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21 octobre 2021

Préférence des européens pour le livre papier

étude livre papier livre numérique

Les écrans ont pris le pouvoir, mais pas partout. C’est notamment le cas en littérature, sachant que la pandémie de Covid-19 et les restrictions subies ont poussé de nombreuses personnes à lire davantage. Comme le montre l'infographie de Statista ci-dessous, qui s’appuie sur les données de son enquête globlale  effectuée auprès des européens de juillet 2020 à septembre 2021, la version papier reste privilégiée dans les pays d’Europe. Mais certains sont-ils plus attachés aux « vrais » livres que d’autres. 

C’est en Espagne  et en It​alie que les ebooks sont les plus développés. 40 % des espagnols en ont lu au cours des douze derniers mois, contre 56 % pour le papier et 35% des italiens ont en lu contre47% pour le paier . Quant au  Royaume-Uni,  un rapprochement entre les deux supports de lecture s'oppèrent (30% contre 45%). La version numérique est bien moins développée en Allemagne (26% contre 42%) et en France (18 % vs 53 % pour le papier) .

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4 septembre 2021

Demande de la nationalité irlandaise par romancière britannique Hilary Mante

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La romancière britannique Hilary Mantel a dit vouloir demander la citoyenneté irlandaise et "redevenir Européenne", quittant ainsi le Royaume-Uni qui est sorti de l'Union européenne le 31 janvier 2020. Critiquant la monarchie, qui la "laisse perplexe", l'écrivaine a affirmé qu'elle se "sent mieux dans une république", dans une interview publiée samedi par le journal italien la Repubblica. 

"J'espère pouvoir faire bientôt le parcours inverse de ma famille et devenir Irlandaise", a expliqué Mme Mantel, d'origine irlandaise par ses grands-parents.

Ce projet a été "freiné" par le Covid, a expliqué la romancière de 69 ans, qui a gagné deux fois le prestigieux prix littéraire Booker prize pour les deux premiers tomes de sa trilogie sur Thomas Cromwell, ministre du roi d'Angleterre Henri VIII. Même si elle dit apprécier l'endroit où elle vit, "au bord de la mer" dans le sud-ouest de l'Angleterre, la romancière explique qu'elle "ressent le besoin de faire (ses) valises le plus rapidement possible. Et devenir de nouveau Européenne". Elle a aussi décrit le Royaume-Uni comme "une construction artificielle et précaire". "Ce n'est pas sacré, et ce n'est même pas vieux. Enfant, je n'ai rien appris sur l'histoire des autres parties de ces îles", a-t-elle déclaré. Dans la même interview, elle critique le Premier ministre Boris Johnson, fervent défenseur du Brexit, qu'elle dit avoir rencontré plusieurs fois.

"Il ne devrait pas être dans la vie publique. Et je suis sûr qu'il le sait", a-t-elle affirmé, exprimant sa "honte de vivre dans une nation qui a élu ce gouvernement".

Elle a aussi qualifié les pro-Brexit d' "opportunistes immatures, hypocrites et sournois et souvent ridicules".

Le Brexit a provoqué un afflux de demandes de la nationalité irlandaise de la part de Britanniques ayant des origines dans ce pays, pour conserver la liberté de circulation dans l'Union européenne.

Le maître du roman d'espionnage, John Le Carré, farouchement opposé au Brexit, avait pris la nationalité irlandaise peu avant sa mort en décembre 2020, avait révélé l'un de ses fils en avril.

15 mars 2021

Premier bilan 2020 pour l'édition en Europe

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Pour 2020, la FEE a déjà commencé à collecter des tendances. D’un point de vue géographique, elle remarque une croissance significative dans le Nord de l’Europe qu’elle relie aux services d’abonnement illimité aux livres audios mis en place par ces pays. L’augmentation est visible en Flandre (+4%), aux Pays-Bas (+7%), ou encore en Suède et en Norvège où les deux pays comptabilisent une hausse de 10%.  Le Portugal et la Grèce, connaissent, quant à eux, une forte baisse de leur chiffre d’affaires. Un recul de 19% pour l’un et jusqu'à 30% pour l’autre que la FEE associe au manque d’infrastructures pour les ventes en ligne et au peu d’aides accordées durant les confinements strictes.  En France (- 3,5%) comme en Allemagne (- 2,3%) et en Wallonie (- 5%), les statistiques relèvent une légère baisse. 


Concernant les secteurs éditoriaux, tous les pays sont marqués par une hausse des ventes liées à la littérature jeunesse et une chute du secteur Tourisme. 

Enfin, la Fédération note un glissement des ventes vers les best-sellers. Elle appelle donc, pour l’année à venir, à un soutien national et européen mais aussi à une vigilance accrue auprès des plateformes de vente en ligne.

Source: Livres Hebdo 

13 septembre 2019

Illégalité de la revente de livres numérique en Europe

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L’avocat général de la Cour de justice européenne, Maciej Szpunar a déclaré que des sites tels que Tom Kabinet qui vendent des livres numériques d’occasion est « illégale au regard du droit de l’Union européenne”.

Dans un communiqué, Zoey Forbes, associée en technologie, médias et divertissement au sein du cabinet d’avocats Harbottle & Lewis, a déclaré: “Les détenteurs de droits d’œuvres numériques protégées par le droit d’auteur, tels que les livres électroniques, les téléchargements de musique, les films et les jeux, se féliciteront de l’avis de l’avocat général selon lequel la revente de livres électroniques est L’avis reconnaît également les risques que peut représenter un marché de seconde main pour les livres numériques, y compris la cannibalisation du marché primaire et le risque accru de piratage, bien que l’avis ne lie pas la CJUE, il est rare que la CJUE adopte une position radicalement différente et nous nous attendons donc à ce que la CJUE parvienne à une conclusion similaire dans son prochain arrêt. “

Toutefois, l’avocat général a également noté que la revente d’ebooks pouvait être justifiée, suscitant des commentaires inquiets de la part de la Fédération des éditeurs européens (FEP).

Rudy Vanschoonbeek, président de la FEP, a déclaré: “La décision de la Cour de justice dans la présente affaire aura un impact significatif sur le développement et l’octroi de licences à de nouveaux services innovants. Si la cour devait interpréter le droit européen actuel conformément à l’avis de l’avocat général, En d’autres termes, en permettant l’utilisation du principe d’épuisement en relation avec les services numériques, il risque de faire obstacle au développement de nouveaux modèles économiques ».

Il poursuit : « Aux États-Unis, la Cour suprême a rejeté la requête de ReDIGI (site en ligne pour les services numériques, proposant de la musique numérique, des livres numériques, des jeux, des applications et des logiciels) visant à examiner le refus du Second Circuit d’appliquer la doctrine de la première vente au transfert de fichiers de musique numériques. En termes juridiques européens, cela signifie que les tribunaux américains ont confirmé qu’il ne pouvait y avoir d’épuisement des services numériques. Dans un marché mondialisé, les règles devraient être identiques. »

La notion d’épuisement des stocks parait complètement incongrue en matière de produits culturels dématérialisés comme les ebooks, puisque par définition, ils restent toujours disponibles…

Source: Idboox

20 juillet 2019

La bibliothèque volante est de retour chez easyJet

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Flybrary, la bibliothèque volante estivale de la compagnie aérienne low cost easyJet, fait son retour et met à disposition plus de 60.000 livres jeunesse à bord de 300 avions – y compris pour les passagers francophones. Alors que la lecture est une activité plébiscitée par les plus jeunes en France (90% des 7-11 ans lisent pour le loisir (source IPSOS 2016), la spécialiste britannique du vol pas cher relance pour la 3ème année consécutive ses bibliothèques volantes nommées Flybrary, « une occasion de laisser parler imagination et de partager un moment en famille ». Flybrary revient avec une offre « plus importante que jamais », offrant à environ huit millions de passagers la possibilité de découvrir ensemble une histoire cet été. Ils trouveront dans près de 300 monocouloirs Airbus plus de 60.000 exemplaires de livres pour enfants, dans sept langues européennes. En partenariat avec Harper Collins et l’éditeur Milan (groupe Bayard), des livres tels que Les as de la jungleHilo et Un dragon trop bougon – collection Poche poussin – seront disponibles dans les pochettes des sièges passagers.

Pour le lancement de l’opération Flybrary à l’échelle européenne, easyJet a révélé les résultats d’une étude qu’elle a commandée, menée auprès de 2000 parents britanniques ayant des enfants âgés de 6 à 12 ans. Les parents souhaitant découvrir les lectures de leurs enfants cet été seront peut-être surpris d’apprendre que plus de la moitié des enfants britanniques (59 %) choisiraient qu’on leur lise une histoire plutôt que de passer 30 minutes de plus sur un écran. La majorité des parents interrogés (80 %) ont révélé que les vacances offrent une occasion de passer plus de temps en famille, 64 % d’entre eux prévoyant de lire et partager des histoires avec leurs enfants cet été.

Tina Milton, directrice de l’équipage cabine chez easyJet, explique dans un communiqué : « Chez easyJet, nous avons à cœur de proposer des activités familiales qui rendent le vol à la fois amusant et facile. Les vacances estivales sont l’occasion idéale de passer un temps en famille bien mérité et nous espérons que les millions de passagers qui prendront l’avion avec nous cet été aimeront partager une histoire ou deux grâce à nos bibliothèques volantes ».

L’avion est un endroit idéal selon la  compagnie low cost pour lire un livre : peu de distraction, du temps devant soi et un contexte propice à l’évasion. Pour les enfants, c’est le moment idéal pour laisser libre cours à leur imagination et essayer quelque chose de nouveau et de différent. Si la flotte d’avions accueillant les Flybrary d’easyJet permet aux enfants de lire des livres à bord, elle propose aussi, lorsqu’ils atterrissent, de télécharger des extraits gratuits de livres sur http://www.easyjet.com/en/flybraries – le site Web accueillera également le concours d’écriture d’été de la compagnie aérienne pour aider les enfants à déployer leurs talents d’écriture.

Source: Air Journal

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15 avril 2019

La réforme européenne du Droit d'auteur définitivement validée

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La réforme du droit d'auteur européen a été définitivement validée lundi 15 avril avec un dernier vote des ministres de l'Union Européenne réunis à Luxembourg. Cette dernière étape devait être une formalité après des négociations très difficiles de la réforme sur fond de lobbying sans précédent de la part de ses partisans comme de ses opposants.

Six pays ont tout de même voté contre, selon des sources européennes: l'Italie, la Finlande, la Suède, le Luxembourg, la Pologne et les Pays-Bas. Une minorité toutefois insuffisante pour bloquer le texte. La Belgique, l'Estonie et la Slovénie se sont par ailleurs abstenues.

Dans un communiqué du Conseil de l'UE, le ministre roumain Valer Daniel Breaz, dont le pays tient la présidence tournante, s'est félicité d'un "texte équilibré". Une fois publiées dans le journal officiel de l'UE les Etats membres auront 24 mois pour transposer les nouvelles règles dans leurs législations nationales. Franck Riester, ministre de la Culture, avait promis il y a un mois une "transition rapide en droit français".

La réforme avait reçu le feu vert des eurodéputés fin mars, dans un hémicycle divisé jusqu'au bout (348 voix pour, 274 contre et 26 abstentions).

Source: Livre Hebdo

2 octobre 2018

Autorisation de la TVA réduite pour le livre numérique en Europe

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L’Union européenne a approuvé aujourd’hui une proposition qui permettra aux pays qui le souhaitent appliquer une TVA réduite aux publications électroniques de faire correspondre leur taxe à celle des livres traditionnels.

« La proposition fait partie de nos efforts pour moderniser la TVA pour l'économie numérique, et nous permet de suivre le rythme des progrès technologiques », a déclaré dans un communiqué le ministre des Finances de l' Autriche, M. Hartwig Löger, dont des chaises pays ce semestre UE

Les ministres de l' Economie et des Finances réalisé aujourd'hui donner le feu vert à l'initiative, lancée en Décembre 2016 , après trois tentatives infructueuses en 2017 et 2018 parce que l' opposition de la République tchèque a empêché l'unanimité requise atteindre d'approuver la mesure. Selon les règles actuelles, les livres électroniques sont soumis à un taux minimum standard de 15% dans l'Union européenne (UE), tandis que les pays peuvent appliquer le taux réduit (minimum de 5%), super réduit (moins de 5%). ou taux zéro pour les publications sur papier .

Avec la nouvelle norme, les pays peuvent décider si imposés également avec des taux réduits aux livres numérique,  et un taux zéro peut  être mis en œuvre  dans les États qui  l'appliquent déjà aux publications physiques.

Source: ABC

12 octobre 2017

Déclaration commune de quatre associations d'auteurs européens à Francfort

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Une alliance des auteurs européens composée des associations allemande, espagnole, française et italienne* a présenté le 11 octobre lors d’une conférence de presse à la Foire de Francfort un manifeste adressé à la Commission, au Parlement et aux Etats membres de l’Union européenne. Ce manifeste liste quatre points essentiels à la préservation des revenus et de la valeur du travail des auteurs, à la base de l’économie du livre qui génère 23 milliards d’euros de chiffre d’affaires et plus de 500000 emplois, rappelle ce texte. Les auteurs demandent une « meilleure répartitionde la valeur générée par le secteur du livre », et « une part juste et équitable de l’ensemble des revenus générés par leurs oeuvres », qu’ils établissent à 10% au minimum du prix public du livre imprimé, 20% du prix du livre numérique, et 25% des revenus net de tout autre revenu numérique. Ils souhaitent aussi une transparence complète des chiffres de vente, avec des redditions de comptes au minimum annuelles. Ces relevés sont encore trop souvent aléatoires regrettent-ils, et presque toujours imprécis ou incomplets. Ils se prononcent également pour l’interdiction de nouvelles exceptions limitant ces droits, et jugent primordial de maintenir le principe de l’autorisation préalable pour toute utilisation de leurs oeuvres.

Le manifeste rappelle enfin la nécessité de maintenir et protéger les réglementations relatives au prix unique du livre, importantes « dans la rémunération juste et équitable des auteurs et le maintien de réseaux de librairies indépendantes ».

Alors que les éditeurs disposent avec la FEE d’une représentation solide devant les instances européennes, de même que les libraires avec l’EIBF (quoique plus restreinte), les auteurs souffrent d’un manque de moyens révélateur de leur faiblesse, et d’une organisation jugée défaillante. Le CPE, qui regroupe les 17 associations françaises d’auteurs, s’est ainsi retiré de l’EWC (European writers council). La réalisation de ce manifeste avec les représentants des associations des quatre pays les plus importants, au lieu de l’ensemble de celles de l’UE, s’est imposée au nom de l’efficacité.

Source: Livres Hebdo

1 juin 2017

Les eurodéputés favorables à la baisse de la TVA sur les livres numériques

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Les eurodéputés se sont prononcés en faveur d'une réduction du taux de TVA sur les publications numériques (livres et journaux) pour l'aligner sur celui des publications imprimées. La proposition a été adoptée en session plénière jeudi par 590 voix pour, 8 voix contre et 10 abstentions.

Jusqu'à présent, les livres électroniques devaient être taxés au taux standard minimal européen de 15% alors que les États membres étaient libres d'appliquer un taux réduit d'au moins 5% pour les publications imprimées. La Commission européenne avait proposé en décembre dernier de mettre un terme à cette différence de traitement.

"Notre manière de lire a radicalement changé ces dernières années. Aujourd'hui, cela n'a aucun sens de taxer davantage un journal en ligne qu'une version imprimée achetée en magasin. Cette nouvelle directive permettra aux États membres d'aligner la TVA des contenus numériques sur celle appliquée au contenu imprimé", a commenté l'eurodéputé belge Tom Vandenkendelaere (CD&V), rapporteur du PPE dans ce dossier.

"Je pense que cela bénéficiera à tout un chacun car au moins les coûts des publications sont élevés, au plus nous pouvons prendre du plaisir en les lisant, que ce soit en format numérique ou papier", a-t-il ajouté dans un message vidéo posté sur Twitter.

Source: RTBF

11 novembre 2016

La Cour de l'UE assimile le prêt numérique à celui du livre papier

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"Le prêt d’un livre électronique (e-book) peut, sous certaines conditions, être assimilé au prêt d’un livre traditionnel. Dans une telle situation, l’exception de prêt public, qui prévoit notamment une rémunération équitable des auteurs, a vocation à s’appliquer" indique un communiqué du service de presse de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE). Celle-ci était saisie d'une question soulevée par la justice néerlandaise à la suite d'une procédure engagée par l'association regroupant les bibliothèques publiques des Pays-Bas contre les contrats de licence que lui imposent les ayants droit, via une société de gestion de droits. Les bibliothécaires néerlandais considèrent que "le régime pour les livres traditionnels devrait s’appliquer également au prêt numérique", et ont donc obtenu gain de cause. "Il n’existe aucun motif décisif permettant d’exclure, en toute hypothèse, du champ d’application de la directive le prêt de copies numériques et d’objets intangibles", souligne le communiqué. Sous réserve que le prêt respecte le même principe, à savoir "un exemplaire, un utilisateur", le prêt numérique est compatible avec l'exception prévue par la directive de 2006 sur le droit de prêt et les droits voisins du droit d'auteur. La CJUE s'est donc rangée à l'avis de son avocat général, qui jugeait l'alignement du prêt numérique sur le prêt papier compatible avec la réglementation de l'Union. 

En France, le "prêt numérique en bibliothèque" (PNB) apparaît similaire au système mis en cause aux Pays-Bas, et soulève les mêmes questions du côté des bibliothèques en raison de son coût. Elles doivent s'acquitter d'une licence assortie d'un nombre limité de crédits de prêts, ce principe de base étant mis en oeuvre sous des formes variables par les éditeurs. Lorsque les crédits sont épuisés, les bibliothécaires doivent les réalimenter. D'autre part, les éditeurs n'acceptent pas tous d'ouvrir cette possibilité pour leurs livres numériques. L'arrêt de la Cour de justice de l'UE n'entraîne pas de conséquence immédiate, mais il place le système français sous la menace d'un recours identique, qui s'appuirait sur cette décision de la juridiction suprême en Europe. Pour clarifier cette situation, une adaptation du droit de prêt en France pourrait s'avérer nécessaire. Encadré par la loi du 18 juin 2003, le droit de prêt du livre papier prévoit que les auteurs ne peuvent s'opposer à cette disposition, mais perçoivent un dédommagement financé par un pourcentage du prix de vente de leurs livres aux bibliothèques (6%) et par une rémunération forfaitaire versée par l'Etat, indexée sur le nombre d'inscrits en bibliothèques. Le tout est réparti par la Sofia, à proportion des livres achetés, à parts égales entre auteurs et éditeurs.

Sourcc: Livres Hebdo

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