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31 octobre 2017

Appel de Viviane Hamy contre Flammarion

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L'éditrice Viviane Hamy, déboutée de son action en contrefaçon contre Flammarion le 5 octobre dernier, à propos de la couverture des romans de Fred Vargas, a décidé de faire appel, a annoncé lundi l'éditrice à l'AFP. Le tribunal de grande instance de Paris avait débouté les éditions Viviane Hamy de leur action en contrefaçon contre Flammarion, à propos de la couverture des romans de Fred Vargas. "La couverture créée par la société VH Editions [Viviane Hamy] n'est pas originale et n'est pas protégeable par le droit d'auteur" avait alors énoncé le tribunal de grande instance de Paris dans un jugement rendu le 5 octobre. Le tribunal avait également rejeté les accusations de concurrence déloyale.

Publiée pendant 20 ans chez Viviane Hamy, l'auteure de romans policiers Fred Vargas est passée chez Flammarion en 2015. Viviane Hamy estime que la couverture de Temps glaciaires, le premier titre de Fred Vargas publié chez Flammarion, reprenait de nombreux éléments de la couverture des ouvrages précédents publiés chez elle. Elle réclamait à Flammarion 330000 euros pour réparation du préjudice subi. Le TGI avait finalement condamné VH Editions aux dépens du procès et à verser à Flammarion 10000 euros au titre de l'article 700 du code de procédure. 

Source:  Livres  Hebdo

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30 octobre 2017

Constitution de la collection de la médiathèque avec la population

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Puisqu’ils devront se l’approprier pour mieux y étudier, échanger, confronter leurs idées, découvrir quelques œuvres nouvelles, apprendre à chercher et dénicher le sésame, autant qu’ils soient à l’origine des collections qui la constituent. Ils, ce sont les 8 000 habitants du quartier de la Patrotte, à Metz (Moselle), que la municipalité consulte actuellement tous azimuts. À quel dessein ? Constituer de manière collective et donc participative, l’ensemble des collections qui enrichiront la nouvelle médiathèque et centre social en construction, la fameuse Agora !

Liliane Werthe, responsable de la bibliothèque de la Patrotte et chargée du projet Agora, recevait dernièrement les représentants du quartier et des centres sociaux, ainsi que des référents familles. Des gens qu’elle connaît bien : « Je vais expliquer à toutes ces personnes que tout le monde est concerné par le choix des collections qui remplieront la future médiathèque. Il est bien évident que ce que nous détenons actuellement à la bibliothèque est insuffisant. Nous avons retenu des thématiques fortes correspondant aux centres d’intérêt des habitants du quartier, comme la cuisine, la déco, les travaux, le recyclage d’objets ou encore la récupération et les langues étrangères… Et c’est avec eux que les choix seront faits. »

En termes de moyens financiers, ce sont 200 000 € qui seront alloués pour l’achat de ces collections de l’Agora. « C’est comme si nous inversions la vapeur, relève Pascale Valentin-Bemmert, directrice des Bibliothèques et médiathèques à la Ville de Metz. Nous travaillons tous ensemble, dans le quartier sur des thématiques précises puis nous achetons ce qui est choisi. Nous ne touchons pas toujours forcément un public de lecteurs alors il faut viser des thématiques précises pour ne pas se tromper. »

L’été prochain, si tout va bien, l’ouverture de l’Agora rimera ainsi avec les fermetures des centres sociaux Les Amis de la Patrotte, celui de Georges-Lacour et la bibliothèque de la rue Chevreux. Du beau monde à caser dans un seul et même endroit et de grands changements d’habitudes en perspective. Animatrice au centre des Amis de la Patrotte depuis cinq ans, Johanna Delauzun sait d’avance que les vieux locaux, aussi vétustes soient-ils ou de plus en plus inappropriés, lui manqueront beaucoup : « Ça fait quand même vingt ans que je vis dans ce quartier alors ces lieux vont me manquer, c’est certain. Mais je sais aussi que ce projet va dynamiser le travail de chacun d’entre nous. » Les deux centres sociaux et les membres de la bibliothèque vont aussi apprendre à travailler de concert. Avec pour écrin, un repère d’espaces et de lumières. Leur entrée dans le XXIe  siècle. D’un même pas.

Source: Le républication Lorrain

28 octobre 2017

Marseille : "Voyage en Alcazarie", chroniques à la Bibliothèque

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José Rose est sociologue et écrivain. C’est aussi un usager de la bibliothèque de Alcazar à Marseille (Bouches-du-Rhône). Des mois durant, il s’est rendu dans la grande bibliothèque de Belsunce comme on se rend dans un pays lointain soudain si familier. Cette exploration est devenue un livre qui vient de paraître aux Ediitions de  L'Harmattan.  Son titre est Scènes de vie ne Bibliothèque Voyage en Alcazarie. En voici un extrait publié sur le site de Marsactu:

Un matin à l’Espace jeunesse. Pour l’instant, ce vaste lieu est plutôt délaissé, école obligatoire oblige. Quand débarque soudain une volée d’enfants bruyants et toniques. Pépiements et caquètements de poulailler, cavalcade et bousculade, cris et coups de pattes : on se croirait à la sortie d’une école un vendredi soir. Pas étonnant, puisque c’est justement une sortie de classe. Les interjections fusent. Ouais ! Des romans ! Super ! Des vampires ! Les râlements aussi : J’ai chaud ! Ça m’énerve, il n’y a que des livres ici ! Et que pour les enfants ! On sent déjà la jeunesse à deux vitesses. Les lecteurs « commencent leur carrière à l’âge où les autres abandonnent la leur : vers huit, neuf ans » écrit Christian Bobin dans Une petite robe de fête. Les uns « se lancent dans la lecture et bientôt n’en finissent plus, découvrent avec joie que c’est sans fin » tandis que les autres… « Dans la lecture, on quitte sa vie, on l’échange contre l’esprit du songe, la flamme du vent. Une vie sans lecture est une vie que l’on ne quitte jamais ».

 Les enfants turbulent ainsi de rayons en rayons, l’un se couche par terre pour feuilleter une BD, un autre cherche ses copains, un autre encore marmonne tout seul : Cherche ! Cherche ! Cherche ! Trouve pas. Trouve pas. Trouve pas ? Un petit groupe s’agglutine autour d’un ordinateur tandis que d’autres s’interpellent. Certains sont couchés sur les banquettes et causent du match de foot de la veille au soir.

L’un d’eux lance fièrement à la cantonade : c’est la première et la dernière fois que je vais dans une bibliothèque ! Une enseignante est assise parmi eux, regard perdu : c’est peut- être une mère accompagnatrice. Une autre les rappelle à l’ordre scolaire : Vous avez échappé à 1 h 30 de français mais on va carburer en rentrant pour rattraper le retard ! … Quel retard ? Bientôt, la lassitude gagne. On y va madame ? … Encore dix minutes et on rejoint le métro… On peut y aller tout de suite si vous voulez, comme ça on sera moins pressés.

« On ne force pas une curiosité, on l’éveille » écrit Daniel Pennac dans Comme un roman. « Le temps de lire, comme le temps d’aimer, dilatent le temps de vivre », ajoute-t-il avant de décliner les droits imprescriptibles du lecteur, ceux de ne pas lire, de sauter des pages, de ne pas finir un livre, de relire, de lire n’importe quoi et n’importe où, de grappiller, de lire à haute voix… et de se taire.

Pour en lire un autre extrait, cliquez ici.

27 octobre 2017

Ex Libris, un documentaire pour visiter la New York Public Library

Ex Libris New York Public Library

La New York Public Library se visite tous les jours gratuitement à 11 heures et à 14 heures. Encore faut-il être à New York... Pour ceux qui ne peuvent se rendre aux Etats-Unis, il reste le cinéma avec Ex Libris : The New York Public Library un documentaire réalisé par Frederick Wiseman.

​D'une durée de 3 heures 17, ce film présente les multiples facettes de la célèbre bibliothèque new-yorkaise : "La New York Public Library a son bâtiment central célèbre, mais aussi près de 90 branches partout dans la ville. C’est aussi l’immensité de leurs archives, de leurs collections, la diversité de leur programmation et l’implication réelle et passionnée de ses équipes, tout comme leur dévotion et capacité à aider les autres qui m’ont attiré", explique le réalisateur.

Voici la bande anoncce du film:

Source: Archimag

25 octobre 2017

LVMH aide le Louvre à acquérir le Livre d'heures de François 1er

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Mis en vente par un collectionneur londonien, ce joyau de l'orfèvrerie et de l'enluminure de la Renaissance est le seul témoignage encore existant des biens de la dynastie des Valois disparus à la fin du XVIe siècle, a souligné mardi le président du Louvre, Jean-Luc Martinez, lors d'une conférence de presse. La somme demandée pour cette oeuvre "sans équivalent dans les collections françaises et étrangères" représente pas moins du double du budget annuel d'acquisition du Louvre (5,2 millions d'euros). D'où l'appel au groupe LVMH, qui fournira la moitié de la somme, mais aussi aux Français, dans le cadre d'une opération "Tous mécènes", la huitième du genre (du 24 octobre au 15 février 2018). "A projet exceptionnel partenariat exceptionnel", a dit Jean-Luc Martinez à l'AFP. "Je remercie LVMH d'avoir dit oui à cette aventure très ambitieuse pour que cet objet redevienne une icône du musée du Louvre", a-t-il ajouté, se déclarant "confiant".
Manuscrit de petit format (8,5 cm de hauteur x 6,5 cm de largeur) élégamment calligraphié, le livre d'heures (livre de prières qu'on portait sur soi) comprend seize peintures et de nombreuses initiales décorées. Sa reliure en or émaillé est ornée de pierres précieuses et de deux grandes plaques de cornalines gravées (pierres semi-précieuses). Il est accompagné d'un signet ou marque-page en forme de colonne sertie de rubis et de turquoises. Acquis par François Ier en 1538, le livre d'heures est en Angleterre depuis le XVIIIe siècle. Il a appartenu à Jeanne d'Albret, reine de Navarre (1555-1572), nièce de François Ier et mère d'Henri IV qui en hérita à son tour. Marie de Médicis le céda plus tard au cardinal Mazarin. 
Apparu ensuite dans plusieurs collections privées britanniques, il est passé en vente pour la dernière fois en 1942 et est actuellement présenté dans l'exposition "François Ier et l'art des Pays-Bas" au Louvre. Classé "oeuvre d'intérêt patrimonial majeur", le livre d'heures est la "seule pièce d'orfèvrerie (avec une salière de Cellini à Vienne) à pouvoir être directement associée au souverain", et "la seule reliure précieuse française connue à ce jour pour les règnes de François Ier et des derniers Valois", souligne le Louvre.

"Faire revenir en France ce trésor national unique a immédiatement emporté l'adhésion de Bernard Arnault et de LMVH", a dit Jean-Paul Claverie, conseiller de Bernard Arnault.

Source: Culturebox

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24 octobre 2017

Chaï – Une intelligence artificielle pour écouter un livre papier

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Chaï est une application qui permet aux lecteurs de poursuivre une lecture effectuée à partir d’un livre papier sur un format audio. 

Elle associe un service de lecture par voix de synthèse et une intelligence artificielle à un livre existant.

Autrement dit, si vous êtes en train de lire un livre papier, et que vous sortez de chez vous, vous pouvez tout à fait continuer la lecture de celui-ci en version audio le tout de façon très simple.  Pour le moment Chaï se concentre sur les livres professionnels, les livres pratiques, universitaires, ou de développement personnel. Elle permet de proposer aux lecteurs une expérience « augmentée » des ouvrages papier tout en assurant aux éditeurs un revenu et une visibilité complémentaires sur de nombreuses références qui n’auraient jamais fait l’objet d’un développement en livre audio.

Selon la start-up présente à la récente foire du livre de Francfort, la voix de synthèse embarquée sur Chaï (en allemand, anglais, français) est l’une des meilleures qui existe aujourd’hui et a été sélectionnée après de nombreux tests auprès d’utilisateurs. Cette application en plus d’être pratique pour les lecteurs est également pensé pour les déficients visuels, elle peut effectivement être une bonne solution pour accéder à plus de contenus grâce à l’audio.

Le concept est en phase de finalisation et devrait être disponible au public en février 2018.

Source: Idboox

23 octobre 2017

Déclarez votre amour pour les livres

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concours bibliothèque bondy

Pour fêter ses 30 ans mais aussi célébrer l’amour de la littérature, la bibliothèque Denis-Diderot  de Bonby (Seine-Saint-Denisà) organise un concours de photos et de nouvelles. Au travers de trois images maximum, les photographes doivent illustrer leur rapport et leur attachement au livre. Les gagnants verront leurs œuvres exposées dans le hall de la bibliothèque. Les écrivains doivent, quant à eux, proposer un recueil de nouvelles inédites (10 pages maximum). Seule contrainte, les histoires doivent commencer par l’accroche suivante : « J’ai toujours imaginé le paradis comme une sorte de bibliothèque… ».

Pour postuler, vous avez jusqu’au 30 novembre pour le concours photo, et jusqu’au 15 décembre pour le concours de nouvelles. Les productions sont à envoyer par mail (bibliotheque.bondy@est-ensemble.fr) ou à remettre en main propre à la bibliothèque. Rens. au 01.83.74.55.92 ou 01.83.74.55.91.  Les prix seront le 20 janvier 2018

Source: Le Parisien

21 octobre 2017

Gallimard lance sa galerie d'art

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Gallimard lance, à partir du 11 novembre, sa galerie d'art qui proposera des expositions en lien avec les auteurs et les dessinateurs du catalogue des éditeurs du groupe. Situé au 30-32 rue de l'Université (Paris, 7e), à proximité du siège historique de la maison, cet espace de 60m2 offrira un programme de six accrochages par an afin de présenter et vendre une sélection d'œuvres graphiques et de photographies. L’espace de vente proposera des éditions originales d'ouvrages, des tirages photos de portraits d'auteurs de la maison tels Patrick Modiano, Marguerite Duras ou Jean d'Ormesson, mais aussi l'ensemble de la gamme de papeterie Gallimard ou des tirages limités et dédicacés d'illustrateurs jeunesse comme Romuald ou Antoon Krings. 

La première exposition de la Galerie Gallimard sera consacrée, du 11 au 18 novembre, à l'artiste Patti Smith, à l'occasion de la parution de l'édition intégrale illustrée de Just Kids (Gallimard, 26 octobre ) ."Autour de Patti Smith : Rimbaud, Genet, Camus, etc." présentera aux visiteurs une sélection de pièces originales inédites, issues des Archives historiques de l'éditeur, mises en lien avec l'univers de la chanteuse.  La photographie sera ensuite mise à l'honneur avant Noël avec l'exposition "Natures" de Jean-Luc Chapin. Une mise en lumière de l'univers de la bande dessinée suivra en janvier avec "Planches BD de Jacques Ferrandez autour d'Albert Camus". 

Fruit d'un projet porté depuis plusieurs mois par Antoine Gallimard, la Galerie Gallimard s'inscrit dans une longue tradition de dialogue entre l'art et la littérature au sein de la maison. En 1931, Gaston Gallimard avait créé la Galerie de la NRF, qui s'est maintenue durant trois ans, avant de lancer dans l'après-guerre la Galerie de la Pléiade, dont les portes se sont définitivement fermées en 1951. 

Source: Livres Hebdo

20 octobre 2017

Des jeux à emprunter à la bibliothèque

prêt jeu de socièté

La bibliothèque municipale de La  Loupe (Eure-et-Loir)  propose, dès les vacances de la Toussaint, un prêt de jeux de société à ses lecteurs. Cette initiative est née d'un partenariat avec le Point actions familles des contrats bleus, autour d'un projet « Intérêt et plaisir du jeu en famille », porté par Laetitia Samson, coordinatrice « Référent Familles » de l'association.   Elle a acheminé 150 jeux de société à la bibliothèque. Le tout est à la disposition du public dans des armoires roses : « Des jeux classés par âge, à partir de 3 ans, allant du jeu d'éveil et de plateaux au jeu culturel pour s'amuser, favoriser les relations dans la famille, faire travailler sa créativité. » 

L'ouverture, mardi, de ce nouveau service né d'une mutualisation « est la force de notre territoire », apprécie l'élu François Foucault. Gwenaëlle Sagot, directrice des Contrats bleus, poursuit : « Ce fond existait depuis huit ans. Nous l'avions constitué avec les travailleuses de la CAF avec l'idée d'avoir des jeux que les gens n'ont pas forcément chez eux. Des jeux allemands pour la plupart, qu'on ne trouve pas partout ».

Aline Gallet, bibliothécaire, s'est montrée très intéressée par ces jeux, qui ne circulaient pas, pour lancer cet emprunt fonctionnant comme pour les livres, à raison d'un jeu par personne, pendant quatre semaines : « On s'est nourri du succès du Festival "Si on jouait…" Ce nouveau service étoffe notre offre. Résultat, un partenariat assez actif se met place, puisque nous allons proposer des animations "Jouer et faire jouer" en famille tout au long de l'année, avec le Point Actions Familles. »

Pratique:la première a lieu jeudi 26 octobre prochain de 14 heures à 16 h 30, à la bibliothèque (gratuit). Des animateurs seront présents pour faire découvrir les différents jeux au public.

Source: L'Echo Républicain

19 octobre 2017

Les pratiques de lecture ont peu changé en 20 ans

Une étude comparative menée par le magazine J’aime lire à vingt ans d’intervalle (1997 et 2017), et dévoilé ce jeudi 19 octobre, montre que la pratique de la lecture est restée stable en 20 ans. En 2017, comme en 1997, 52 % des Français déclarent avoir lu (souvent ou de temps en temps) lorsqu’ils étaient jeunes. De même, la disparité entre les sexes reste la même. En 1997, 41% des femmes déclaraient lire souvent quand elles étaient jeunes contre seulement 19% des hommes. Vingt ans plus tard, 40% des femmes pour 18% des hommes disent avoir lu souvent dans leur jeunesse.
 
L’étude de J’aime lire dévoile deux nouveautés. En 2017, 63 % des parents ayant au moins un enfant entre 7 et 12 ans déclarent proposer des livres qu’ils ont aimé à leurs enfants, contre 48 % en 1997. Les types de lectures ont également évolué, avec une percée de la bande-dessinée : pas du tout citée en 1997, elle l'est pour 5% des français en 2017, et monte à 9% chez les 25-30 ans. Jules Verne, la Comtesse de Ségur, Le Club des Cinq avaient marqué les esprits en 1997. Vingt ans plus tard, la Bibliothèque rose (et notamment le Club des Cinq) et la Bibliothèque verte dominent le palmarès. Voici les résultat de son sondage en image:

J'aime lire sondage

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J'aime lire sondage3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Source: Livres Hedbo

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