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6 mai 2016

Deuxième édition de la Fête des bibliothèques à Attécoubé

fete bibliotheque Attecoube

Le mercredi 04 mai 2016, le Professeur Diawara Adama, Conseiller à la Présidence de la République, chargé de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique, a parrainé la 2ème édition de la fête des bibliothèques, à la Mairie annexe d’Attécoubé (Côte D'Ivoire), en présence du Maire de ladite commune. Lors de cette cérémonie, des prix ont été décernés aux meilleurs bibliothèques, bibliothécaires, poésies, contes et slams de la Direction Régionale de l’Education Nationale Abidjan 3.

Le Conseiller Diawara a marqué son entière adhésion à cette fête dont l’objectif était de magnifier l’excellence, une chose dont la société ivoirienne a grandement besoin, dans sa quête de l’émergence. Il a également rappelé que l’acquisition de connaissance à l’école commence par la lecture. Une lecture qu’il souhaite syllabique, pour plus d’efficacité. Avec au bout un système éducatif efficace, au double point de vue rendements interne et externe, et efficient, donc optimisant l’utilisation des ressources allouées. Toutes choses nécessaires à la réussite de l’ambitieuse et noble politique de scolarisation obligatoire des enfants de 6 à 16 ans, décidée par le Président Ouattara.

Source: news.abidjan.com

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26 avril 2016

Décret permettant d'aider les bibliothèques à ouvrir plus

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Comme l’avait voté l'assemblée nationale  le 9 novembre 2015 (cliquez ici pour en savoir plus) , dans le cadre de la loi finances 2016, l’Etat va apporter un soutien financier aux collectivités qui ouvriront plus largement leurs bibliothèques.  Le décret n° 2016-423 du 8 avril 2016 sur la répartition des dotations de l’Etat et des fonds de péréquation, pris en application de la loi de finances 2016, modifie en effet en ce sens les critères d’éligibilité aux crédits de dotation générale de décentralisation (DGD) destinés aux bibliothèques publiques (dits « concours particuliers » des bibliothèques). Les projets d’extension ou d’évolution des horaires d’ouverture des bibliothèques sont désormais pris en compte.

Jusqu’à présent, les crédits débloqués au titre du concours particulier des bibliothèques ne devaient pas couvrir tout ou partie des dépenses courantes de fonctionnement.

L’aide de l’Etat ne pourra pas excéder 5 années consécutives. Par ailleurs, le décret prévoit trois cas où l’aide devra être remboursée :

  • lorsque l’affectation de l’équipement sera modifiée ;
  • lorsque, au bout de deux ans suivant la notification de l’aide, la collectivité n’a pas encore engagé la dépense d’un montant au moins égal à la somme attribuée ;
  • enfin, lorsque, au bout de deux ans après la notification de l’aide, le projet d’extension ou d’évolution des horaires ne correspond pas aux critères d’éligibilité à l’aide.

Ce soutien de l’Etat s’inscrit dans le sillage du rapport de la sénatrice Sylvie Robert sur les des horaires des équipements de lecture publique.

Source: La Gazette des communes

25 mars 2016

La France manque encore de bibliothèques

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La carte de France des bibliothèques présente d’abord de grosses lacunes : 55% des communes, soit 11,18 millions d’habitants, ne disposent d’aucun équipement « propre », c’est-à-dire de bibliothèque dépendant d’une commune ou d’un EPCI. Par ailleurs, seuls 7100 lieux de lecture publique constituent de véritables bibliothèques. 9 millions de personnes n’ont près de chez elles qu’un des 9200 « points d’accès au livre ».  Pour l’IGB, on peut « vraisemblablement » penser que le nombre de communes non dotées tant à décroître. Mais l’inspection reste très prudente, « parce que si d’un côté de nouvelles bibliothèques voient le jour chaque année, d’un autre côté, la tendance, parmi les BDP, du fait d’un faible ratio coût/bénéfice dans un contexte budgétaire difficile, est à fermer des dépôts sans qu’il existe nécessairement toujours une solution de substitution. » En outre, à supposer qu’il y ait effectivement une réduction du nombre de zones blanches, l’IGB estime qu’il faut s’interroger sur le rythme de cette décroissance, l’existence de « poches de résistances », et leur « disponibilité réelle » (temps nécessaire pour les rejoindre) et, enfin, de leur qualité.

« Pour des raisons évidentes (communes de petite taille parfois très éloignées les unes des autres), [les] zones [rurales] sont dans l’ensemble moins bien dotées que les zones urbaine », indique l’IGB, tout en observant que les bibliothèques sont « manifestement les équipements les plus présents (les moins absents) dans les zones rurales. »

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Ainsi, les tableaux comparatifs entre la taille des communes et le nombre d’habitants ayant accès à une bibliothèque ou un point d’accès au livre conduisent les auteurs au constat, « sans surprise », que « plus une commune est petite, moins ses habitants ont de chances de voir cette commune disposer d’un établissement de lecture publique. » De même, plus la commune est petite, plus ses habitants ont de chance de disposer d’un simple point d’accès au livre et non d’une véritable bibliothèque. Cependant, il ne faut pas déduire de ce qui précède, que plus une commune est grande, plus ses habitants disposeront d’une bibliothèque spacieuse et répondant à leurs besoins. En effet, l’IGB met au jour un premier phénomène, qui peut surprendre : plus la commune a une population importante, plus la surface utile par habitant est faible.  Autre phénomène pointé par l’inspection : l’inadéquation de nombreux équipements et leur vieillissement. Ce problème pouvant se traduire par :

  • une taille trop réduite par rapport à la population à desservir ;
  • une structuration des espaces ne correspondant pas aux attentes et usages du public et aux résultats que l’on se propose d’atteindre, et/ou peu fonctionnels pour les personnels ;
  • une situation géographique inopportune, défavorable à la fréquentation ;
  • des espaces inaccessibles aux personnes en situation de handicap ;
  • des bâtiments énergivores ;
  • des locaux impropres à la conservation des collections.

Source: La Gazette des Communes

16 mars 2016

L’offre de prêt de livres numériques en bibliothèque a accéléré son développement en 2015

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Le ministère de la Culture et de la Communication publie  une première évaluation de l'activité de prêt de livres numériques par les bibliothèques publiques et un bilan des offres qui leur sont proposées à cet effet par les éditeurs à travers le portail PNB (prêt numérique en bibliothèques).

Cette évaluation, rendue possible grâce aux données d'activité collectées et traitées par la plateforme interprofessionnelle Dilicom, qui porte les offres commerciales, a été réalisée dans le cadre d'un groupe de suivi animé par le ministère et réunissant tous les signataires des 12 Recommandations pour une diffusion du livre numérique par les bibliothèques publiques, approuvées le 8 décembre 2014, sous l’égide de la ministre de la Culture et de la Communication, par huit associations professionnelles des métiers du livre (auteurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires) et la Fédération nationale des collectivités territoriales pour la culture (FNCC).

Ces premiers résultats confirment le bon développement de l'activité :

  • 60 réseaux de bibliothèques, dont 54 réseaux français, très variés tant par leur taille que par leur situation géographique, ont désormais souscrit aux offres de prêt. Après Grenoble et Montpellier, la Ville de Paris a ouvert sa bibliothèque numérique au public le 13 octobre 2015 ; 9 bibliothèques départementales desservant de très nombreuses communes rurales ont également rejoint PNB. Près de 8 millions de Français peuvent donc accéder à ce service.
  • 37 libraires proposent ce nouveau service aux bibliothèques.
  • Début 2016, l’offre éditoriale aux collectivités est constituée de 106 216 titres, contre 207 999 titres proposés aux particuliers. Près de la moitié de l’offre est composée de littérature générale ; les documentaires et livres pratiques représentent quant à eux 37 % de l’offre.
  • Les bibliothèques françaises ont acquis 12 716 exemplaires numériques sur l’année 2016, dont près de 73 % entre octobre et décembre.
  • 41 259 prêts ont été réalisés sur l’année 2015 par les bibliothèques françaises, dont près de 50 % entre octobre et décembre.

Source: Communiqué de presse du Ministère de la culture

8 mars 2016

La CJUE examine le prêt en bibliothèque d'ebooks avec DRM

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Un  dossier ouvert aux Pays-Bas pose une question à la fois simple et importante à la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) : celle de l'assimilation du droit de prêt de livre numérique au prêt physique. En vertu de la directive sur le droit de prêt 2006/115 (article 6), les États membres peuvent déroger au droit exclusif prévu des auteurs afin de permettre le prêt public de leurs œuvres dans les bibliothèques, mais à la condition que ces créateurs « obtiennent une rémunération au titre de ce prêt ». Sur ce point, la justice néerlandaise a questionné la Cour de Justice de l’Union européenne pour savoir si la notion de « prêt » visé dans cette directive couvre également le prêt numérique. Dans cette hypothèse, il y a en effet réalisation de deux copies : l’une mise à disposition sur un serveur de la bibliothèque, l’autre sur l’ordinateur de l’utilisateur. Avec les copies numériques, on sort nécessairement du périmètre initial tel qu’envisagé par le législateur européen, à savoir des copies physiques mises à la disposition, un temps durant, d’un utilisateur déterminé.  Le dossier néerlandais met en exergue cependant une forme particulière de prêt numérique : la copie effectuée par l’utilisateur est  chronodatée. Elle n’est plus utilisable après l’écoulement d’une période fixée, et aucun autre utilisateur ne peut télécharger cette reproduction sur les serveurs de la bibliothèque durant ce laps de temps.

Si la CJUE estime que ces diffusions DRMisées sont comparables à des prêts physiques, les juges veulent savoir si d’autres conditions sont possiblement soumises par les États avant d’ouvrir les vannes du prêt numérique. Par exemple faut-il que la copie de l’œuvre ait été préalablement mise en circulation à l’occasion d’une première vente ? À défaut, faut-il que la copie mise à disposition par la bibliothèque ait été obtenue à partir d’une source légale ? Ce jeudi, la CJUE entendra sur ces points, les plaidoiries des parties. L’arrêt est attendu dans les prochains mois, après la publication des conclusions de l’avocat général.

En France, Belgique et Suisse, les réponses seront auscultées avec attention. Le dispositif du PNB ou Prêt Numérique en Bibliothèque compte à ce jour 110 000 titres, autour de 60 bibliothèques, regroupant 890 éditeurs et marques éditoriales, selon les derniers chiffres du le réseau du livre Dilicom. Les œuvres sont protégées avec Adobe DRM, mais « ses alternatives sont à l’étude ou en cours de développement » dont le LCP (Light Content Protection) porté par le consortium Readium, censé être plus léger. 

Source: Next Impact

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28 janvier 2016

Des minis bibliothèques dans les abris-bus en Israël

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La plus grande chaîne de librairies d’Israël va mettre en oeuvre le rêve de la victime du terrorisme Shlomit Krigman, qui avait envisagé la création d’un mini réseau de bibliothèques urbaines pour encourager la lecture.  Les librairies Steimatzky ont annoncé leur intention de mettre en œuvre l’initiative gratuite, gérée par la communauté dans des arrêts d’autobus à travers le pays pour honorer sa mémoire et son amour des livres, a rapporté jeudi le quotidien Yedioth Aharonoth.

« Après avoir entrendu le projet de Shlomit, nous avons décidé de perpétuer sa mémoire de cette façon afin que chacun puisse profiter de livres et de la lecture, tout comme elle le souhaitait, » a dit le libraire, selon le journal.

Krigman qui a récemment obtenu son diplôme de design industriel à l’Université d’Ariel, avait evoqué il y a quelques mois son projet de fin d’etudes.

« Je veux ramener les livres à la vie quotidienne, » avait-elle expliqué lors d’une interview l’an dernier sur la Dixième chaîne. « Je veux que les gens reviennent à ce sentiment de tenir un vrai livre entre les mains. »

Ses croquis montrent de petites étagères couvertes, conçues pour être installées aux arrêts de bus ou autour de poteaux électriques. Chacun pourra emprenter un livre en attendant le bus, le lire pendant le trajet, et le rendre lorsqu’il l’aura terminé. Idéalement, avait dit Krigman, les mini-bibliothèques seraient approvisionnées en livres donnés par la communauté. La famille de la jeune fille de 24 ans a salué le geste de Steimatzky, mais n’y a pas répondu officiellement.

« De par son amour des livres, elle a toujours essayé d’inciter à la lecture », a confié son frère Dror au journal.
Shlomit, se souvient-il, lui a offert un livre pour son dernier anniversaire. C’est un livre qu’il lira encore et encore pour se souvenir d’elle, a-t-il dit.

Source: The Timess of Israël

20 janvier 2016

À Séoul, des mini-bibliothèques mobiles font le bonheur des amoureux des livres

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Après Cologne et New York,  quatre mini-bibliothèques mobiles ont été installées dans un parc à Séoul. Une initiative originale qui ne manquera pas de séduire les amateurs de livres imprimés.   Parfois, on a l’impression que les iPad et les liseuses ont éclipsé les livres papier. Cependant, à Séoul, en Corée du Sud, une nouvelle initiative promet d’offrir un refuge aux amoureux des bons vieux bouquins, loin de l’univers du numérique. Le Mobile Library Project propose un ensemble de quatre mini-bibliothèques mobiles, originales et colorées. 

Dernièrement, de nombreuses bibliothèques alternatives ont vu le jour. Amazon a même créé unelibrairie à Seattle. Alors que beaucoup de pays subissent des coupes dans le budget alloué au service public, les bibliothèques sont constamment menacées de restrictions budgétaires voire de fermeture. Grâce à ce projet lancé par la société Spacetong (Archiworkshop), quatre petites bibliothèques mobiles ont été installées au Social Innovation Park de Séoul. Étrangement appelées Bloc, Flûte, Mirage et Membrane, elles sont accessibles à n’importe quel passant en quête d’un refuge littéraire. Les visiteurs peuvent s’asseoir pour lire ou emprunter des ouvrages. De même que pour les vinyles, malgré la popularité des appareils électroniques, nous ne risquons pas de voir notre bon vieux papier disparaître de sitôt. Ces mini-bibliothèques le prouveront sans doute.

Source:  Kobinini

12 janvier 2016

Des perles de la bibliothèque de l’évêché sur le net

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Le diocèse de Quimper et Léon (Finistère) est le premier en France à disposer d’une bibliothèque numérique. 9 000 documents sont d’ores et déjà consultables gratuitement sur Internet. Les livres de l’évêché, conservés essentiellement à Quimper, et dans une annexe à Brest, sont au nombre de 90 000. Ils côtoient 40 000 périodiques et des documents sonores, des disques vinyles, pour l’essentiel.

« C’est une bibliothèque de professeurs et de paroisses », résume Yann Celton, le responsable. Pour les lecteurs d’Ouest-France, il a ouvert les portes du coffre-fort de l’Église dans le diocèse. Avec lui, on part à la découverte de pépites du fonds ancien (livres des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles), constitué de 6 000 ouvrages.

Le plus bel ouvrage de la bibliothèque de l’évêché de Quimper et Léon est un incunable, c’est-à-dire un livre imprimé il y a plus de 500 ans. Il s’agit d’un traité de théologie de Saint Antonin. Ses cinq volumes ont vu le jour à Venise, entre 1474 et 1485, sur du papier chiffon. Ils sont rédigés en latin. Ce qui fait la rareté de cet ensemble : il est complet, contrairement à la plupart des autres exemplaires connus dans le monde. La version conservée à Quimper dispose d’une très belle enluminure bleue, rose et or (photo ci-contre). Il s’agit d’un cadeau d’un docteur en médecine à l’évêque de l’époque (1831) : Mgr de Poulpiquet.

Source:  Ouest France

9 janvier 2016

la médiathèque-estaminet honorée par le magazine Livres Hebdo

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La médiathèque-estaminet de Grenay (Pas-de-Calais) a proposé sa candidature et a reçu le prix dans la catégorie « Accueil » du Grand Prix des bibliothèques francophones. Une reconnaissance fort appréciée par les équipes et par la municipalité.   La médiathèque-estaminet n’a pas encore fêté son premier anniversaire qu’elle est déjà mise à l’honneur par un magazine spécialisé, Livres Hebdo, destiné aux professionnels du livre, principalement aux libraires, aux éditeurs et aux bibliothécaires.

« Cette revue nous avait conseillé dès l’inauguration en juin dernier de participer à leurs Prix, vu l’originalité et la qualité de notre réalisation », confie le maire, Christian Champiré. Ce « concours », réservé aux bibliothèques francophones, se décline en quatre catégories : innovation, accueil, espace intérieur, animation.

Le Prix de l’accueil a ainsi été décerné à la structure grenaysienne courant décembre dans les locaux de la bibliothèque historique de la Ville de Paris. des mains d’un jury présidé par l’écrivain David Foenkinos. « Nous sommes la seconde ville de la région à recevoir ce Prix, juste après Anzin », souligne Ali Boukacem, directeur général des services. « Ce Prix apporte du plaisir pour les équipes », selon le maire, « mais aussi pour les habitants qui verront que l’engagement a non seulement été concrétisé mais qu’il est aussi reconnu ».

Plusieurs caractéristiques ont conquis le jury. Le concept du coin « estaminet », qui prolonge le comptoir d’accueil, mais pas que. Le fait d’intégrer différents services au sein de l’équipement (le Relais d’assistantes maternelles, la PMI, le Point Information Jeunesse, la Mission locale, la billetterie Ronny Coutteure...), a beaucoup joué. Tout ça dans le but de multiplier les clés d’entrée à la médiathèque, suivant l’enjeu de parvenir à désacraliser le livre auprès de tous les publics, de rendre accessible la culture à tous. Il ne faut pas non plus oublier la mise à disposition d’un studio de répétition, une salle dédiée à des ateliers cuisine. Et aussi, la partie extérieure du bâtiment qui comprend des jeux, des bancs sonores, une petite scène, ainsi que des transats pour les beaux jours. Autre paramètre : une large amplitude horaire d’ouverture (44 heures), « alors que la moyenne des bibliothèques des grandes villes atteint seulement les 40 heures ».

Source: La Voix du Nord

18 novembre 2015

Izneo rejoint le Prêt numérique en bibliothèques

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Izneo, la plateforme de bandes dessinées numériques, vient d’annoncer son entrée dans le dispositif PNB (Prêt numérique en bibliothèques).  Le dispositif PNB – Prêt Numérique en Bibliothèques – est opéré par Dilicom et réunit éditeurs, distributeurs, libraires et bibliothèques. Il permet aux bibliothèques de mettre à disposition de leurs usagers des livres numériques consultables à distance. Izneo va donc proposer une sélection de près de 200 bandes dessinées des éditeurs partenaires Bamboo, Dargaud, Dupuis et Le Lombard.

Les bibliothèques pourront dès décembre, par l’intermédiaire de leur libraire connecté à Dilicom, choisir à l’unité des titres parmi les grandes séries proposées, de XIII à Spirou, en passant par Les Profs ou encore Les Nombrils.

Source: Idboox

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