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15 septembre 2019

Bilan de l'ouverture dominicale de la bibliothèque de Tours

biblio_Tours

Depuis le 15 septembre 2017, la bibliothèque centrale de Tours ouvre un dimanche par mois aux Tourangeaux. Cela fait donc deux ans pile et le bilan montre que, si cette initiative a été couronnée de succès la première année, elle peine à trouver son second souffle. En deux ans, 3000 visiteurs minimum ont fréquenté la bibliothèque le dimanche après-midi. Précisément 3482 personnes pour la saison 2017-2018, et 2934 en 2018-2019. Le dépassement des 3000 la première année s'explique par le premier jour d'ouverture qui avait fait un tabac avec 800 visiteurs.

La directrice de la bibliothèque Aude De Villiers dresse un constat positif des deux premières années d'ouverture un dimanche par mois. Mais elle constate aussi que la fréquentation est en perte de vitesse ce qui n'est pas toujours le cas dans d'autres bibliothèques qui expérimentent aussi le dimanche. Pour la mairie, ce qui compte autant que la fréquentation, ce sont les inscriptions et réinscriptions. 

"La fréquentation est certes importante pour nous mais surtout le renouvellement et les nouveaux abonnements. Cette année, nous avons eu 215 inscriptions nouvelles et renouvellements contre 186 l'an dernier -Christine Beuzelin, adjointe au maire en charge de la culture"

Le revers de la médaille, c'est que les étudiants prennent beaucoup de place le dimanche et que les habitués s'en plaignent un petit peu. Lorsque Erik Orsenna était venu le jour de "la première", il avait dit travailler pour que les bibliothèques universitaires puissent aussi ouvrir le dimanche. La mission se poursuit. 

"Le point positif aussi, c'est que comme c'est la seule bibliothèque sur les sept qui ouvre le dimanche après-midi, les Tourangeaux du "Nord" viennent voir et peuvent ainsi découvrir et admirer notre bibliothèque-médiathèque rénovée, avec sa vue imprenable sur la Loire."

Qui sont les visiteurs qui se rendent à la bibliothèque le dimanche? Essentiellement des lecteurs qui viennent en famille et aussi des étudiants. Les familles recherchent des activités intelligentes pour leurs enfants et Les étudiants recherchent, eux, un endroit calme pour travailler. A chaque dimanche d'ouverture, la bibliothèque offre des animations en ateliers. Par exemple, ce dimanche 15 septembre, il y a un atelier d'initiation à la reliure d'art. 

Ce collégien de Luynes apprécie:  "je suis venu un dimanche avec des membres de ma famille et leurs enfants, et cela leur permet de se distraire tout en apprenant, ce qui est sympa! " On peut aussi ajouter les retraités comme Marguerite:"je viens le dimanche et c'est très intéressant car on est un peu plus tranquille qu'en semaine, et çà fait passer le dimanche".

La bibliothèque a enregistré près de 6000 prêts de livres le dimanche en l'espace de deux ans.

Source: France Bleu Touraine

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8 août 2019

Hausse de 25% de la fréquentation des bibliothèque au Québec

hausse frequentation bibliothèques Quebec

Dépassées, les bibliothèques, en cette ère numérique ? Détrompez-vous. Aux quatre coins du Québec, elles connaissent une forte croissance de leur fréquentation. Et les jeunes y sont pour beaucoup. Loin du cliché voulant qu'ils aient constamment le nez collé à un écran, ceux-ci empruntent de plus en plus de livres. La fréquentation des bibliothèques a augmenté de 25 % depuis 10 ans, révèlent les données de l'Institut de la statistique du Québec. En 2017, les 1055 points de service à travers la province ont reçu 28,5 millions de visiteurs, contre 22,7 millions en 2007. Cette popularité ne surprend pas Curtis Rogers, de l'Urban Libraries Council, qui observe le même phénomène au sud de la frontière. Celui-ci explique que les bibliothèques représentent souvent le coeur d'une collectivité, son principal lieu de rassemblement. « On l'oublie souvent, mais aux États-Unis, il y a plus de bibliothèques que de Starbucks », souligne M. Rogers. Vérification faite, cette chaîne compte en effet 14 600 établissements, alors qu'on recense un peu plus de 16 000 bibliothèques publiques. Et ce, sans compter les quelque 98 000 implantées dans les écoles américaines.

Les jeunes semblent largement responsables de la croissance de la fréquentation des bibliothèques du Québec. En effet, le nombre d'emprunts de livres jeunesse a augmenté de 38 % depuis 10 ans, tandis que le nombre d'emprunts est demeuré relativement stable chez les adultes, affichant une légère baisse de 2 %. L'Association des bibliothèques publiques du Québec souligne que d'importants efforts sont faits pour susciter l'intérêt des jeunes lecteurs. « À partir du moment où une famille a mis le pied dans une bibliothèque, ça entre dans leurs habitudes de vie », dit la directrice générale, Eve Lagacé. « Il faut commencer en bas âge, c'est la base de la réussite scolaire », ajoute Marie Amiot, responsable de la culture et de la bibliothèque à la Ville de Baie-Comeau.

Avec les changements technologiques, les bibliothèques ont également adapté leur rôle, et le nombre d'activités qui y sont organisées a triplé. « Ce ne sont plus des cathédrales où on ne peut pas parler », illustre Marie Amiot. Si l'emprunt de livres demeure la principale raison de visiter les bibliothèques, selon un sondage mené en 2015 pour le compte de la Ville de Montréal, près de la moitié des répondants ont dit les fréquenter pour une autre raison : pour avoir accès à l'internet, pour travailler, dans le cas de travailleurs autonomes, pour faire des travaux d'équipe, dans le cas d'étudiants... Le sondage mené par Léger a par ailleurs démontré que les usagers qui s'y rendent pour emprunter des livres restent moins longtemps que les autres, soit 28 minutes en moyenne. Les gens qui y vont pour travailler passent plus de deux heures et demie à la bibliothèque. Le renouvellement des bibliothèques ne s'est pas fait seul. Depuis 10 ans, les villes ont massivement investi dans les bibliothèques. Le financement des municipalités est ainsi passé de 216 millions à 350 millions en 2017. À l'inverse, après avoir augmenté jusqu'en 2011, le financement provenant du ministère de la Culture et des Communications du Québec est désormais inférieur à ce qu'il était il y a 10 ans. Il s'établit désormais à 59 millions.

Source: La Presse

 

25 avril 2019

Fort succès de la bibliothèque de Loos auprès des enfants de moins de 12ans

Loos_ À la bibliothèque, près d’un lecteur sur deux a moins de 12 ans

« Nous venons souvent. Une fois par semaine en moyenne. Et j’accompagne toujours mes enfants, dit Adeline en désignant du menton ses deux fils, Noé et Arthur, en train de faire leur choix aux rayons BD, fantasy et littérature jeunesse fantastique. Bon, ils sont grands et ils pourraient se débrouiller tout seuls. Mais je viens aussi parce que je lis aussi beaucoup ! ».

« La très forte fréquentation de la bibliothèque par les jeunes habitants  de la ville de Loos (Nord) est sans doute une des spécificités de notre bibliothèque, commente Brigitte Martel, adjointe au maire chargée de la culture, nous confirmant le bilan qu’elle a présenté il y a quelques semaines en séance du conseil municipal. Les enfants de moins de 12 ans représentent 46 % des inscrits ». « Ce qui, complète Valérie Demol, la directrice, explique que les ouvrages jeunesse représentent 63 % des prêts ».

Si les enfants sont tellement nombreux à être abonnés à la bibliothèque, c’est qu’ils ont pris l’habitude de s’y rendre dans le cadre scolaire. « Chaque jour, il y a au moins une classe d’école primaire ou maternelle qui franchit la porte, explique la directrice. Et en plus nous faisons de nombreuses actions spécifiques avec les écoles maternelles, mais aussi la halte-garderie, les crèches, l’accueil parents-enfants. Avec des séances d’heure du conte, notamment ».

Source: La Voix du Nord

21 janvier 2019

Nuit de la lecture: 450.000 participants

Nuit de la lecture

Environ 450.000 personnes ont participé samedi soir à la troisième édition de la Nuit de la lecture, marquant ainsi "un nouveau record de fréquentation" de cette manifestation qui célèbre la lecture sous toutes ses formes, s'est félicité lundi le ministère de la Culture. Pour célébrer l'événement, le ministre de la Culture Franck Riester et l'actrice Bérénice Bejo, marraine de cette édition, ont souhaité soutenir l'initiative de Bibliothèques Sans Frontières (BSF) et ont distribué près de 100 "sacs de livres" contenant des ouvrages en français à destination des enfants migrants hébergés dans les lieux d'accueil d'Emmaüs Solidarité et du Samu social de Paris (pour en savoir plus vous pouvez lire l'article suivant en cliquant ici).

"Pour l'instant pilote, ce projet a vocation à être étendu plus largement sur la région parisienne et le territoire français, en collaboration avec le ministère de la Culture, les collectivités locales et les structures de lecture publique", a indiqué BSF dans un communiqué. 

Plus de 5.000 événements, tous gratuits, avaient été recensés par le ministère en France et dans une trentaine de pays pour la 3e édition de la Nuit de la lecture. L'an dernier, la manifestation avait réuni 360.000 personnes. La Nuit de la lecture mobilise chaque année des bibliothèques (1.800 au total), des librairies (200) ainsi que des établissements scolaires, hôpitaux, centres pénitentiaires, musées, centres culturels, lieux de spectacles, maisons d'écrivains, Instituts français... pour "faire partager au plus grand nombre le plaisir de lire".

Source: Centre Presse Aveyron

3 décembre 2018

Succès fou des dédicaces au salon du livre de Montreuil

dedicae_montreuil

Le salon du livre et de la presse jeunesse à Montreuil, un des plus grands rendez-vous de la littérature jeunesse en Europe a connu encore un grand succès. Un événement phare qui accueille près de 175.000 visiteurs. Ce week-end, les séances de dédicaces, ces moments privilégiés pour les jeunes lecteurs qui vont à la rencontre de leurs auteurs favoris, ont connu un succès fou.

L'engouement des jeunes pour la littérature ne faiblit pas. Pour preuve, le succès du 34e salon du livre et de la presse jeunesse. Ce week-end, des milliers de jeunes lecteurs se sont précipités aux séances de dédicaces. Ils étaient prêts à attendre des heures pour une signature ou un dessin de leur auteur préféré.
l faut dire que le salon du livre et de la presse jeunesse à Montreuil est une vitrine de l'édition jeunesse avec près de 400 exposants et est d'une très grande diversité éditoriale. Il est aussi une référence qui accueille chaque année les plus grands noms de la création européenne, qu'ils soient auteurs, créateurs ou illustrateurs. 

Et justement, les jeunes lecteurs étaient nombreux à attendre une dédicace et mieux encore, échanger avec leurs auteurs favoris. Une rencontre importante pour pouvoir discuter de l'intrigue et des personnages, et pourquoi pas, faire une petite photo.

"On apprécie la plume des auteurs, on apprécie leurs livres et c'est l'occasion de pouvoir échanger avec eux sur leur roman" déclare une jeunr lectrice. 

"Avoir un contact avec l'auteur c'est se rapprocher un peu plus de l'histoire et de l'univers qu'on lit", dit une jeune lectrice.

"On peut échanger nos opinions sur la saga ; dire ce qui nous a plu, ce qui ne nous a pas plu. Savoir un petit peu la suite, même si c'est très difficile avec Victor Dixen, parce qu'il ne lâche rien."d'après une jeune lectrice


Pour les auteurs, aller à la rencontre des lecteurs est aussi une expérience très enrichissante, disent-ils.
 

"Il y a autant de livres que de lecteurs. Une même histoire va être perçue différemment par différentes personnes. Ça me nourrit et alimente mon inspiration pour la suite." selon l'autreur Victor Dixen

C'est super parce que c'est un contact avec mes lecteurs ; je travaille toute seule donc c'est le seul moment où l'on voit la portée des livres, donc c'est super émouvant."reconait  l'auteur Stéphanie Blake.

Cette année, près de 3000 signatures étaient programmées au salon. Une occasion rare de vivre un moment d'échange et de complicité, autour de la littérature jeunesse avec ceux qui la font. Le salon a fermé ses portes ce lundi 3 décembre. 

Source: Culturbox

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18 juillet 2018

Fréquentation en hausse à la Bpi

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La Bibliothèque publique d’information a dénombré 1,369 million d’entrées sur l’année 2017, indique le Centre Pompidou dans un communiqué. Une fréquentation légèrement supérieure à l’année 2016, où la bibliothèque avait fait 1,260 million d’entrée. En moyenne, la bibliothèque a reçu en 2017 près 4500 visites par jour.
 
La stratégie de renforcement des projets communs entre le Centre Pompidou et ses organismes associés, avec davantage de débats et de conférences entre le Centre Pompidou et la Bpi, est en œuvre. De son côté, la Bpi avait organisé une exposition dédiée à l’écrivain Jean Echenoz, de novembre 2017 à mars 2018, ou encore le "marathon romanesque" 40 ans/40 romans, sur la journée du 16 septembre 2017, avec la venue d’écrivains, traducteurs et artistes pour des échanges avec le public. Pour renouveler l’expérience de 2017, elle lancera en septembre 2018 la deuxième édition de son festival littéraire Extra !, consacré aux "littératures hors du livre". Au programme: performances, lectures et rencontres avec des auteurs de la rentrée littéraire.
 
Sur 2017, l’année de ses 40 ans, le Centre Pompidou a dénombré quant à lui 3,3 millions de visites, soit 1% de plus qu’en 2016. Parmi les projets à venir pour la Bpi, un concours de maîtrise d’œuvre avait été lancé en 2016 pour la rénovation de ses espaces: après le choix de l’agence Canal Architecture, les travaux doivent s’étaler de 2019 à 2021. Le chantier de rénovation du Centre pompidou, pour améliorer les accès et les espaces d'accueil notamment, commence de son coté en septembre.

Source: Livres Hebdo

10 juin 2018

Près de 40 % de la population ne va pas en bibliothèque

abf

Les résultats de l'enquête sur les personnes qui ne fréquentent pas les bibliothèques publiques, commandée par le service du livre et de la lecture du ministère de la Culture et conduite par le cabinet TMO Régions, ont été dévoilés pour la première fois samedi 9 juin à La Rochelle pendant le congrès de l'Association des bibliothécaires de France (ABF). Ces résultats viennent compléter, et nuancer, le premier volet de l’étude consacrée aux pratiques des Français en matière de bibliothèques, parue en juin 2017.Parmi les personnes qui déclarent ne pas fréquenter les bibliothèques, 16 % n'y sont jamais allées et 21 % y sont allées seulement une fois dans leur vie. 37 % des répondants sont donc complètement ou quasi complètement éloignés des établissements de lecture publique. 39 % des non usagers fréquentaient assez régulièrement une bibliothèque auparavant. 47 % des non usagers ont des enfants qui fréquentent une bibliothèque. Assez logiquement, 60 % des non usagers ne connaissent pas du tout ou mal l'offre de services de la bibliothèque de leur ville ou de leur quartier.

Les non usagers ont en revanche une image plutôt bonne des bibliothèques, sans que cela les incite pour autant à les fréquenter. 63 % pensent que les bibliothèques facilitent l'accès à une diversité de documents, 45 % les trouvent modernes et 42 % les trouvent attirantes. 82 % considèrent qu'elles contribuent à donner le goût de la lecture. Globalement, 67 % des répondants considèrent que les bibliothèques sont utiles à tous. 34 %, en revanche, pensent que le développement d'Internet rend les bibliothèques moins utiles qu'avant.
D'une manière générale, 34 % les répondants considèrent qu'une bibliothèque est indispensable dans une commune, tandis que 51 % pensent qu’elle est utile mais pas indispensable, et 7 % qu’elle est inutile ou pas vraiment utile.

Si les non usagers ont plutôt une bonne image globale de la bibliothèque, seuls 50 % envisagent la possiblité de les fréquenter à l'avenir, 12 % déclarent qu'ils ne s'y rendront "certainement pas".

Ces résultats ont suscité beaucoup de réactions au sein du congrès de l´ABF. "Les bibliothèques ont un problème de visibilité, a constaté Anne Verneuil, responsable de la commission advocacy de l'ABF et directrice de la bibliothèque municipale de Valenciennes. 30 % des répondants connaissent la bibliothèque, c'est inquiétant. On ne doit pas être dans une démarche de conquête mais dans une démarche de séduction".

Source: Livres Hebdo

31 janvier 2018

Festival international de la bande dessinée 2018: bilan positif pour les éditeurs

FIBD

La 45e édition du Festival international de la bande dessinée (FIBD) d'Angoulême, organisée du 25 au 28 janvier, a connu une hausse de fréquentation avec un "intérêt croissant pour la programmation culturelle" et pour le manga qui "a attiré un public jeune et mixte", selon un communiqué de 9e Art +, société organisatrice de la manifestation, qui ne précise pas le nombre de visiteurs total.
 
"Les éditeurs exposants, qui ont proposé de nombreuses animations exclusives, bénéficient de cet engouement, avec une présence accrue des visiteurs sur leurs espaces", souligne le communiqué.

Le bilan est "extrêmement positif" pour Frédéric Schwamberger, directeur de Futuropolis, qui vante même le "grand cru" de cette 45e édition du FIBD. La maison, qui a notamment bénéficié de la visibilité générée par la présidence de Cosey et de la remise du prix de la critique ACBD à Gipi pour La terre des fils, enregistre un chiffre d'affaires en hausse de 23%. Si Calypso de Cosey et La terre des fils de Gipi figurent naturellement dans le top des ventes sur le stand de Futuropolis, les "nouveautés de début d'année, dont les auteurs étaient présents, tiennent également le haut du pavé", à commencer par Essence de Fred Bernard et Benjamin Flao et le premier tome du Suaire de Gérard Mordillat, Jérôme Prieur et Eric Liberge.
 
Avec 12000 albums vendus, Delcourt, qui a remporté deux prix Fauve dont celui du meilleur album pour La saga de Grimr de Jérémie Moreau, annonce également une hausse de son chiffre d'affaires, de l'ordre de 7,5%.
 
Du côté de Dupuis, cette 45e édition se termine également avec de très bons résultats. De la "bulle des Frères Lumières" – qui accueillait le pavillon manga – l'année dernière, la maison a migré dans "le monde des bulles". Ce déménagement a entraîné une hausse de la fréquentation qui se reflète sur le chiffre d'affaires de la maison : +39 % par rapport à 2017.  

Porté par Dans la combi de Thomas Pesquet de Marion Montaigne, Prix Cultura du public et best-seller depuis décembre, Les vieux fourneaux, vol. 4 de Wilfrid Lupano et Paul Cauuet, présent dans le Top 50 des meilleures ventes 2017, et par Opération Copperheadde Jean Harambat, lauréat du prix René Goscinny 2018Dargaud reste sur des "performances égales" par rapport à l'année précédente, selon Marie Parisot, directrice marketing de la maison.

 

Sur le stand du Lombard, Diane Rayer, du service presse de la maison, note une "hausse de la fréquentation mais une légère baisse du panier moyen" – qui tourne, pour la plupart des maisons, autour de la fourchette 20-25 €. Ce constat n'empêche pas la maison d'enregistrer une augmentation de 9% de son chiffre d'affaires, notamment porté par les ventes du premier tome de Lunesome d'Yves Swolfs et de Duke, vol. 2d'Yves H. et Hermann.
 
Avec un panier moyen plus élevé que la moyenne (35 euros), Urban Comics réalise également une progression de 25% de ses ventes grâce au succès de titres comme Charlie Chan Hock Chye de Sonny Liew, Justice League vs. Suicide Squad de Josh Williamson et collectif, Jay Fabok et Tony Daniel ou encore Batman Rebirthvol. 1 de Tom King, Mikel Janin et Mitch Gerads.
 
Même tonalité chez Casterman où la "tendance est à la hausse" avec une progression de 10% des ventes, rapporte l'attachée de presse Kathy Degreef. Sur le stand de la maison, le huitième tome de Kaamelott, l'antre du basilic d'Alexandre Astier et Steven Dupré, le volume 2 de Jonas Fink de l'italien Vittorio Giardino, Une sœur de Bastien Vivès et Bâtard de Max de Radiguès, récompensé par le Prix Découverte des lycéens, ont particulièrement remporté les faveurs du public.

Source: Livres Hebdo

22 janvier 2018

Carton plein pour la 2e édition de la Nuit de la lecture

Affiche Nuit lecture 2018 40 x 60 cm

La 2e édition de la Nuit de la lecture qui s’est tenue ce samedi a remporté un grand succès et réuni près de 360 000 participants partout en métropole et dans les DOM mais aussi, grâce à l’implication des Instituts français, dans plusieurs pays étrangers.

En effet, près de 2 000 bibliothèques, librairies mais aussi des centres de documentation dans les collèges et lycées, des bibliothèques universitaires, des hôpitaux et des dizaines d’associations se sont mobilisées. Lors de cet évènement, partout en France, les acteurs du livre et de la lecture, professionnels comme bénévoles, ont œuvré pour toucher les publics éloignés de nos lieux de lecture et de culture.

A La Réunion, les participants étaient également au rendez-vous, comme par exemple à la Médiathèque du Tampon, qui a attiré 500 personnes ce samedi. Selon les chiffres de participation communiqués par le ministère de la Culture, La Réunion semble être le département d'Outre-mer qui a compté le plus de participants.

Source:  clicanoo

24 août 2017

Moins de clients en librairie au printemps

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Le repli du marché du livre du début d’année s’intensifie au cours du printemps, selon le baromètre Livres Hebdo /I+C à paraître dans notre édition du 25 août ou à télécharger ci-contre. Sur l’ensemble du deuxième trimestre 2017, le recul atteint 5,5% en euros courants si l’on compare avec la même période de 2016. Avec une baisse des prix contenue, les ventes de livres fléchissent également de 5,5% en volume.

Cette mauvaise orientation du marché est principalement liée à une chute de fréquentation des points de vente du livre. En effet, au cours du printemps 2017, un peu plus de la moitié des professionnels du secteur notent une diminution de la fréquentation alors que seulement 20% d’entre eux constatent une hausse de cet indicateur.

De plus, les clients dépensent en moyenne moins qu'au deuxième trimestre 2016, notamment dans les librairies de 1er niveau et les hypermarchés. Le montant moyen d’achat s’établit à 17,50 euros tous circuits confondus au deuxième trimestre 2017, contre 19 euros un an auparavant.

L’ensemble des circuits de distribution est désormais franchement orienté à la baisse. La baisse modérée dans les grandes surfaces culturelles amorcée cet hiver s’accentue au printemps (environ - 3%). Les tensions s’aggravent au sein des librairies, avec des baisses proches de 6% dans les librairies de 1er niveau, et 6,5% dans celles de 2e niveau. La crise du rayon livres dans les hypermarchés perdure : les ventes s’effondrent au printemps, à - 11,5%. 

Source: Livres Hebdo

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