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30 septembre 2017

Les éditeurs en jogging pour "Room to read" lors d'une course à Francfort

course francfort

La Foire du livre de Francfort invite les participants présents dès le 8 octobre à rejoindre une course de 5 kilomètres sur les bords du Main au profit de l’ONG "Room to read". Les éditeurs et agents littéraires de la Foire du livre 2017 sont conviés à sortir leurs baskets le dimanche 8 octobre pour une course festive de 5 kilomètres sur les bords du Main. C’est la première fois que la Foire du livre de Francfort, qui se tiendra du 11 au 15 octobre, organise une course d’inauguration. A l’initiative du bureau new-yorkais de la Foire (Frankfurt Book Fair New York Inc.), la "Buchmesse Kickoff Run" aura pour départ et point d’arrivée le Clubhouse d’une des clubs d’aviron de Francfort. Les coureurs et ceux qui voudraient les encourager sont attendus dès 17h.

Pour l’événement, les coureuses participantes Katherine McGuire, des éditions Quirk Books (Philadelphie) et Cecilia de la Campa, agent littéraire à Writer’s House (New York), ont lancé une cagnotte de dons au profit de l’ONG "Room to read". Depuis 1999, l’action de cette ONG se concentre sur l’éducation des filles et l’alphabétisation des enfants avec la distribution de 18 millions de livres et l’accompagnement de près de 10 millions d’enfants. Pour donner une idée de l’impact des dons, l’ONG précise: "10$ (8,50€) permettent d’apporter 10 nouveaux livres à une classe. 50$ (42€) permettent à un enfant de bénéficier d’une année d’apprentissage de la lecture. 100$ (85€) permettent d’assurer une année  d’éducation à une fille pour consolider ses connaissances."
Source: Livre Hebdo
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29 septembre 2017

Ouverture d'une librairie itinérante en Charente-Maritime

interieur petit

Créer un esprit de partage autour des livres et restaurer une relation de proximité avec la clientèle, loin des grandes surfaces commerciales et des géants de la vente en ligne: tel est le projet de Margaux Segré, 30 ans, lorsqu’elle décide de lancer Le Serpent d’étoiles, une librairie itinérante qui circulera en Charente-Maritime dès le mois d’octobre.

La jeune femme, originaire de ce même département, a passé trois ans au Service du livre et de la lecture du ministère de la Culture et de la Communication avant d’ouvrir sa propre librairie. Consciente de la nécessité de réinventer le métier de libraire, de recréer du lien social et culturel autour de la littérature mais aussi de préserver les commerces de proximité dans les communes rurales françaises, Margaux Segré accorde un soin tout particulier à sa sélection de 3000 livres contenus dans son bibliobus. Avec sa librairie généraliste, elle espère atteindre un public le plus large possible, en proposant des rayons aussi divers que la littérature de voyage, le jardinage, la bande-dessinée, la littérature jeunesse et les destins de femmes extraordinaires. Le petit plus? De la papeterie et une offre de restauration légère pour savourer sa lecture.

J’ai prévu de me rendre une fois toutes les deux semaines dans 10 à 15 communes, en plus des événements spéciaux, comme des festivals de musique, des projections de films, des marchés thématiques etc., précise la trentenaire. La sélection de livres pourra évoluer en fonction de ces événements.” Le Serpent d’étoiles, qui a pu se lancer grâce à des aides de la région et une campagne de financement participatiffixera donc des rendez-vous réguliers avec les habitants des communes concernées (notamment Sainte-Soulle, Périgny, Angoulins, Dompierre-sur-Mer, La Jarrie, Saint-Xandre, Sainte-Marie-de-Ré et Bois-Plage-en-Ré) pour tisser un lien durable avec eux. Elle proposera également un service de commande à l’unité pour ceux qui auraient une idée de lecture précise en tête. Rencontre avec la libraire aux manettes du Serpent d’étoiles.

Qu’est-ce qui t’a décidée à lancer ta propre librairie itinérante?

Le côté itinérant m’a toujours fait rêver -j’adore conduire- et ça fait longtemps que je nourris le projet d’ouvrir une librairie. À notre époque, où beaucoup de petits commerces ont disparu, les échanges sur la lecture se font de plus en plus rares. Ce que je souhaite faire, c’est réimplanter un centre d’échanges, un endroit où les gens viennent pour discuter -pas seulement acheter des livres-, un peu comme dans un café.

Pourquoi as-tu décidé de l’appeler “Le Serpent d’étoiles”?

C’est le titre d’un livre de Giono qui m’a beaucoup marquée. Il s’agit d’un livre très poétique sur l’itinérance, qui raconte la transhumance des moutons dans les Alpes de Provence. Ça me parlait d’autant plus que les thématiques du voyage, de la nature et de l’écologie sont très importantes en Charente-Maritime.

Dans ton communiqué de presse, tu évoques un rayon consacré aux destins de femmes extraordinaires: peux-tu en citer quelques-uns?

Il y a beaucoup de femmes que j’ai envie de mettre en avant dans ma sélection de livres, avec des types d’histoires très variés: Le Grand marin de Catherine PoulainJust Kids de Patty Smith, mais aussi des livres de Simone de Beauvoir, Annie Ernaux, Germaine Tillion et bien sûr Virginie Despentes. Ce sont des parcours de femmes qui m’ont particulièrement inspirée. Comme je suis limitée par la taille de mon bibliobus, qui peut contenir 3000 livres, mon offre est assez restreinte mais ce sont des livres que je choisis plus intimement qu’une grande librairie.

Source: Cheek magazine

28 septembre 2017

Un studio numérique pour tous à la bibliothèque

studio numérique laval

Depuis le 11 septembre, les usagers du réseau des bibliothèques ont accès à une salle baptisée Le studio – Espace numérique au second étage de la bibliothèque Multiculturelle, dans Chomedey.Imprimante trois dimensions, studio de photographie et de film avec écran vert où l'on peut tourner, studio audio avec console, micros, guitare électrique, claviers où l'on peut enregistrer des pistes, numériseurs pour ses vieilles photos, diapositives ou cassettes VHS, quand ce ne sont des disques vinyles, équipements pour enfants avec des legos robotisés: tout le monde est servi.

«Ces espaces sont souvent réservés aux adolescents, mais nous préférons offrir ce studio numérique à l'ensemble de la population, Rachel Sansregret, responsable services professionnels aux Bibliothèques de Laval.  Les écoles s'équipent de plus en plus en ce sens, alors que ces services sont rares sinon inexistants sur le territoire.»

L'idée germe depuis 2014 chez les gens des bibliothèques. L'année suivante, le ministère de la Culture lançait son plan numérique. La première subvention et les premiers travaux sont arrivés en 2016. De l'argent supplémentaire a été ajouté cette année.

«Ce lieu donne accès aux nouvelles technologies en étant accompagné dans ses expériences de découverte, souligne François-Guillaume Fournier, bibliothécaire médiation numérique. La personne pourra éventuellement faire son projet par elle-même.»

«Nous croyons à l'égalité des chances pour tous, de continuer Rachel Sansregret. Ces équipements sont disponibles pour des gens qui ne pourraient pas nécessairement se les payer ou louer.»

«Il ne faut pas non plus oublier une autre vocation, celle d'aider les gens à conserver leur patrimoine», d'ajouter M. Fournier.

Ces prochaines semaines, des cours et ateliers seront dispensés aux usagers sur des sujets tels l'animation image par image, photomaton avec écran vert, impression 3D, graphisme et création musicale. Des visites de groupes seront aussi possibles.

«Pour l'instant, tout est gratuit et nous ne faisons aucun prêt de matériel», de préciser Rachel Sansregret.

L'espace demeurant évolutif, du nouveau matériel sera acquis bientôt en matière de réalité virtuelle et d'enregistrement dont des tables tournantes de DJ.

Source: Le courier Laval 

 

26 septembre 2017

Une liseuse unique intégrée dans un livre papier

ebook_eonebook_manga

Progress Technologies, une société japonaise, a imaginé eOneBook, un concept orignial pour lire des Mangas en numérique. Au Japon les mangas sont un genre littéraire très prisé. Seulement voilà, la sensation du papier, reste importante. Pour lancer ce projet fou, Progress Technologies a choisi de faire appel au financement participatif. L’objectif est de proposer aux fans de la série légendaire  manga “Fist of the North Star” en la faisant revivre grâce au numérique. Plus fort encore les 18 volumes de la série manga vont être embarqués dans une liseuse composée d’une double page e-ink et intégrée dans une jaquette papier. Le manga aura l’odeur du papier, la couleur du papier mais sera numérique exclusivement. Les lecteurs n’auront qu’à ouvrir le livre pour accéder au contenu. 

Les lecteurs n’auront qu’à ouvrir le livre pour accéder au contenu.  Pas de téléchargement, pas de connexion Wifi, pas de DRM, pas de câble (on le recharge avec des piles basiques) Le livre est une liseuse exclusivement dédiée à l’histoire. Et pour pousser le concept encore plus loin, les 18 volumes de la série manga seront proposés dans le même livre en japonais et en anglais. Le lecteur pourra passer d’une langue à l’autre d’un simple clic sur le côté de l’écran (page).

Progress Technologies ne fait pas que lancer un concept, avec la technologie développée par l’entreprise japonaise, mêlant encre éléctronique et des écrans e-ink, tout en affichant une double page numérique, l’objet ebook devient tangible. L’ebook se matérialise, on le tient comme un livre, on l’ouvre comme un livre classique, on le prête à un ami comme un livre papier sans s’embarrasser de mots de passe et d’ondes Wifi.Il n’est plus la peine de passer par un libraire en particulier, le livre peut être vendu comme un produit à part entière. C’est tout le business model du livre numérique qui se réinvente.  Le livre est une liseuse à usage unique.

L’équipe explique : « en donnant vie à eOneBook, nous avons fait face à de nombreux défis. Pour obtenir le meilleur de l’affichage de l’art du manga, tout en proposant une faible consommation d’énergie, nous avons été tenus d’utiliser pleinement nos capacités techniques avancées et notre savoir-faire. »

Ils poursuivent : « Développer un dispositif électronique inclus dans un boîtier en papier est également un défi sans précédent. Nous avons lutté pendant des mois. Afin de fournir à la fois la force du produit en tant que périphérique électronique et le toucher avec la sensation désiré en tant que livre imprimé, nous avons produit des dizaines de prototypes différents et avons finalement choisi le papier qui correspond le mieux à notre objectif à partir de plus de 10 000 types de papier. »

Ce prototype deviendra réalité en février 2018, grâce à la générosité des internautes participant à cette formidable aventure ! Comme toute innovation, le prix de lancement peut paraître prohibitif puisque la série coûtera 250 euros (18 vol + appareil intégré = 13.80 euros le volume) mais si ce concept satisfait le lecteur on peut imaginer une baisse de prix sur le long terme, tout comme pour le prix des liseuses au début. On peut aussi imaginer tout le potentiel d’un tel concept, qui revoit à la fois les codes du livre papier mais aussi celui du livre numérique. C’est un nouvel objet qui voit le jour et celui-ci devrait plaire non seulement aux lecteurs de mangas mais à tous ceux qui hésitent encore à lire en numérique.

Source: Idboox

25 septembre 2017

Appel au don pour acquérir le livre d'heure de François Ier

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Le  manuscrit enluminé et la monture, ornée de deux grandes intailles en cornaline, de turquoises et de rubis, d’arabesques sur fond noir du livre d'heures de François 1er, incarnent parfaitement ce moment complexe de l’art en France, entre tradition nordique et innovations italiennes.  Il est conservé en Angleterre et l'Etat français voudrait l'aaquerir.  Pour cela, le minitère de la culture a lancé un appel au mécénat auprès des entreprises (avis parru au journal officiel du 24 septembre 2017). La somme dont il a besion est de  7 880 000 euros.  Les offres de versement, établies selon le modèle prévu par l'instruction de la direction générale des impôts 4-C-6-02 n° 184 du 24 octobre 2002, doivent être adressées à la Direction générale des patrimoines, service des Musées de France, 6, rue des Pyramides, 75041 Paris Cedex 01. 

Voici la description de ce livre extraite de cet avis:

"De provenance prestigieuse, ce livre d'heures à l'usage de Paris, accompagné de son signet ou marque-page sculpté figurant le Christ à la colonne, constitue un chef-d'œuvre exceptionnel de l'orfèvrerie française de la Renaissance sous le règne de François Ier. Cette œuvre insigne, de très petit format, entièrement manuscrite et ornée de seize peintures en pleine page, trois petites peintures et de nombreuses initiales ornées, est couverte d'une somptueuse reliure d'or émaillé d'une qualité d'exécution éblouissante, enrichie de pierres précieuses et de deux grandes plaques de cornalines ovales gravées en intaille représentant la Crucifixion avec saint François et saint Jérôme sur le plat supérieur, et la Vierge à l'Enfant trônante entourée de sainte Barbe et sainte Catherine sur le plat inférieur. Sans équivalent dans les collections publiques françaises et étrangères, ce remarquable vestige des trésors des Valois constitue une des rares œuvres d'orfèvrerie qui, avec la célèbre salière de Cellini aujourd'hui conservée à Vienne, puisse encore être associée directement à François Ier et la seule reliure précieuse de joaillerie française connue à ce jour pour les règnes de François Ier et des derniers Valois."

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24 septembre 2017

Un film sur le métier d'éditeur

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Projeté en avant-première lors des Correspondances de Manosque, le film Editeur, de Paul Otchakovsky-Laurens, plonge au cœur d'une pratique évoquée d'une manière très personnelle et illustre la singularité de ce métier de passion.

Côté distribution, des écrivains de la maison ont été appelés à jouer les figurants (Olivier Cadiot dans un rôle de méchant, Marie Darrieussecq...). Les collaborateurs de P.O.L apparaissent aussi, au premier rang desquels Jean-Paul Hirsch, transformé en avocat. Le film évoque en effet les embûches rencontrées sur le chemin (procès perdu, pression des banquiers qui «veulent vendre la maison»). Il intégre aussi, par le truchement de personnages de fiction, la parole des auteurs, ceux dont on accepte la copie comme ceux qui essuient un refus. 

La dramaturge Gisèle Vienne a participé au film, en créant notamment une poupée à l'effigie de Paul enfant, très présente, pour dire sans doute les blessures passées mais aussi qu' «un éditeur, c'est un enfant qui n'a pas grandi»Editeur fait suite à un précédent  documentaire autobiographique réalisé en 2009 par Paul Otchakovsky-Laurens (Sablé-sur-Sarthe, Sarthe), qui avait été aussi projeté aux Correspondances de Manosque.

Source: Livres Hebdo 

23 septembre 2017

Les parents lisent de moins en moins d’histoires aux enfants

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Un sondage mené par l’organisme de bienfaisance BookTrust auprès de 2000 parents ayant des enfants de 4 à 11 ans, dévoile que les parents passent plus d’une heure sur un ordinateur, un téléphone, une tablette. En revanche le temps passé à lire avec leurs enfants n’est que de 25 minutes maximum par semaine.

La moitié des parents avouent également ne pas finir un livre commencé avec les enfants, ils avouent également refuser de lire un second livre quand l’enfant le demande.

Pire encore, 49% admettent qu’ils sautent des pages prétextant une trop grande fatigue.

Pour sensibiliser les parents à l’importance de partager des moments de lecture avec leurs enfants, BookTrust lance une opération baptisée #TimetoRead sur les réseaux sociaux. Du 18 au 22 septembre, le message sera celui-ci : prenez 10 minutes par jour pour prendre le temps de lire avec vos enfants.

Source: Idboox

22 septembre 2017

Etude sur les bibliothèque municipales

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À l’occasion de la journée d’études qui se tient ce jeudi 21 septembre 2017 sur l’avenir des bibliothèques au XXIe siècle, le ministère de la Culture a mis à l’honneur “le premier réseau culturel de proximité”. L’enquête menée en 2016 sur les publics et les usages des bibliothèques, démontre que 76% des Français “estiment que les bibliothèques sont utiles à tous.”

La vaste majorité des citoyens (89%) est pourvue d’une salle de lecture publique dans leur collectivité, et avec les 16 500 bibliothèques et médiathèques présentes sur le territoire français, 91% des Français assurent qu’ils mettent “moins de vingt minutes à s’y rendre.”

L’enquête rapporte aussi que même si les bibliothèques se tournent de plus en plus vers les ressources numériques (36% des structures en proposent) la fréquentation est en nette progression. Le ministère de la Culture indique ainsi que depuis 2005, le nombre d’usagers a augmenté de 23%, soit 1 Français sur 4 qui “utilise régulièrement un équipement de lecture publique”.

Concernant l’extension des horaires d’ouvertures des bibliothèques, les résultats de l’enquête indiquent que même si 60% des citoyens sont en faveur d’une ouverture le samedi, seule une large minorité (47%) est favorable à l’ouverture dominicale des bibliothèques.

Source: Archimag

21 septembre 2017

Le Musée Paul Valéry de Sète dévoile la donation Daniel Leuwers

Daniel Maximin, texte manuscrit, Thierry Le Saëc

Le critique littéraire et poète français Daniel Leuwers a récemment légué au Musée Paul Valéry de Sète l’ensemble des collections du Livre pauvre rendant hommage à Paul Valéry. Jusqu’au 7 janvier 2018, l’institution organise une exposition célébrant cette donation.

Création poétique sur papier, manuscrite ou illustrée, le Livre pauvre peut être rangé dans la catégorie du livre d’artiste puisqu’il se situe à la croisée de la poésie manuscrite et de la peinture. La « pauvreté » du livre s’explique par le faible coût de sa conception : un simple feuillé plié en deux dans la plupart des cas. Son concept a été lancé par le critique, poète et écrivain Daniel Leuwers en 2002 avant de devenir un véritable laboratoire d’expérimentation pour de nombreux artistes et écrivains.

Du 22 septembre au 7 janvier 2018, le Musée Paul Valéry, à Sète, présente 515 livres d’artistes, provenant des 36 collections issues de la donation Daniel Leuwers, qui empruntent un ou plusieurs vers à l’œuvre de Paul Valéry. L’exposition permet de découvrir, ou redécouvrir, les créations de Michel Butor, Pierre Dhainaut, Gilbert Lascault en passant par Jean-Gilles Badaire et Jean Anguera. L’œuvre de Paul Valéry est perçue par les auteurs et les artistes comme une mise en abîme à leur propre création collaborative. Notons que cette exposition s’ouvre à l’occasion de la 7e édition des Journées Paul Valéry qui ont pour thème, cette année, « Paul Valéry et les écrivains ».

Source: Connaissance des arts

20 septembre 2017

Création à Philadelphie du plus grand pop-up du monde

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Ce mois-ci commence la création de ce qui sera le plus grand album photo pop-up du monde,au Philadelphia Photo Arts Centre à Olde Kensington, où les visiteurs sont invités à venir parcourir ses pages. L'artiste de renommée internationale a commencé à travailler sur le projet, intitulé Tao Hua Yuan Ji , le 14 septembre. elle le devra le terminé  avant le 12 octobre. Une fois finie, l'oeuvre mesura  4,2 mètres sur 6,4 mètres. Son épaisseur  sera de 1,5 mètre environ.

Jusque'à cette date-là, les visiteurs pourront regarder le processus de création en direct au Philadelphia Photo Arts Centre. Fu répondra au questions des spectateurs le vendredi  durant un créneau  horaire spécique appelé"artiste au travail". Une fois terminé, Tao Hua Yuan Ji restera exposé jusqu'au 25 novembre.

Tao Hua Yuan Ji se traduit littéralement  par "Utopie: Source des fleurs de pêches" et s'inspire de la prose courte du poète Tao Yuanming de Jin Dynasty (317-420) du même nom. Une des histoires écrites les plus connues de Yuanming, Tao Hua Yuan Ji qui evoque l'existence  d'une grotte qui mène à une vallée de fleurs de pêches - le symbole chinois de la chance, de l'amour et de la longévité - où les gens qui cherchaient un refuge politique allaient vivre en paix et en harmonie avec une autre. On dit que l'histoire est une représentation métaphorique d'une utopie inaccessible.

Source: The Inquirer

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