Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Biblioworld
Biblioworld
Publicité
Biblioworld
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 330 030
28 février 2018

Hausse des ventes d’ebooks en Allemagne en 2017

hausse vente ebook allemagne 1

hausse vente ebook allemagne

Dans son dernier rapport, le Boersenverein des Deutschen Buchhandels a annoncé qu’il s’est vendu en 2017, 29,1 millions de livres numériques, c’est un million d’exemplaires en plus versus 2016. Le panier moyen des lecteurs de livres numériques en Allemagne est de 53,13 € (+ 6,8 % vs 2016). Ils achètent en moyenne un peu plus de 8 ebooks sur 12 mois.

Les recettes tirées des livres électroniques sur le marché de l'audience ont légèrement diminué de 1,4%. C'est en partie parce que les acheteurs préfèrent les titres moins chers. Le prix moyen payé a continué de baisser, de 5,1% entre 2016 et 2017, pour s'établir à 6,38 €. Deuxièmement, le nombre d'acheteurs a chuté de 7,7%, passant de 3,8 millions en 2016 à 3,5 millions l'année dernière. La part des ventes est restée au niveau de l'année précédente à 4,6%.

Le livre électronique continue de gagner en importance parmi ses utilisateurs. Ils intensifient leurs achats et leurs dépenses. Cependant, la concurrence pour le temps et l'attention des gens ne s'arrête pas à ce formulaire d'édition. Pour la deuxième année consécutive, l'e-book a connu des baisses d'acheteurs. L'industrie analyse actuellement intensivement les raisons et les motivations des acheteurs. L'objectif est d'inspirer et de récupérer les acheteurs pour les livres imprimés et numériques », explique Heinrich Riethmüller, directeur du Börsenverein des Deutschen Buchhandels.

Source: Idbook

Publicité
Publicité
26 février 2018

Une médiathèque 100 % numérique à Colombes

colombes offres numériques

Vous ne savez pas comment occuper les enfants pendant les sept heures de trajet vers le ski ? Le froid, votre âge ou un handicap vous empêchent de sortir ? Désormais à Colombes (Hauts-de-Seine), la médiathèque peut venir à vous. La ville vient de mettre en place une quatrième médiathèque accessible en ligne 24 heures/24 : l’Immédiatek. « C’est une offre vraiment innovante, s’enthousiasme-t-on à la direction de la culture. Il existe des contenus numériques ailleurs mais dans de nombreuses villes, il y a juste quelques films et Arte VOD. A Colombes, nous proposons aussi bien des conférences du Collège de France que les histoires pour enfants de La Souris qui Raconte, des concerts de le Philharmonie de Paris que des bandes dessinées Dargaud. Ces fonds sont complémentaires à ceux que nous avons dans nos trois médiathèques municipales. Et c’est où on veut, quand on veut. »

L’Immédiatek met à disposition des habitants de Colombes inscrits dans l’une des médiathèques plus de 6 000 titres de bandes dessinées à partir des catalogues d’une quarantaine d’éditeurs, parmi lesquels 2024, Bayard, Dargaud, Dupuis, Glénat, Le Lombard, Rue de Sèvres ou encore Urban Comics. Mais aussi 5 000 références de longs-métrages, courts-métrages et documentaires. Les usagers peuvent aussi bien visionner l’intégrale de François Truffaut, de Charlie Chaplin ou d’Akira Kurosawa que des sorties en salle plus récentes comme « La la land », « Divergente », « Machete Kills » ou « Le Sens de la fête ». On y trouve également du cinéma asiatique et oriental. Pour les enfants, l’Immédiatek propose une offre spécifique de films, livres audio, comptines et jeux pédagogiques sur une plate-forme dédiée. En clair, pas de risque qu’ils tombent sur des contenus inadaptés en utilisant la tablette. Les habitants peuvent visionner trois bandes dessinées ainsi que trois films par mois mais la plupart des autres contenus sont proposés en accès libre. Pour accéder à Immédiatek, il faut se connecter sur une tablette, un smartphone ou un ordinateur, à votre compte abonné médiathèque et utiliser les mêmes identifiants que d’habitude.

Source: Le Parisien

25 février 2018

Des livres dans le tram à Lyon et Bron

Tramway-Gare-Perrache_medium

Se plonger dans une nouvelle le temps d'un trajet, découvrir un roman pour l'emmener avec soi ou s'émerveiller par la lecture d'une poésie. Dès 5 heures ce lundi matin, plus de 400 livres issus de la bibliographie des auteurs présents ces dernières années à la Fête du livre de Bron seront déposés dans les rames des tramways T2 et T5. Réalisée en partenariat avec TCL et avec la complicité des conducteurs de tramway, l'action vise à ce que les livres se découvrent, s'échangent et se transmettent. Une opération qui marque ainsi le lancement de la 32e édition de la Fête du Livre de Bron, qui se tiendra du 7 au 11 mars à l'Hippodrome de Parilly. Un festival de littérature contemporaine cette année programmée en différents rendez-vous thématiques : "La littérature est un sport de combat", "Usage(s) du monde", "Penser l'époque",  "D'autres vies que la sienne", "Journée de Réflexion", "Prix des Lecteurs", et "Littérature jeunesse". Un rendez-vous à ne pas manquer pour découvrir de nouveaux talents. 

Source: Lyon Capitale

24 février 2018

Saint-Denis : empruntez vos romans dans un kiosque automatisé !

Kiosque emprunt livre

Plus la peine de courir entre midi et deux pour emprunter un livre à la médiathèque. Les salariés de Plaine Commune (Aubervilliers, Epinay, L’Ile-Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte, Saint-Denis, Saint-Ouen, Stains, Villetaneuse), ainsi que le public qui traverse le hall de l’établissement public territorial à Saint-Denis, ont accès depuis fin novembre à un kiosque automatisé, qui dispose de quatre étagères et peut contenir jusqu’à 200 romans, « neufs et à 90 % des nouveautés », tient à préciser Lucie Daudin, directrice adjointe de la lecture publique à Plaine Commune. « Cela fonctionne un peu comme un distributeur de friandises, les livres mettent l’eau à la bouche », illustre-t-elle. Cette boîte à livre numérique, une première en France, est accessible aux personnes détentrices d’une carte du réseau médiathèque. Elle peut aussi délivrer en quelques minutes une carte spécifique et gratuite.

Alice est salariée au siège de La Plaine. En un mois, elle a déjà emprunté deux romans, le maximum sur cette période. « Lorsque l’on passe sa carte, la porte du kiosque s’ouvre. Ce qui me plaît, c’est qu’on peut feuilleter les livres, les remettre sur l’étagère ou les emprunter. Et comme je passe devant tous les jours, cela m’incite à m’arrêter et à regarder quel roman j’aimerais lire », poursuit Alice.

 La moitié des utilisateurs, soit 75 personnes depuis le 30 novembre, se sont auto-inscrites sur le kiosque. Quatre cents prêts ont été réalisés. « L’idée, c’est de toucher un public qui ne va pas à la bibliothèque, soit par manque de temps ou par méconnaissance du service », poursuit Olivier Brossard, de la société Nedap, le développeur de cette machine, qui prévoit de tester un autre distributeur au même endroit. Celui-ci permettra uniquement de retirer des livres, préalablement réservés sur le site du réseau des médiathèques.  Pour Plaine Commune, pas question de cantonner le dispositif à son siège. « On veut l’implanter dans les lieux qui accueillent du public, comme les centres de santé, les maisons de quartier ou de l’emploi. Il y en aura une deuxième sur le territoire d’ici la fin de l’année. On souhaite donner le goût de la médiathèque en s’implantant sur le trajet des gens », poursuit Lucie Daudin.

Le kiosque répond aux objectifs du programme « Bibliothèques Numériques de Référence », initié par le ministère de la Culture et intégré par Plaine Commune en 2015. Il permet à des collectivités de bénéficier de subventions d’Etat pour des dispositifs favorisant le développement de la lecture. Une aide financière indispensable au regard du prix de la machine, « entre 50 000 et 120 000 € en fonction de la taille », précise Olivier Brossard. « C’est dans l’air du temps, pour les personnes qui ne sont pas forcément disponibles aux horaires d’ouverture des bibliothèques », estime le commercial Olivier Brossard.

Source: Le Parisien

22 février 2018

Chiffres clés du marché du livre numérique en Belgique

bon-plan-ebook-Cybook-Muse-FrontLight2

Les ebooks ont mis un peu plus de temps à décoller en Belgique qu’en France. Pour autant, le retard est en train d’être rattrapé dans un marché plutôt frileux concernant le livre livre papier. En Belgique les ventes sont en constante augmentation avec une hausse de 43% des ventes et 46% en volume.

Les belges ont tendance à aller vers Amazon pour acheter des livres numériques, c’est le cas pour 60% des lecteurs du pays ayant adopté la lecture numérique. Les autres stores recueillent moins d’engouement : Google (14%), Kobo (13%) et Apple (10%). Pour autant, Primento constate que aussi bien Google qu’Apple stagnent et connaissent une croissance nulle, alors que Kobo (associé à la Fnac en France) parvient dans le même temps à doubler son chiffre d’affaires (+96%). Quant à Amazon, il ne progresse plus que de 28%.

Pour Thibault Léonard CEO de l’entreprise basée en Belgique, cette croissance des ventes s’explique « par l’augmentation des achats des lecteurs existants qui disposent déjà d’un support de lecture dédié (liseuses Kobo ou Amazon) ainsi que par la conquête de nouveaux lecteurs. »

Concernant les plateformes de prêt par abonnement, ce n’est apparemment pas une pratique qui plait au Belges. En effet, 2% des livres lus en numérique le sont via une plateforme de prêt numérique. Amazon Kindle Unlimited s’octroie néanmoins plus de 95% de parts de marché dans le prêt de livres numériques en Belgique.

Source: Idboox

Publicité
Publicité
20 février 2018

Rapport Orsenna : 19 propositions pour les bibliothèques

rapport orsena

Le rapport sur les bibliothèques d'Erik Orsenna et Noël Corbin, intitulé "Voyage au pays des bibliothèques, lire aujourd'hui, lire demain", a été remis par leurs auteurs à la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, en présence du président de la République, Emmanuel Macron, lors d'une visite à la médiathèque des Mureaux, dans les Yvelines.

"La lecture n'est pas un loisir, c'est l'accès aux accès, a affirmé Erik Orsenna, avec fougue. Ceux qui n'ont pas accès à la lecture sont en exil. 50 % des gens qui vont en bibliothèque n'empruntent pas de livres. Il faut que les bibliothèques s'adaptent à leurs demandes, sans condescendance. Car la culture ouvre, mais elle peut aussi condamner. Je ne veux plus jamais entendre la phrase “ce n'est pour moi”, elle est insupportable. Il faut la remplacer par “pourquoi pas moi ?”".
 La ministre de la Culture a rappelé que la dotation générale de décentralisation pour les bibliothèques avait reçu une rallonge de 8 millions d'euros pour 2018 et que le rapport serait présenté aux élus dès la fin de cette semaine.

"L'excellence culturelle, ce n'est pas une promesse, c'est un engagement, a assuré Emmanuel Macron. Les bibliothèques, c'est la politique d'émancipation. Croiser un livre, c'est croiser un imaginaire. Cela ouvre les possibles.”

Attendu depuis le mois de décembre, plusieurs fois différé, le rapport mentionne 19 propositions regroupées en 6 grands axes. Il recommande de lancer un plan national pour les bibliothèques tout en insistant sur le fait que la réflexion, notamment en ce qui concerne les horaires d'ouverture, doit se faire "non depuis Paris mais sur chaque bassin de vie qui paraîtra pertinent".

La réflexion sur les horaires doit commencer par un diagnostic territorial sur l'organisation du temps des usagers. Le rapport propose de conditionner l'attribution des subventions de l'Etat à un projet de bibliothèque à l'adoption d'une charte de la lecture publique à l'échelle d'un bassin de vie. Il préconise également de renforcer les partenariats entre bibliothèques universitaires et bibliothèques municipales pour des horaires d'ouverture coordonnés et demande qu'à très court terme, trois bibliothèques universitaires parisiennes soient ouvertes le dimanche. La capitale, qui concentre pourtant le plus grand nombre d'étudiants, présente en effet la particularité de n'avoir aucune BU pratiquant l'ouverture dominicale, avec pour conséquence un afflux massif de ce public dans les cinq médiathèques municipales ouvertes ce jour-là ainsi qu'à la BPI. Pour Erik Orsenna et Noël Corbin, le développement des partenariats entre les bibliothèques et d'autres structures est la clé de voûte de la réponse aux enjeux d'équité territoriaux. Ils proposent de garantir, si nécessaire par la loi, le rôle des bibliothèques départementales. Mais aussi de privilégier la mutualisation des espaces de bibliothèques avec ceux des services sociaux – Pôle emploi, PMI –, dans tout projet de création ou de rénovation, et de favoriser le travail à l'échelon de réseaux de lecture publique, notamment en zone rurale. Les bibliothèques doivent proposer leurs services y compris au-delà de leurs murs. "Pourquoi pas des kiosques à livres dans les piscines, des salles de sport, des salons de coiffure, dans les salles d'attente des médecins ?", se prennent à rêver les auteurs du rapport. Ils proposent de créer des actions communes entre les bibliothèques et les bureaux de Poste pour le partage de locaux ou de services (portage de livres, services numériques), et de développer l'échange de bonnes pratiques en matière d'actions hors-les-murs. Ils préconisent également de revoir les cadres d'emploi de la filière territoriale des bibliothèques pour les mettre en cohérence avec la réalité du métier aujourd'hui.  La bibliothèque est souvent le seul équipement culturel d'une collectivité. Il serait donc très souhaitable que les bibliothèques renforcent les partenariats avec les acteurs culturels territoriaux et nationaux pour que leurs usagers aient accès à une offre culturelle diversifiée. Lutter contre les fractures sociales, territoriale, numérique : dans tous ces domaines, les bibliothèques ont un rôle essentiel à jouer. Pour cela, il faut poursuivre la mise en œuvre du prêt numérique en bibliothèque, affirme le rapport, encourager les partenariats avec Pôle emploi, ainsi qu'avec les collèges et les lycées, améliorer les équipements pour les personnes souffrant de handicaps visuels ou auditifs, lancer un plan national pour l'édition adaptée, et donner un accès au livre dans toutes les prisons.  Le rapport se clôt sur deux propositions symboliques : la création d'une plateforme numérique d'échanges pour les personnels, les élus et toutes les structures concernées par les bibliothèques, et la création d'un label qui serait décerné aux collectivités qui s'engagent en faveur de la lecture publique.

Source: Livres Hebdo

18 février 2018

Une semaine de chasse au livres à Bruxelles

Chasse livres bruxelles

A partir de ce dimanche après-midi, une grande chasse aux livres est organisée dans les rues de Bruxelles, quelques jours avant l'ouverture de la Foire du Livre, ce jeudi 22 février.  Plus de 1000 livres seront cachés entre le 18 et le 25 février, et tout un chacun est invité à partir à leur recherche grâce à une application de géolocalisation, Neareo (à télécharger sur Google play en cliquant ici  et sur Itunes en cliquant ici). Chaque journée de chasse se concentra sur un quartier bruxellois différent : il y en aura sûrement un près de chez vous ! Dès 10h30 la chasse sera ouverte dans chaque quartier.  Aujourdhui, vous redécouvrirez  le quartier royal, sa place, son parc et le Mont des Arts. Départ groupé à 14h30, au Mont des Arts ! Nous vous attendons ensuite pour partager vos coups de coeur au BIP, à 16h, où de la petite restauration sera prévue. Le lundi 19/02 , Saint-Gilles sera notre terrain de jeu pour ce deuxième jour de chasse ! Le mardi 20/02  sera consacré à Ixelles, de l’Université aux étangs en passant par Flagey et le bois de la Cambre. Le Mercredi 21/02 , on parcourra la Grand Place et ses alentours. N’oubliez pas d’aller saluer le Manneken-Pis qui portera ce jour-là son costume Foire du Livre. Le jeudi 22/02, Le Cinquantenaire sera un terrain de chasse de choix ! Le vendredi 23/02 , La Ville de Bruxelles vous propose un bus gratuit qui fera l’aller/retour entre le quartier Sainte-Catherine et Tour & Taxis dès le vendredi. C’est l’occasion de relier rapidement la Foire si vous trouvez un livre à faire dédicacer. Le samedi 24/02, Flânez entre les allées  du marché des antiquaires aux sablons et trouvez les livres que nous aurons cachés dans les ruelles du quartier historique. Le Dimanche 25/02 : Pour ce dernier jour, venez à la découverte du quartier de Tour & Taxi.

"Cinquante éditeurs ont participé au projet, il y en aura pour tous les goûts" explique le commissaire de la Foire du Livre de Bruxelle lors l'emission  Week Première sur la RTBF.

 

16 février 2018

Dormir dans une librairie ce sera possible à Lille

place-ronde-librairie

Si vous vous rendez à Lille (Nord) à partir du 21 Mars, vous pourrez vivre une expérience intéressante en dormant à la libraire Place ronde – Bed, Books & Breakfast.  Fabienne van Hulle lance un superbe projet. A 54 ans cette femme d’affaire que rien ne prédestinait au livre avait envie de finir sa carrière en faisant ce qui lui plait vraiment, être entourée de livres et faire partager son amour de la lecture ! En pleine reconversion, elle suit alors une formation de libraire, voyage beaucoup et laisse germer son idée.

Après quelques mois de réflexion, elle décide d’ouvrir une librairie, celle qui correspond à ses rêves, mais attention, pas un établissement de plus où on pousse la porte. Elle a mis sur pieds une librairie avec un concept bien sympathique. Place ronde B&B ouvrira ses portes au mois de mars. Placée dans le centre de Lille, cette librairie va proposer plus de 4000 volumes sur 130 mètres linéaires, dans toutes les thématiques.  Fabienne Van Hulle entend également y développer trois axes forts: la littérature des femmes, la littérature nordique « de l’hémisphère nord », et, les livres dédiés aux publics éloignés de la lecture comme les dyslexiques. 

En se rendant dans cet établissement pas comme les autres, les visiteurs pourront consulter des livres, les acheter, et passer un bon moment en prenant un café ou un thé confortablement installés dans un salon de lecture placé sur une estrade. Mais ce n’est pas tout, la librairie Place ronde va aussi accueillir des touristes qui pourront y passer la nuit. Un appartement d’hôte de 2 pièces, avec vue sur un petit patio est à louer pour y passer une ou plusieurs nuits. Ce lieu servira également de résidence d’auteur nous a précisé Fabienne van Hulle. L’auteur pourra y séjourner et y trouver l’inspiration dans un cadre reposant et agréable.

« Je n’irais pas jusqu’à dire que je vais entrer dans la peau d’Adrienne Monnier quand elle recevait Hemingway, mais on pourra peut-être s’en approcher »  a dit cette libraire électrisée par le challenge qu’elle s’est lancée.

En tous les cas, si l’expérience vous tente, cet appartement sera à réserver notamment sur Airbnd et le petit déjeuner est assuré ! La librairie Place ronde sera également un lieu de rencontres et d’expositions, où on découvrira notamment des artistes de la région. A terme, il pourrait même y avoir une borne permettant de télécharger des livres numériques. Actuellement, les 80m2 de la librairie sont en plein travaux, le cabinet d’architectes Oblik, rénove le lieu tout en conservant l’atmosphère charmante d’antan.

« Le livre devrait être remboursé par la sécurité sociale, il fait voyager, comprendre, apprendre » a déclaré  au  site Idboox  avec enthousiasme Fabienne van Hulle qui a hâte de dévoiler au public sa petite entreprise !

15 février 2018

Les dons permettent au Louvre d'acquérir le livre d'heure

1_livre_dheures_de_francois_ier_c_s

Le Louvre lançait fin 2017 une campagne de mécénat participatif afin de récupérer un objet unique au monde. Devenu la propriété d’un collectionneur londonien, «Le Livre d’heures» de François Ier va pouvoir prochainement revenir en France grâce à l’opération «Tous mécènes !» lancée le 24 octobre par Le Louvre et se clôturant ce jeudi 15 février 2018. L’objet estimé à dix millions d’euros pourra désormais être acheté par le célèbre musée parisien puisque l’intégralité des fonds  (1,4 millions d'euros) pu être collectée depuis mi-janvier.  

Plus de huit mille donateurs se sont mobilisés pour ce joyau de la Renaissance, récoltant ainsi plus d’un million d’euros, alors que de grands donateurs et le groupe LVMH ont promis de souscrire à leurs échelles.

Classé «oeuvre d’intérêt patrimonial majeur», ce petit recueil de prières daté de 1532, fut offert par François Ier à sa nièce Jeanne d’Albret. Enrichi d’enluminures, couvert d’une reliure d’or émaillé et de pierres précieuses, il s’avère l’un des seuls objets - avec la salière de Cellini à Vienne - directement associé au monarque ainsi que la seule reliure précieuse française connue des derniers Valois. 

Source: Cnews

14 février 2018

Ebooks dans le métro de Téhéran

métro Téhéran ebook

Depuis quelques jours, le métro de Téhéran invite les lecteurs à découvrir la lecture numérique sur smartphones et tablettes.  La compagnie de métro Suburban Railway Operation Co a signé un partenariat avec la start-up Fidibo pour inviter les lecteurs à lire des ebooks pendant leur voyage. L’application éponyme est à télécharger sur Apple, Google Play Store et les applications locales comme Café Bazaar et Sib App. Fidibo a installé des panneaux à écran tactile baptisés Fidibox dans 22 stations de métro qui affichent des QR Code jetables. Après avoir scanné le code via Fidibo, les voyageurs peuvent lire des livres numériques pendant une heure. Après une heure, de consultation, le livre est verrouillé. Le voyageur peut toujours obtenir un nouveau code et continuer ce qu’il lisait pendant le voyage précédent, en scannant un nouveau code à une autre station. Si le lecteur veut pouvoir lire le livre entièrement, il peut actionner un bouton d’achat dans l’application et il obtient ainsi 20% de réduction.

L’installation de Fidiboxes dans les stations de métro fait partie d’un plan intitulé «Une bibliothèque aussi vaste qu’une ville». Présenté par la municipalité, il a pour objectif, en plus d’essayer d’augmenter le lectorat (les iraniens lisent peu environ 15mn par jour), d’ aider les gens à mieux utiliser le temps passé dans les lieux publics.

Majid Ghasemi, responsable de la start-up explique: «Les fidiboxes peuvent être installés dans d’autres lieux publics, où les gens passent des heures à attendre, comme les gares routières, les hôpitaux et les cliniques. »

Grâce à ce nouveau service, Fidibo envisage d’offrir du matériel de lecture thématique et de mettre en place des clubs de lecture en ligne. En ce qui concerne le droit d’auteur des livres, Fidibo a reçu l’assentiment des éditeurs d’offrir un accès gratuit limité à leurs livres grâce à son application. M. Ghasemi pense que Fidibox a beaucoup de potentiel et peut être utilisé comme un moyen parfait par les éditeurs pour promouvoir leurs livres et attirer un lectorat de plus en plus large. 400 éditeurs, dont Niloofar, Amirkabir, Qoqnoos, Ney, Negah, Ghatreh, Mahi, Agah adhèrent à ce service. L’application a été téléchargée plus de 1,5 million de fois et environ 16 000 livres sont disponibles via son service.

Source:Idboox

Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
Publicité