L'état plus précisément le ministère de l'Outremer a commendé pour 5000€  de livres. Cette commande portait sur 500 exemplaires du  livre d'un même auteur. Vous vous demandez qui est cet auteur chancheux. Il s'agit de Marie-Luce Penchard qui était à l'époque  ministre de l'outremer. Ce livre intitulé Outremer, terre d'avenir est sorti aux éditions ean-Claude Gawsewitch le 5 juin 2012 dans le cadre de l'élection légistive de Guadeloupe. Il faut noter que cet achat correspond au tiers du tirage de ce livre. En effet, il a été seulement tiré 1500 exemplaires.

De son côté, l'auteure a promis au Canard qu'elle avait « renoncé à tout droit (sic) d'auteur ». À quel profit, c'est une autre question.

Source: Actualitté

La décision du gouvernement grec de fermer le Centre national du livre (Ekebi en grec) après 19 ans d’existence et de centraliser la politique du livre au ministère de la Culture provoque l’indignation dans les milieux culturels du pays. Une pétition de protestation circule parmi les auteurs, éditeurs et intellectuels, tandis que l'Union du livre, qui représente le secteur, a vu dans l'annonce ministérielle la preuve du «total manque d'intérêt de l'Etat pour la culture et l'éducation». Directrice remerciée du Centre, Catherine Velissaris déplore «un vaste mouvement jacobin de recentralisation de toutes les politiques vers les ministères», réputés pour leurs lourdeurs bureaucratiques et leur clientélisme.«Nous sommes inquiets du sort de beaucoup d’autres manifestations emblématiques, ajoute Catherine Velissaris, comme le Festival d’Athènes qui est sans directeur depuis plusieurs mois, ou la Foire internationale du livre de Salonique, que nous avons programmée en avril prochain avec la Grande-Bretagne comme invitée d’honneur.»

«L'Ekebi coûte peu à l'Etat et lui rapporte beaucoup», ont de leur côté mis en avant ses 35 employés, la plupart en contrats précaires et ayant accumulé des mois de salaires impayés. Pour 2012, le budget, réduit au minimum, était de 1,5 million d'euros, dont plus de la moitié issue de fonds européens.

Source: Livres Hebdo

Un délai de six mois s’est achevé samedi 5 janvier en Turquie, permettant la vente et la distribution de publications précédemment interdites. Seules les levées d’interdictions effectuées à Ankara ont été confirmées à l’AFP pour l’instant. En juillet 2012, le Parlement turc avait promulgué une loi spécifiant que toutes les décisions administratives prises avant 2012 de «saisie, interdiction ou obstacles à la vente et la distribution de publications imprimées [seraient] caduques», si elles n’étaient pas confirmées par un tribunal avant six mois. Aucune décision de justice n’ayant été signalée pour renouveler des interdictions, selon le président de l’Union des éditeurs de Turquie, près de 23 000 œuvres devraient être à nouveau disponibles.

Seul le procureur de la République Kürsat Kayral a annoncé publiquement qu’il ne renouvelait aucune des interdictions prononcées dans sa juridiction d’Ankara, rendant ainsi à nouveau possible la vente de 453 livres et 645 périodiques.

Source: Livres Hebdo

La région Rhône-Alpes va financer cinq projet de livres numériques de littérature jeunesse. En effet, une somme de 20 000€ sera alloué à chaque projet. 4 des ces projet sont conçus par des entreprise de la région:

• Moutcho et Pitrouille par Iboo interactive entreprise basée à Lyon,
• Le Marchand de Sable par Hocusbookus entreprise bassée à Annecy,
• Apolline et Léon  par Avant-Goût Studios entreprise basée Saint-Etienne,
• Kadath, le guide de la cité inconnue par Mnémos entreprise basée dans le Beaujolais.

Le cinquième est le livre papier intitulé Alabama Blues de Maryvonne Rippert paru aux editions Oskar le 13 novembre. Dans ce livre, le lecteur  trouve des  flash-codes en fin de pages qui lui permettent d'écouter la même musique que le héros. Cette musique a été composé par un groupe lyonais les Chics Types.

De plus, l’histoire se déroule à Lyon. Lou fait la connaissance de Dexter, un noir américain SDF, qui joue du saxophone dans la rue. Le même jour il rencontre les Chics Types et s’apercevra par la suite que la nièce d’un des membres du groupe n’est autre que Lou (eh oui !!! ils ont le même prénom), la peste de la classe ou du moins celle qui le bouscule, celle qui l’attire aussi. Ces rencontres (Dexter, les Chics Types et la belle Lou) vont l’aider à se construire, à trouver son chemin, sa mélodie. Ces rencontres ont un dénominateur commun : la musique !

Le différend entre la Chine et le Japon autour d’un petit archipel inhabité en mer de Chine orientale, appelé Diaoyu à Pékin et Senkaku à Tokyo, a des répercussions sur le marché du livre chinois.

Selon The Bookseller, le Bureau de la presse et de l'édition de Pékin a demandé le 14 septembre à des éditeurs de la capitale d’arrêter de publier des livres écrits par des Japonais, protégés par des droits d’auteur japonais ou même écrits par des Chinois sur le pays du Soleil levant.  Pour l’instant, il semble que l’interdiction s’applique à Pékin seul, mais quelques éditeurs japonais ont déclaré qu’elle s’était étendue à l’extérieur de la capitale. Le 21 septembre à la grande librairie Wangfujing Bookstore, des livres ont également été retirés des librairies, par exemple le best-seller 1Q84 de Haruki Murakami ainsi que d’autres ouvrages.

Enfin, le Bureau de l'information du conseil des Affaires d'Etat du gouvernement chinois a publié le 25 septembre un livre blanc qui a pour titre « Les îles Diaoyu font partie intégrante du territoire chinois ». Les livres sont ainsi utilisés comme un double instrument de pression.

Source: Livres Hedbo

Le conseil général de Guyane a une idée étonante pour promouvoir la lecture. En effet, la bibliothéque départementale de prêt va acquérir des pirogues. Elles vont servir à acheminer les collections de livres dans les régions non accessibles par la route ( l'Oyapock et le Maroni). Cette initiative s'inscrit dans la politique culturelle de lutte contre l'illettrisme et les inégalités sociales de la collectivité. Sa finalité est de donner l'envie à tous les publics et en particulier aux jeunes de lire. Les pirongues seront opérationelle durant le premier  trimestre 2013. Dès lors que la communes ne diposera pas de structure d'accueuil, la pirogue servira de lieu de lecture. Le coût du projet s'élève à 45000€ (9150€ par le conseil général et 36600€ par les Affaires Cuturellesde Guyane).

Source: Bibliofrance.org

Les fermeture touchent des bibliôthèques municipales en France. En effet, c'est qui attend la bibliothèque de Paopao à Tahiti  car les subventions  ne sont plus suffisantes pour assurer ses frais de fonctionnent. Les deux employées seront licenciées à la fin du mois de septembre. Outre le fonds important de livres constamment renouvelé, cette petite bibliothèque organise de nombreuses animations auprès des jeunes des écoles et des collèges de l'île, puisqu'elle est aussi itinérante (déplacement dans les mairies annexes chaque mois)...

Un appel au mécénat a été lancé, mais pour l'instant sans succès. Le dernier espoir c'est la mairie (prochain conseil municipal), mais ce ne sera pas suffisant. En  efffet, un petition a été leancéa mais n'a obtenu que 162 signatures sur les 1000 escomptées.

Cette année, le livre choisi pour l'opération "Un livre pour l'été" par le gouverment est Les Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet. Ce livre  que devront lire  les élèves de CM1  pendant l'été  est une sélection  de 16 lettres: 

• Instalation,
• Le secret de Maître Cornille,
• La Chèvre de Monsieur Seguin,
• les étoiles,
• La mule du pape,
• Le curé de Cucugnan,
• Les vieux,
• La mort du dauphin,
• Le sous prefet aux champs,
• Le portefeuille de Bixiou,
• La légende de l'homme à le chervelle d'or,
• Le poète Mistral,
• Les trois messes basses,
• Les Oranges,
• Les sautrelles,
• l'elixir du révérent père.

Ce livre est télécharble gratuitement sur le site du CNDP.

Le porte-parole socialiste de la Mairie, Jaime Lissavetzky, a dénoncé que les 28 bibliothèques municipales de Madrid n'avaient pas reçu de nouveaux livres depuis un an et demi  et il a exigé à l'équipe municipale qu'il investisse "d'une manière urgente" les 350.000 euros  qui  serviront à  l'achat d'exemplaires.

Dans un communiqué de presse, Lissavetzky assure que depuis ce temps, les bibliothèques municipales ne reçoivent pas de nouveautés de l'édition et ne renouvellent plus  les livres détériorés  et il rappelle que renouveler les recueils est clef pour "fidéliser et augmenter le nombre de lecteurs", mais aussi pour aider le secteur du livre "qui va mal". Selon son opinion, le fait que les livres ne soient pas renouvelés  peut toucher le taux de prêt de document par habitant dans les bibliothèques, desi Madrid "qui est déjà  le plus bas d'Espagne, selon l'UNESCO. 

Source: El Economista