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14 septembre 2018

Consultation sur la disponibilité des ebooks en Outre-mer

 

On pourrait croire que le numérique n’a pas de frontière, il n’en est rien. Le livre numérique n’échappe pas à la règle et le sujet reste d’actualité en Outre-mer.IlOn’est pas si facile de se procurer des ebooks partout en France. Le ministères de la Culture ouvre une consultation publique afin d’évaluer si des difficultés subsistent dans l’achat de livres numériques en Outremer

Cette consultation vise à connaitre les difficultés qu’il pourrait y avoir pour les résidents d’Outre-mer à acquérir des livres numériques de façon légale.

Le ministère précise que des difficultés pour acheter des livres numériques sur les sites de revendeurs français ou sur les sites français de plateformes internationales ont pu être constatées par les résidents des départements, régions et collectivités d’Outre-mer.

Jusqu’à présent, les contacts initiés par la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) auprès d’acteurs locaux dans plusieurs de ces territoires n’ont pas permis de vérifier que ces difficultés persistaient, ni de disposer d’informations sur les raisons pouvant les expliquer

Cette initiative a mis du temps à être prise mais cette consultation devrait être éminemment utile si le sujet est bien traité, une fois les réponses collectées.

Les ultramarins sont invités à expliquer les problèmes rencontrés pour acquérir les books, à nommer les plateformes de revente incriminées dans les blocages, le titre du livre concerné et la description des dysfonctionnements rencontrés.

Suite à cet état des lieux, le ministère veillera à endiguer les problèmes pour que l’acquisition des livres numériques ne soit plus un problème quel que soit le livre ou l’éditeur. Pour répondre à l'enquête cliquez ici

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10 juin 2018

Près de 40 % de la population ne va pas en bibliothèque

abf

Les résultats de l'enquête sur les personnes qui ne fréquentent pas les bibliothèques publiques, commandée par le service du livre et de la lecture du ministère de la Culture et conduite par le cabinet TMO Régions, ont été dévoilés pour la première fois samedi 9 juin à La Rochelle pendant le congrès de l'Association des bibliothécaires de France (ABF). Ces résultats viennent compléter, et nuancer, le premier volet de l’étude consacrée aux pratiques des Français en matière de bibliothèques, parue en juin 2017.Parmi les personnes qui déclarent ne pas fréquenter les bibliothèques, 16 % n'y sont jamais allées et 21 % y sont allées seulement une fois dans leur vie. 37 % des répondants sont donc complètement ou quasi complètement éloignés des établissements de lecture publique. 39 % des non usagers fréquentaient assez régulièrement une bibliothèque auparavant. 47 % des non usagers ont des enfants qui fréquentent une bibliothèque. Assez logiquement, 60 % des non usagers ne connaissent pas du tout ou mal l'offre de services de la bibliothèque de leur ville ou de leur quartier.

Les non usagers ont en revanche une image plutôt bonne des bibliothèques, sans que cela les incite pour autant à les fréquenter. 63 % pensent que les bibliothèques facilitent l'accès à une diversité de documents, 45 % les trouvent modernes et 42 % les trouvent attirantes. 82 % considèrent qu'elles contribuent à donner le goût de la lecture. Globalement, 67 % des répondants considèrent que les bibliothèques sont utiles à tous. 34 %, en revanche, pensent que le développement d'Internet rend les bibliothèques moins utiles qu'avant.
D'une manière générale, 34 % les répondants considèrent qu'une bibliothèque est indispensable dans une commune, tandis que 51 % pensent qu’elle est utile mais pas indispensable, et 7 % qu’elle est inutile ou pas vraiment utile.

Si les non usagers ont plutôt une bonne image globale de la bibliothèque, seuls 50 % envisagent la possiblité de les fréquenter à l'avenir, 12 % déclarent qu'ils ne s'y rendront "certainement pas".

Ces résultats ont suscité beaucoup de réactions au sein du congrès de l´ABF. "Les bibliothèques ont un problème de visibilité, a constaté Anne Verneuil, responsable de la commission advocacy de l'ABF et directrice de la bibliothèque municipale de Valenciennes. 30 % des répondants connaissent la bibliothèque, c'est inquiétant. On ne doit pas être dans une démarche de conquête mais dans une démarche de séduction".

Source: Livres Hebdo

24 mars 2018

Deux hommes interpellés pour le vol de plus de 4000 BD

vol bandes dessinées

Depuis un an, ils avaient dérobé pour les revendre plus de 4000 BD dans des librairies de la région lyonnaise: deux hommes d'environ 40 ans ont été interpellés cette semaine et l'un d'eux a été écroué, a-t-on appris vendredi de source policière. 
L'enquête a débuté en juin dernier avec la plainte d'un libraire pour le vol d'une centaine de titres – Astérix, Tintin, Largo Winch, etc. – a expliqué à l'AFP le commissaire Rodolphe Journaud. Des recoupements avec une vingtaine d'autres plaintes, dont certaines antérieures, ont permis aux enquêteurs de localiser le donneur d'ordre et receleur, ainsi que l'auteur des vols, originaire de République centrafricaine. Tous deux étaient inconnus de la justice jusqu'alors.
Au domicile du premier, à Charbonnières-lès-Bains près de Lyon, les policiers ont mis la main sur plus de 4000 albums neufs, d'une valeur de près de 60000 euros : outre des classiques de la BD francophone, figuraient aussi des Comic Marvel, Walking Dead… Ils ont également découvert près de 600000 euros sur un compte en banque, dont le détenteur ne pouvait justifier la provenance. Les deux hommes, qui ont reconnu les faits en garde à vue, ont été déférés mercredi au parquet de Lyon qui a ouvert une information judiciaire pour vols et recel de vols. Le voleur a été incarcéré tandis que son complice a été placé sous contrôle judiciaire.
Source: Livres Hebdo
16 janvier 2018

ABF : une enquête sur PNB (prêt numérique en bibliothèque)

PNB

L'ABF (Association des bibliothécaires de France) a publié aujourd'hui les résultats d'une enquête sur le dispositif PNB (Prêt numérique en bibliothèque). Elle a rassemblé 104 répondants, "échantillon non représentatif mais suffisant pour alerter sur la situation et la nécessité de ne pas la laisser perdurer". Sur 104 personnes, seulement 36 utilisent effectivement le service, ce qui est malheureusement bien peu sur le nombre d'établissements en production. DRM, faiblesse du catalogue et coût du service sont les motifs d'insatisfaction, avec des pratiques de téléchargements embarqués sur liseuses qui perdurent:

"On constate que seul 1/3 des répondants (36 sur 104) utilisent PNB y compris par le biais d'une BDP. La faiblesse du catalogue (16 sur 36), les DRM (21 sur 36), le coût du service (13 sur 36) sont les principaux motifs d'insatisfaction de ce service. Sur ce dernier point, seuls trois des 67 répondants n'utilisant pas PNB sont mécontents des tarifs.

Aussi pour compenser un service jugé insuffisant, d'autres solutions sont développées, soit en complément de PNB, soit en lieu et place de PNB. La pratique majoritaire des répondants (60 sur 104) consiste à proposer non pas un service en ligne mais le prêt de liseuses pour l'essentiel déjà chargées de livres numériques. Parmi les solutions adoptées par les répondants, l'achat de livres numériques auprès de libraires en ligne sur le modèle du papier.

On peut le regretter mais ce qui est légal pour le papier, ne l'est pas pour le numérique. Seul un cadre contractuel permet à une bibliothèque de prêter des livres numériques. Et sans que l'on puisse savoir si ces pratiques reproduisant le modèle du papier sont appliquées en sachant être hors la loi, il faut souligner l'existence de ces usages.

Cet échantillon montre que les politiques publiques favorisant les plates-formes de prêt numérique, ne se sont pas imposées. Une étude plus ambitieuse est nécessaire pour approfondir et mieux appréhender les réalités de terrain, sans stigmatiser des pratiques loyales à défaut d'être légales".

Sans surprise, le principal sujet reste la problématique de la DRM, qui rejoint celle pointée par les libraires auprès de leurs propres clientèles depuis des années. Une étude d'une plus grande ampleur auprès des bibliothèques et des usagers serait en effet souhaitable plus de trois ans après le début du dispositif PNB. A découvrir cette infographie  résumant les résultat de l'enquête sur le site de l'ABF.

Source: Aldus

2 octobre 2017

Bibliothèques : la Loire demande aux lecteurs de se livrer

Questionnaire bibliothèque Loire

Le département de la Loire lance une grande consultation autour de ses bibliothèques et médiathèques. Une consultation qui vise à mieux connaitre les usages de ses lecteurs pour conquérir de nouveaux publics. Les lecteurs changent. Aujourd'hui on vient à la bibliothèque pour faire plein d'autres choses que d'emprunter des livres. Et ça implique que les 220 médiathèques du département se transforment. Colette Modion, directrice département livre et multimédia, commence à déceler quelques pistes grâce au questionnaire lancé en septembre. « Il y en a certains qui pensent encore aux livres et qu’aux livres. Il y a encore une image un peu traditionnelle de la bibliothèque. »

Et pourtant, conformément aux chiffres nationaux, 17 % de la population de la Loire emprunte des livres ou du multimédia dans les bibliothèques. En revanche près de 40% des ligériens fréquentent ce qui est le premier lieu culturel en France. A l'image de la médiathèque de Saint-Just-Saint-Rambert ou de celle de Montbrison qui sont présentées comme exemplaires, les bibliothèques deviennent des Tiers Lieux. Un lieu de rencontre entre la maison et le travail, raconte Maurice Degoutte, qui dirige la médiathèque Carnot à Saint-Etienne : « Ce sont des lieux entre le privé et le public. Ce qui était fait avant par les cafés, les associations. Avant le plus important c’était nos collections. Maintenant le plus important, c’est la médiation et sur l’accueil. »

Autre axe d'évolution : les horaires. Emmanuel Macron avait inscrit l'ouverture des bibliothèques le dimanche dans son programme. Colette Mondion, du département, y réfléchit. Mais elle pense qu’il faudra surtout s’adapter aux populations. Notamment en proposant par endroits des horaires plus larges aussi le soir ou entre midi et 14 heures. Et le questionnaire du département doit aboutir sur un plan qui sera déployé sur les médiathèques d'ici à 2020. Un questionnaire à retrouver ici. Il y a en tout 240 bibliothèques et médiathèques dans la Loire. Le département gère toutes celles des villes de moins de 10.000 habitants.

Source:  France Bleu Saint-Etienne Loire

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21 mars 2017

“Les Français et la lecture” : une étude réconfortante du CNL

les-francais-et-la-lecture-une-etude-reconfortante

Non, le livre n'est pas mort ! Alors que Livre Paris (ex-Salon du Livre) démarre vendredi 24 mars, une étude du CNL (Centre national du livre), intitulée « Les Français et la lecture » et publiée ce mardi 21 mars, nous en apporte la démonstration. Menée en janvier 2017 (la dernière datait de 2015), elle dresse un constat globalement positif, mais fait ressortir plusieurs évolutions, dans les motivations comme dans les pratiques. Les Français sont d'abord 84% à se déclarer spontanément lecteurs de livres : 24% lisent peu, mais 60% affirment lire moyennement ou beaucoup. Près de la moitié d'entre eux lit d'ailleurs tous les jours, ou presque : principalement par plaisir ou pour apprendre, et parce que les bienfaits de cette activité sont nombreux. Ainsi, lire est avant tout un moyen d'approfondir ses connaissances, de s'ouvrir l'esprit et se faire plaisir... mais aussi de passer le temps et d'oublier ses soucis. Le roman reste le genre littéraire le plus apprécié (69%), et particulièrement le roman policier qui attire 43% des lecteurs. Suivent (59%) les livres pratiques (consacrés à la cuisine, la décoration, le bricolage, les voyages…) et les BD, mangas ou comics (48%). L'étude révèle également l'influence importante de l'éducation et du contexte familial sur les pratiques de lecture : ainsi, 20 % des Français n'ayant pas été « initiés », plus jeunes, à cette activité, resteront des non-lecteurs une fois adultes.

Le poids du numérique se renforce, suivant deux tendances : le nombre de lecteurs de « e-books » (24%) est en hausse de 5 points par rapport à 2015, et le nombre de livres numériques lus passe de deux à trois, dans le même temps. Le lectorat, enfin, s'est « considérablement féminisé », souligne l'étude : il est aujourd'hui composé d'autant d'hommes que de femmes, majoritairement jeunes, et diplômé(e)s. 

Si l'achat de livres neufs reste stable, l'analyse du CNL fait ressortir que « les circuits alternatifs affichent une très forte progression » : 34% des lecteurs ayant acquis un livre en 2017 se sont tournés vers un ouvrage d'occasion ; ils n'étaient « que » 26% en 2015. Cette hausse est plus marquée chez les 35-49 ans. Le livre reste par ailleurs un objet que l'on aime offrir, et conserver, souligne l'étude. Pour leurs achats, les Français choisissent encore, en majorité, les librairies (générales et spécialisées) et les grandes surfaces culturelles, mais les difficultés que connaissent les premières sont réelles : forte progression des sites de vente en ligne (désormais troisième lieu d'achat), absence de librairies à certains endroits du territoire, ouvrages parfois indisponibles, et l'impression que les prix y sont plus élevés, alors même qu'en France, la loi garantit depuis trente-cinq ans le prix unique du livre !

Source: Télérama

5 février 2017

Enquêtez sur un meurtre à la bibliothèque

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Du mardi 7 au 27 février, la bibliothèque municipale de Villefranche-de-Lauragais (Haute-Garonne) propose une animation originale avec une exposition «jeu avec tablettes». Ce jeu interactif avec tablettes numériques prêté par la médiathèque départementale s'adresse aux adultes et enfants à partir de 8 ans et vous plongera dans l'univers du polar. Le synopsis vous transportera au cœur d'une enquête policière. Au 26 rue Dampierre, un jeune homme est retrouvé défenestré. Parmi les cinq occupants de l'immeuble, de la concierge à la petite vieille, du couple parfait au voisin de palier, personne n'a rien vu. Suicide, meurtre, que s'est-il passé ?

Séraphin Limier, légende de la PJ, vous engage comme inspecteur stagiaire. Muni d'une tablette interactive, vous arpenterez les lieux de l'intrigue, collecterez les indices, interrogerez les témoins… Nul doute qu'à l'issue de cette enquête vous tiendrez le coupable !

Cette aventure interactive vous invite à entrer dans une fiction pour en devenir l'un des protagonistes. Une expérience d'un nouveau genre à vivre en solo, en tandem, en famille… Attention, il est préférable de prendre rendez-vous (durée du jeu environ une heure). Egalement visible jusqu'au 23 février à la bibliothèque municipale Louis Rivals l'exposition «Du vent, du sable et des étoiles «dédiée à la vie et à l'œuvre du célèbre «pilote-écrivain» Antoine de Saint-Exupéry (entrée libre et gratuite)..

Source: La Dépêche du Midi

25 mars 2016

La France manque encore de bibliothèques

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La carte de France des bibliothèques présente d’abord de grosses lacunes : 55% des communes, soit 11,18 millions d’habitants, ne disposent d’aucun équipement « propre », c’est-à-dire de bibliothèque dépendant d’une commune ou d’un EPCI. Par ailleurs, seuls 7100 lieux de lecture publique constituent de véritables bibliothèques. 9 millions de personnes n’ont près de chez elles qu’un des 9200 « points d’accès au livre ».  Pour l’IGB, on peut « vraisemblablement » penser que le nombre de communes non dotées tant à décroître. Mais l’inspection reste très prudente, « parce que si d’un côté de nouvelles bibliothèques voient le jour chaque année, d’un autre côté, la tendance, parmi les BDP, du fait d’un faible ratio coût/bénéfice dans un contexte budgétaire difficile, est à fermer des dépôts sans qu’il existe nécessairement toujours une solution de substitution. » En outre, à supposer qu’il y ait effectivement une réduction du nombre de zones blanches, l’IGB estime qu’il faut s’interroger sur le rythme de cette décroissance, l’existence de « poches de résistances », et leur « disponibilité réelle » (temps nécessaire pour les rejoindre) et, enfin, de leur qualité.

« Pour des raisons évidentes (communes de petite taille parfois très éloignées les unes des autres), [les] zones [rurales] sont dans l’ensemble moins bien dotées que les zones urbaine », indique l’IGB, tout en observant que les bibliothèques sont « manifestement les équipements les plus présents (les moins absents) dans les zones rurales. »

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Ainsi, les tableaux comparatifs entre la taille des communes et le nombre d’habitants ayant accès à une bibliothèque ou un point d’accès au livre conduisent les auteurs au constat, « sans surprise », que « plus une commune est petite, moins ses habitants ont de chances de voir cette commune disposer d’un établissement de lecture publique. » De même, plus la commune est petite, plus ses habitants ont de chance de disposer d’un simple point d’accès au livre et non d’une véritable bibliothèque. Cependant, il ne faut pas déduire de ce qui précède, que plus une commune est grande, plus ses habitants disposeront d’une bibliothèque spacieuse et répondant à leurs besoins. En effet, l’IGB met au jour un premier phénomène, qui peut surprendre : plus la commune a une population importante, plus la surface utile par habitant est faible.  Autre phénomène pointé par l’inspection : l’inadéquation de nombreux équipements et leur vieillissement. Ce problème pouvant se traduire par :

  • une taille trop réduite par rapport à la population à desservir ;
  • une structuration des espaces ne correspondant pas aux attentes et usages du public et aux résultats que l’on se propose d’atteindre, et/ou peu fonctionnels pour les personnels ;
  • une situation géographique inopportune, défavorable à la fréquentation ;
  • des espaces inaccessibles aux personnes en situation de handicap ;
  • des bâtiments énergivores ;
  • des locaux impropres à la conservation des collections.

Source: La Gazette des Communes

25 septembre 2014

Moins de livres à la maison, moins de moments de lecture privilégiés pour les enfants des quartiers de l’éducation prioritaire

Les enfants des secteurs de l’éducation prioritaire, comme les autres enfants,  empruntent des livres à la bibliothèque de leur quartier dans des proportions équivalentes, voire un peu supérieures (50% pour 47%). La bibliothèque est donc  vraiment utilisée comme un lieu ressource quelque soit le quartier de résidence des  enfants.  En revanche, les enfants des quartiers aux indicateurs socio-économiques plus favorables ont davantage de livres à la maison et de temps privilégiés de lecture. Alors que 88% d’entre eux déclarent qu’il y a chez eux des livres pour leurs parents et  93% des livres pour enfants, c’est respectivement le cas pour 50% et 78% pour les  enfants des secteurs de l’éducation prioritaire. Le livre est davantage un objet que les  parents sont susceptibles d’offrir à leurs enfants, qui disent à 67% qu’on leur en offre  souvent, contre 44% parmi les enfants des secteurs de l’éducation prioritaire. Les moments de lecture, et en particulier le temps du soir avant de s’endormir, sont plus rares chez les enfants de secteurs de l’éducation prioritaire qui disent à  47% lire le soir avant de s’endormir, contre 77% des autres enfants.

schéma lecture(1)

schéma lecture(2)

Pour en savoir plus vous pouvez lire le reste de l'enquête en cliquant ici.

22 juin 2012

Enquête sur la lecture des français durant les vancances

Le libraire en ligne Feedbooks et l’Ifop ont interrogé les Français sur leurs habitudes de lecture en vacances. Parmi les principaux enseignements de cette étude, on note que les Français lisent en moyenne trois livres pendant leurs congés estivaux. Les romans policiers s’imposent comme le genre préféré des Français en vacances (17%) devant les thrillers (10%) et les romans sentimentaux (10%). Pour choisir leurs livres, les Français sont avant tout sensibles aux recommandations de leurs amis et des membres de leur famille (52%). La presse et les critiques littéraires restent influents (37%) tout comme le notoriété de l’auteur (36%). Par ailleurs, près d’un Français sur deux a recourt à Internet pour acheter des livres (47%), une pratique largement aussi installée dans les habitudes de consommation des Français que l’achat dans les grandes surfaces spécialisées (type Fnac, 48%), en librairie (46%) ou dans les hypers et supermarchés (42%). Dans ce contexte, les Français confirment leur engouement pour les tablettes et les liseuses numériques : ils sont déjà 9% à acheter des livres numériques. Pratique pour l’été, le livre numérique trouve progressivement sa place : 52% mettent en avant son faible encombrement et la disponibilité immédiate des contenus (32%). Pour lirre les résultats l'étude cliquez sur le lien ci dessous: 

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