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19 décembre 2022

Quelles habitudes de lecture pour la Génération Z ?

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Wattpad a mené une enquête pour comprendre les habitudes de lecture des jeunes, comprenez la Gen Z (personnes nées à partir de 1995).La plateforme aux millions de lecteurs a aussi comparé les réponses des jeunes à celles des autres lecteurs plus âgés. Les résultats sont intéressants. Livre papier, ebook, Webtoon, Web Novel, livres audio quels sont les supports de lecture plébiscités par les jeunes. 67% des Z déclarent lire majoritairement sur smartphones versus 51% des générations plus âgées qui préfèrent lire des livres imprimés ou des magazines physiques. Ce que les jeunes aiment, c’est la diversité des contenus. En effet 69% des répondants de la génération Z ont déclaré que la diversité et la façon d’accéder aux contenus est importante pour eux lorsqu’ils choisissaient des livres, des films ou d’autres formes de divertissement. C’est bien plus que la génération Y (66%), la génération X (53%) et les baby-boomers (34% ). Autre point intéressant, 60 % des lecteurs de la Gen Z déclarent rechercher des livres, des histoires ou des bandes dessinées qui mettent en lumière les groupes marginalisés (LGBT, cause noire etc.), bien plus que les autres générations, à seulement 40 %. La Gen Z est éclectique. Elle adopte es, y compris la fantasy, la SF (42 % contre 30 %), Les livres d’horreur (38 % contre 20 %) et de super-héros. (34 % contre 18 %) sont des genres appréciés.

La génération Z lit également plus de romance que les autres générations, à 43 % contre 30 %. Sans surprise, la Z aime aussi la littérature  Est-ce que la pandémie a incité à lire plus ? 35 % déclarent lire plus aujourd’hui qu’il y a deux ans, tandis que 33 % lisent à peu près la même quantité de livres qu’avant la pandémie. D’ailleurs, 40 % lisent quotidiennement ou quelques jours par semaine, et 55 % lisent des livres une fois par semaine ou plus.

Source :Idboox 

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9 décembre 2022

Les Français et la lecture sur les liseuses Kobo

Lecture Kobo France

Rakuten Kobo fait son bilan annuel sur la lecture et les français qui utilisent ses liseuses. Il en ressort des tendances intéressantes, notamment en ce qui concerne l’autoédition. Tout d’abord, la plateforme note une augmentation du temps de lecture sur ses liseuses et son application. Ce chiffre est hausse de 21% versus 2021. Si on agrège le temps de lecture de tous les usagers Kobo cela représente plus de 3900 ans consacrés à la lecture numérique.

La mort de la Reine Elizabeth II a favorisé les lectures sur la royauté avec un pic de 2065% vs 2021 sur cette thématique. Parmi le top des livres achetés on trouve : L’affaire d’Alaska Sanders de Joël Dicker, Le grand monde de Pierre Lemaitre et Trois de Valérie Perrin.

L’autre donnée intéressante concerne l’autoédition avec Kobo Writing Life. L’autoédition est le 4ème « éditeur » représenté sur Kobo. En 10 ans, plus de 100 000 ebooks ont été publiés par des auteurs indépendants. La France est le second pays derrière les USA en nombre de titres publiés et d’auteurs.  Kobo constate aussi une hausse de 25% du nombre d’auteurs inscrits à KWL depuis 2020. Cela montre notamment que les auteurs démultiplient leur présence sur les plateformes d’autoédition ne se cantonnant plus exclusivement à Kindle Direct Publishing, la plateforme d’Amazon.

Source: Idboox

25 novembre 2022

Lecture eco-responsable avec l'offre de Cyberlibris

Cyberlibris lecture ecoresponsable

Bien qu’il soit synonyme de richesse culturelle, le livre en papier a un effet néfaste sur la planète. Notamment son procédé de fabrication. Depuis les arbres à abattre jusqu'aux rouleaux de papier à produire et à transporter, en passant par les équipements agricoles et industriels utilisés pour cela, sans oublier l'encre nécessaire à l’impression, la conception de la couverture, le choix du grammage des pages intérieures, etc., le coût en énergie est énorme. Bien entendu, une fois en point de vente, le livre ne "coûte" plus rien en CO2, mais toutes les opérations amont affichent un bilan carbone désastreux. Pour corriger le tir, les organisations ont tout intérêt à envisager d’autres alternatives au livre papier, notamment la lecture en streaming ! On pense à tort que le livre en streaming est aussi énergivore que la vidéo en streaming. Or la lecture en streaming n’est composée que de data. En termes d’impact environnemental, elle ne pèse donc quasiment rien. Sans compter que les phases de fabrication sont éliminées, tout comme les opérations de logistique. Ainsi, selon le récent référentiel de la dématérialisation éco-responsable créé par le groupe Serda Archimag, sur un an, la conservation d’un livre papier serait 10 fois plus énergivore que la conservation de son pendant numérique. Soit 32 grammes de GES (Gaz à Effet de Serre) pour un fichier numérique contre 441 grammes pour un livre papier. L’offre de bibliothèque numérique accessible en streaming de Cyberlibris s’inscrit donc parfaitement dans les initiatives de développement durable des organisations.  

L’offre Cyberlibris répond donc à la fois aux besoins (en ressources documentaires, en formations, etc.) des organisations et aux engagements pris dans le cadre de leur politique RSE. Avec plus de 20 000 livres mis à disposition, Cyberlibris offre aux organisations un moyen de minimiser leur empreinte carbone sans pour autant restreindre l’accès à l’information. Voilà pourquoi KEDGE et SKEMA Business School, deux écoles de commerce très engagées dans la maîtrise de leur impact environnemental, ont choisi la solution Cyberlibris. La bibliothèque numérique Cyberlibris est par ailleurs en phase avec les 17 objectifs de développement durable définis par les Nations Unies et à atteindre d’ici 2030, notamment celui concernant l’éducation et la réduction des émissions de GES. Lire, se cultiver ou se former tout en respectant l’environnement, c’est possible avec Cyberlibris !

Source: Archimag

9 novembre 2022

Une étude sur les livres, la lecture, les réseaux sociaux, les ebooks aux Etats-Unis

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93% des américains ont lu au moins 1 livre en 2022 et 1 sur 6 ont lu plus de 20 livres. Concernant les styles de lecture on retrouve dans le top 3, la Fiction 53%, La Fantasy 38% et les suspenses 38%. Autre chiffre intéressant, 40% des américains empruntent des livres dans les bibliothèques. 2 sur 3 achètent leurs ouvrages chez des grands libraires physiques ou en ligne. 1 américain sur 3 achète des livres d’occasion et 36% préfèrent les librairies indépendantes.

Aux USA, les réseaux sociaux et les partages de chroniques sur ces réseaux influencent les lecteurs. Si 54% d’entre eux choisissent leurs livres par recommandation (amis, familles), ils sont 40% à suivre les avis des réseaux sociaux. Parmi ces réseaux TikTok est de plus en plus présent avec 21% ont entendu parler de BookTok. Cette cible concerne particulièrement les jeunes. L’âge moyen des personnes qui ont entendu parler de BookTok est de 29 ans… et bien souvent les très jeunes (12 – 18ans) arrivent au livre via ce réseau. A partir 49 ans on ne s’intéresse pas à ce réseau.

L’étude s’est intéressée aussi aux supports de lecture. 71% préfèrent les livres papier et 86% ont déjà lu un livre numérique. En 2022, 44% des sondés ont acheté un livre papier. 20% ont choisi le livre numérique et 36% ont acheté les deux indifféremment. Ils dépensent en moyenne 73$ pour l’achat de livres papier et 47 dollars pour des ebooks par an. Pour ceux qui choisissent des ebooks, la principale raison est le prix bien inférieur, c’est le cas de 56% des américains. Toutefois, 71 % des Américains pensent que les liseuses rendent plus difficile le soutien aux librairies locales, 75 % ajoutent que les liseuses sont plus pratiques que les livres physiques. 

Source: Idboox

8 novembre 2022

Baisse de la lecture par les enfants allemands

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Si vous regardez le groupe cible des 2 à 8 ans, il y a des changements significatifs : en 2019, seulement 32 % des parents lisent rarement ou jamais à haute voix, d'ici 2022, ce sera 40 %. En revanche, la proportion de parents qui lisent régulièrement est passée de 68 à 60 %. Les activités de lecture diminuent rapidement lorsque les enfants commencent l'école : 22 % des parents d'enfants de 6 ans ne leur lisent plus jamais, 34 % des parents d'enfants de 7 ans et 51 % des parents d'enfants de 8 ans . Selon l'étude, derrière la valeur moyenne, il y a une "biographie de lecture" clairement définie :De nombreux parents commencent relativement tard - avec ou après le deuxième anniversaire des enfants. La plupart des enfants âgés de trois à cinq ans font la lecture à la maison. Au plus tard lorsque les parents commencent l'école, le comportement de lecture des parents dégringole, bien plus qu'en 2019 . parce qu'il manque une transition en douceur" , selon un autre constat de l'enquête.

En ce qui concerne le sexe des enfants , il n'y a pas de différences majeures, seulement dans la proportion de ceux à qui on ne fait jamais la lecture : Ici 23 % des garçons ne se font jamais lire, chez les filles c'est 17 %. Selon l'étude, 31 % des mères et des pères ou leurs partenaires ayant un niveau d'éducation formelle inférieur ne lisent jamais à haute voix, contre 15 % des parents ayant une éducation formelle intermédiaire et 18 % de ceux ayant une éducation formelle supérieure. L'étude montre que la propre expérience de la lecture à haute voix augmente la probabilité que les parents lisent eux-mêmes à haute voix, même dans le cas de parents peu scolarisés. 87 % des parents à qui on n'a pas fait la lecture étant enfants ne leur font pas la lecture non plus.

Parmi les répondants, 56 % ont plus de 10 livres pour enfants, 44 % ont un maximum de 10 livres pour enfants. Le nombre dépend de la taille de la famille et de l'éducation formelle des parents. Et : plus il y a de livres dans le ménage, plus les parents lisent régulièrement à haute voix. Les activités sur smartphones et tablettes que les enfants ayant peu ou pas d'expérience en lecture font plus fréquemment que les enfants ayant une expérience régulière de la lecture ont également été examinées.

L'étude annuelle sur la lecture de "Zeit", de la Reading Foundation et de la Deutsche Bahn Foundation a été publiée cette année avec une nouvelle conception d'étude sous le nom de "Reading Monitor", dans laquelle plus de 800 parents ont été interrogés sur leur comportement de lecture. L'étude considère la disponibilité de matériel de lecture comme l'une des raisons pour lesquelles 39 % des enfants de 1 à 8 ans lisent rarement ou jamais à haute voix : « Parce que plus il y a de livres pour enfants dans le ménage, plus les parents lisent régulièrement à leurs enfants et donner aux plus jeunes l'inspiration pour (lire) plus loin." Les résultats de l'étude ont clairement montré que les mesures de financement précédentes n'étaient pas suffisantes, déclare Rainer Esser, directeur général du groupe d'édition Zeit"Seule une meilleure disponibilité des livres et du matériel de lecture numérique peut contribuer à ce que la lecture à haute voix et la lecture aient lieu dans davantage de familles."

L'étude confirme également ce que d'autres études disent depuis longtemps : les exigences éducatives des parents influencent la fréquence de lecture aux enfants. Parce que plus de la moitié des parents ayant un faible niveau d'éducation formelle lisent rarement ou jamais à leurs enfants - les enfants sont souvent défavorisés avant même qu'ils ne commencent l'école. "Afin d'arrêter la spirale descendante des activités de lecture à haute voix en constante baisse dans les familles dont les parents sont formellement peu scolarisés, nous devons fournir un soutien encore plus ciblé. Si nous parvenons à inverser la tendance ici, nous améliorerons les possibilités de la prochaine génération et celle d'après », déclare Jürgen Kornmann, directeur marketing et relations publiques de la Deutsche Bahn et représentant pour la promotion de la lecture de la Deutsche Bahn Foundation"Parce que les enfants à qui on fait régulièrement la lecture sont aussi beaucoup plus susceptibles de lire à leurs propres enfants."

Il est important d'encourager les parents à lire à haute voix et d'élargir le concept de lecture à haute voix - par exemple en racontant des histoires et en regardant des images dès l'âge d'un an, lance Jörg F. Maas, directeur général de la Stiftung Lesen : « La lecture à haute voix ouvre le monde aux enfants des histoires et jette les bases de l'éducation et des opportunités futures comme aucune autre activité. Par conséquent, l'importance de la lecture à haute voix dans la société doit croître et recevoir plus d'attention et de soutien. Jens Brandenburg, secrétaire d'État parlementaire auprès du ministre fédéral de l'Éducation et de la Recherche,a souligné lors de la présentation de l'étude le 7 novembre à Berlin que la lecture à haute voix est un élément extrêmement important de l'accompagnement scolaire précoce : « Elle apporte une contribution fondamentale pour que les enfants puissent exploiter pleinement leurs opportunités éducatives. La lecture régulière à haute voix n'est pas seulement bénéfique pour compétences linguistiques ultérieures - et compétences en lecture, mais aussi pour l'imagination et renforce également la relation parent-enfant."

Les résultats de l'étude peuvent être lus sur stiftunglesen.de

Source: Böersenblatt

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7 octobre 2022

Un grand appel à volontaires pour lire des histoires dans les bibliothèques

Bookinou

Comment faire aimer la lecture aux enfants ? En leur faisant écouter des histoires. C’est le but d’une opération de grande ampleur lancée par la start-up lyonnaise Bookinou, qui veut enregistrer des usagers de bibliothèques, des parents et des enfants en train de lire une histoire.

Du 7 octobre au 20 novembre, les volontaires feront immortaliser leurs voix lors d’ateliers organisés dans les bibliothèques. Ces enregistrements permettront ensuite de créer une bibliothèque de livres audios sur l’appareil Bookinou mis à disposition au sein de chaque établissement.

Pour cette première édition, 500 bibliothèques et écoles sont de la partie. 

Source: Livres Hebdo 

8 septembre 2022

Essor de la lecture de livres audio en France

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Les histoires s’écoutent désormais autant qu’elles se lisent grâce aux livres audio. Si les Français ont longtemps été réfractaires à ce format de lecture, il rencontre de plus en plus de succès dans l’Hexagone.  La start-up Gleeph a interrogé 600 de ses utilisateurs sur le rapport qu’ils entretiennent avec les livres "parlés". Elle a constaté qu’un Français sur cinq en écoute plus ou moins régulièrement. Les lecteurs se laissent séduire par ces livres sans pages pour de multiples raisons. La première concerne le fait que ce format dématérialisé peut être consommé à tout moment depuis son téléphone ou sa liseuse. L’écoute se fait chez soi, dans son salon, dans son lit, mais aussi beaucoup dans les transports. Autre avantage : le son permet de se consacrer à autre chose, sans perdre le fil de la narration.

La voix est aussi un critère déterminant pour les audio-lecteurs. Ils accordent beaucoup d’importance à la qualité des enregistrements qu’ils écoutent. La raison ? Le format audio ressuscite un peu la magie des histoires d’enfance que nos parents nous lisaient à l’heure du coucher. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que de nombreux lecteurs écoutent un extrait du livre audio qui leur plaît, avant de passer, ou non, à l’achat.Malgré cela, des freins continuent d’entraver le développement des livres à écouter. Ils représentent encore un marché de niche dans le secteur de l’édition. Beaucoup de consommateurs jugent l’offre restreinte à cause du manque de visibilité des livres audio dans les points de vente, physiques ou virtuels.L’attachement au livre en tant qu’objet physique empêche aussi certains lecteurs de sauter le pas. Près de sept Français sur dix déclarent préférer le papier aux alternatives audio ou numériques, selon l’enquête de Gleeph. Ce sentiment est étonnamment très marqué chez les 18-34 ans, même si on dit souvent qu’ils se détournent de la lecture au profit des écrans.

Toutefois, les amateurs de littérature ne demandent qu’à changer leurs habitudes. Un tiers des personnes qui n'écoutent pas de livres audio pourraient se laisser tenter si l’occasion se présente.

Source: La Dépêche du Midi

20 août 2022

Utilisation de la réalité augmentée d'Instagram pour ses recommandations de lecture par la bibliothèque de New-York

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Depuis le début de l’été, la bibliothèque publique de New York a ouvert une “succursale virtuelle” sur Instagram via le #NYPLSummerBookshelf. Un espace de recommandation de lecture, principalement dédié aux jeunes, et utilisant la technologie de réalité augmentée.  La bibliothèque publique de New York s’est lancée un objectif lors de cet été 2022 : encourager les lectures estivales et inciter particulièrement les jeunes à découvrir le plaisir du livre.   Pour ce faire, le réseau de bibliothèque publique se sert d’Instagram, et notamment de son outil “Reel”. Ces publications interactives permettent aux participants de s'enregistrer en vidéo à l’intérieur de la nouvelle bibliothèque virtuelle de prêt de la bibliothèque pour recommander le livre favori de leur été. Une fois cette petite vidéo réalisée, il leur suffit de la publier sur leur compte Instagram et de mentionner le #NYPLSummerBookshelf afin que la bibliothèque publique de New York le relaye sur son compte.  

“Ce projet est une nouvelle façon novatrice et passionnante pour la bibliothèque publique de New York de susciter davantage d’enthousiasme pour les livres et la lecture”, ont déclaré Brian Bannon, Merryl et James Tisch, directeur des bibliothèques et de l’éducation des succursales de la bibliothèque.  

“Utiliser l’incroyable technologie de réalité augmentée d’Instagram pour créer un espace numérique accueillant où tout le monde peut discuter de livres, partager des recommandations et éventuellement se connecter à sa prochaine grande lecture d’été – c’est tout à fait notre allée.”   

La New York Public Library (NYPL) n'en est pas à son coup d'essai pour pousser les plus jeunes à la lecture via la plateforme Instagram. En effet, les nouvelles technologies et les réseaux sociaux en particulier, sont de véritables capteurs de l'attention de cette génération. Avec un argument de poids : la gratuité de ce service.  Pour rappel, la bibliothèque publique de New York avait déjà lancé un projet en 2018 : diffuser des livres au format Instagram Stories. Parmi ces livres, des œuvres majeures très connues du grand public comme “Alice au Pays des Merveilles” de Lewis Caroll , “La Métamorphose” de Kafka, ou encore, “La Séquestrée” de Charlotte Perkins.  

Source: Archimag

26 mai 2022

Une lecture d'au moins 22h de Notre Dame de Paris

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Le week-end du 11 et 12 juin  dans le cadre du festivals des Bernardins (2 avril-17 juillet 2022), plus d'une soixantaine de récitants se relaieront pour lire l'intégrale de l'œuvre phare de Victor Hugo, « Notre Dame de Paris » . Parmi les lecteurs, il y aura   des acteurs de la Comédie Française comme Sylvia Bergé le samedi à 14h,  Nicolas Lormeau le samedi à 17h40 et des écrivains  comme Simon Liberati  le samedi à 16h40, Sébastien Lapaque le dimanche à 7h40.

Cette lecture se déroulera dans la nef du Collège des Bernardins à Paris, chef d'œuvre de l'architecture cistercienn et dura entre 22h et 26 heures. Elle sera accessible librement et gratuitement à toutes les heures de la journée (et de la nuit !). 

30 avril 2022

Livre audio : 800 000 nouveaux auditeurs en 2021

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Année de bouleversement en raison de la crise sanitaire, 2020 s’était traduite par une augmentation généralisée des pratiques de lecture. La 12e édition du baromètre des usages du livre numérique, publiée hier par Médiamétrie, montre que les habitudes des lecteurs se sont maintenues, en 2021, pour les supports imprimé, numérique et audio physique, avec une augmentation régulière du nombre de livres achetés et un panier moyen en hausse : les lecteurs sont 37 % à dépenser plus de 100 euros par an pour les livres imprimés, 18 % pour les livres numériques et 13 % pour les livres audio physiques.

Dans ce contexte globalement favorable, un support s’est particulièrement distingué : le livre audio numérique, dont la croissance est la plus soutenue. Le nombre d’auditeurs de livres audio numériques a progressé de 800 000 personnes, pour atteindre un total de 6,6 millions d’auditeurs. Cela porte à 12 % la part des Français de 15 ans et plus qui ont déjà écouté un livre audio numérique. Le support est en passe de rattraper le livre audio physique, qui concerne 15 % de la population, soit 7,9 millions de personnes. Plus jeune et plus masculine que la moyenne des Français qui lisent, ce public d’amateurs de livres audio numériques est plutôt composé de grands acheteurs de livres (tous supports confondus), avec un goût particulier pour les livres de science-fiction et les mangas. A ce titre, 19 % des auditeurs livres audio numériques déclarent dépenser plus de 100 euros par an. En termes d’usage, le smartphone est de loin l’équipement le plus utilisé. L’abonnement à la lecture audio numérique poursuit aussi sa bonne dynamique : 31 % des auditeurs sont aujourd’hui abonnés à au moins une plateforme.

S’agissant de la lecture numérique dans son ensemble, il est aussi à noter que les pratiques hybrides se développent : 3,7 millions de lecteurs, soit 7 % de la population, ont utilisé les quatre supports (imprimé, numérique, audio physique et audio numérique) pour lire ou écouter un livre en 2021. Toutes catégories confondues, la littérature reste le genre le plus lu. Elle représente 91 % des lecteurs de livres imprimés, 83 % des lecteurs de livres numériques, 73 % des auditeurs de livres audio physiques et 83 % des auditeurs de livres audio numériques. Quant au téléchargement légal, il gagne du terrain : 65 % des lecteurs de livres numériques déclarent télécharger légalement et de manière payante, c’est 8 points de plus que lors du dernier baromètre. A ce titre, le Pass culture a largement contribué à cette tendance chez les plus jeunes. Les lecteurs âgés de 15 à 24 ans sont ainsi 40 % à avoir utilisé le Pass culture pour acheter des livres imprimés, 41 % des livres numériques, 43 % des livres audio physiques et 54 % des livres audio numériques. L’intégralité de l’étude est à consulter en ligne sur les sites du SNE, de la Sofia et de la SGDL, qui l’ont commanditée.

Source : Livres Hebdo 

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