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17 octobre 2017

Magic System ouvre une bibliothèque en Côte d’Ivoire

Magic-System-Bibliotheque-Anoumabo

Magic System, le groupe de musique ivoirien connu en France pour des titres comme Bouger Bouger ou C chô, ça brûle, a inauguré via sa fondation, mercredi 12 octobre, une bibliothèque dans le quartier d’Anoumabo à Abidjan (Côté d’Ivoire). En partenariat avec le fonds de dotation African Artists for Developement (AAD), la fondation Magic System a pour objectif d’ouvrir au total cinq établissements de lecture publique, appelés "Magic Bibliothèques", en Côte d’Ivoire sur une période de cinq ans. Celle d'Anoumabo est la première à être inaugurée. Lancées pour pallier l’absence de livres dans les écoles et un accès difficile à la lecture sur le territoire ivoirien, ces "Magic Bibliothèques", qui fonctionnent à l’énergie solaire, sont exclusivement destinées aux enfants de moins de 11 ans. Le fonds des bibliothèques est composé d’ouvrages écrits par des auteurs africains et européens, explique le quotidien ivoirien Abidjan.net.
 
Depuis 2014, la fondation Magic System, créée par les artistes du groupe de musique du même nom, met en place des actions sociales dans le domaine de l’éducation, la santé, l’environnement et la culture. Créé en 2009, le fonds de dotation African Artists for Developement (AAD) soutient des projets de développement communautaires développés par des artistes africains contemporains.

Source: Livres Hebdo

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16 octobre 2017

Pédaler pour lire à la bibliothèque

vélo-pupitre-octogone-5

Les usagers de la bibloithèque L'Octogone dans l'arondissement de  LaSalle  à Montréal (Québec) peuvent maintenant se dégourdir les jambes tout en lisant grâce au vélo-pupitre de la bibliothèque L’Octogone. L’appareil est disponible pour les personnes qui désirent en faire l’essai, plus particulièrement celles souffrant d’un déficit de l’attention, avec ou sans hyperactivité (TDAH).

«C’est une façon de bouger qui pourrait être intéressante pour les citoyens, surtout qu’on a des gens qui viennent tous les jours pour lire le journal», explique Marie-Andrée Marcoux, chef de division bibliothèque et culture.

Il y a déjà longtemps que Mme Marcoux souhaitait obtenir un vélo-pupitre pour les usagers. Il y a trois ans, lors d’une consultation publique, plusieurs personnes avaient fait part de leur désir de combiner la lecture et l’activité physique. Le vélo-pupitre de la bibliothèque L’Octogone, destiné aux 6 ans et plus, se trouve tout près de l’entrée principale. Une affiche explique comment l’ajuster à sa taille. «Je pense que les gens sont gênés de l’utiliser, explique Mme Marcoux. J’aimerais qu’on puisse s’en procurer un deuxième pour leur donner envie de le faire.»

Si le budget de la bibliothèque le permet, elle ira de l’avant. Toutefois, comme les travaux de rénovations arrivent à grands pas, elle ne voudrait pas être obligée de l’entreposer pendant toute la durée des travaux. Quand le local temporaire sera choisi, Mme Marcoux saura si l’achat se fera prochainement ou lors de l’ouverture du bâtiment fraîchement rénové.

L’attention ou la capacité de chacun peut être améliorée ou dérangée par plusieurs facteurs. «Les bibliothèques font beaucoup d’efforts pour bonifier leur offre de service selon les besoins de leur clientèle. En l’essayant, certaines personnes pourraient même découvrir si elles retiennent plus facilement de l’information lorsqu’elles bougent», précise Madeleine Faudette, orthopédagogue à l’Institut des troubles d’apprentissage. La mission de cet institut est de permettre aux personnes qui souffrent d’un trouble d’apprentissage de développer leur potentiel afin qu’il contribue positivement à la société. Selon Mme Faudette, cette ouverture aux réalités de chacun pourrait attirer davantage les jeunes et les personnes qui souffrent de TDAH, car elles peuvent avoir parfois l’impression de déranger quand elles se rendent dans ce genre d’endroit ou le silence est de mise. En plus des cinq vélos-pupitres dispersés dans autant de bibliothèques pour favoriser l’accessibilité universelle et des collections spécialement conçues pour les personnes souffrant de troubles de l’autisme ou de déficience intellectuelle, des livres en gros caractères sont aussi disponibles pour les usagers ayant des besoins spécifiques.

Source: Journal Métro

14 octobre 2017

Fiesta organisée par treize écrivains pour sauver la librairie de Montparnasse

les treize salopard

De la solidarité, de l’humour, de la littérature et des verres de rosé qui circulent joyeusement entre les piles de livres dans les allées bondées de monde. Ce vendredi soir, jusque tard, un collectif d’écrivains à succès et autoproclamé « les 13 salopards du vendredi 13 » a réussi son coup ! Faire la fête, le buzz, faire rentrer de l’argent et surtout mobiliser tout un quartier et au-delà… Les treize artistes en question - Olivier Norek, Guillaume Musso, Bernard Minier, Niko Tackian, Ian Manook, Samuel Delage, Laurent Scalese, Claire Favan, Cendrine Wolf, Anne Plichota, Jérôme Attal, Jacques Saussey et René Manzor - ont organisé un apéro pour sauver la librairie L’œil écoute. La boutique, située au 77, boulevard du Montparnasse  dans le XVIème arrondissement de Paris qui existe depuis 44 ans, est étranglée par les dettes et menacée de fermeture : « La concurrence avec Internet dont Amazon qui ne paye pas de charges en France, l’Urssaf, les problèmes de distribution, la bouche de la station de métro Montparnasse-Bienvenuë de la ligne 4 fermée pendant trois mois mais surtout Internet », énumère lasse mais combative Armelle Lainé-Vairet, la libraire.  La chic sexagénaire, regard bleu pétillant, débordée, sollicitée de toute part, est « touchée par tout ce monde ». Un peu plus loin, Brigitte, sa sœur, confirme « que les auteurs qui se mobilisent comme ça, ça met du baume au cœur ».

Au fond de la librairie, Marie-Lise, lectrice, déchaînée, carrure imposante, venue de Seine-Saint-Denis « où les livres malheureusement se vendent surtout en grandes surfaces », pousse tout le monde pour arriver aux écrivains installés à une table de fortune devant leur livre à dédicacer.

Debout sur l’une des tables, l’un des « 13 salopards », René Manzor, écrivain et scénariste, en pleine forme, crâne rasé et mitaines aux mains, harangue la foule : « Votre mission, si vous l’acceptez, c’est de verser un petit peu d’argent, même la somme d’un livre de poche, sur la cagnotte sur le site web. Il sauver la librairie ! », insiste-t-il. La cagnotte, ouverte jusqu’au 21 octobre, a déjà récupéré 10 000€ mais a besoin de 25 000€ ! 

« Il faut soutenir cet endroit de culture, de convivialité, de partage », assène Jeanne, retraitée, qui habite de l’autre côté du boulevard Montparnasse (XIVe). Jérôme, la trentaine, de passage, venu de Bordeaux (!) attend Guillaume Musso. « Ma femme l’adore. Je vais lui ramener L’appel de l’ange dédicacé. Ça va lui faire trop plaisir ». L’auteur à succès enchaîne gentiment les signatures. « J’ai habité rue Campagne-Première pendant des années, juste derrière. Je venais souvent à L’Œil écoute. C’est ouvert tard le soir. Je suis attaché à cette librairie ».

Source: Le Parisien

13 octobre 2017

Un marché des bouquinistes tous les vendredis à Toulouse

Place-Saint-Pierre-Toulouse

Place officielle « de la soif » à Toulouse, la place Saint Pierre située en bord de Garonne va bientôt aussi devenir la place des livres. Un nouveau marché de bouquinistes va en effet y être lancé vendredi 27 octobre 2017. La décision était à l’ordre du jour du conseil municipal, jeudi 12 octobre.  Coordonné par Aurélien Duchene, bouquiniste et propriétaire de la librairie du Père Duchene située au 25, rue Pargaminières, ce nouveau marché aura lieu chaque vendredi, de 10h à 18h30 environ. Aurélien Duchene, qui a pour l’occasion monté l’association des bouquinistes de Saint-Pierre, témoigne : "Ce sera un marché où le grand public retrouvera sept marchands de livres, dont un spécialisé dans la BD et un disquaire." 

Et de poursuivre : « Saint-Pierre est situé en plein cœur du quartier des étudiants et depuis ma librairie, située à trente mètres de la place, je sentais qu’il y avait une attente de leur part pour un tel marché. L’accueil à cette initiative est également excellent de la part des riverains qui attendent autre chose pour cette place que la traditionnelle beuverie de soir de fête ».

À partir du 27 octobre, chaque vendredi, le marché sera installé du côté du bar La Couleur de la Culotte. L’association pourrait dès l’été prochain organiser dès nocturnes jusqu’à 21 heures.

Source: actu.fr

12 octobre 2017

Déclaration commune de quatre associations d'auteurs européens à Francfort

Francfort_auteurs

Une alliance des auteurs européens composée des associations allemande, espagnole, française et italienne* a présenté le 11 octobre lors d’une conférence de presse à la Foire de Francfort un manifeste adressé à la Commission, au Parlement et aux Etats membres de l’Union européenne. Ce manifeste liste quatre points essentiels à la préservation des revenus et de la valeur du travail des auteurs, à la base de l’économie du livre qui génère 23 milliards d’euros de chiffre d’affaires et plus de 500000 emplois, rappelle ce texte. Les auteurs demandent une « meilleure répartitionde la valeur générée par le secteur du livre », et « une part juste et équitable de l’ensemble des revenus générés par leurs oeuvres », qu’ils établissent à 10% au minimum du prix public du livre imprimé, 20% du prix du livre numérique, et 25% des revenus net de tout autre revenu numérique. Ils souhaitent aussi une transparence complète des chiffres de vente, avec des redditions de comptes au minimum annuelles. Ces relevés sont encore trop souvent aléatoires regrettent-ils, et presque toujours imprécis ou incomplets. Ils se prononcent également pour l’interdiction de nouvelles exceptions limitant ces droits, et jugent primordial de maintenir le principe de l’autorisation préalable pour toute utilisation de leurs oeuvres.

Le manifeste rappelle enfin la nécessité de maintenir et protéger les réglementations relatives au prix unique du livre, importantes « dans la rémunération juste et équitable des auteurs et le maintien de réseaux de librairies indépendantes ».

Alors que les éditeurs disposent avec la FEE d’une représentation solide devant les instances européennes, de même que les libraires avec l’EIBF (quoique plus restreinte), les auteurs souffrent d’un manque de moyens révélateur de leur faiblesse, et d’une organisation jugée défaillante. Le CPE, qui regroupe les 17 associations françaises d’auteurs, s’est ainsi retiré de l’EWC (European writers council). La réalisation de ce manifeste avec les représentants des associations des quatre pays les plus importants, au lieu de l’ensemble de celles de l’UE, s’est imposée au nom de l’efficacité.

Source: Livres Hebdo

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11 octobre 2017

Les lecteurs et l’achat de livres

Sans conteste, le libraire de quartier a toujours la cote mais les lecteurs ne s’interdisent pas pour autant d’aller voir sur internet. 50% des répondants estiment que les livres sont vendus au juste prix et 45% qu’ils sont trop chers. Ils sont 36% à déclarer qu’ils ont acheté au cours des 12 derniers mois des livres dans une librairie physique, 29% sur internet et 27% dans une grande surface. Pour 50% des sondés le conseil du libraire reste important et c’est un réel avantage.

Concernant les grandes surfaces culturelles, les lecteurs plébiscitent l’étendue de l’offre (54 %) et la disponibilité immédiate du titre recherché.

Concernant Internet, les consommateurs préfèrent acheter sur des sites vendant des livres ou des ebooks pour les raisons suivantes : exhaustivité de l’offre (35%), rapidité de livraison (30%), achat de chez soi (28%). L’achat de livres numériques n’arrive qu’en dernière position à 12%.

Les autres chiffres sont à découvrir ici:

achat de livre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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achat de livre 3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sourcce: Idboox

9 octobre 2017

Anne-Laure Bondoux lauréate du premier prix Vendredi de littérature jeunesse pour "L'aube sera grandiose"

Prix Vendredi

Pour mettre en avant la littérature pour adolescents encore trop souvent méconnue, le Syndicat national de l'édition (SNE) vient de créer le "prix Vendredi" ainsi nommé en référence au personnage de Michel Tournier. Le prix a été attribué pour cette première édition à Anne-Laure Bondoux, une des plumes françaises de littérature pour la jeunesse, pour "L'aube sera grandiose" (Gallimard jeunesse). Ce roman est  destiné aux adolescents, mais qui peut se lire à tout âge, sur le partage et la transmission entre générations.  46 ans, tour à tour auteure de pièces de théâtre, et de chansons, puis journaliste spécialisée dans la littérature jeunesse, Anne-Laure Bondoux est aujourd'hui romancière pour les adultes et pour les jeunes, auteure déjà d'une vingtaine de titres pour la jeunesse. En 2010, elle recevait le Prix Tam-Tam Je Bouquine pour "Le Temps des miracles" et en 2015, le Grand prix SGDL (Société des Gens De Lettres) du roman jeunesse pour "Tant que nous sommes vivants".

En créant ce prix, Thierry Magnier, président du groupe jeunesse du Syndicat national de l'édition (SNE) avait expliqué vouloir instaurer "l'équivalent du Goncourt pour la littérature jeunesse". Le nom du prix est un hommage au héros de Michel Tournier, "Vendredi ou la vie sauvage", un grand classique de la littérature jeunesse. Le prix Vendredi a l'ambition de récompenser un roman à destination des plus de 13 ans, paru dans l'année et écrit par un auteur francophone. Plus globalement, son objectif est également de mettre en valeur la richesse et la créativité de littérature pour la jeunesse française contemporaine. Le prix est soutenu par la Fondation d'entreprise La Poste. Le jury (composé des journalistes spécialisé ainsi que par deux auteurs importantes, Marie Desplechin et Sophie Van der Linden), a tenu à adresser deux "mentions" à deux autres auteurs : Antoine Dole pour "Naissance des coeurs de pierre" (Actes Sud junior) et Thibault Vermot pour "Colorado Train" (Sarbacane). 

Source: Culturebox

8 octobre 2017

Cette incroyable machine imprime des livres neufs en dix minutes

Orséry

Il faut se pincer pour y croire : dans la librairie La Ruche aux livres de Wavrin (Nord),  une nouvelle machine – il n’en existe que quatre en France de ce type – peut vous sortir un livre neuf, à la demande, en dix minutes.  Il a fallu casser un bout de mur pour faire rentrer, derrière les rayonnages, ce que les deux salariés appellent «  le monstre  ». Olivier Barbier, libraire, préfère user d’un doux surnom : Orséry (du nom de l’entreprise). La bête donc, ressemble à une imprimante en trois fois plus gros. Grâce à elle, la librairie de Wavrin s’est transformée en imprimerie.

Imaginez. Vous arrivez dans à La Ruche aux livres pour vous procurer un bon polar qu’on vous a conseillé : un Robert Harris. Dommage, il est épuisé. Dans la vraie vie, vous feriez demi-tour, déçu. Là, le libraire farfouille sur son ordinateur, appuie sur un bouton. La « bête » se met en marche. Au bout de dix minutes, il suffit d’ouvrir un tiroir : à l’intérieur un livre,aussi neuf que s’il avait été placé sur un rayonnage. Vous le payez au même prix. On l’a testé pour vous et le résultat est bluffant : impossible de voir la différence entre cet ouvrage-ci et un, qui viendrait d’une imprimerie professionnelle. La machine « Orséry » n’existe qu’en quatre exemplaires en France. Sa commercialisation, en partenariat avec la marque RICOH, a débuté l’an passé. Elle a atterri à Wavrin – Olivier Barbier l’a inauguré mi-septembre – car ce libraire passionné, un temps passé par l’informatique, est tombé en pâmoison devant un prototype, lors d’un Salon du livre à Paris. «  J’ai pourri la vie du président pour qu’il réponde à toutes mes questions, c’est parti comme ça.  »

Aujourd’hui, les machines Orséry possèdent 6 000 références de livres possibles mais cela devrait monter en puissance. Tous les éditeurs qui le souhaitent peuvent y placer leurs ouvrages gracieusement. Pour Olivier Barbier, c’est clair, cela va révolutionner le monde des libraires, des éditeurs et mêmes des auteurs. Celui qui se définit comme «  un libraire de campagne  » voit, dans Orséry, l’opportunité de renforcer ce qu’il fait depuis des années à Wavrin : «  Apporter du service aux gens, éviter qu’ils prennent leur voiture juste pour aller acheter un bouquin au Furet.  » «  Cela permet aux petits libraires d’avoir une offre plus large sans pousser les murs  », vante de son côté Anne-Sophie Dallies, directrice marketing de la société Orséry.

Quant aux clients lecteurs, ils peuvent accéder, en allant au centre de leur village, à des livres personnalisés, épuisés, étrangers… Ils payent le même prix et ont le temps de boire un petit café le temps que leur livre sorte tout chaud du ventre d’Orséry. 

Voici comment marche cette machine:

 

Source: Nord éclair

7 octobre 2017

Bibliothèques plus « connectées » à Milan

Bibliothèque milan

La commune de Milan (Italie) souhaite moderniser le service en ligne de ses bibliothèques avec la création d’une nouvelle plateforme. Il ne sera plus possible d’emprunter des livres dans les nombreuses bibliothèques de la ville jusqu’à mardi matin. Le service sera bloqué à juste raison : la commune lance la mise en place d’une nouvelle plateforme de gestion en ligne de ses lieux de lecture. Objectif : la rendre plus interactive et plus facile d’utilisation pour les clients.

Le nouveau système permettra ainsi une simplification des outils de recherches, cela en reliant sur la toile les différentes bibliothèques, aujourd’hui totalement séparées. Changement plus important encore : la création d’un espace personnel. Ce dernier donnera la possibilité aux utilisateurs de faire des réservations et d’allonger la durée de leurs emprunts : plus besoin de se déplacer ! Ils seront avertis de l’arrivée de leurs demandes par un système de messagerie. Dans un futur proche, cet espace visera aussi à la formation d’une véritable communauté de lecteurs en ligne, grâce à l’élaboration d’une plateforme d’échange de conseils et d’avis sur les livres, CD et films disponibles. Autre modification : un plus grand nombre d’articles pourront être ramenés chez soi pour un total de 20 documents. Cette nouveauté n’est pas hasardeuse. Elle fait suite à la candidature de Milan au titre de « Ville de la littérature », distinction qui lui permettrait de rejoindre le réseau des villes créatives de l’UNESCO. La commune doit donc montrer sa volonté de promouvoir la lecture et ses moyens d’accès avant la sélection finale qui aura lieu le 31 octobre prochain.  

Source: Le Petit Journal

6 octobre 2017

Un concours d’écriture pour les lycéens et les collégiens

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Glose et Hachette Romans lancent aujourd’hui un concours d’écriture à destination des lycéens et des collégiens. Le thème de ce concours d’écriture a été baptisé : “Too cool for school : prouve le en SMS”, et laisse place à l’imagination en s’inspirant de la vie scolaire de tous les jours. Les participants devront imaginer des histoires en s’inspirant de leur quotidien d’élève et les publier sur l’application, en y intégrant s’ils le désirent, des images, des vidéos ou des gifs.

Le concours est ouvert jusqu’au 15 novembre 2017 et les modalités de participation sont simples.

Il suffit de télécharger gratuitement l’application Chat Stories et de créer un compte via un email, ou via le profil Facebook ou Twitter. L’outil “Chat Typer” permet de créer ses personnages, d’écrire une histoire et de l’envoyer pour publication. Des conseils seront envoyés aux auteurs pour améliorer leur texte, ou leur histoire sera publiée directement. L’auteur en herbe qui sortira vainqueur gagnera une publication chez Hachette Romans, c’est un bon début pour débuter une carrière d’auteur !

Source: Idboox

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