Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Biblioworld
Biblioworld
Publicité
Biblioworld
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 330 299
sondage
22 mars 2018

Le baromètre complet des usages des lecteurs de livres numériques en 2018

ebooks-etudes-statistiques

En 2018, il y a plus de 10 millions de français qui lisent des livres numériques selon le résultat de l’étude menée par OpinionWay.  26% des lecteurs de livres numériques lisent plus qu’avant (contre 21% en 2017) et 20% d’entre eux achètent plus qu’avant (contre 16%) en 2018. Les lecteurs ont compris qu’il était possible de lire un même livre numérique sur plusieurs appareils (tablettes, smartphones, liseuses…). En 2018, 35% des lecteurs ont déjà lu sur tablette et 34% sur smartphone. Ces derniers sont désormais les supports de lecture numérique les plus utilisés. On constate une hausse des emprunts d’ebooks dans les bibliothèques : 19% en 2018 (contre 9% en 2017). Quant au nombre moyen de livres empruntés par mois, il passe à 6,4 (+2,7 livres). Les personnes ayant adopté la lecture de livres numériques utilisent principalement les tablettes et les smartphones (respectivement 35 et 34%). L’ordinateur portable reste un mode de lecture plébiscité pour 33%. La liseuse dédiée est loin derrière avec 23% d’adoption.

68% des sondés déclarent acheter les ebooks via leur application de lecture. 66% le font depuis un site internet et 47% à partir de leur liseuse. Pour ces lecteurs, le paiement à l’acte reste majoritaire (49%), que ce soit en téléchargement (34%), en achat de fichier (10%) ou en streaming (5%). A noter que 22% des lecteurs de livres numériques ont déjà offert un livre numérique (+9%). 43% des lecteurs de livres numériques ont déjà acheté la version imprimée en complément. 42% des lecteurs de livres numériques sur smartphone ont déjà acheté un livre numérique depuis ce support pour une dépense annuelle moyenne de 34€, en augmentation de 11€.

Le baromètre montre également que le piratage d’ebooks évolue faiblement. En effet, 17 % ont déjà eu recours à une offre illégale de livres numériques. 48% déclarent ne pas y recourir par respect du droit d’auteur.

Le travail de fourmi mené par les éditeurs et les plateformes pour faire connaitre et lire en audio porte ses fruits. En 2018, 45% des lecteurs de livres numériques ont écouté au moins un livre audio dans l’année.

 

Source: Idboox

Publicité
Publicité
14 décembre 2017

Le marché physique du livre en recul

marche livre

Alors que les ventes en ligne progressent, le marché physique du livre recule en France, à - 4%, selon l'institut GFK. Les ventes de livres sur Internet progressent en France de 2 points de part de marché avec 12 millions d'acheteurs en ligne (soit 42% des acheteurs de livres), selon l'étude "Le marché e-commerce des biens d'équipement de la maison et biens culturels en 2017"menée, de janvier à septembre 2017, par l'institut GFK pour la Fédération e-commerce et vente à distance (Fevad). "Internet a "recruté" plus de 700 000 nouveaux acheteurs par rapport à l’année dernière. Ces nouveaux acheteurs online viennent grossir les acheteurs mixeurs : plus d’un tiers (35%) des acheteurs fréquentent à la fois le circuit online et offline", détaille GFK.


Mais "le livre reste le seul marché où le dématérialisé, dont la part reste mineure (2%), n’arrive pas à se frayer une place de choix", précise l'étude, contrairement à la musique et à la vidéo.
Le marché physique du livre, qui pèse pour 59% du chiffre d'affaires de l'ensemble des biens culturels physiques, est en recul pour la deuxième année consécutive (-4%). GFK anticipe toutefois une amélioration des ventes avec la sortie de certaines locomotives, comme le dernier tome d'Astérix, Astérix et la Transitalique (Albert René).  
Source:  Livres Hebdo
23 novembre 2017

Pour la lecture, les Français privilégient le papier au numérique

preferences-de-lecture-two-sides

Qui a dit que le papier n'avait plus d'avenir ? Certainement pas l'association Two Sides, structure oeuvrant pour la promotion du format imprimé, qui vient de publier une enquête mondiale sur les pratiques de lecture dans le monde, rapporte le site NewsRoom. Selon cette étude, les Français préféreraient en grande majorité le support papier pour lire leur roman préféré. Ils seraient en effet 85% à opter pour un livre imprimé plutôt que sa version numérisée.  

Dans cette étude, les Français sondés affirment aussi préférer les formats papier des magazines (80%), des catalogues de produits (62%) ou des journaux (59 %), plutôt que pour leurs équivalents numériques. En outre, elles indiquent également faire davantage confiance aux informations relayées dans des journaux papiers (62%), plutôt que celles sur les réseaux sociaux (25%). Autre enseignement de cette étude, "72% des Français disent ne pas prêter attention à la plupart des publicités en ligne", selon Two Sides. Une tendance inverse à la réclame imprimée, selon l'association, qui affirme que 59% des consommateurs français attachent plus d’importance aux courriers et publicités lorsqu’ils sont imprimés.

Source: Europe 1

19 octobre 2017

Les pratiques de lecture ont peu changé en 20 ans

Une étude comparative menée par le magazine J’aime lire à vingt ans d’intervalle (1997 et 2017), et dévoilé ce jeudi 19 octobre, montre que la pratique de la lecture est restée stable en 20 ans. En 2017, comme en 1997, 52 % des Français déclarent avoir lu (souvent ou de temps en temps) lorsqu’ils étaient jeunes. De même, la disparité entre les sexes reste la même. En 1997, 41% des femmes déclaraient lire souvent quand elles étaient jeunes contre seulement 19% des hommes. Vingt ans plus tard, 40% des femmes pour 18% des hommes disent avoir lu souvent dans leur jeunesse.
 
L’étude de J’aime lire dévoile deux nouveautés. En 2017, 63 % des parents ayant au moins un enfant entre 7 et 12 ans déclarent proposer des livres qu’ils ont aimé à leurs enfants, contre 48 % en 1997. Les types de lectures ont également évolué, avec une percée de la bande-dessinée : pas du tout citée en 1997, elle l'est pour 5% des français en 2017, et monte à 9% chez les 25-30 ans. Jules Verne, la Comtesse de Ségur, Le Club des Cinq avaient marqué les esprits en 1997. Vingt ans plus tard, la Bibliothèque rose (et notamment le Club des Cinq) et la Bibliothèque verte dominent le palmarès. Voici les résultat de son sondage en image:

J'aime lire sondage

J'aime lire sondage2

J'aime lire sondage3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Source: Livres Hedbo

23 septembre 2017

Les parents lisent de moins en moins d’histoires aux enfants

lecture_parents_enfants_generique_2017

Un sondage mené par l’organisme de bienfaisance BookTrust auprès de 2000 parents ayant des enfants de 4 à 11 ans, dévoile que les parents passent plus d’une heure sur un ordinateur, un téléphone, une tablette. En revanche le temps passé à lire avec leurs enfants n’est que de 25 minutes maximum par semaine.

La moitié des parents avouent également ne pas finir un livre commencé avec les enfants, ils avouent également refuser de lire un second livre quand l’enfant le demande.

Pire encore, 49% admettent qu’ils sautent des pages prétextant une trop grande fatigue.

Pour sensibiliser les parents à l’importance de partager des moments de lecture avec leurs enfants, BookTrust lance une opération baptisée #TimetoRead sur les réseaux sociaux. Du 18 au 22 septembre, le message sera celui-ci : prenez 10 minutes par jour pour prendre le temps de lire avec vos enfants.

Source: Idboox

Publicité
Publicité
26 septembre 2016

Les bibliothèques universitaires, premier service de l'État pour la qualité de leur accueil

etudiants-bu_282121

Dans le baromètre 2016 sur la qualité de l’accueil dans les services publics réalisé par l’institut TNS Sofres, les bibliothèques universitaires obtiennent une note de 8,2 sur 10, un score supérieur de 0,3 point  par rapport à 2015 et supérieur de 2,9 points par rapport au premier baromètre paru en 2010, ce qui les place en 1ère position.

La note obtenue par les bibliothèques universitaires est par ailleurs supérieure d’un point à la note moyenne obtenue par l’ensemble des services de l’Etat (7,2).

Najat Vallaud-Belkacem et Thierry Mandon profitent de ces résultats pour rappeler l’important travail qui est celui des conservateurs, bibliothécaires et personnels des bibliothèques pour accompagner et soutenir les activités d'enseignement et de recherche, et les remercier de leur engagement au service de la réussite des étudiants.

Enfin, les ministres rappellent que plus de 80 bibliothèques universitaires se sont engagées dans le plan pluriannuel (2016 - 2019) "Bibliothèques ouvertes", destiné à étendre les horaires d’ouverture des bibliothèques universitaires.

Grâce à ce plan, à cette rentrée :

  • le nombre de bibliothèques universitaires ouvertes le dimanche passe de 7 à 15 ;
  • le nombre de bibliothèques universitaires ouvertes en soirée jusqu’à 22h passe de 52 à 73 ;
  • 22 bibliothèques réparties sur 14 sites universitaires voient leurs horaires d’ouverture étendus le samedi jusqu’à 19h.

 

Source: Communiqué du ministère de l'enseingnement supérieur et de la recherche

20 mars 2016

Plus d’un Français sur dix ne lit jamais de livre

lit

"Celui qui ne lit pas aura vécu une seule vie. Celui qui lit, aura vécu 5000 ans", disait le romancier récemment disparu Umberto Eco. Pourtant, la lecture est loin d’être une activité partagée par tous. A l’occasion du Salon du livre, qui se tient jusqu’à dimanche soir Porte de Versailles à Paris, un sondage nous éclaire sur les habitudes des Français en la matière. 

Selon cette étude, menée par l’Ifop pour Dimanche Ouest-France, 13% des Français avouent ne jamais lire alors qu'un peu plus de la moitié (55%) déclare lire entre un et neuf livres par an. Le Centre national du livre classe les personnes qui lisent entre 1 et 4 livres sur 12 mois comme des petits lecteurs, ceux qui lisent de 5 à 19 livres comme des moyens lecteurs et ceux qui dévorent plus de 20 livres par an comme des grands lecteurs.  "Celui qui ne lit pas aura vécu une seule vie. Celui qui lit, aura vécu 5000 ans", disait le romancier récemment disparu Umberto Eco. Pourtant, la lecture est loin d’être une activité partagée par tous. A l’occasion du Salon du livre, qui se tient jusqu’à dimanche soir Porte de Versailles à Paris, un sondage nous éclaire sur les habitudes des Français en la matière.  Selon cette étude, menée par l’Ifop pour Dimanche Ouest-France, 13% des Français avouent ne jamais lire alors qu'un peu plus de la moitié (55%) déclare lire entre un et neuf livres par an. Le Centre national du livre classe les personnes qui lisent entre 1 et 4 livres sur 12 mois comme des petits lecteurs, ceux qui lisent de 5 à 19 livres comme des moyens lecteurs et ceux qui dévorent plus de 20 livres par an comme des grands lecteurs. 

Source : Métro

30 août 2015

Sondage. Les Français aiment toujours lire

sondage-les-francais-aiment-toujours-lire_2509780

Selon un sondage réalisé par BVA Doméo-Presse régionale, 77 % des Français aiment toujours la lecture. En fait, ce sont majoritairement les Françaises et les seniors qui lisent. Les hommes et les jeunes sont plus intéressés par la télévision et internet. Malgré les multiples sollicitations et la concurrence des loisirs numériques, les Français sont donc loin d'avoir banni la lecture de livres papier de leurs loisirs. Et cela est d'autant plus rassurant que même s'ils sont moins assidus que les femmes, deux hommes sur trois déclarent aimer la lecture. Et le constat est identique pour les moins de 35 ans. Cela étant dit, la réalité est plus nuancée. Près de 60 % des hommes préfèrent regarder la télévision plutôt que de lire un livre. Ils sont même un peu plus à céder aux sirènes d'internet. Ce qui est encore plus évident - ce n'est pas une surprise - pour les moins de 35 ans, 71 % préférant surfer sur le net. En revanche, cette tranche d'âge est moins attirée par la télévision, la moitié s'abandonnant aux plaisirs de la lecture. Et que lisent les Français ? Principalement des livres, s'agissant des femmes, les hommes préférant les journaux, les uns et les autres se rejoignant en ce qui concerne le goût des magazines. En revanche, seuls quatre lecteurs sur dix apprécient les bandes dessinées, en majorité des hommes. Et ce ne sont pas les plus jeunes qui en sont les plus friands mais les 35-64 ans. « C'est la génération Tintin, Spirou, Lucky Luke ou Astérix qui continue à acheter de la BD divertissement. Alors que les plus jeunes privilégient une BD plus typée reportage ou documentaire », souligne Frédéric Prilleux, bibliothécaire dans les Côtes-d'Armor (lire par ailleurs). Autre enseignement de ce sondage : le choix des auteurs préférés des Français traduit une préférence étonnante pour les auteurs classiques. Pagnol, Hugo et Zola caracolent largement en tête devant les premiers contemporains. Sans aucun doute l'effet collège et lycée... On peut aussi se demander si ces auteurs préférés sont aussi lus que plébiscités. A contrario, les écrivains étrangers préférés correspondent mieux aux choix effectués dans les libraires et bibliothèques. Il n'est pas étonnant non plus que Sherlock Holmes soit le héros de roman policier le plus apprécié des Français.
Source: Le Télégramme  

21 juin 2015

On lit moins mais plus numérique en Belgique

3111d8c0-166d-11e5-96e3-c5aa5654f9f5_original

Pour la troisième année consécutive, l’Association des éditeurs belges a demandé à l’institut de sondage Ipsos de cerner le Belge francophone, ses habitudes de lecture et ses canaux d’accès aux livres. Une enquête qui reflète les changements que connaît actuellement le marché du livre. Si on prend en compte la population francophone belge alphabétisée, 84% ont lu au moins un livre dans les douze derniers mois. Parmi ces 84%, 48% ne lisent que des ouvrages imprimés, 5% exclusivement des livres numériques et 47% les deux. La part numérique augmente chaque année. Qui est ce lecteur numérique? Le plus souvent un homme, de 15 à 44 ans, habitant Bruxelles et diplômé de l’enseignement supérieur.

Le lecteur est d’abord une lectrice, 51% de femmes contre 49% d’hommes. Un lecteur francophone sur quatre habite Bruxelles; 34% le Hainaut et le Brabant-wallon et 41% Liège-Luxembourg-Namur. On constate un bel équilibre (20%) côté âge avec juste une petite augmentation du taux (22%) chez les 35-44 ans et une petite diminution (18%) chez les 55-64. En revanche, plus la classe sociale est élevée, plus le taux de lecteurs grimpe. Près d’un lecteur sur deux appartient aux classes sociales les plus élevées. Corollaire, 52% des lecteurs ont un diplôme de l’enseignement supérieur alors qu’on retrouve seulement 2% de lecteurs chez les non-diplômés (ou juste l’école primaire). Six lecteurs sur dix travaillent et ce sont majoritairement des employés.

 

C’est d’abord pour son plaisir que le Bruxellois ou le Wallon lit. Et surtout des livres imprimés. La part du numérique augmente lorsqu’on lit dans le cadre du travail ou des études (donc surtout chez les jeunes). En moyenne, le lecteur a lu 16 livres imprimés et en a acheté 10. En revanche, pour le numérique, les lecteurs ont lu, en moyenne, un peu moins de neuf livres dont trois seulement ont été achetés. Dans l’absolu, le nombre de livres lus par personne a tendance à baisser. Le budget livre du Wallon et du Bruxellois s’élève, en moyenne, à 126€ par an pour les livres imprimés et à 67€ pour l’achat de livres numériques. Le livre papier est d’abord acheté en librairie mais elles sont suivies de près par les grandes surfaces. L’achat en ligne devient aussi important, 41% des lecteurs avouent avoir acheté un ou des livres imprimés via l’e-commerce. Le livre numérique est quant à lui principalement acheté sur Amazon, IBooks et Google books. Amazon se taille la part du lion. Curieusement, les classes supérieures achètent leurs livres numériques de préférence sur Amazon, les inactifs sur iBooks et les diplômés du secondaire sur Google books… 26% des lecteurs reconnaissent aussi avoir téléchargé (ou lu en streaming) illégalement des livres numériques! L’achat de livres numériques devrait augmenter dans le futur puisque tous les lecteurs (et même les non-lecteurs) envisagent d’en augmenter l’usage.

Plusieurs supports sont utilisés par le lecteur numérique. Si l’ordinateur reste le principal, son usage diminue chaque année. Actuellement, c’est la tablette qui a la cote, suivie de loin par le smartphone et la liseuse. Sans surprise c’est en format PDF que le livre est le plus souvent téléchargé. On constate aussi une augmentation du livre lu en ligne via le streaming. omme pour le livre imprimé, c’est d’abord de la littérature générale qui est lue numériquement. Curieux, le lecteur numérique achète plus de romans qu’il n’en lit. L’effet «je remplis ma bibliothèque»?

Source: L'avenir

 

 

19 mars 2015

Les utilisateurs du livre numérique n'abandonnent pas le format papier

Livre numérique

Le numérique ne représente pas une menace au format papier. Au contraire : 54% des lecteurs de livre digitalisé lisent plus de 10 livres papier par an, montre une étude réalisée par Librinova et Youboox auprès de 510 personnes. Les principaux atouts du numérique sont le coût (27%), la simplicité d'utilisation (23%) et la possibilité de découvrir de nouveaux auteurs. Sur tablette ou en format classique, les exigences sont les mêmes, à savoir la qualité du contenu, pour 76% des sondés. Sur ces deux supports confondus, le genre préféré le plus fréquemment cité (par près de 4 personnes sur 10) sont les oeuvres de fiction. Ensuite, il semble que le digital se prête un peu mieux aux nouvelles et histoires courtes (15%), tandis que le papier est plus propice aux BD et mangas (13%).

La différence la plus notable concerne le suivi de la lecture. Les lecteurs en numérique se lassent plus vite que les autres. Ils sont en effet seulement 35% à terminer systématiquement un ouvrage sur tablette, contre 60% pour le livre papier.

Source: La montagne

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 > >>
Publicité