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30 juin 2017

"Été", le feuilleton BD à suivre sur Instagram pendant 60 jours

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Si le réseau social regorge d'illustrations et d'histoires courtes, souvent sous la forme de strip de quelques cases, les formats au long cours sont rares. La bande dessinée "Été", @ete_arte sur Instagram, propose depuis jeudi 29 juin un épisode par jour et ce pendant 60 jours. Depuis quelques années, la bande dessinée se cherche de nouveaux formats du côté du numérique. Des simples planches fixes aux BD numériques "Turbomedia" (format dans lequel un clic fait défiler une case voire un élément dans une case, popularisé notamment par Malecet Balak), les auteurs font évoluer la forme et le fond de leurs histoires grâce à la technologie.

Pour la bande dessinée "Eté", c'est Instagram qui sert de support. Les auteurs de ce feuilleton mettent à profit tout ce que propose le réseau social. Le lecteur a ainsi le choix : faire défiler les cases dans sa timeline ou passer en mode stories pour une approche plus automatisée. Certaines scènes sont animées, d'autres bénéficient d'une ambiance sonore ou musicale. La géolocalisation du post permet même de situer l'action (un bar parisien, Oslo...). Et les notifications permettent d'alerter à chaque nouveau post. Au final : 60 jours de bande dessinée animée et animable, à raison d'un épisode par jour.

Côté histoire, on suit Abel et Olivia, un couple de trentenaires prêt à s'engager dans une relation sérieuse. Mais avant de faire le grand saut, ils décident de se séparer le temps d'un été pour expérimenter tout ce qu'ils souhaitent, tester leur liberté et leurs envies, sur le principe des "10 choses à faire avant de..." Mais leur amour résistera-t-il à cette parenthèse ?

Après les BD numériques "Professeur Cyclope" et "À l'ombre du mur, journal d'un inutile" ou encore le jeu vidéo en réalité virtuelle adapté du roman graphique "S.E.N.S", Arte France, coproducteur d'"Été" avec Bigger Than Fiction, poursuit son exploration de nouvelles formes de narration.

Tester le potentiel de la lecture numérique n'est pas non plus une première pour Thomas Cadène, coscénariste du feuilleton avec Joseph Safieddine et Camille Duvelleroy. Il s'était notamment illustré en 2010 en créant "Les Autres gens", un feuilleton en ligne diffusé à raison d'un épisode par jour, cinq jours par semaine. Cette bande dessinée payante, qui faisait appel quotidiennement à un dessinateur différent, dont Erwann Surcouf qui signe le graphisme d'"Été", n'a pas eu le succès escompté. La faute, entre autres, à l'absence d'un support ergonomique à l'époque.

C'est là que le pari d'Instagram s'avère intéressant. Le réseau social se transforme en liseuse simple, gratuite et connue du grand public, disponible désormais dans des millions de smartphones.  La BD devra néanmoins relever plusieurs défis : répondre à la rapidité de lecture qu'impose Instagram, ne pas lasser, malgré un format de case toujours identique... et narrer des scènes de sexe (promises par les auteurs) sur un réseau où la nudité est bannie.

Source: La Dépêche

 Pour découvrir cette BD, regardez la bande-annonce suivante:

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29 juin 2017

300 invités pour l'inauguration de Copernics à Malesherbes

imprimerie Malesherbes

"Toute entreprise a des dates qui marquent son histoire, le 28 juin 2017 sera celle du lancement de Copernics, une véritable révolution qui ouvre de larges perspectives pour le monde de l'édition", a déclaré Alain Kouck, président d'Editis, devant quelque 300 professionnels du livre dont Vincent Montagne et Antoine Gallimard, respectivement président et vice-président du Syndicat national de l'édition, rassemblés à Malesherbes (Loiret) chez Interforum, la filiale de diffusion et de distribution du groupe.   Répartis en une quinzaine de groupes, guidés par des cadres d'Interforum ou des éditeurs ayant participé à la phase de lancement, ils ont découvert au fil de cette journée transformée en événement la toute nouvelle imprimerie numérique intégrée à la chaine d'expédition d'Interforum  L'ensemble forme ce nouveau service baptisé d'après le nom du savant qui avait révolutionné l'astronomie.

"Toute entreprise a des dates qui marquent son histoire, le 28 juin 2017 sera celle du lancement de Copernics, une véritable révolution qui ouvre de larges perspectives pour le monde de l'édition", a déclaré Alain Kouck, président d'Editis, devant quelque 300 professionnels du livre dont Vincent Montagne et Antoine Gallimard, respectivement président et vice-président du Syndicat national de l'édition, rassemblés à Malesherbes chez Interforum, la filiale de diffusion et de distribution du groupe.   Répartis en une quinzaine de groupes, guidés par des cadres d'Interforum ou des éditeurs ayant participé à la phase de lancement, ils ont découvert au fil de cette journée transformée en événement la toute nouvelle imprimerie numérique intégrée à la chaine d'expédition d'Interforum. L'ensemble forme ce nouveau service baptisé d'après le nom du savant qui avait révolutionné l'astronomie.

"La vraie nouveauté, c'est la liaison avec la distribution", observe Olivier Bétourné, P-DG du Seuil, devant le tapis roulant transportant les livres tout juste fabriqués vers la chaîne de distribution installée dans le hangar voisin. Ils arrivent dans un carton qui poursuit ensuite son chemin sur la chaîne, pour recevoir les livres en stock traditionnel, avant l'expédition de la commande. Le service sera ouvert aux éditeurs diffusés-distribués en septembre prochain, qui verra aussi le démarrage de la production couleur, encore en test pour le moment.   "Les perspectives sont très intéressantes, reconnaît Isabelle Polouchine, directrice de la fabrication du groupe La Martinière, mais il faut veiller à ne pas déstabiliser nos imprimeurs habituels", s'inquiète-t-elle. Copernics devrait produire un million d'exemplaires cette année, 5 millions avec le matériel actuellement installé, et possiblement 10 millions avec une extension de la capacité de fabrication.   Sans donner de précision, Interforum assure que les coûts de production sont équivalents à ceux du marché. L'efficacité vient de l'extraordinaire automatisation du processus de fabrication, divisé en unités séparées entre l'impression et la finition. "Une chaîne continue avancerait à la vitesse de son unité la plus lente, ce qui créerait des goulots d'étranglement" explique Jean-Paul Alic, directeur général adjoint d'Interforum. Des robots circulant à grande vitesse sur un rail central acheminent les livres sous leurs différentes étapes de fabrication, avant la dépose sur le tapis roulant, qui les transportent dans le centre d'expédition.  

Source: Livres Hebdo

28 juin 2017

L’UIE révèle les finalistes du prix Voltaire

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L’Union internationale des éditeurs (UIE) a révélé, le 28 juin, la dernière sélection de son prix Voltaire, qui sera remis le 29 septembre lors de la Foire du livre de Göteborg, en Suède.   Doté de 9150 euros, le prix Voltaire de l'UIE, ancien prix Liberté de publier, est remis à une personnalité ou à un organisme du monde du livre qui lutte pour la liberté d’expression. L’année dernière, l’UIE avait choisi comme lauréat Raïf Badawi, blogueur saoudien, condamné à dix ans de prison. Pour cette édition 2017, l’UIE a sélectionné une maison d’édition et cinq éditeurs:   - Les éditions turques Evrensel Basin Yayin, fermées le 29 octobre 2016 par décret du gouvernement. Fondées en 1988, les éditions Evrensel ont un catalogue de 689 livres, dont 10% sont kurdes.   - L’éditeur de Cumhuriyet et critique littéraire turc Turhan Günay, arrêté le 13 novembre 2016, avec d’autres employés de la maison d’édition. Actuellement en détention, il est accusé d’être membre du mouvement Gülen, opposé au président turc Recep Tayyip Erdogan, et du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui mène une guérilla sanglante depuis 1984 et est classé organisation "terroriste" par Ankara, Washington et Bruxelles.   - Le copropriétaire de la maison d’édition Mighty Current Gui Minhai (Suède) qui, à Hong-Kong, a publié des ouvrages critiquant le gouvernement chinois. Il a été kidnappé en octobre 2015 en Thaïlande et est, depuis, incarcéré en Chine.   - La journaliste, auteure et éditrice nord-coréenne Jeong-ae Kim qui, exilée en Corée du Sud, est secrétaire générale du PEN Club des Auteurs nord-coréens en exil qui permet aux exilés de Corée du Nord de s’exprimer à travers l’écriture.   - L’éditrice iranienne Azadeh Parsapour qui a fondé, au Royaume-Uni en décembre 2012, la maison d’édition numérique Parsapour’s Nogaam Publishing pour publier et promouvoir les ouvrages perses. Avec 40 ouvrages édités, elle détient, depuis 2016, le premier marché perse en dehors de l’Iran.   - Déjà dans la sélection 2016, le poète, écrivain birman Moe Way a fondé, en 2001, les éditions The Eras qui publient, malgré la censure, des textes politiques ou encore journalistiques. 

Source: Livres Hedbo

27 juin 2017

Etude – Le livre audio et les Français

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18% des Français ont déjà écouté un livre audio et 21% de la population se dit intéressée par ce mode de lecture. Les femmes aiment le livre audio, pour 57%. La moyenne d’âge se situe autour de 44 ans. Elles ont des enfants (44%) et sont équipées de tablettes : 76% et/ ou de lecteurs MP3 : 51%.

Si les pratiques d’écoute des anciens lecteurs de livres audio étaient relativement occasionnelles, elles se révèlent plus intenses chez les lecteurs récents. En effet, 26% ont écouté 4 livres et plus au cours des 12 derniers mois, et, 64% entre 1 et 2. 68% des Français choisissent un livre audio en fonction de son sujet. 47% font leur choix de lecture en fonction de la voix du narrateur, l’auteur arrive en 3ème position (32%).

Les lecteurs ayant choisi ce mode de lecture récemment, optent pour une moins grande diversité de thématiques de versus les formats papier et/ou numérique, mais les genres littéraires qu’ils privilégient restent globalement les mêmes. Par exemple : 22% choisissent un thriller en audio contre 49% en papier ou en numérique.  On pourrait supposer que les personnes ayant adopté pour la lecture audio la pratique en mobilité. Ce n’est pas vraiment le cas. 64% écoutent un livre audio chez eux lors d’un moment de détente. Ils sont seulement 47% à écouter un livre hors du domicile. Quand on s’attarde sur les nouveaux adoptants, les chiffres bougent : 70% écoutent de chez eux et 59% en mobilité. Concernant le public potentiellement intéressé par le livre audio, ils sont 69% à déclarer envisager de lire en dehors de la maison (79% au domicile).

Autre fait surprenant le CD a la vie dure chez les audio-lecteurs. Seulement 45% des personnes utilisant les livres audio depuis longtemps écoutent des ouvrages au format dématérialisé et préfèrent privilégier le support physique. Par contre, les personnes récemment conquises par ce mode de lecture, sont 66% à utiliser le téléchargement et/ou le streaming.

Source: Idboox

25 juin 2017

La bibliothèque fait pousser ces légumes

Haselbourg jardin bibliothèque

Lieu de rencontres, d’épanouissement et de bien-être, le jardin s’inscrit au programme de la 10eédition des Insolivres du conseil départemental. Dans le cadre de cette animation, et pour marquer son 10e anniversaire, la bibliothèque de Haselbourg (Moselle) a aménagé un jardin expérimental derrière le bâtiment de l’ancienne école, qui abrite à présent la bibliothèque.

« Qui plante un jardin, plante le bonheur », peuvent lire les visiteurs sur une pierre. C’est précisément l’objectif recherché par Véronique Bour, la responsable et son équipe, comme elle l’a rappelé lors d’une courte allocution avant l’inauguration officielle par le maire Michel Wittmann, et la conseillère départementale, Mme Pierrard. « Nous avons pu concrétiser ce projet grâce au concours des bénévoles, des enfants du périscolaire et des entreprises (Holtzinger et Reko) ».

Les lieux étaient encore en friches il y a deux mois. Aujourd’hui, nettoyées, désherbées, les allées sont bien tracées et recouvertes de copeaux. Quelques tables, des bancs viennent faire de cet espace un endroit accueillant, bien exposé avec une vue imprenable sur la vallée.  Les radis côtoient les salades, les tomates cohabitent avec les plantes aromatiques, le persil, la sauge, la menthe et quelques fleurs… Un braséro est prévu au fond du jardin pour y installer un barbecue. Un petit jardin extraordinaire ouvert au public, riverains, promeneurs, à toute personne en recherche d’un peu de tranquillité, de bien-être.

C’est dans ce « lieu enchanteur » comme l’a fait remarquer le maire, que la conteuse Norvène Galliot a présenté son spectacle intitulé Et l’arbre se mit à chanter. Elle a emmené les participants à la découverte de la naissance du monde (Mère Soleil) à celle du feu (la petite fille qui aimait son peuple). Un bon moment qui s’est prolongé jusqu’à la tombée de la nuit et avant le verre de l’amitié offert par la bibliothèque.

Source: Le Républicain Lorrain

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24 juin 2017

Des livres comme des petits pains

Lire c'est partir

En ce dimanche d'un week-end prolongé de printemps, les petits parisiens du XVIIIe arrondissement se bousculent dans la bibliothèque Jacqueline-de-Romilly pour accéder aux piles de livres qui s'entassent sur le stand de Lire c'est partir, dans le cadre du Salon du livre jeunesse solidaire. Difficile de se frayer un chemin jusqu'aux ouvrages, tant les enfants se jettent dessus. Sans attendre, Sophie s'est plongée dans Neige-Blanche et les sept géants. Paul fait la queue pour faire dédicacer son exemplaire de L'Apprenti mousquetairepar son illustrateur. «Monsieur, je n'ai que deux euros, je reviens avec 40 centimes pour en avoir un troisième!». À 80 centimes d'euro pièce, c'est une aubaine. Dans les foyers de ce quartier à quelques encablures du périphérique, à la frontière de Saint-Ouen, une banlieue défavorisée, Vincent Safrat a fait plus d'un heureux.  chaque salon, environ 2 000 exemplaires s'arrachent. Cet éditeur qui fraye peu avec le milieu littéraire germanopratin a ainsi vendu 2,5 millions de livres en 2016. Le secret de ce trublion de l'édition? Son prix unique défiant toute concurrence, le prix moyen d'un ouvrage jeunesse étant de 7 euros. Ce qui ressemble à un tour de force relève pour lui d'une équation très simple: «60 % du prix d'un livre sert à la distribution.» En se passant des circuits traditionnels et en assurant lui-même la distribution, Vincent Safrat fait chuter drastiquement ses frais. L'impression? Elle coûte 30 centimes pour des livres de poche à couverture souple de moins de 160 pages… Quant à la marge de l'éditeur (15 % en moyenne), elle est inexistante chez Lire c'est partir. Car pour le fondateur de l'association, «tout bénéfice est une escroquerie».

Étrange personnage que ce thaumaturge des lettres qui vend les livres comme des petits pains, au prix du pain. C'est que, pour cet autodidacte d'une banlieue de l'Essonne, la lecture, découverte sur le tard avec L'Éducation sentimentalede Flaubert, a été une véritable révélation. «J'ai l'impression que la lecture peut remplacer les études. D'où mon idée de faire lire ceux qui ne lisent pas.» Après une première expérience dans l'édition, Vincent Safrat commence en 1992 à faire quotidiennement la tournée des maisons d'édition pour récupérer leurs invendus destinés à être détruits. Et les distribue gratuitement tous les week-ends en porte-à-porte dans les cités.«Les remerciements des parents pour leurs enfants me frappent alors. Pour eux, les livres sont synonymes de réussite à l'école.»

Malgré le soutien de certains grands noms du milieu, comme Robert Laffont, les éditeurs demeurent difficiles à convaincre. Quand, en 1998, un ami soldeur lui explique qu'un livre de poche ne coûte guère qu'un franc à fabriquer, Vincent Safrat n'hésite pas une seconde et décide d'imprimer lui-même ses ouvrages. Ce RMiste prend alors le risque de commander 400 000 exemplaires qu'il doit écouler en quatre mois. «Un imprimeur m'a fait confiance et n'a pas eu à le regretter: je n'ai pas eu de retard de paiement!» se souvient l'audacieux entrepreneur. Deuxième déclic lorsqu'il réalise que les écoles manquent de moyens pour s'équiper: elles seront son principal circuit de vente. Il a l'ingénieuse idée, pour contacter les enseignants, de passer par les inspecteurs de l'Éducation nationale, qui, séduits par l'idée, se montrent très coopératifs. Libre aux écoles d'acheter des ouvrages pour leurs élèves ou d'organiser des ventes ouvertes aux parents.

En permanence sur les routes de France, cet entrepreneur hors normes livre lui-même ses cartons pendant cinq ans dans les zones défavorisées, urbaines ou rurales, bénévolement. Ses auteurs, eux, y trouvent leur compte grâce à des tirages importants. Car les œuvres originales, «souvent plus faciles d'accès» (la majorité du catalogue de 130 titres) sont privilégiées par rapport aux classiques libres de droits, qui coûteraient pourtant moins cher.

Non content de son impact social, Vincent Safrat organise aussi des ateliers pour enfants autour d'un ouvrage dans la Cité rose, dans le XIXe arrondissement de Paris, sur le site d'un de ses dépôts ouverts au public. «Il a révolutionné l'économie du marché, car il raisonne autrement», dit de lui, fasciné, l'écrivain Alexandre Jardin, cofondateur de l'association Lire et faire lire. Aujourd'hui, alors que l'association tourne avec douze personnes et six camionnettes, Vincent Safrat se verse enfin un salaire. Sans jamais avoir demandé la moindre subvention aux pouvoirs publics.

Source: Le Figaro

22 juin 2017

Emma Watson cache ses livres à Paris

Waston livre paris

Quelques mois après avoir caché des livres dans le métro de Londres et à New York, l'actrice Emma Watson (Harry Potter, La belle et la bête) a choisi Paris pour diffuser le roman de Margaret Atwood, La Servante écarlate, que vient de rééditer Robert Laffont. Cette opération de la comédienne britannique est une initiative menée dans le cadre de son club de lecture féministe Our Shared Shelf, que l'on retrouve sur le site GoodReeds.com (et qui compte désormas 194000 membres). Le roman d'anticipation de Margaret Atwood, qui vient de recevoir le Prix des libraires allemands, a été choisi comme livre du mois. Ambassadrice de bonne volonté pour l'ONU Femmes depuis trois ans, elle se sert des livres pour combattre les préjugés et l'ignorance.

Pour trouver les 100 livres dispersés, le compte twitter The Book Fairies révèle des indices sur son fil. Emma Watson a profité de l'avant-première de son prochain film, The Circle, en salles le 12 juillet, pour réaliser cette opération parisienne. 

Source: Livres Hedbos

21 juin 2017

Harry Potter : Ouverture d’un club de lecture

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Pottermore, l’univers numérique de Harry Potter proposant notamment des ebooks en plusieurs langues, lance Wizarding World Book Club.  Ce club de lecture international a pour ambition de mettre en relation les lecteurs du monde entier afin que chacun puisse échanger sur ses lectures concernant le monde Potter. Wizarding World Book Club a été conçu en collaboration avec Bloomsbury et Scholastic, l’éditeur emblématique de la saga Harry Potter et l’entreprise d’édition numérique Pottermore géré par J.K. Rowling.

Il y aura également des discussions en ligne sur Twitter le tous les vendredis sur @wwbookclub, à 16h, et ce à partir du 23 juin. Chaque semaine, un thème sera lancé, pour la première rencontre, les lecteurs sont invités à discuter sur le sujet suivant : comment avez-vous découvert les histoires d’ Harry Potter ? Ce club de lecture est dans un premier temps complètement virtuel et gratuit, il suffit de s’y inscrire.

Source: Idbook

20 juin 2017

Le camion qui bulle – Sous les BD, la plage !

Le camion qui bulle

Du 8 juillet au 1er août, un camion décoré aux couleurs de héros de BD se lancera sur les routes de France. Initiée en partenariat avec Dargaud, Dupuis, Kana et Le Lombard, cette opération, baptisée « Le camion qui bulle », partira à la rencontre de tous les amoureux du neuvième art. Elle s’inscrit dans le cadre de « Partir en Livre », la grande fête du livre pour la jeunesse organisée du 19 au 30 juillet par le CNL (Centre national du livre). Véritable bibliothèque ambulante, ce camion proposera toute une gamme d’animations : des dédicaces, des rencontres avec les auteurs, des concours de dessin, des ateliers, des quizz… Sans oublier, bien entendu, la lecture gratuite d’albums. Objectif de cette initiative à la fois festive, culturelle et éducative : promouvoir, auprès des parents comme des enfants et des ados, la bande dessinée dans tous ses états. Des sagas patrimoniales aux nouvelles séries en devenir, des auteurs confirmés aux jeunes talents, des classiques franco-belges aux mangas. Dans chaque ville, les libraires et les acteurs locaux de l’univers du livre seront invités à participer. Le coup d’envoi sera donné en Belgique, à Knokke-le-Zoute, célèbre station balnéaire de la Mer du Nord. Une fois la frontière franchie, le camion continuera à rouler pour rejoindre Dunkerque, première étape française. Viendront ensuite Le Touquet, Cabourg, Saint-Malo, Crozon-Morgat, Binic, Vannes, Les Sables-d’Olonne, Angoulins, Royan, La Teste, Hossegor et enfin Anglet, destination finale de ce tour de France original et garanti sans dopage — à l’exception du rire et de la bonne humeur, qui sont autorisés et même recommandés ! Rejoignez dès aujourd’hui la page Facebook du « Camion qui bulle » pour être tenu au courant de toutes les suprises qui vous attendent lors de cette tournée !

Voici son itinéraire:

 

camionquibulle

19 juin 2017

Ornicar 2017 : En route pour la caravane littéraire estivale…

Ornicar

Ornicar naît d’une idée conjointe de l’association des éditeurs Hauts de France et du Réseau des Evènementiels Littéraires (RELI) : cette caravane littéraire sillonnera la région des Hauts de France pour présenter les livres édités en région dans des domaines aussi variés que bande dessinée, jeunesse, Beaux-Arts, récits, fiction, essais et documents, fantastique, polars, photographie, patrimoine et tourisme, poésie, théâtre, édition numérique…

Présentation à la fois auprès des professionnels du livre et du grand public à travers des animations variées et festives : ateliers photos, rallye enquête, brigade d’intervention poétique, soirée conte, et bien d’autres !

Où que vous soyez dans la région, Ornicar et ses 600 livres viendront vous rendre visite dans leurs jolies bibliothèques !  Les étapes de cette caravane litérraire sont:

- La nuit des livres à Esquelbecq le 1er juillet

- La bibliothèque des sables à Dunkerque le 5 juillet

- La Communauté de Commune de Hauts de Flandres du 6 au 8 juillet dont une journée à l’étang des 3 sources à Wormhout le 8 juillet

- Le Cambraisis le 11 juillet

- Le musVerre le 12 juillet

- Le ValJoly le 13 juillet

- À Saint-Omer le 16 juillet

- À Courrières le 20 juillet

- À Sallaumines le 21 juillet

En vous joignant à la campage de  crowdfunding disponible sur le site Ulule, vous participez à l’achat de la caravane (parce qu’une caravane littéraire sans caravane c’est pas top…). Toutes les aides sont les bienvenues. Bien sûr, pour vous remercier de votre participation, nous avons mis en place des contreparties, des livres bien sûr, mais aussi de nombreuses autres petites attentions.

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