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27 mars 2019

Plus d’un million de livres numériques déjà prêtés par les bibliothèques publiques

Infographie_SNE_prêt numérique

Selon un commiqué  du Syndicat National du livre, la lecture de livres en bibliothèque évolue et offre désormais un accès très large au prêt numérique. Plusieurs offres d’éditeurs ont été développées et proposées aux bibliothèques. Pour répondre à la demande des bibliothèques, 1045 éditeurs (vs. 960 l’année dernière) ont rejoint depuis 2015 un dispositif conçu par l’ensemble des acteurs de la chaîne du livre pour déployer dans toute la France un système de licences de prêts pour les livres numériques appelé PNB (Prêt Numérique en Bibliothèque).

Tous les acteurs concernés (bibliothèques, ayants droit et libraires) ont été associés au développement de PNB, sous l’impulsion du ministère de la Culture, et ont supporté les coûts de sa création et de son développement.

A l’occasion de la parution du bilan de l’année 2018, publié le 18 mars 2019 par le Ministère de Culture et présenté au salon Livre Paris, le Syndicat national de l’édition souhaite rappeler l’importance et les nombreux atouts de PNB.

4 684 bibliothèques, soit 29% des établissements de lecture publique, sont aujourd’hui raccordées à PNB. Ce développement à travers la France et les pays francophone s’accompagne d’une forte croissance du nombre d’emprunts (+45% par rapport à 2017) : avec plus d’un million de prêts réalisés en quatre ans, PNB est un service pleinement opérationnel pour les lecteurs numériques.

PNB regroupe 1045 éditeurs, groupes et indépendants qui proposent un catalogue de 190 000 titres disponibles à l’achat pour les bibliothèques. Cette offre croît tous les ans et dépasse largement les achats des bibliothèques qui ont acquis 38 711 titres depuis 2015.

PNB assure par ailleurs des modalités de prêts souples, adaptables et sécurisées, tout en améliorant régulièrement l’expérience utilisateur de l’usager de la bibliothèque qui bénéficie ainsi d’un accès légal et gratuit aux livres.

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18 mars 2019

Légère hausse de l’usage du livre numérique

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Dévoilé ce lundi 18 mars à Livre Paris, sur le stand des coulisses de l’édition, le baromètre annuel organisé par la Société des gens de lettres (SGDL), le Syndicat national de l’édition (SNE) et la Société française des intérêts des auteurs de l’écrit (SOFIA) _Pagesa enregistré une légère reprise de l’usage du livre numérique: 22% des personnes interrogées ont déclaré avoir déjà lu un livre numérique, contre 20% l’an dernier, et 21% en 2017. Par extrapolation, 12 millions des Français auraient donc déjà lu un livre numérique. La lecture du livre numérique reste générationnelle: 34% des 15/24 ans la pratique, contre 12% pour les plus de 65 ans. Elle est aussi toujours en phase de découverte: "39% des lecteurs actuels ne l’étaient pas il y a un an", selon l’étude. Et elle concerne avant tout les grands lecteurs: 16% lisent plus de 20 livres numériques par an, et 31% plus de 20 livres imprimés. La lecture numérique entraîne un effet de substitution à la marge: 22% des lecteurs numériques achètent moins de livres qu’avant, 17% en achètent plus. Le recours à une offre illégale progresse de 5 points (22% des lecteurs), "e plus souvent pour des raisons de disponibilité des titres", selon le baromètre. 50% des répondants déclarent avoir déjà acheté un livre numérique, et un tiers d’entre eux en achètent plus de 5 par an, dépensant plus de 100 euros. 43% des acheteurs sont passés par leur smartphone. Un tiers se fournit en livres gratuits, notamment du domaine public, ou en bibliothèques. Le prix médian des achats est à 8 euros. 37% des acheteurs se disent attentifs aux promotions. 37% des acheteurs utilisent une application de lecture (Kindle d’Amazon, iBooks d’Apple, Kobo, Google play, Izneo) pour commander leurs livres, contre 39% qui passent par des sites Internet où se retrouvent une partie des mêmes revendeurs (Amazon, Apple, Kobo, etc., soit 29% de ce sous-ensemble), derrière les sites des grandes surfaces spécialisées (14%: Fnac, Leclerc, Cultura), mais devant ceux des librairies (6%: Furet du Nord, Procure, Chapitre, Dialogue, parmi ceux qui sont cités). Et 21% des utilisateurs ont déjà emprunté un livre numérique en bibliothèque. L’ordinateur portable est l’appareil le plus utilisé(40% des lecteurs, +7 points), devant la tablette (38%, +3 points), le smartphone (37%, + 7 points), la liseuse (32%, + 9 points) et l’ordinateur fixe (21%, -1 point). Les trois catégories de livres les plus lus en numérique sont la littérature (69%), loin devant les essais (33%) et le pratique (29%). Par ailleurs, 14% des répondants déclarent aussi avoir déjà écouté un livre audio (+2 points), et 7% disent l’envisager. "Ce sont les mêmes résultats que ceux observés pour le livre numérique il y a 7 ans" remarque le baromètre. Ce sont plutôt déjà de grands lecteurs, et des jeunes. Le smartphone est en tête des appareils utilisés (43%), devant les tablettes (33%) et les ordinateurs portables (31%). Les achats numériques arrivent en tête (34%), loin devant les CD maintenant (14%), mais les usages gratuits sont importants: 30% des lecteurs empruntent leurs livres audio en bibliothèque, et 17% à des proches.

Source: Livres Hebdo

5 mars 2019

Occitanie : E-books, Amazon… Face au numérique, comment le marché du livre s’adapte

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Has been, le livre​ ? Pas si sûr. Une étude de  l'association Livre et lecture, dévoilée ce lundi, montre un marché plutôt dynamique en Occitanie, même si l’ombre du numérique plane de plus en plus sur les libraires, les éditeurs et les auteurs. 20 Minutes a puisé dans ces chiffres-clés quelques-unes des mutations de cette filière. Oui, on lit encore, mais (beaucoup) moins. Les ventes de livres ne s’effondrent pas, dans la région, mais « se tassent », confie Laurent Sterna, le directeur d’Occitanie Livre et lecture. « Il y a moins de grands lecteurs, le nombre de personnes qui lisent plus de 15 livres par an s’est complètement effondré, reprend Valérie Travier, conseillère livre à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac). Le public est aujourd’hui plus large, mais il lit moins. Il y a plus de lecteurs qui lisent un à deux livres par an. » Selon Laurent Sterna, les bouquins sont en concurrence avec les autres loisirs, comme le cinéma, le jeu vidéo ou le spectacle vivant. « Et lire demande un vrai effort d’attention », note-t-il.

En Occitanie, l’étude de Livre et lecture montre toutefois une appétence toujours présente du public pour la littérature. Près de 70 salons ou festivals dédiés au livre ont été créés ces cinq dernières années, dont 32 nouveaux événements en 2016 et 2017. Le livre numérique n’est pas (encore) l’ogre que l’on attendait. L’offre de livres numériques est en forte augmentation en Occitanie : 4.775 titres sont proposés aujourd’hui par les éditeurs membres de l’association Livre et lecture, soit une hausse de 46 % par rapport à 2016. En Occitanie, 16 % des titres sont numériques. Un tiers des éditeurs de la région proposent des e-books, 10 % d’entre eux proposant 90 % de l’offre.

En France, selon une étude du Syndicat national de l’édition, ce marché représente 8,6 % du chiffre d’affaires des ventes de livres. Ainsi, si dans l’industrie musicale, le streaming a quasiment effacé le disque, dans la filière du livre, le bon vieux bouquin a encore très largement les faveurs du public. « Le livre numérique est une question qui faisait peur, il y a encore cinq ans, il y avait une crainte que cette vague vienne tout emporter, indique Laurent Sterna. Avec le livre, subsiste le plaisir de l’objet, il y a un rapport assez sensuel avec le lecteur. Lire sur un écran rétroéclairé n’est pas encore dans nos habitudes. Pour de l’information, oui, mais pas pour de la littérature. »

Amazon fait (beaucoup) de mal aux libraires. Ce n’est pas une surprise : le boom du e-commerce a été dévastateur pour les libraires. Et les tentatives politiques pour remédier à ce phénomène ont été particulièrement infructueuses. « Quand on se félicite [en 2014] d’une loi dite anti-Amazon en décrétant que les frais de port ne pouvaient pas être gratuits, et que cela allait sauver la librairie française, c’est invraisemblable, indique Laurent Sterna. Evidemment, dans la seconde, Amazon a facturé ses frais de port un centime d'euro. C’est à la représentation nationale d’organiser des conditions et des lois qui vont provoquer un écosystème. » Acheter son livre chez un libraire et non sur Internet, peut ainsi représenter aujourd’hui un véritable « acte militant ». « La façon dont on achète un livre n’est pas neutre », souligne le directeur de Livre et lecture.

Les librairies sont (très) fragiles. Avec la concurrence féroce du e-commerce, pas facile d’être libraire, notamment dans les petites structures. Les grosses librairies, dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à 2 millions d’euros, font près de la moitié (48,9 %) du chiffre d’affaires total des librairies d’Occitanie, alors qu’elles ne représentent que 8,6 % du paysage. Les petites boutiques, qui font moins de 300.000 euros de chiffre d’affaires par an, se partagent quant à elles 11,6 % du chiffre d’affaires total du secteur. Alors quand un petit libraire veut passer la main, il a parfois un peu de mal à trouver un repreneur. Or, un tiers des librairies ont déclaré à l’association Livre et lecture envisager une transmission « à plus ou moins long terme ». « Un très bon libraire, formé, va gagner difficilement plus d’un Smic, regrette Laurent Sterna. C’est la triste réalité. C’est un métier où l’on gagne peu. Mais pourtant, de l’envie, il y en a. » Certaines petites structures ne présentent même plus un modèle économique viable, et ne se payent pas. Alors, hormis les traditionnelles lectures, séances de dédicaces ou animations, pour subsister (ou innover), certaines librairies se diversifient en Occitanie. « Avec des résultats qui sont extrêmement variés, il n’y a pas de méthode miracle, souligne Cécile Jodlowski-Perra, la directrice d’Occitanie Livre et lecture. Par exemple, la Librairie-Tartinerie de Sarrant (Gers), devenue l’un des poumons économiques de ce village, propose des livres, mais aussi des tartines, comme son nom l’indique. Cette convivialité permet d’attirer des familles, des groupes, des touristes. En revanche, une librairie de Sète, qui avait proposé du vin et des assiettes de fromage, a fermé. Une partie de l’activité avait même fait couler l’autre. D’autres librairies proposent des jouets. »

Source: 20 minutes

28 octobre 2018

Projet de livre numérique lancée par une université française

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Le projet vient d’être avalisé par les trois partenaires. L’université de Versailles Saint-Quentin (UVSQ), celle de Paris Saclay et le consortium Couperin de recherche pour l’accès aux publications numériques lancent un manuel d’histoire en Open Access.

Ce projet, qui n’a pas d’équivalent, a été retenu par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Il a démarré au sein de la direction des bibliothèques de l’UVSQ et sous l’égide d’enseignants-chercheurs. Entièrement nouveau, il sera accessible à tous (étudiants, lycéens ou amateurs) et comportera de nombreux documents multimédias afin de faciliter son apprentissage.

Conçu dès le départ comme un outil numérique, il sera enrichi en permanence et vise à établir des relations étroites entre utilisateurs et auteurs, via une communauté la plus large possible.

Source: Le Parisien

2 octobre 2018

Autorisation de la TVA réduite pour le livre numérique en Europe

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L’Union européenne a approuvé aujourd’hui une proposition qui permettra aux pays qui le souhaitent appliquer une TVA réduite aux publications électroniques de faire correspondre leur taxe à celle des livres traditionnels.

« La proposition fait partie de nos efforts pour moderniser la TVA pour l'économie numérique, et nous permet de suivre le rythme des progrès technologiques », a déclaré dans un communiqué le ministre des Finances de l' Autriche, M. Hartwig Löger, dont des chaises pays ce semestre UE

Les ministres de l' Economie et des Finances réalisé aujourd'hui donner le feu vert à l'initiative, lancée en Décembre 2016 , après trois tentatives infructueuses en 2017 et 2018 parce que l' opposition de la République tchèque a empêché l'unanimité requise atteindre d'approuver la mesure. Selon les règles actuelles, les livres électroniques sont soumis à un taux minimum standard de 15% dans l'Union européenne (UE), tandis que les pays peuvent appliquer le taux réduit (minimum de 5%), super réduit (moins de 5%). ou taux zéro pour les publications sur papier .

Avec la nouvelle norme, les pays peuvent décider si imposés également avec des taux réduits aux livres numérique,  et un taux zéro peut  être mis en œuvre  dans les États qui  l'appliquent déjà aux publications physiques.

Source: ABC

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20 septembre 2018

Une bibliothèque numérique pour enfants dyslexiques

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La dyslexie est un trouble de la lecture souvent mal diagnostiqué qui se caractérise par une difficulté à lire, à mémoriser les mots ou à les orthographier. Pour les enfants "Dys", l'apprentissage de la lecture se révèle une gageure. Pour les accompagner dans cette habitude et être plus à l'aise avec les mots, l'éditeur Belin vient de lancer une bibliothèque numérique adaptée à ce jeune public. Les titres de cette collection appelée Colibri étaient déjà accessibles en version imprimée depuis 2016. Désormais les enfants Dys vont pouvoir les découvrir sur écran de tablette, ordinateur ou smartphone. Cette innovation technologique devrait profiter à des dizaines de milliers d'enfants. Des équipes d'écrivains et d'universitaires spécialisés en sciences du langage ont apporté leur contribution à la mise au point d'outils de lecture adaptés aux troubles Dys. La charte d'écriture et la charte graphique la charte graphique ont été minutieusement travaillés selon une approche pédagogique spécifique, rapporte le site Actualitte. Ont été notamment passés en revue l'espacement des lettres, la longueur des paragraphes, la taille de la police de caractère ou encore la mise en couleur de certains mots importants. Les enfants ont également la possibilité de découvrir le livre en version audio de tout ou partie du texte ainsi que des passages difficiles. Les jeunes lecteurs peuvent également avoir les définitions écrites et audio des mots difficiles. Des comédiens comme Edouard Baer ou Rachel Arditi ont prêté leur voix à ce projet de livres numériques. La collection est disponible sur le site https://www.belin-education.com/colibri.

La dyslexie se caractérise par une difficulté à maîtriser le stade dit alphabétique de l'apprentissage de la lecture, rappelle la Fédération française des Dys. S'en suit une "une incapacité à mémoriser la forme visuelle des mots et à les reconnaître globalement (stade orthographique)".

En France 8 % des enfants souffrent de troubles de l'apprentissage selon l'Académie de médecine. Dans le monde, 8 à 12 % de la population serait dyslexique selon l'OMS.

Source: Top Santé

17 août 2018

Ventes de livres numériques en hausse en Allemagne

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Les ventes de livres numériques ont dépassé les 100 millions d’euros pour la première moitié de l’année 2018 en Allemagne, révèle une enquête réalisée par GFK Entertainment et le Börsenverein, l’Association des éditeurs et libraires allemands. Avec 16,7 millions d’exemplaires vendus depuis le début de l’année, les ventes ont progressé de 16,4%, contribuant à un chiffre d’affaires de +11,3%.

Le prix moyen du livre numérique allemand est en baisse de 4,3% en 2018, et la lecture numérique séduit davantage de lecteurs. Près de 2,7 millions d'Allemands ont acheté au moins un e-book depuis le début de l’année, soit 6,1% de plus que l’année passée à la même période. L’enquête dévoile que l’achat d’un livre numérique est également plus courant, les lecteurs ayant un panier de 6,2 e-books en moyenne, soit 9,7% de plus qu’en 2017.

En France, le chiffre d’affaires de l’édition numérique représentait 202 millions d’euros en 2017, selon les derniers chiffres du Syndicat national de l’édition, soit une progression de 9,8% par rapport à l’année précédente. Le Royaume-Uni affichait au contraire un recul des ventes de e-books de 4% la même année, selon le rapport annuel de l’institut Nielsen.

Source: Livres Hebdo

15 août 2018

Record de prêt d'ebook à la bibliothèque de Toronto

record prêt ebook

Le 31 juillet 2018, la bibliothèque publique de Toronto est devenue la première bibliothèque au monde à prêter plus de vingt millions de livres électroniques.

"Nous avons toujours dit que Toronto était une ville de lecteurs", a déclaré Maria Cipriano, spécialiste principale des collections à la bibliothèque responsable des livres électroniques. "Cela le prouve."

En 2007, la bibliothèque publique de Toronto a lancé sa première collection numérique. Il y avait 25 titres d'ebook, y compris  Astrology for Dummies , un livre sur Jeanne d'Arc, un livre étrangement presbytère (et quelque peu macabre) intitulé "Crash Proof: How to Profit from the Coming Economic Collapse", et 17 guides de voyage. Un an plus tard, la collection était passée à 1 500 titres, empruntés près de 30 000 fois. En 2017, il avait atteint plus de 170 000 titres, empruntés plus de 4,6 millions de fois cette année-là. Cipriano, qui est responsable de la collection depuis 2011, affirme que les ebooks, les livres audio et l’evideo ont représenté environ 18% de la diffusion de la bibliothèque l’an dernier.

À la question de savoir quels titres se distinguent parmi les vingt premiers, elle déclare: "Le moment crucial pour les ebooks a été Fifty Shades of Grey, en 2011." Ce titre a été emprunté 9 305 fois, se classant sixième sur la liste. Sa combinaison de popularité et d'objet risqué a suscité l'intérêt du public pour les livres électroniques en tant que format. "Parce que c'était un livre électronique, vous pouviez le lire dans le métro sans que personne ne s'en rende compte. Si jamais un livre était destiné à la publication de livres électroniques, c'était celui-là." 

Voici les 3 livres électroniques les plus empruntés de tous les temps à la Toronto Public Library:  La fille du train de Paula Hawkins (trad. Corinne Daniellot), Le chardonnet de Donna Tartt (trad. Edith Soonckidnt) et Les apparences de Gillian Flynn (trad. Héloïse Esquié).

Source:  Bibliothèque publique de Toronto

22 février 2018

Chiffres clés du marché du livre numérique en Belgique

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Les ebooks ont mis un peu plus de temps à décoller en Belgique qu’en France. Pour autant, le retard est en train d’être rattrapé dans un marché plutôt frileux concernant le livre livre papier. En Belgique les ventes sont en constante augmentation avec une hausse de 43% des ventes et 46% en volume.

Les belges ont tendance à aller vers Amazon pour acheter des livres numériques, c’est le cas pour 60% des lecteurs du pays ayant adopté la lecture numérique. Les autres stores recueillent moins d’engouement : Google (14%), Kobo (13%) et Apple (10%). Pour autant, Primento constate que aussi bien Google qu’Apple stagnent et connaissent une croissance nulle, alors que Kobo (associé à la Fnac en France) parvient dans le même temps à doubler son chiffre d’affaires (+96%). Quant à Amazon, il ne progresse plus que de 28%.

Pour Thibault Léonard CEO de l’entreprise basée en Belgique, cette croissance des ventes s’explique « par l’augmentation des achats des lecteurs existants qui disposent déjà d’un support de lecture dédié (liseuses Kobo ou Amazon) ainsi que par la conquête de nouveaux lecteurs. »

Concernant les plateformes de prêt par abonnement, ce n’est apparemment pas une pratique qui plait au Belges. En effet, 2% des livres lus en numérique le sont via une plateforme de prêt numérique. Amazon Kindle Unlimited s’octroie néanmoins plus de 95% de parts de marché dans le prêt de livres numériques en Belgique.

Source: Idboox

11 décembre 2017

A Pékin on lit 65 minutes par jour

Chine Lecture

Selon une récente étude menée auprès des Pékinois, la lecture tient une grande part dans le quotidien des habitants de la ville.  Selon cette étude, rapportée par Le quotidien du Peuple, les pékinois ont consacré en 2017, 65 minutes à la lecture. Le temps de lecture se découpe ainsi : 21 minutes ont été consacrées aux livres papier contre 44 minutes à la lecture d’ebooks. Ce chiffres ont été révélés lors du septième festival de lecture de Pékin. On lit plus à Pékin qu’ailleurs dans le pays. 10,97 livres, ont été lus en moyenne par les Pékinois. Ce chiffre dépasse largement le chiffre moyen des livres imprimés et numériques lus dans le pays. En effet, la moyenne nationale est de 7.86 livres lus par an. Ce n’est pas la littérature générale qui arrive en tête des livres lus, mais plutôt les livres de développement personnel pour 60% des répondants à l’étude.

Malgré Internet, les Pékinois aiment pousser la porte des librairies. 65% des habitants se rendent dans une librairie régulièrement. Ce chiffre est en hausse de 2,91% par rapport à 2016.

Source: Idbook

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