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28 février 2017

Jules Verne : la carte de "L'Île mystérieuse" aux enchères

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"Lincoln Island", l'île Lincoln, dernier port du Nautilus et sanctuaire du capitaine Nemo, fait partie de ces contrées imaginaires ("L'île au trésor", "Pays des merveilles", "Neverland"...) qui n'ont jamais cessé de faire rêver. Réalisée en 1874 pour ce que d'aucuns considèrent comme le plus beau roman de Jules Verne, le dessin de "L'Île mystérieuse" constitue le clou d'une vente consacrée à l'univers du grand romancier français. D'un format de 21 x 31 cm, la carte (qui ressemble à une tête d'éléphant) avec ses noms de lieux écrits en anglais est estimée entre 100.000 et 150.000 euros.

Le dessin est accompagné d'une épreuve de la carte gravée portant, outre des corrections, sept légendes topographiques ajoutées de la main de Jules Verne. Un total de 166 pièces ayant appartenu à Éric Weissenberg (disparu en 2012), l'un des plus grands collectionneurs d'objets de l'auteur de "Vingt mille lieues sous les mers", sont proposées à la vente. Des photographies, des lettres personnelles, des originaux brochés des romans de Jules Verne, des lavis et gouaches, des gravures originales, des affiches Hetzel sont mis à l'encan sous le marteau du commissaire-priseur Pierre-Dominique Antonini  mercredi à Paris, chez Drouot.

Parmi ces lots figure notamment une photographie de Jules Verne datant de 1856 environ (il a alors 28 ans), considérée comme le seul tirage original connu, ayant appartenu à l'écrivain. Cette photo où l'écrivain pose "en romantique sombre et tourmenté" est estimée à entre 5000 et 6000 euros. On trouve également la première édition illustrée et premier tirage de "Cinq semaines en ballon", premier grand roman de Jules Verne destiné à la jeunesse. Il s'agit du seul exemplaire connu de l'édition brochée sous couverture illustrée de l'éditeur (1865). Ce volume contenait une photographie d'Estelle Hénin, maîtresse supposée de l'écrivain, datée de 1873, signée Nadar et jointe à l'ouvrage. Il est estimé à entre 8000 et 10.000 euros.

Source: Culturebox

 

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27 février 2017

Une bibliothèque en gare de Lille Flandres

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Un stand éphémère particulier ouvre ce lundi matin dans le hall de la gare Lille Flandres: une bibliothèque éphémère proposée par la société nordiste Cofidis. On y trouve des romans, des mangas, des livres pour enfants, des bandes dessinées et tous types d'ouvrage. Des hôtesses sont présentes pour accueillir les lecteurs / voyageurs, les conseiller, leur offrir un café aussi. Un espace avec canapé et petites tables a été aménagé. Que se passe-t-il si vous êtes en pleine lecture et que c'est l'heure de votre train? Vous repartez tout simplement avec le livre! 

C'est la société nordiste Cofidis qui propose cette bibliothèque éphémère. Pourquoi? Réponse de Virginie Clin, responsable du service marketing de l'entreprise: "Depuis plusieurs années, Cofidis lutte contre les clichés dans ses publicités comme "les hommes ne savent pas cuisiner" ou encore "les mamies ont toujours des caniches". On s'engage à lutter contre les préjugés. Et là, on a décidé de lutter contre le préjugé selon lequel les gens ne lisent plus. Cofidis invite tous les voyageurs à commenter leur expérience sur les réseaux sociaux en utilisant le mot-clef #moijelis."

Cette bibliothèque est ouverte jusqu'au jeudi 2 mars de 8h à 20h.

Source: France Bleu Nord

24 février 2017

Perte de milliers de livres dans les bibliothèques britanniques

25 million books are missing from UK libraries

Les collections de livres sont depuis plusieurs années en constante diminution dans les bibliothèques publiques britanniques. Mais la situation réelle pourrait être encore pire que ce que montrent les statistiques. Un inventaire mené récemment dans les bibliothèques du Suffolk a montré que 10000 ouvrages manquaient dans les rayonnages par rapport à ce qu’indiquaient les catalogues informatiques, comme le révèle The Guardian dans un article du 24 février. Le Cilip (Chartered Institute of Library and Information Professionals), la principale association professionnelle de bibliothécaires en Grande-Bretagne, a envoyé une lettre ouverte au ministre des Finances Philip Hammond pour réclamer un audit national qui permettrait de connaître avec précision l’étendue de la situation, et pour réclamer une augmentation des subventions pour la lecture publique. Nick Poole, directeur exécutif du Cilip, rend la politique d’austérité directement responsable de cette situation. La baisse importante des effectifs – 8000 bibliothécaires ont été licenciés en Angleterre et au Pays de Galle depuis 2010 soit un quart des postes au total, ne permet plus aux équipes en place d’assurer l’ensemble de leurs tâches et notamment les inventaires. Les coupes sombres dans les budgets sont également montrées du doigt. A Birmingham, l'ambitieuse bibliothèque ouverte en grande pompe en 2013 a dû suspendre ses acquisitions de livres en 2015, faute de budget.
"Les budgets d’acquisitions de livres sont les premiers touchés par les coupes car c’est moins visible que les réductions d’horaires d’ouverture ou que les fermetures d’établissement", relevait une directrice de bibliothèques dans les colonnes du Guardian.

Dans sa lettre ouverte, Nick Poole demande au gouvernement de reconnaître le rôle des bibliothèques dans la promotion du savoir et de l’information. "Au moment exact où, en tant que nation, nous avons le devoir d’investir dans le savoir et l’apprentissage, nous avons laissé fermer au moins 10% des bibliothèques publiques et un nombre plus important encore de bibliothèques scolaires, tandis que de nombreux autres établissements sont contraints de réduire de manière drastique leurs horaires et leurs services", souligne le directeur du Cilip.
 En décembre 2016, une commission gouvernementale a publié un plan national stratégique 2016-2021 pour les bibliothèques, qui vient s’ajouter aux nombreux autres élaborés au cours des six dernières années, et dont aucun n’a conduit, jusqu'à présent, à une amélioration notable de la situation de la lecture publique outre-Manche.

Source: Livres Hebdo

22 février 2017

Les bibliothécaires de Grenoble manifesteront à Livre Paris contre les coupes budgétaires

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Les  bibliothécaires de Grenoble, soutenu-es par l'intersyndicale CGT-FO-SUD-CNT, sont en lutte depuis le mois de juin 2016. Cette lutte fait suite à l’annonce de la fermeture de trois bibliothèques de quartier et la suppression de 13 postes. Ces fermetures, dans le contexte d'un plan d'austérité mis en place par la municipalité grenobloise, viennent frapper un réseau de bibliothèques exemplaire à plus d'un titre. 

Convaincus de l’utilité sociale de notre métier, de l’importance de son rôle éducatif et émancipateur, nous sommes fermement décidés à le défendre au plan national, en organisant le déplacement d'une délégation de bibliothécaires jusqu'au Salon du Livre de Paris d'une part, jusqu'au Ministère de la Fonction Publique d'autre part, pour exiger les moyens d'exercer un service public de proximité et de qualité. Ils ont prevus de manifester le 24 mars au salon du livres de Paris

Source: Tract  de la CGT Isère

21 février 2017

Une plateforme d’ebooks gratuite pour les jeunes

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La Fondation Telefónica et la Fondation José Manuel Lara ont  lancé le mercredi 15 février  Leemos, une plateforme de lecture numérique à destination des jeunes de 10 à 14 ans (l’âge où on décroche le plus pour la lecture). Leemos est une plateforme gratuite qui propose des lectures adaptées aux enfants afin de les inciter à lire.

En Espagne, selon une récente étude, 60% des jeunes déclarent lire pour  le plaisir (baisse de 9 point par rapport à l’an 2000), selon les fondateurs ce n’est pas assez, en proposant Leemos ils ont pour objectif que ce chiffre grimpe à 80% en attirant 100 000 élèves. Cette plate-forme numérique vise efficacement à promouvoir la lecture dans les écoles, avec des solutions axées sur les élèves, les familles, les enseignants. Le site propose une sélection de livres recommandés et une série d’outils et d’activités pour stimuler la lecture en classe, la rendre attrayante pour les jeunes et l’intégrer dans leurs habitudes de loisirs.

Et pour aller plus loin, les fondations publient 10 recommandations pour le droit du lecteur : le droit de ne pas lire, de sauter des pages, de ne pas finir un livre, de le relire, de lire comme on veut et ce qu’on veut, le droit de lire partout, de picorer, de lire à haute voix ou de garder le silence en lisant. Le dernier rapport de la Fédération de la Guilde des éditeurs espagnols souligne que 35% des Espagnols n’a jamais ouvert un livre.

Source:  Idboox

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18 février 2017

La bibliothèque, la nuit Grandes bibliothèques du monde en réalité virtuelle

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Du 16 mai au 13 août 2017, la Bibliothèque nationale de France (BNF) accueillera, sur son site François Mitterrand, l’exposition virtuelle "La bibliothèque, la nuit", qui proposera aux visiteurs, munis d’un casque 3D, une immersion inédite dans 10 bibliothèques mythiques, réelles ou imaginaires, parmi lesquelles la Bibliothèque d’Alexandrie, en Egypte, la Bibliothèque Sainte-Geneviève à Paris, la Bibliothèque du Congrès à Washington, aux Etats-Unis ou encore la Bibliothèque du Nautilus, d’après Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne.
 
Cette manifestation, conçue à l’origine pour fêter les 10 ans de la Grande Bibliothèque de Montréal, a été imaginée par le metteur en scène Robert Lepage et sa compagnie Ex Machina, et s’inspire de l’ouvrage éponyme d’Alberto Manguel, co-concepteur et narrateur de l’exposition.
 
La BNF propose en guise de préambule une présentation sur l’imaginaire des bibliothèques élaborée au fil d’une quarantaine de pièces issues de ses collections. Le visiteur y découvrira notamment la "bibliothèque de marbre" des artistes allemands Wolfgang Kubach et Anna Maria Kubach-Wilmsen, une collection d’ex-libris, la représentation de la bibliothèque du Nom de la rose d’Umberto Ecco dans l’édition originale du roman de 1981.

Source: Livres Hebdo

17 février 2017

Des petits livres en vente des les transports en communs à Singapoursont

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En ce qui concerne l' alphabétisation, Singapour est pas en reste. Le pays augmente un taux d'alphabétisation de 98 pour cent , et son programme de lecture est le meilleur dans le monde , selon le Programme international pour le suivi des étudiants. Cela ne signifie pas, cependant, que Singapour est un pays de microclimat. Un sondage 2015 a révélé que seulement 40 pour cent de la population avait lu une oeuvre de la littérature dans l'année écoulée. (En Amérique, ce nombre est d'environ 70 pour cent .) Juste un quart avait ramassé quelque chose par un auteur singapourienne. Maintenant, les dirigeants ont mis au point une solution: des livres minuscules. À partir de ce mois, les coureurs de transport public seront en mesure d'acheter des tomes de poche pour environ 10 $. Les «livres  billets» font partie d'une campagne plus large pour amener les gens à lire à nouveau. Leur lancement coïncidera avec un week-end de foires du livre, l'auteur rencontrer et salue et séminaires de la littérature à travers l'état-ville.

Il y a aussi une campagne de cinq ans appelé le National Reading Movement. "Je pense qu'il est de plus en plus difficile d'adhérer à une discipline de la lecture dans notre société d' aujourd'hui,"  observe Yip Guan Hui, président de l' Université nationale de la Société littéraire de Singapour, . "L'afflux dereseaux sociaux signifie que les gens lisent, oui, mais ils lisent  des articles plus courts, des extraits, des résumés, commentaires etc.. 

Ce sera une habitude difficile à inculquer. Selon cette étude de 2015, la moitié des répondants ont déclaré ne pas avoir le temps de lire en raison des engagements  (d travail ou  famille). Selon la même cité, il un manque d'intérêt pour  la fiction et de la poésie. Environ 40 pour cent ont dit qu'ils préféraient les réseaux sociaux et la navigation sur le Web. Les singapouriens entre 16 et 30 passent environ 3,5 heures en ligne chaque jour. Ang Beng Heng, 24, étudiant interrgé par le Straint Times  déclare qu'il préfère vérifier ses nouvelles applications et Facebook dans son temps libre. 

Cette attitude est en contradiction avec la publication littéraire importante du pays. Chaque année, 36 millions de livres sont emprunté à la bibliothèque;  lors de  la vente de livres du système - 300,00 livres à 1,50 $ un pop - attire des milliers. Le Festival annuel des écrivains de Singapour a honoré des sommités comme Alfian Sa'at, Claire Tham et Anuar Othman. De minuscules librairies obstruent les rues latérales; la spacieuse bibliothèque centrale se trouve à proximité de "Book City", un développement mixte en peluche avec des librairies, des imprimeries et papetiers bon marché. La ville-état a des dizaines d'éditeurs, mais les livres les plus courants (et populaires) sont des guides d' auto-amélioration. Ceci est, selon Vanessa Quirk , journaliste arch Daily "symptomatique d'une anxiété nationale que l' éducation est devenu un sport de compétition piloté par les tests."

Source: Washington Post

16 février 2017

Une BD sur l'esclavage interdite à l'école

BD interdite

La toute première bande dessinée sur l'esclavage néerlandais ne sera pas mise à disposition des élèves surinamais, selon une décision du ministre de l'Éducation nationale. Une décision qui trouve de nombreux détracteurs, notamment la pédagogue et écrivain Ismene Krishnadath. En juin 2015, la maison de publication WalburgPers, située à Zutphen aux Pays-Bas, a publié la toute première bande dessinée parlant de l'esclavage néerlandais. Intitulée Quaco, le livre, écrit par Éric Heuvel et Ineke Mok, raconte l'histoire vraie d'un esclave du Ghana, appelé Quaco. Cet homme a été fait prisonnier par les Néerlandais avant d'être transporté, comme des millions d'autres esclaves de l'Afrique de l'Ouest, par bateau vers le Suriname. Quaco est ensuite utilisé par l'armée pour chasser les esclaves évadés. Cette aventure le confrontera à de nombreux dilemmes. Il finira par devenir un homme libre, mais le prix à payer sera élevé. Hanté, il prendra une décision drastique.

L'histoire de Quaco a été présentée le 26 juin 2015 à Amsterdam où la ministre néerlandaise de l'Éducation, Jet Bussemaker, a reçu le premier exemplaire. Une première, car cette page sombre de l'ex-colonisateur est toujours taboue et n'est que vaguement abordée à l'école.
Il semblerait qu'il s'agisse d'une chance unique d'expliquer cette page sombre de l'histoire à la jeunesse néerlandaise comme surinamaise. Mais le ministre surinamais de l'Éducation nationale a bien d'autres idées. Robert Peneux aurait récemment interdit l'utilisation dans les écoles de cette bande dessinée, qui doit être publiée à la fin du mois au Suriname. Bien qu'il ne s'oppose pas au contenu de l'histoire, il a contesté,dansune lettre, la méthode de présentation, à savoir une bande dessinée. Il considère cette forme d'éducation comme « didactiquement irresponsable » .
Son opinion a suscité la réaction d'écrivains et de pédagogues surinamais. Notamment celle d'Ismene Krishnadath. Elle explique que « justement, les dessins animés et les bandes dessinées sont parfaitement appropriées pour donner une vision aux jeunes dans une situation de développement » . Elle ne comprend pas la décision du ministre, surtout qu'à aucun moment, celui-ci ne mentionne le contenu de l'histoire. « L'opinion qu'une bande dessinée est didactiquement irresponsable ne tient à rien sans arguments valables » , dit Krishnadath, surtout que l'ambassade des Pays-Bas a payé les frais de publication et de distribution au Suriname.
Source:  France Guyane
14 février 2017

Plus de deux millions d'euros de livres anciens dérobés à Londres

livre ancien

Parmi les ouvrages dérobés lors d'un cambriolage spectaculaire dans la capitale britannique figure une édition de 1566 de l’ouvrage de Copernic Des révolutions des sphères célestes, estimé à lui seul à 250 000 euros.

Le modus operandi est peu commun, le butin l’est encore moins : dans la nuit du 29 au 30 janvier, des cambrioleurs ont dévalisé un entrepôt de l’ouest de Londres, qui abritait les collections de plusieurs marchands de livres anciens du XVe et XVIe siècle.

Les trois malfaiteurs ont fait preuve d’une dextérité impressionnante : après avoir foré les fenêtres renforcées du toit de l’immeuble, ils ont descendu 12 mètres en rappel, en réussissant à éviter les détecteurs de mouvement, raconte le Guardian.  Au terme de cette opération, digne de Mission impossible, ils sont repartis avec un butin de 160 livres, d’une valeur estimée à plus de deux millions d’euros. Parmi les ouvrages dérobés figure une édition de 1566 de l’ouvrage de Copernic Des révolutions des sphères célestes, estimé à lui seul à 250 000 euros, ainsi que des ouvrages de Galilée, Isaac Newton, Leonard de Vinci, et une édition de 1569 de la Divine Comédie de Dante.    La question qui se pose maintenant est de savoir ce qu’il peut advenir de ces ouvrages. Peuvent-ils être vendus? Qui les achèterait? Si, dans un premier temps, une source du Guardian estimait que le casse avait forcément été fomenté par un collectionneur spécialisé avide d’enrichir ses étagères, l’avocat spécialisé dans le trafic d’œuvres d’art Chris Marinello a une autre théorie: pour lui, un “second crime” suivra le vol. “Il est fort possible que les livres soient désassemblés. Certaines enluminures et gravures contenues dans les livres peuvent ensuite être vendues sur le marché de l'art, où de nombreux acheteurs ne savent pas qu’elles ont été extraites de livres rares. , explique-t-il au journal britannique. 

Pour lutter contre l’augmentation de ces vols, l’avocat conseille vivement aux victimes de les rendre publics le plus rapidement possible: plus l’information circule, moins il est facile pour les voleurs de tirer profit de leur méfait.
Source:  Livres Hebdo
13 février 2017

Unue librairie tweete l'integralité du tome 1 de Harry Potter

warner-bros-harry-potter-2.JK Rowling a récemment eu un accrochage avec Piers Morgan, un animateur de télévision pro-Trump. Ce qui va nous intéresser ici, c'est un tweet lancé par Piers Morgan lors de ce débat animé :  

@piersmorgan This is why I've never read a single word of Harry Potter.( https://twitter.com/jk_rowling/status/830354406109491200 

 Une reflexion que Piers Morgan aurait peut-être mieux fait de garder pour lui, puisqu'elle a donné une bonne idée à une librairie "Big Green Bookshop" qui a décidé de soutenir J.K Rowling à sa manière... En tweetant l'intégralité du tome 1 de Harry Potter : Harry Potter à l'école des sorciers à Piers Morgan, car tout de même, il ne sait pas ce qu'il rate ! Le premier tweet a été posté le 11 février...  

.@piersmorgan Mr. and Mrs. Dursley, of number four, Privet Drive, were proud to say
that they were perfectly normal, thank you very much.

Vous noterez que chaque tweet est numéroté, afin que Piers Morgan se rende un peu compte de ce qui l'attend !  A l'heure où sont rédigées ces lignes, nous sommes au tweet 246 sur 32567, au moment exact où Hagrid remet Harry à Dumbledore afin que celui-ci le dépose sur le perron des Dursley ! 

Big Green Bookshop  @Biggreenbooks

.@piersmorgan Suddenly, Hagrid let out a howl like a wounded dog. "Shhh!" hissed Professor McGonagall, "you'll wake the Muggles! 246/32567 (15:26 - 13 Févr 2017)

On imagine aisément le compte Twitter de Piers Morgan inondé de notifications ! De nombreuses personnes soutiennent la librairie en aimant ou partageant certains passages, n'hésitez pas à en faire de même si vous trouvez l'idée bonne !  En tout cas, il y a fort à parier que le tweet comprenant la célèbre phrase "You're a wizard Harry" ("tu es un sorcier Harry") soit relayé de nombreuses fois ! 

Source:  hiteck 

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