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31 mai 2019

Le chalet saccagé et les livres jetés à terre

vandalisme chalet livres

Le chalet des livres d’Anjoutey (Territoire de Belfort ), qui a été créé à l’été 2017, a été vandalisé dans la nuit de mercredi à jeudi. Cette découverte a scandalisé le maire Gilles Magny et les bénévoles qui le géraient. La pizzeria voisine a aussi connu des dégradations. Le chalet des livres a été saccagé dans le centre d’Anjoutey (90), dans la nuit de mercredi à jeudi. Des individus ont fracturé la porte vitrée et ont pénétré dans la construction en bois. Ils ont jeté à terre plusieurs ouvrages et CD. Des livres ont été jetés à travers des vitres et ont fini dans les parterres qu’aménage, depuis trois ans, la section adulte du lycée agricole de Valdoie. Table et chaises ont été fracassées. Des pieds ont même servi à défoncer des fenêtres. Un des cinq nichoirs a été arraché et a été jeté dans le chalet. Deux autres ont été dégradés. Ces dégâts ont suscité écœurement et colère chez le maire Gilles Magny. Il considère que ce vandalisme nuit à l’investissement de la commune et des bénévoles pour améliorer le cadre de vie. 

Pour mémoire, l’idée d’un chalet des livres s’est concrétisée durant l’été 2017 grâce au prêt gracieux d’un chalet par la conseillère municipale Catherine Roy. Dans un premier temps, une équipe de bénévoles s’est chargée de le nettoyer, de le protéger et de réaliser des étagères pour recevoir 2 000 livres pour petits et grands, plus des DVD et CD. Depuis cette date, les bénévoles, qui ouvrent la porte le matin et la ferment le soir, ont constaté une bonne fréquentation du chalet. Des habitants d’autres communes du secteur avaient même pris l’habitude de s’y arrêter quelques minutes.  À proximité du chalet, Nathalie et Philippe Lamirel, les gérants de Chadam Pizza, ont remarqué le vol de leur totem de trois mètres de haut. Et un chevalet, qui donnait les heures d’ouverture, a été brisé.

« C’est en rentrant chez nous », indique Nathalie Lamirel, « que nous nous avons pensé que nous avions oublié de les rentrer. Nous n’avons pas voulu y retourner mais nous aurions bien fait. »

Dans le voisinage, un témoin aurait aperçu quatre personnes, trois garçons et une fille, aux abords du chalet des livres vers 3 heures du matin. La fille aurait demandé à ses camarades d'arrêter de tout casser. En entendant du vacarme, le témoin est sorti et a mis en fuite les suspects. Un élément qui a été communiqué aux gendarmes de la communauté de brigades de Giromagny qui sont intervenus.

Pour Gilles Magny, ce vandalisme arrive après les tags sur les panneaux électoraux ou encore les dégradations du terrain de foot provoquées, à la mi-mai, par les gens du voyage.

Source: L'Est Républicain

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29 mai 2019

Une oeuvre exceptionnelle exposée par la Bibliothèque Nationale d'Espagne

El Cantar del Mio Cid

"Les yeux sont si forts, pleurant / tournant la tête et les regardant. "El Cantar de Mío Cid ", sommet de l'épopée médiévale, l'une des plus anciennes œuvres littéraires écrites en castillan, n'a pas à l'origine commencé par ces vers. Mais avec eux commence le seul témoignage direct, plus ou moins proche de la date de rédaction, qui nous est parvenu: un codex du XIVe siècle de 74 pages de parchemin (il manque quatre de l’original, dont le premier), conservé à la Bibliothèque nationale d'Espagne. Ce manuscrit sera présenté pour la première fois au public à partir du 5 juin  lors l'exposition  Dos españoles en la historia: el Cid y Ramón Menéndez PidalIl s'agit d'un joyau bibliographique (mémoire des origines de la littérature en espagnol, mais aussi de l'histoire de la philologie) si délicat qu'il ne sera exposé au siège de la bibliothèque à Madrid que pendant les 15 premiers jours de l'exposition. Il sera ensuite remplacé par un fac-similé jusqu’à sa conclusion, le 22 septembre, bien que l’institution analyse la possibilité de le supprimer également le dernier jour. La directrice de l’institution, Ana Santos, explique que les rapports techniques ont conclu qu’il n’y avait "aucun problème pour que son exposition maintienne les mêmes valeurs de conservation que celle qu’elle conserve dans le caveau où elle est conservée", pour laquelle "une vitrine a été commandée" spécial, complètement hermétique ", dans lequel le document sera affiché pour les feuilles en bon état. 

Parce que le parchemin est épais, très fort, probablement en peau de chèvre, il est endamagé non seulement à cause de son âge mais aussi pour une série  de degradations (y compris des réécritures, des annotations et l’application de produits chimiques facilitant la lecture de certains passages). Certaines des réécritues l'ont  presque transformé en roman d’aventures, jusqu’à ce qu’il soit offert en décembre 1960 à la Bibliothèque nationale par la Fondation Juan March, qui venait de l’acheter pour 10 millions de pesetas (aujourd’hui environ 2,2 millions millions d’euros) aux héritiers du marquis de  Ramón Menéndez Pidal , professeur d'études poétiques, dont le 150e anniversaire de naissance est célébré cette année.

Les premières données historiques concernant le codex font état d'une copie faite au XIVe siècle d'un original signé en 1207 par Per Abat. Celle-ci  st conservé dans les archives du conseil de  la ville de Vivar (Burgos) qui a pris son nom de Rodrigo Diaz, le protagoniste historique des exploits chantés par les ménestrels. Ce chant   avait été fixé par écrit entre la fin du XIIe siècle et le début du XIIIe siècle,, explique le professeur de l'Université de Saragosse, Alberto Montaner, l'un des les principaux spécialistes du poème. Dans cette municipalité de Burgos, le document est resté pendant environ deux siècles, dans les archives puis dans le couvent des religieuses de Santa Clara, d'où un responsable du secrétaire d'État, Eugenio Llaguno Amírola, l'a pris vers 1775. L'idée était que le philologue et historien Tomás Antonio Sánchez la prenne pour une édition de la chanson et, une fois prête, la restitue. Mais ce dernier ne s'est pas produit et les descendants de Llaguno ont fini par le vendre des décennies plus tard au bibliophile Pascual de Gayangos, qui l'a à son tour vendu vers 1858 au premier marquis de Pidal.

Source: El Pais

28 mai 2019

Recolte de 357 000 livres pour l'opération "Partager lire" des librairies Payot en Suisse

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La chaîne suisse de librairies Payot, organisatrice de l’action solidaire "Partager Lire" a annoncé dans un communiqué avoir récolté 357 000 livres pour permettre aux personnes en situation de précarité d’avoir accès aux livres.   

Payot a annoncé que la douzième édition de son action solidaire « Partager lire » avait permis de récolter 357 000 livres. Elle précise que 8000 d’entre-eux seront redistribués aux personnes en situation de précarité du canton de Genève, 341 000 iront aux bibliothèques publiques francophones du Sénégal et 8000 autres vers des hôpitaux de Suisse romande.  
 
La récolte solidaire de livres a été organisée cette année du 13 au 23 avril 2019, dans les librairies Payot, les magasins Nature et découvertes et les supermarchés Coop et du 1er au 5 mai 2019 lors du salon du livre de Genève.
Source: Livre Hebdo
26 mai 2019

Succès de l'ouverture dominicale de la bibliothèque à Rosporden

Rosporden bm

L’ouverture dominicale de la bibliothèque a été testée par la municipalité de Rosporden (Finistère), du 13 janvier au 31 mars dernier. Cette ouverture a, semble-t-il, répondu aux attentes des lecteurs, comme l’explique Marine Micout-Picard, adjointe à la lecture publique. « Cette expérimentation s’est étalée sur douze dimanches, pendant lesquels nous avons comptabilisé 93 emprunteurs et enregistré 17 adhésions, ce qui, à notre sens, en fait une expérience satisfaisante et correspond à une attente de la population. En moyenne, ce sont 50 ouvrages qui ont été empruntés chaque dimanche par des lecteurs majoritairement de Rosporden-Kernével, mais aussi des communes limitrophes. Sur cette période, 13 % d’entre eux ne sont venus à la médiathèque que le dimanche, ce qui laisse à penser qu’ils n’ont pas la possibilité de venir les autres jours, nous avons donc décidé de la pérenniser ».

Proposée en début d’année, la fréquentation s’est affaiblie à l’arrivée des beaux jours, ce qui, pour l’élue, mérite réflexion. « Pour remédier à cela, nous avons identifié des périodes plus propices et décidé de proposer la prochaine ouverture dominicale de début novembre à fin février, mais cela reste à affiner. Par ailleurs, une délibération se tiendra au mois de juin pour monter un dossier de demande d’aide auprès de la Drac, qui souhaite une ouverture à la culture. C’est ce que nous essayons de mettre en place par notre politique culturelle, à travers la gratuité d’accès à la culture notamment ».

Source : Le Télégramme 

24 mai 2019

Publication des podcast d'histoire pour enfant de France Inter aux éditions Michel Lafon

Une histoire et oli Michel Lafon

Les éditions Michel Lafon ont été choisies pour publier les albums des podcasts de France Inter "Une histoire et… Oli", des histoires originales d’une dizaine de minutes pour les 4-7 ans.   Lancés en septembre 2018, les podcasts de la première radio de France, gratuits, dépassent le million de téléchargements. Une vingtaine d’histoires et de contes, écrits par des écrivains prestigieux comme Leïla Slimani, Katherine Pancol, Yannick Haenel, Alex Vizorek, Alice Zeniter, Tatiana de Rosnay, sont actuellement disponibles sur le site "Une histoire et…Oli". France Inter mettra les prochains en ligne pour les vacances de la Toussaint.

Michel Lafon lancera le 17 octobre, en coédition avec Radio France, les quatre premiers titres, totalisant un tirage de 100 000 exemplaires : L’invisible Max, écrit et illustré par Zep ; Nadine et Robert, les poissons rouges, de Delphine de Vigan ; Les bonnes résolutions du père Noël, de François Morel, illustré par Lilli la Baleine,et Olga, le canard et le petit garçon battu, de Geneviève Brisac, illustré par Laetitia Le Saux. L’éditeur les accompagne d’une importante PLV. Il prévoit huit nouveautés en 2020, et huit autres en 2021 et en 2022.  

"Nous allons en faire la vedette de notre catalogue jeunesse. Ecrits par des plumes, les contes sont chouettes et traitent de thèmes importants. Il y a longtemps que nous voulions une offre cohérente et puissante sur ce segment des albums où nous avons déjà Paddington et où nous publierons en septembre le livre de Paul McCartney", commente Elsa Lafon, directrice générale de Michel Lafon Publishing à Livres Hebdo.

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23 mai 2019

Collecte de livres par la FNAC pour Bibliothèque sans Frontières

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À l’occasion de la semaine du développement durable, la Fnac organise la nouvelle et septième édition de la Grande Collecte Nationale de livres, du 31 mai au 10 juin, en partenariat avec Bibliothèques Sans Frontières. Notre objectif ? Un million de livres collectés !  Mais une fois collectés par notre équipe, où vont-ils ?

« Les ouvrages collectés sont destinés à créer ou à approvisionner les bibliothèques partenaires de l’association, en France ou à l’étranger. Tous les livres ne sont pas envoyés indistinctement : ils sont sélectionnés par notre équipe, appuyée par des bénévoles, afin de répondre au mieux aux besoins et aux attentes des structures d’accès à la lecture, dans les camps de réfugiés au Burundi ou dans les écoles camerounaises. » explique Corentin, responsable de la mission collecte à Épône.

Lorsqu’ils ne correspondent pas au besoin des populations locales, certains ouvrages sont susceptibles d’être vendus lors de braderies solidaires, organisées tous les premiers samedis du mois, de 10 à 17h, dans notre centre de collecte de livres à Épône. L’intégralité des bénéfices issus de ces ventes sont consacrés aux programmes de solidarité internationale de l’association, permettant notamment d’acheter des livres aux éditeurs locaux. Depuis six ans, grâce à cette Grande collecte nationale, ce sont ainsi plus de 840 000 livres qui ont été rassemblés et acheminés par Bibliothèques Sans Frontières, notamment pour la mise en place de bibliothèques dans des lieux d’accueil pour personnes en grande précarité, dans les hôtels du Samu Social à Paris. Cette année, dépassons le million de livres collectés !

Source: Bibliothèque Sans Frontières

 

22 mai 2019

Plus de couverture en plastique pour protéger les livres

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La bibliothèque municipale de Kuopio en Finlande même une experimentation intéressante pour l'environnement: la suppression  des couvertures plastiques.   Les livres onverture sans converture plastique ne sont pas plus abimé que les autres. En effet comme le souligne les responsable de la bibliothèque au site Yleles lecteurs ont rendu l'un des nombreux livres sans couverture de l'auteur Kalle Päätalo sans aucun dommage majeur.

Un autre des avantage est le recyclage plus rapide.  Le recyclage des livres mis au rebut est également beaucoup plus facile, grâce à cette initiative, a déclaré la bibliothèque. Les couvertures non recyclables devaient auparavant être déchirées, mais les livres sans couverture peuvent maintenant être placés directement dans l'unité de recyclage du papier.

Tu ula Tiihonen , une employée de la bibliothèque , a déclaré comprendre le besoin d'un projet sans plastique, mais reste sceptique. "Quand les livres seront beaucoup utilisés, ils s'useront. Je suppose qu'ils ne dureront pas. Voyons voir".

Et ce n'est pas seulement bon pour l'environnement - la nouvelle pratique pourrait également faire économiser de l'argent et du temps, a déclaré Koistinen. Les livres qu'il n'est plus nécessaire de couvrir se retrouveront plus rapidement dans les bibliothèques. L'argent économisé peut être utilisé pour acquérir de nouveaux livres.

Les responsables des bibliothèques estiment que cette expérience pourrait également intéresser d'autres bibliothèques en Finlande, car les couvertures en plastique peuvent coûter très cher. Les bibliothèques finlandaises ont acquis un total d'environ 1,6 million d'œuvres l'an dernier.

21 mai 2019

Une soirée homme à Notre Dame de Paris du festival "La bibliothèque parlante" de la BNF

Festival La bibliothèque parlante

La Bibliothèque nationale de France (Bnf) donnera la parole aux livres ce week-end à l'occasion de la 3e édition du festival "La bibliothèque parlante" qui célèbre la lecture à voix haute. 

Vendredi soir, la soirée inaugurale du festival prendra la forme d'un hommage à "Notre-Dame de Paris", autour de l??uvre de Victor Hugo, dont les manuscrits sont conservés par la Bibliothèque et dont des extraits seront lus par le comédien Charles Berling. Cette lecture dont le bénéfice participera aux actions de prévention et de sauvegarde du patrimoine sera diffusée en direct sur France Culture. Le manuscrit de Victor Hugo sera quant à lui exceptionnellement présenté durant tout le week-end dans une salle dédiée de la Bibliothèque.Au cours de la soirée inaugurale, des dessins, gravures et photographies choisis dans les collections de la BnF autour de Notre-Dame de Paris feront l?objet d'une série de "tableaux visuels", projetés sur deux tours de la Bibliothèque. Parallèlement sera rediffusée, toute la nuit sur France Culture, l?adaptation radiophonique du roman de Victor Hugo datant de 1957.

Samedi aura lieu notamment une lecture de larges extraits du dernier prix Fémina, "Le lambeau" de Philippe Lançon, par Denis Podalydès tandis que Natalie Dessay lira dimanche des extraits du journal de Marie Curie écrit après la mort accidentelle de son mari, Pierre Curie. Le poignant journal de Marie Curie fait partie des textes rassemblés à l'occasion de l'exposition "Manuscrits de l'extrême" qui se déroule à la BnF jusqu'au 7 juillet.

Source: France 24

Pour en savoir plus: Découvrez le programme  complet ici.

20 mai 2019

Revente de livres egarés par la Poste par l'Etat belge

Fin shop

Justine Huart est médecin au CHU de Liège, et écrivaine. En octobre dernier, son roman « Ce qu’il reste de nous » est publié chez Noir édition, une maison d’édition spécialisée dans la littérature noire. Elle commande une petite centaine d’exemplaires du livre.

Mais « je n’ai reçu qu’une moitié du colis. J’ai donc tout de suite alerté mon éditeur, qui s’est renseigné auprès de la Poste française, puisque c’est un éditeur breton, qui a essayé de faire des recherches pour le colis manquant, donc de 45 exemplaires du roman. Les recherches ont alors montré que le colis avait été perdu au niveau du passage à la douane belge. On essaye donc de réclamer ce colis-là, mais on a dit qu’il était perdu ou introuvable. On n’a en tout cas jamais pu avoir de retour sur ce colis-là ».

Aucune nouvelle de ces livres pendant des mois, puis il y a quelques semaines, par hasard, elle tombe sur une annonce de Fin Shop, le magasin du SPF Finances chargée de vendre des biens meubles pour le compte de l’État belge, ce magasin qui met aux enchères les fameux 45 exemplaires perdus de son roman. Justine Huart est scandalisée, car, dit-elle, « il était tout de même assez facile de me retrouver ».

Ce sont des romans que j’ai écrits, donc c’est une propriété intellectuelle sur laquelle j’ai des droits. Mon éditeur l’a également imprimé et fabriqué, et ce sont des livres qui n’ont été achetés par personne, donc c’est une perte sèche pour mon éditeur. Ils ont été vendus sans donner ce à quoi l’éditeur avait droit, ni moi mes droits d’auteur. 

Source: RTBF

19 mai 2019

Lauréate du prix Renaudot benjamins

Prix renaudot benjamins

Du mercredi 15 au samedi 18 mai, la médiathèque et le réseau des bibliothèques du Pays loudunais organisaient le premier Festival du livre jeunesse. Cette manifestation regroupait la Fête du livre et le prix Renaudot des benjamins, une récompense instaurée comme le Renaudot des lycéens par l'association des Amis de Théophraste Renaudot, organisatrice de l'évènement. Pour ce 25 prix attribué à un auteur de littérature jeunesse, c'est Pauline Alphen pour son roman « La vraie vie de l'école » qui en est la lauréate. Le résultat a été proclamé vendredi après-midi à l'espace culturel, en présence des cinq auteures sélectionnées, devant les 280 élèves votants des 12 classes de CM1-CM2 du territoire. Marie-Claire Kling, présidente des Amis de Théophraste Renaudot, qui a remis le Renaudot des benjamins, a salué une réussite.

Franco-brésilienne, née à Rio de Janeiro, Pauline Alphen a passé sa vie entre la France et le Brésil. Elle a commencé à publier en 2004 et continue d'écrire aujourd'hui, entre autres, sa série « Les Éveilleurs ». Son roman « La vraie vie de l'école » raconte le parcours scolaire et les difficultés rencontrées par Ambre, 9 ans, qui est dyslexique. Le plus important à l'école, ce n'est pas ce qui se passe en classe, mais ce qui se passe à la récré. Le sujet de la dyslexie est traité avec amusement tout en restant juste et tendre. Des illustrations viennent agrémenter le roman.
Pour Pauline Alphen, « c'est super d'avoir ce prix, surtout quand ce sont les lecteurs qui vous choisissent ». Attachée au sens de la lecture, elle souligne « l'implication des jeunes ». Un vrai succès pour cette nouvelle formule du Festival du livre jeunesse.

Source: Centre Presse

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