Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Biblioworld
Biblioworld
Publicité
Biblioworld
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 330 397
editeurs
30 juin 2011

Argentine : une première offre universitaire en numérique

eudeba-papyreLes Presses Universitaires de Buenos Aires, dont l’éditeur est Eudeba, viennent de se lancer dans le numérique. Chaque livre publié par la maison d’édition sera ainsi disponible dès aujourd’hui sur la plateforme Eudeba Digital à 50 %-70 % moins cher que son équivalent papier et notamment les thèses et les travaux de l’Université. Autre bonne nouvelle : 30 % destitres (sur 700) sont sous licence Creative Commons, ce qui permet à l’étudiant d’utiliser son fichier sur plusieurs appareils et de le diffuser librement. Les textes concernés sont majoritairement des thèses : leur circulation libre doit ainsi permettre à Eudeba de diriger les lecteurs vers une offre plus commerciale (et donc moins ouverte, sous DRM) et à l’Université de s’assurer une plus large visibilité. Cette offre devrait croître rapidement, puisque la maison d’édition prévoit de numériser 15 % de son catalogue (100 titres) d’ici la fin la fin de l’année.

Pour assurer l’adoption du livre numérique, Eudeba propose enfin à la communauté universitaire de l’Université de Buenos Aires une offre promotionnelle sur le Papyre 6.2, fabriqué par la société espagnole Grammata et vendu 1400 pesos (soit 240 euros environ) avec possibilité de financement sans frais. 

Source: Sobook Onligne

Publicité
Publicité
23 juin 2011

Delcourt rachète Soleil

Delcourt acquiert une part majoritaire du capital des Éditions Soleil et devient le 1er groupe de bd indépendant Les Éditions Delcourt viennent d'acquérir une part majoritaire du capital des Éditions Soleil.

Cette opération résulte d'une volonté commune des deux fondateurs, Mourad Boudjellal et Guy Delcourt, dont les parcours n'ont soleil-delcourtcessé de se croiser depuis plus de vingt ans. Créées à deux ans d'intervalle, en 1986 et 1988, les deux maisons concurrentes tissent très tôt des liens de collaboration : de 1990 à 1993, Soleil confie la gestion de ses droits étrangers à Delcourt. 2003 voit naître leur filiale commune de diffusion, Delsol, qui s'impose d'emblée comme l'un des grands acteurs commerciaux du marché : outre les catalogues de ses actionnaires, Delsol diffuse Futuropolis, Gallimard BD, les Humanoïdes Associés, Bamboo, et Panini. Ce succès renforce l'entente des deux hommes qui, en dépit de leurs apparentes différences (Mourad Boudjellal est de Toulon, Guy Delcourt de Roubaix !) ont en commun l'esprit d'entreprise et le goût pour la découverte de nouveaux talents et de nouvelles idées éditoriales. Avec des succès commeLanfeust de Troy, Les Naufragés d'Ythaq, UW1, Kookaburra, Rahan ou Les Blondes pour Soleil, et Donjon, Sillage, De cape et de crocs, Les Légendaires, Happy Sex ou Les Blagues de Toto chez Delcourt, les deux indépendants font bientôt jeu égal avec les plus anciennes maisons d'édition de bande dessinée dont la domination semblait pourtant écrasante.  Ce rapprochement permet à Soleil de poursuivre sereinement et énergiquement son développement, en bénéficiant à la fois du savoir-faire de Guy Delcourt et de l'implication de Mourad Boudjellal. Celui-ci reste actionnaire de la société, dirigera certains projets, et se consacrera plus particulièrement aux relations avec les auteurs historiques de la maison. Il pourra ainsi conjuguer ses deux passions : la bande dessinée et le rugby, où il fait des étincelles à la tête du RC Toulon.

Dans la nouvelle configuration, les Éditions Soleil comme les Éditions Delcourt (et leur filiale Tonkam) verront leur identité préservée, dans le plus grand respect de leurs auteurs et de leurs salariés, et trouveront un terrain propice à l'accomplissement de leurs ambitions éditoriales.  Le groupe éditorial ainsi constitué devient, par son chiffre d'affaires, le premier groupe indépendant du marché francophone de la bande dessinée.

6 juin 2011

Bruno Editore présente un distributeur automatique d’eBooks

Le Multiebook est le défi de l'avenir  permettra de télécharger les ebook sur les smartphone, sur les lecteurs  flash et sur n'importe quel autre dispositif. Le ebooks  seront payé avec des espèces.  Le but pour son créateur (Alessandro Ercolnai) : démocratiser le livre numérique, offrir un  point de vente dans les aéroports, gares, bibliothèques, foires, etc.

Multiebook-Bruno

11 mai 2011

Comment protéger les e-books contre le piratage?

"Supprimons ces saloperies de DRM de notre livre numérique acheté légalement". Ce titre provocateur est celui d'un tutorielexpliquant comment enlever les protections électroniques d'un ebook - "DRM, pour "Digital rights management". Celui qui le signe - et l'assume totalement - n'est pas un pirate révolté contre la société de 709542_kashmiri_woman_looks_at_books_inside_bookstore_in_srinagarconsommation : il s'agit de Clément Bourgoin... libraire de profession, et gérant du site internet des éditions Le Bélial'Il explique avoir agi ainsi à cause des restrictions imposées aux consommateurs qui achètent des livres électroniques soumis à des DRM (voir encadré). Elles donnent "le sentiment de ne pas vraiment posséder des oeuvres que j'ai pourtant achetées légalement". 

Pour suivre le tutoriel fourni par Clément Bourgoin, il faut tout de même être un peu initié à l'informatique. D'où son constat: "les DRM gênent plus les acheteurs légitimes que les pirates qui les contournent sans difficulté".  

Tout cela, alors que la mise en place de ce type de protection électronique coûte cher à l'éditeur. La société Adobe est l'un des leaders du marché. Pour acquérir ses DRM, les maisons d'édition doivent payer un "droit d'entrée de 75 000 dollars" indique Vincent Monadé, directeur du Motif, l'observatoire du livre et de l'écrit en Ile-de-France. "Ensuite, cela coûte 40 centimes par exemplaire, ce qui va faire en moyenne 3 % du prix du livre." 

Un investissement qu'une centaine d'éditeurs ont choisi de refuser. Parmi eux, Eyrolles, les éditions La Découverte, et bien sûr, Le Bélial. Pour se protéger, ils préfèrent en appeler à la responsabilité de leurs lecteurs. "Chacun de nos livres s'ouvre sur un préambule expliquant ce choix, où nous invitons nos clients à partager leurs livres avec leur cercle d'amis mais pas au-delà" explique Clément Bourgoin. Et cela fonctionnerait : "les seuls de nos livres à avoir été piratés sont ceux qui ne sont pas encore disponible en numérique".  Pour le moment, ce type de contrefaçon n'a encore que peu d'incidence en France : le marché du livre numérique ne représente que 1% des ventes d'ouvrages dans notre pays. Ce peu de succès est attribué à l'attachement à l'objet "livre", mais aussi aux prix élevés : selon un sondage Ipsos/Livre Hebdo, les Français seraient prêts à payer jusqu'à 7 euros pour la version numérique d'un nouveau roman. Pour Vincent Monadé, ce chiffre n'est pas dû au hasard : "c'est le prix d'un livre de poche".  

Les DRM font partie des explications données par les éditeurs pour justifier le prix actuel des livres électroniques. Leur abandon pourrait donc à priori faire baisser les coûts, mais ne suffirait pas à faire coïncider offre et demande. Vincent Monadé donne d'autres pistes : "Cela sera possible si les éditeurs gagnent leurs combats sur le prix unique et la TVA à 5,5% pour les livres numériques". La France a récemment voté la loi sur le prix unique, mais elle doit encore convaincre la Commission européenne de ne pas l'invalider. Pour l'Europe, en effet, ce type de loi est un obstacle à la libre concurrence. 

Vincent Monadé fait aussi un parallèle avec le marché de la musique. " Les éditeurs devront s'adapter. Internet est fabuleux parce que ce sont les usagers qui y définissent l'offre, et non plus le contraire. " L'industrie musicale a dû trouver des systèmes plus ou moins heureux pour continuer à exister : mise en ligne d'échantillon, production participative... De la même manière, en matière littéraire, l'avenir semble bien appartenir au consommateur numérique. 

Source: L'express

10 mai 2011

Les éditeurs étrangers reconnaissent le décollage des ventes de livres numériques

Les ventes de livres numériques aux Etats Unis et au Royaume Uni se portent bien. Alors que l’Association des Editeurs Américains a ebooksrécemment annoncé des chiffres de croissance vertigineux pour le marché US (+202,3% en volume sur un an), c’est au tour d’Harpers Collins et Random House de faire part de leur enthousiasme.

Victoria Barnsley, le PDG de Harper Collins UK a ainsi déclaré au site PaidContent que les ventes numériques de la maison d’édition progressaient de manière spectaculaire sur un rythme hebdomadaire de 5 à 10%. A l’inverse les ventes de livres de poche ont diminué de 7% sur l’année, une baisse de forme directement imputable selon elle à la progression des ventes de livres numériques. Victoria Barnsley estime à ce propos que le livre de poche risque d’être le segment d’activité le plus affecté par l’essor des livres électroniques.

Même enthousiasme du côté de Random House qui a vu son chiffre d’affaires “boosté” par les ventes en numérique. Son PDG, Ian Hudson envisage d’ailleurs une croissance persistante des marchés anglais et américain, de l’ordre de 15% (en valeur) chez nos voisins outre-manche jusqu’à 50% outre-Atlantique d’ici 2012.

Des chiffres encourageants qui montrent la voie à suivre pour le marché français et sa toute nouvelle loi sur le prix unique du livre numérique…

Source: eBouquins

Publicité
Publicité
1 mai 2011

Le piratage d'E-book peut avoir des avantages inattendus pour les éditeurs

Selon un nouveau rapport de l'Association américaine d'Éditeurs, les livres électroniques vendus plus tant les livres de poche que les livres cartonnés ce passé le février. Cela, juste quelques mois après que l'Amazone de détaillant en ligne a annoncé qu'il vend maintenant plus Allument des livres numériques que les livres de poche. Mais c'est non seulement les ventes d'e-book qui augmentent. Le piratage d'E-book auguemente, aussi.  Étonnamment, O'Leary a constaté que les ventes vraiment augmentées après leurs livres se sont manifestées sur les sites pirate. Le piratage semble avoir promu des ventes. O 'Leary dit que les gens peuvent avoir utilisé les éditions pirates aux livres de promotion avant qu'ils ont vraiment ouvert leurs portefeuilles. 

D'après un article de CBC News

8 avril 2011

Millenium en e-book: un record des ventes aux Etats-Unis

5194e5Fjk_LKnopf, l'éditeur américain de Millenium, a vendu plus d'un millions d'ebooks de The Girl With the Dragon Tatoo, le premier roman de la saga de Stieg Larson (en français, Les hommes qui n'aimaient pas les femmes). La trilogie complète a été écoulée à plus de trois millions d'exemplaires numériques par Knopf.  

D'après le New York Times, ce succès représente un record de vente pour le livre numérique. Knopf est le premier éditeur à annoncer de tels chiffres. Penguin Group USA avait par exemple déclaré avoir vendu plus d'un million d'exemplaires des livres de Nora Roberts, mais il s'agissait de l'ensemble de l'oeuvre de l'auteur.  

Source: L'express

Publicité
Publicité
<< < 10
Publicité