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28 décembre 2016

L’échange gratuit de livres, c’est dans la boîte !

Lieusaint boites à lire

C’est une boîte qui offre mille horizons. Lieusaint (Seine et Marne) a succombé à la bien jolie mode qui consiste à mettre en place des lieux facilitant les échanges de livres. Quatre boîtes à livres ont ainsi été installées au parc de la mairie, place du Colombier, sur la coulée verte de Lavoisier et à la gare. On peut se servir à volonté, gratuitement, et y déposer les livres que l’on a déjà lus ou que l’on veut partager.

Petit plus de modernité, ces boîtes sont équipées de QR qui permettent, à partir de son téléphone, de télécharger des œuvres tombées dans le domaine public, comme « Croc Blanc » de Jack London ou « Le fantôme de l’opéra » de Gaston Leroux. Les titres numériques changeront régulièrement et la ville étudie la possibilité de disséminer ces QR codes via des affiches dans les rues.

Ces boîtes sont fabriquées par une société française avec des briques de lait recyclées.

Source: Le Parisien

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29 novembre 2016

Les livres nichent dans de drôles de maisons

bourg-des-comptes boite à livres

Depuis quelques jours, à Bourg-des-Comptes, au sud de Rennes, les habitants peuvent apercevoir, ici ou là, des livres échappés de la médiathèque L'Agora. Livres, romans, albums, BD… sont lovés dans des boîtes aux livres, aux quatre coins de la commune. A Bourg-des-Comptes, livres, romans, albums, BD… ont « pris la poudre d'escampette »,explique Karine Ramasseul, responsable de la médiathèque L'Agora à Ouest France.

« Ils attendent le public dans leurs résidences, cinq drôles de maisons conçues et réalisées par Alain Lemarchand. Repérez-les au fil de vos déambulations. Elles nichent auprès de la médiathèque, place de l'Église, place de la Courbe, à l'intersection de la rue de la Gare et de la rue du Camping, et rue des Rondines », ajoute la responsable, qui propose cette opération depuis quelques années déjà.

Pour que l'action perdure, les lecteurs voraces ou plus timorés sont invités à sortir eux aussi leurs ouvrages de leurs étagères pour leur donner la chance d'être découverts par d'autres amateurs.

« Attention, ce ne sont pas des poubelles. Les livres doivent être en bon état et intéressants. L'idée est de faire partager un document que l'on a aimé. »

 

11 octobre 2016

La gratuité fait bondir les inscriptions aux bibliothèques de Bordeaux

bibliotheque_meriadeck

Après un an de gratuité au sein de ses bibliothèques et médiathèques, la ville de Bordeaux tire un bilan enthousiasmant. Les inscriptions font un bond :

« Plus de 50% de nouveaux inscrits, pour la plupart des personnes prenant pour la première fois un abonnement à la bibliothèque », indique la mairie dans un communiqué.

La courbe des inscrits garde une forte progression. En 2014, ils étaient 32000, puis 38000 fin 2015 pour atteindre aujourd’hui 41000. Le taux d’inscription dans la commune atteint 17,5%, bien au-dessus des villes moyennes (13% d’inscrits) et encore surtout des villes de plus de 100 000 habitants (10%). La gratuité a été mise en place au 1er octobre 2015. Le coût avait été estimé à 40000 euros – si les abonnements rapportaient 120000 euros, le coût de la collecte des droits d’inscription était évalué à 80000 euros.

Cette mesure figurait dans le « schéma directeur de la lecture publique et de la politique du libre 2015-2020 » comportant 29 engagements dont la rénovation effective de la bibliothèque Saint-Michel, l’ouverture d’une nouvelle médiathèque à Caudéran en 2018 et d’une à Mériadeck, ou encore l’enrichissement de la bibliothèque virtuelle avec notamment « l’exemplaire de Bordeaux » des « Essais » de Montaigne.

Source: Rue 89

1 octobre 2016

Une cabane à livres pour échanger autour de la lecture

cabanalivres

Une belle initiative du Centre communal d’action sociale (CCAS) de Chepy, près de Moyenneville (Somme) permet aux gens de se rencontrer et d’échanger des livres mais aussi de leurs envies de lecture. Michèle Briet, conseillère municipale et membre du CCAS, est à l’origine de la « Cabanalivres » avec les membres du bureau, elle explique comment elle a connu ce concept si particulier : « La première fois que j’ai vu ce système, c’était en Savoie. Les gens avaient aménagé un espace d’échanges de livres dans une ancienne cabine téléphonique ! On en a parlé longuement au CCAS et tout le monde a aimé l’idée. »

Pour Michèle Briet, les bienfaits sont doubles pour les habitants: « Tout d’abord, nous avons pensé aux personnes les plus âgées de la commune qui sont parfois isolées. Nous nous sommes dit qu’aller dans un endroit comme La Poste pour prendre un livre mais aussi en déposer ne serait pas comme aller dans une bibliothèque. Ce service est gratuit et il est surtout basé sur l’échange autant sur les livres que sur la lecture qui en découle. Mais cela permet aussi de promouvoir la lecture. »

De plus, cette petite réserve de livres est en accès libre aux horaires d’ouverture de l’agence postale. Depuis 15 jours, la « cabanalivres » est installée, elle contient des livres dénichés par le CCAS et des dons d’habitants. Les habitants ont évoqué l’expérience avec la conseillère municipale et membre du CCAS. « Je n’ai eu que de bons retours ! Certains m’ont dit : « Je suis venu prendre un livre et j’en ai ramené 3 de ma collection personnelle ». C’est une bonne chose et puis, nous sommes en milieu rural, le prix des livres neufs est très élevé, cela nous permet de pouvoir lire toutes sortes de livres sans contrainte de moyens. »

Source:  L'informateur L'eclaireur

13 juillet 2016

Une TVA réduite à 6% pour les livres et les journaux électroniques

TVA livres numériques

En Belgique, la commission des Finances de la Chambre a approuvé mercredi à l’unanimité une proposition de résolution qui demande au gouvernement de prévoir un taux réduit de TVA sur les livres et les journaux électroniques, comme c’est déjà le cas pour leurs équivalents sur papier.Considérés comme des biens de première nécessité, les livres et brochures, les journaux et publications périodiques, les albums et livres d’images, les albums à colorier pour enfants, la musique manuscrite ou imprimée sont soumis à une TVA de 6% au lieu de 21%. Sont exclus les ouvrages publicitaires.

Initiée par la députée Caroline Cassart (MR), la proposition vise à appliquer le même tarif aux livres électroniques. Un amendement de Georges Gilkinet (Ecolo) a étendu la résolution à la presse sur format électronique.

«La valeur d’un livre est indépendante de son format et de la façon dont le lecteur y a accès», souligne l’auteur de la résolution, qui met en avant la révolution numérique de la société et le risque d’un déficit de compétitivité des éditeurs et livres belges sur un marché en plein essor.

Source: Sud Info

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30 juin 2016

Un livre pour marquer l'entrée au CP et en 6e

Livres CP 6eme

Nour et le peuple des loups », « le Garçon qui nageait avec les piranhas », « Amanda et les amis imaginaires »... Voici quelques exemples de titres de livres que viennent de recevoir les enfants de Montreuil qui passent en 6 e.

Ce ne sont pas les seuls écoliers à avoir ainsi été récompensés par la ville. Les grands de maternelle, qui vont entrer au CP, ont droit aussi à leur ouvrage. Les titres ont été sélectionnés avec l'aide des enseignants, et chacun a pu choisir entre « le Géant de Zéralda », « la Valise rose », « Et si jamais »... Dans une commune qui accueille chaque automne le Salon du livre jeunesse, il n'est pas surprenant d'habituer les plus petits à la littérature jeunesse.

Source: Le Parisien

24 juin 2016

21 projets retenus dans le cadre du «plan bibliothèques ouvertes

Bibliothèque

Les 21 projets retenus dans le cadre du «plan bibliothèques ouvertes» couvrent 35 villes universitaires, et concernent près de 80 bibliothèques, a précisé Najat Vallaud-Belkacem, selon le texte de son discours lors de l’inauguration de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg. Parmi ces projets, huit prévoient d’ouvrir le dimanche, ce qui portera à quinze le nombre de bibliothèques universitaires (BU) accessibles ce jour à partir de la rentrée 2016.  De même, 21 bibliothèques supplémentaires reparties sur treize sites proposeront des horaires d’ouverture étendus jusqu’à 22H00 en semaine, notamment avant les examens, portant à 73 le nombre de BU ouvertes en soirée. Le samedi, 22 bibliothèques réparties sur 14 sites élargiront à la rentrée leur ouverture jusqu’à 19H00.

«Des bibliothèques ouvertes plus longtemps, ce sont des bibliothèques auxquelles davantage d’étudiants ont accès, et donc davantage d’opportunités pour eux de réussir», a fait valoir la ministre. Elle a souligné l’importance de disposer de telles conditions d’études notamment pour des jeunes vivant dans de tout petits studios, ou encore pour des étudiants salariés «pour lesquels des horaires d’ouverture des BU étendues ne sont pas un luxe».

Les projets retenus sont ceux des universités de Bordeaux, Bourgogne, Cercy-Pontoise, Franche-Comté, Lyon, Montpellier, Nouvelle-Calédonie, Orléans, Sorbonne Nouvelle, Paris Dauphine, Paris Descartes, Paris Sud, Strasbourg, Haute Alsace, Côte d’Azur, Pau Pays de l’Adour, Valenciennes, ainsi que les Comue (Communautés d’universités et d’établissements) Bretagne Loire, Normandie, et les instituts d’études politiques Sciences Po Paris et Sciences Po Lille. Un second appel à projets sera lancé à la rentrée 2016. Le ministère va consacrer 12,7 millions d’euros de 2016 à 2019 «aux projets d’amélioration de l’accueil des étudiants en bibliothèques universitaires», et 4 millions d’euros «sur les quatre années à venir pour les premiers projets retenus, avec, progressivement, un relais de la prise en charge des coûts par les établissements».

Source: Le Figaro

19 juin 2016

Calaisis : des cabines téléphoniques vont se transformer en bibliothèques

Cabine téléphonique bibliothèque

À compter de ce lundi, six villages de la communauté de communes du sud-ouest du Calaisis (CCSOC) inaugureront leur « Cabinalivre ». Derrière ce mot, se cachent des bibliothèques d’un genre nouveau : l’idée est de donner une seconde vie à des cabines téléphoniques hors d’usage en y posant des livres.  Tout a commencé il y a près d’un an avec la loi Macron permettant à Orange de ne plus entretenir les cabines téléphoniques inutilisées depuis l’expansion du portable. Dans la tête de Barbara Lefebvre-Mondejar, responsable culture de la CCSOC, et de quelques élus, puis avec Anne Versailles, artiste en résidence invitée par cette même CCSOC, a germé l’idée de les recycler dans le réseau de lecture publique. Orange a débranché les cabines et récupéré les combinés. L’habitacle appartient désormais aux municipalités.

Patrick Crombez, président de l’Omnisport de Fréthun, a dessiné bénévolement les plans d’aménagement intérieur et les a transmis aux villages concernés. Aidé de trois autres passionnés, il a démonté celle de Fréthun, mal placée, pour l’équiper et la transformer. «Pour sa décoration extérieure, j’ai voulu assembler lecture et jardin, explique Patrick Crombez. La cabine sera insérée dans une carcasse de voiture, on y mettra du sable, des oyats, un palmier, pour une ambiance vacances plutôt déjantée. Ma fille Sophie réalise les peintures. » La cabine sera installée près de la maison des associations afin qu’elle soit plus accessible. La municipalité a assuré le démontage, le transport et l’installation avec l’aide des ouvriers municipaux. « Elle nous prête à l’année le hangar et l’outillage, ce qui nous permet de créer toutes sortes de machines ou décors pour l’animation du village », souligne-t-il. Le coût de l’aménagement intérieur est financé par la CCSOC, soit environ 400 € par cabine, l’extérieur est à la charge de chaque village de la communauté de communes.

Les rendez-vous : première inauguration ce lundi à Escalles à 19 h, sur la place près du Point info tourisme, au cours de laquelle Anne Versailles clôturera sa résidence. Suivront celles de Pihen-lès-Guînes le 21 à 15 h (à côté de l’école), de Fréthun le 22 à 17 h (à côté de la salle des associations), à Peuplingues le 23 à 14 h (près de la mairie), aux Attaques même jour à 18 h (près de la Poste), puis à Bonningues-lès-Calais le 24 à 18 h 30 (à côté de l’école).

Source: La Voix du Nord

12 juin 2016

Des boîtes à lire installées à Brive

boites-a-lire Brivr

Sur une initiative du Conseil municipal des jeunes, dix boîtes à lire quadrillent Brive (Corrèze), pour faire circuler les livres. L’île aux fous d’André Soubiran, A Chicago un harmonica sanglote le bluesde Gérard Herzhaft, J’ai cru au matin de Pierre Daix, un livre jeunesse de Sara K, un guide touristique sur la Corrèze, une expérience lycéenne au Mali… Le choix des propositions des boîtes à lire, comme mercredi dans celle installée sur le parking de la Piscine, est très éclectique.

Mais l’alimentation de ces mini-bibliothèques en libre-service ne se fait pas forcément au hasard : si les gens peuvent prendre un ou plusieurs livres au gré de leurs envies, les ramener (ou pas) et en déposer d’autres suivant le système de bookcrossing, elles sont également approvisionnées par une animatrice du Conseil municipal des jeunes, sur le modèle de la première boîte à lire municipale installée en 2014.

« Nous avons environ 2.000 livres en stock, dont une partie provient des dons de la médiathèque municipale, des livres sortis des collections », expliquent Marc Brandy, chef de service Enfant et jeunesse de la ville, et Alexandre Bonnie, conseiller municipal en charge du CMJ.

Deux fois par semaine, Jamila Houdaibi, animatrice, gère leur contenu : elle sort les livres, les contrôle, les tamponne et y place un marque-page estampillé CMJ, puis les redispatche, une vingtaine par boîte. « Si des livres restent trop longtemps, c’est qu’ils ne plaisent pas, l’animatrice les retire des boîtes. Cela permet de créer un turn-over, de varier le choix selon les quartiers… et aussi de vérifier s’il n’y a pas n’importe quoi dans les boîtes (propagande de secte, publicité…) ».

Les boîtes à lire permettent ainsi de donner une deuxième vie, voire plusieurs, aux ouvrages, mais aussi « d’amener la culture vers les gens, souligne Alexandre Bonnie. Ce n’est pas du tout la même démarche que les prêts à la médiathèque?; il n’y a pas de contraintes d’inscription, de retour, de se rendre dans un lieu de culture ».

Les usagers jouent le jeu et ramènent la plupart du temps les livres empruntés. Sauf peut-être à la gare, où « on ne revoit jamais certains livres qui sont pris par les voyageurs pour lire dans le train ; en contrepartie, il en arrive de nouveaux, venant des usagers qui s’arrêtent à Brive ».

De nouvelles boîtes ont vu le jour au printemps en concertation avec les Conseils de quartiers et les centres socioculturels de Tujac, des Chapélies et de Rivet. « Cela permet de quadriller la ville et ses quartiers, de toucher toutes les générations », précise le conseiller municipal.

« Nous avons également modifié certains emplacements où les boîtes n’étaient pas trop utilisées, comme celle située à l’entrée du cinéma Rex?; elle a désormais une place privilégiée devant la collégiale Saint-Martin, où il y a beaucoup de passage. Ou encore celle à l’intérieur de la Mission locale, qui va être déplacée à l’hôpital pour les visiteurs, les malades et le personnel ». 

Source: Le Populaire

7 juin 2016

Plan d'économies : la Ville de Grenoble va fermer deux bibliothèques municipales

bibliothèque fermeture Grenoble

La Ville de Grenoble (Isère) se dit étranglée par la baisse des dotations budgétaires de l’État. Ce jeudi, elle doit présenter un plan de «refondation du service public». Un plan d’une centaine de mesures qui prévoit de nouvelles recettes mais aussi des réductions des dépenses.

C’est un plan qui comporte 102 points. Il doit annoncer des recettes, avec notamment la hausse du stationnement, de la restauration scolaire, et du prix d'entrée des piscines. Mais il prévoit aussi une réduction des dépenses. Ainsi, la Ville de Grenoble, prévoit des coupes budgétaires avec notamment la fermeture de deux bibliothèques. En tout, cela devrait représenter entre 15 et 20 postes en moins, le réseau des bibliothèques employant actuellement quelques 180 agents. Pour Jérôme Safar, chef de file du groupe socialiste et ancien adjoint à la culture sous la municipalité de Michel Destot, « on s'attaque cette fois à un symbole fort » avec les bibliothèques. « Ce n'est pas la refondation du service public qu'on nous prépare, estime-t-il, mais bien la destruction massive de ce qui fait la qualité de vie à Grenoble. »

Source: France Bleu

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