méconnaissance encore grande des supports de lecture numérique, les bibliothécaires peuvent ainsi utiliser cette borne de démonstration comme un mode d’emploi. 

« Parmi les 80 premiers utilisateurs, on a remarqué que beaucoup ne maîtrisaient pas forcément bien leurs nouveaux équipements », prolonge Franck Queyraud.

D’une durée initiale d’un an (avec 200 livres en français, et 100 en anglais, allemand ou espagnol) pour un coût total de 2.400 euros, l’expérimentation strasbourgeoise s’intègre dans un dispositif national, avec une quinzaine d’autres villes.

« Le projet du Prêt numérique en bibliothèque porté par le ministère veut contribuer à la réflexion nationale, complète l’adjointe à la lecture publique Camille Gangloff. Car le système est un peu contraignant en France. »

A cause de droits à la location limités, les livres ne peuvent par exemple pas être empruntés simultanément par plus de cinq lecteurs. Mais le sujet avance.

Source: 20 Minutes

11 novembre 2016

La Cour de l'UE assimile le prêt numérique à celui du livre papier

coureuropeennejusticesalleaudience

"Le prêt d’un livre électronique (e-book) peut, sous certaines conditions, être assimilé au prêt d’un livre traditionnel. Dans une telle situation, l’exception de prêt public, qui prévoit notamment une rémunération équitable des auteurs, a vocation à s’appliquer" indique un communiqué du service de presse de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE). Celle-ci était saisie d'une question soulevée par la justice néerlandaise à la suite d'une procédure engagée par l'association regroupant les bibliothèques publiques des Pays-Bas contre les contrats de licence que lui imposent les ayants droit, via une société de gestion de droits. Les bibliothécaires néerlandais considèrent que "le régime pour les livres traditionnels devrait s’appliquer également au prêt numérique", et ont donc obtenu gain de cause. "Il n’existe aucun motif décisif permettant d’exclure, en toute hypothèse, du champ d’application de la directive le prêt de copies numériques et d’objets intangibles", souligne le communiqué. Sous réserve que le prêt respecte le même principe, à savoir "un exemplaire, un utilisateur", le prêt numérique est compatible avec l'exception prévue par la directive de 2006 sur le droit de prêt et les droits voisins du droit d'auteur. La CJUE s'est donc rangée à l'avis de son avocat général, qui jugeait l'alignement du prêt numérique sur le prêt papier compatible avec la réglementation de l'Union. 

En France, le "prêt numérique en bibliothèque" (PNB) apparaît similaire au système mis en cause aux Pays-Bas, et soulève les mêmes questions du côté des bibliothèques en raison de son coût. Elles doivent s'acquitter d'une licence assortie d'un nombre limité de crédits de prêts, ce principe de base étant mis en oeuvre sous des formes variables par les éditeurs. Lorsque les crédits sont épuisés, les bibliothécaires doivent les réalimenter. D'autre part, les éditeurs n'acceptent pas tous d'ouvrir cette possibilité pour leurs livres numériques. L'arrêt de la Cour de justice de l'UE n'entraîne pas de conséquence immédiate, mais il place le système français sous la menace d'un recours identique, qui s'appuirait sur cette décision de la juridiction suprême en Europe. Pour clarifier cette situation, une adaptation du droit de prêt en France pourrait s'avérer nécessaire. Encadré par la loi du 18 juin 2003, le droit de prêt du livre papier prévoit que les auteurs ne peuvent s'opposer à cette disposition, mais perçoivent un dédommagement financé par un pourcentage du prix de vente de leurs livres aux bibliothèques (6%) et par une rémunération forfaitaire versée par l'Etat, indexée sur le nombre d'inscrits en bibliothèques. Le tout est réparti par la Sofia, à proportion des livres achetés, à parts égales entre auteurs et éditeurs.

Sourcc: Livres Hebdo

31 octobre 2016

Samsung : Une bibliothèque numérique en Turquie

bibliotheque-numerique

Samsung a travaillé avec la bibliothèque nationale Turque basée à Ankara pour ouvrir une bibliothèque numérique accessible aux chercheurs et universitaires et à toutes personnes intéressées par le patrimoine culturel du pays.  Cette bibliothèque numérique est gratuite pour les utilisateurs. 500 000 dollars ont été investis pour sa réalisation et sa mise en place. Le patrimoine culturel de la Turquie est maintenant préservé et consultable grâce à la numérisation de millions de documents. 

La rénovation du hall du rez-de-chaussée de la Bibliothèque nationale, a permis de créer un espace dédié pour la « Samsung Digital Library » avec une capacité d’accueil de 86 personnes. La salle a été équipée de tablettes Samsung, d’ordinateurs portables, d’imprimantes sans fil, d’écrans géants…

La bibliothèque propose plus de 27.000 manuscrits en turc ottoman, persan et arabe. Des livres, des partitions, des photographies, des films mais aussi les journaux édités depuis 1928…

C’est la seconde fois que le géant coréen collabore à la création d’une bibliothèque numérique, le premier projet concernait la bibliothèque de l’université d’Oxford.

Source: Idbooox

21 septembre 2016

Bibook à Grenoble : 1700 lecteurs, 30 livres empruntés chaque jour

Biboox

Petit coup d'œil des statistiques de la plateforme Bibook à Grenoble qui fête le deuxième anniversaire de son service de prêts de livres numériques en bibliothèques. Elle propose aujourd'hui un catalogue de 1125 titres.

  • 1700 lecteurs inscrits
  • 18000 prêts au total
  • En moyenne, 30 livres numériques sont empruntés chaque jour

A retrouver toutes les statistiques mensuelles ici.

Source: Aldus

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16 juin 2016

Prêts de livres numériques : la Cour européenne de justice veut appliquer le même droit que pour les livres traditionnels

CJUE pêt livres numèrique en bibliothèque

La Cour européenne de justice affirme que le prêt d'un livre numérique est comparable à celui d'un livre traditionnel, dans les conclusions de l'avocat général Maciej Szpunar publiées ce jeudi. La Cour européenne de justice avait été saisie par la Verniging Openbare Bibliotheken, association qui regroupe les bibliothèques publiques aux Pays-Bas (pour en savoir plus lire l'article suivant).

D'après ce texte, les Etats membres de l'Union européenne qui le souhaitent pourront appliquer aux livres numériques les dérogations déjà accordées aux livres traditionnels, dans le cadre de prêts par des bibliothèques. Il rappelle que le droit d'auteur doit s'adapter à "la réalité de la société de l'information".

Maciej Szpunar indique tout de même plusieurs conditions : l'achat de l'oeuvre originale par l'établissement et l'encadrement des prêts avec des restrictions dans le temps et un blocage de l'impression ou de la copie.

Il explique aussi que son interprétation "sera non seulement dans l'intérêt public d'accès à la science et à la culture, mais également dans celui des auteurs".

Source: France Info

18 mai 2016

Bibliothèques : les Editions Albin Michel entrent dans PNB

Albin Michel PNB

Bonne nouvelle pour les bibliothèques. Les Editions Albin Michel entrent pleinement dans le dispositif PNB (Prêt Numérique en Bibliothèque). Face à la situation de blocage qui empêche toute diffusion des catalogues du groupe Hachette avec des conditions de ventes qui ne conviennent pas aux établissements, Albin Michel a décidé de faire cavalier seul par rapport à son distributeur. Depuis début mai, c'est plus de 4500 titres qui sont désormais disponibles pour les bibliothèques avec des prix dans la moyenne des autres éditeurs et une limite de prêt fixée à 60 exemplaires (voir ici). C'est un tournant important, Hachette se retrouve désormais bien seul dans un consensus partagé par l'ensemble de la profession.

Source: Aldus

8 mars 2016

La CJUE examine le prêt en bibliothèque d'ebooks avec DRM

Nook

Un  dossier ouvert aux Pays-Bas pose une question à la fois simple et importante à la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) : celle de l'assimilation du droit de prêt de livre numérique au prêt physique. En vertu de la directive sur le droit de prêt 2006/115 (article 6), les États membres peuvent déroger au droit exclusif prévu des auteurs afin de permettre le prêt public de leurs œuvres dans les bibliothèques, mais à la condition que ces créateurs « obtiennent une rémunération au titre de ce prêt ». Sur ce point, la justice néerlandaise a questionné la Cour de Justice de l’Union européenne pour savoir si la notion de « prêt » visé dans cette directive couvre également le prêt numérique. Dans cette hypothèse, il y a en effet réalisation de deux copies : l’une mise à disposition sur un serveur de la bibliothèque, l’autre sur l’ordinateur de l’utilisateur. Avec les copies numériques, on sort nécessairement du périmètre initial tel qu’envisagé par le législateur européen, à savoir des copies physiques mises à la disposition, un temps durant, d’un utilisateur déterminé.  Le dossier néerlandais met en exergue cependant une forme particulière de prêt numérique : la copie effectuée par l’utilisateur est  chronodatée. Elle n’est plus utilisable après l’écoulement d’une période fixée, et aucun autre utilisateur ne peut télécharger cette reproduction sur les serveurs de la bibliothèque durant ce laps de temps.

Si la CJUE estime que ces diffusions DRMisées sont comparables à des prêts physiques, les juges veulent savoir si d’autres conditions sont possiblement soumises par les États avant d’ouvrir les vannes du prêt numérique. Par exemple faut-il que la copie de l’œuvre ait été préalablement mise en circulation à l’occasion d’une première vente ? À défaut, faut-il que la copie mise à disposition par la bibliothèque ait été obtenue à partir d’une source légale ? Ce jeudi, la CJUE entendra sur ces points, les plaidoiries des parties. L’arrêt est attendu dans les prochains mois, après la publication des conclusions de l’avocat général.

En France, Belgique et Suisse, les réponses seront auscultées avec attention. Le dispositif du PNB ou Prêt Numérique en Bibliothèque compte à ce jour 110 000 titres, autour de 60 bibliothèques, regroupant 890 éditeurs et marques éditoriales, selon les derniers chiffres du le réseau du livre Dilicom. Les œuvres sont protégées avec Adobe DRM, mais « ses alternatives sont à l’étude ou en cours de développement » dont le LCP (Light Content Protection) porté par le consortium Readium, censé être plus léger. 

Source: Next Impact

6 février 2016

Vendée. Les bibliothèques se numérisent pour dynamiser la lecture

vendee

Si vous ne pouvez pas aller à la bibliothèque, c’est elle qui viendra à vous ! C’est toute l’ambition des nouveaux portails Web bibliothèque de Vendée et de e-médi@. Instaurés pour dynamiser la pratique de la lecture publique. Ces deux outils devraient faciliter la vie des mordus de lecture et de culture. « 216 bibliothèques vendéennes ont accès à de nouveaux services numériques », lance fièrement François Bon, président de la commission culture du conseil départemental, lors de la présentation des portails, ce vendredi.Le portail Web « Bibliothèque de Vendée » ne concerne que les bénévoles des médiathèques et bibliothèques locaux. Enfin, l’autre nouveauté e-médi@ concerne tous les abonnés des bibliothèques de Vendée. En s’inscrivant, ils ont accès aux 2 750 livres numérisés, de la musique ou encore à des documentaires et films européens.

Source: Ouest France

12 janvier 2016

Des perles de la bibliothèque de l’évêché sur le net

finistere

Le diocèse de Quimper et Léon (Finistère) est le premier en France à disposer d’une bibliothèque numérique. 9 000 documents sont d’ores et déjà consultables gratuitement sur Internet. Les livres de l’évêché, conservés essentiellement à Quimper, et dans une annexe à Brest, sont au nombre de 90 000. Ils côtoient 40 000 périodiques et des documents sonores, des disques vinyles, pour l’essentiel.

« C’est une bibliothèque de professeurs et de paroisses », résume Yann Celton, le responsable. Pour les lecteurs d’Ouest-France, il a ouvert les portes du coffre-fort de l’Église dans le diocèse. Avec lui, on part à la découverte de pépites du fonds ancien (livres des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles), constitué de 6 000 ouvrages.

Le plus bel ouvrage de la bibliothèque de l’évêché de Quimper et Léon est un incunable, c’est-à-dire un livre imprimé il y a plus de 500 ans. Il s’agit d’un traité de théologie de Saint Antonin. Ses cinq volumes ont vu le jour à Venise, entre 1474 et 1485, sur du papier chiffon. Ils sont rédigés en latin. Ce qui fait la rareté de cet ensemble : il est complet, contrairement à la plupart des autres exemplaires connus dans le monde. La version conservée à Quimper dispose d’une très belle enluminure bleue, rose et or (photo ci-contre). Il s’agit d’un cadeau d’un docteur en médecine à l’évêque de l’époque (1831) : Mgr de Poulpiquet.

Source:  Ouest France

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