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9 janvier 2016

Conférence de Robert Darnton aux Biblothèques et Archiches du Canada

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9 janvier 2016

la médiathèque-estaminet honorée par le magazine Livres Hebdo

médiathèque-estaminet Grenay

La médiathèque-estaminet de Grenay (Pas-de-Calais) a proposé sa candidature et a reçu le prix dans la catégorie « Accueil » du Grand Prix des bibliothèques francophones. Une reconnaissance fort appréciée par les équipes et par la municipalité.   La médiathèque-estaminet n’a pas encore fêté son premier anniversaire qu’elle est déjà mise à l’honneur par un magazine spécialisé, Livres Hebdo, destiné aux professionnels du livre, principalement aux libraires, aux éditeurs et aux bibliothécaires.

« Cette revue nous avait conseillé dès l’inauguration en juin dernier de participer à leurs Prix, vu l’originalité et la qualité de notre réalisation », confie le maire, Christian Champiré. Ce « concours », réservé aux bibliothèques francophones, se décline en quatre catégories : innovation, accueil, espace intérieur, animation.

Le Prix de l’accueil a ainsi été décerné à la structure grenaysienne courant décembre dans les locaux de la bibliothèque historique de la Ville de Paris. des mains d’un jury présidé par l’écrivain David Foenkinos. « Nous sommes la seconde ville de la région à recevoir ce Prix, juste après Anzin », souligne Ali Boukacem, directeur général des services. « Ce Prix apporte du plaisir pour les équipes », selon le maire, « mais aussi pour les habitants qui verront que l’engagement a non seulement été concrétisé mais qu’il est aussi reconnu ».

Plusieurs caractéristiques ont conquis le jury. Le concept du coin « estaminet », qui prolonge le comptoir d’accueil, mais pas que. Le fait d’intégrer différents services au sein de l’équipement (le Relais d’assistantes maternelles, la PMI, le Point Information Jeunesse, la Mission locale, la billetterie Ronny Coutteure...), a beaucoup joué. Tout ça dans le but de multiplier les clés d’entrée à la médiathèque, suivant l’enjeu de parvenir à désacraliser le livre auprès de tous les publics, de rendre accessible la culture à tous. Il ne faut pas non plus oublier la mise à disposition d’un studio de répétition, une salle dédiée à des ateliers cuisine. Et aussi, la partie extérieure du bâtiment qui comprend des jeux, des bancs sonores, une petite scène, ainsi que des transats pour les beaux jours. Autre paramètre : une large amplitude horaire d’ouverture (44 heures), « alors que la moyenne des bibliothèques des grandes villes atteint seulement les 40 heures ».

Source: La Voix du Nord

7 janvier 2016

Choix laissé aux auteurs de bandes-dessinées pour élire le Grand Prix du Festival d'Angoulême

angouleme-2016

À l’issue des débats intervenus depuis deux jours sur l’absence d’auteures dans la liste des Grands Prix potentiels, le Festival a pris la décision d’inviter l’ensemble des auteur.e.s de bande dessinée à voter librement pour désigner comme lauréat.e l’auteur.e de leur choix.  Franchissant une étape ultime dans la démocratisation de la désignation du Grand Prix (après les réformes intervenues en 2013 et 2014), le Festival soumet donc au libre arbitre absolu des auteur.e.s l’élection du lauréat/ de la lauréate, et ce, dès cette édition 2016. Aucune liste de noms de créateurs/créatrices du 9e Art ne sera, par conséquent, proposée à leur vote, et il leur reviendra de choisir, en toute liberté, le nom du confrère ou de la consœur qu’ils/elles souhaitent élire en tant que Grand Prix.

Le Festival espère ainsi que le processus d’évolution en cours de féminisation de la création dans le domaine de la bande dessinée trouvera, au moment que les auteur.e.s eux/elles mêmes jugeront opportun, une forme de reconnaissance via ce Grand Prix.

Source: Communiqué de presse du Festival

6 janvier 2016

Festival de BD d'Angoulême: des femmes finalement ajoutées à la sélection

Logo Festival BD Angoulème

Le Festival de la BD d'Angoulême, très critiqué pour ne pas avoir sélectionné de femmes pour le Grand Prix 2016, explique son choix exclusivement masculin et annonce ce mercredi qu'il ajoutera des auteures à la liste.  La grogne a finalement payé. Le Festival d'Angoulême critiqué et boycotté pour l'absence de femmes parmi les 30 auteurs sélectionnés pour son Grand Prix fait marche arrière. Dans un long communiqué de presse ce mercredi, il s'explique sur sa décision initiale et annonce aussi l'ajout d'auteures dans la liste des sélectionnés. Mardi, de nombreuses personnalités comme Riad Sattouf, primé en 2015, avaient demandé à être retirées de cette sélection, tant qu'elle ne serait pas "plus paritaire". 

Dans son communiqué intitulé "Le Festival d'Angoulême aime les femmes... mais ne peut pas refaire l'histoire", l'équipe du festival explique que le Grand Prix, qui "vient couronner un.e auteur.e pour l'ensemble de son oeuvre et sa contribution à l'évolution de la bande dessinée" serait l'équivalent d'un "César d'honneur" pour les personnalités du monde de la BD reconnues qui "réalisent des créations depuis des décennies". Or, "force est de constater qu'il y a très peu d'auteures reconnues", souligne le communiqué. Il précise: "il est objectivement beaucoup plus rapide de compter leurs auteures (presque sur les doigts de la main) que leurs auteurs." 

Le Festival estime qu'il ne peut donc pas "refaire l'histoire" et affirme avoir mis en avant nombre de créatrices. "Pour l'édition 2016 de l'événement, celle-ci fait apparaître des créatrices dans une proportion tout à fait significative (25% des livres alors que la représentation de celles-ci parmi l'ensemble des auteur.e.s est inférieure à 15%)". 

Surtout, le Festival se défend de tout machisme ou sexisme. Au contraire, il estime être très engagé sur la question des auteures, en ayant notamment "joué un rôle important dans l'émergence d'auteures comme Marjane Satrapi ou Julie Maroh". Il se présente comme "un acteur volontariste de la cause des auteures", qu'il ne veut pas néanmoins "desservir en les catégorisant ou en s'inscrivant dans une discrimination positive, qui n'aurait pas de sens en matière artistique."  Cela dit, pour faire avancer le débat, il a accepté d'intégrer des femmes à la liste des sélectionnés pour le Grand Prix. Sans manquer de rappeler qu'en 2014 Marjane Satrapi et Posy Simmonds, avaient recueilli très peu de votes et étaient "arrivées les dernières". 

Source: L'Express

6 janvier 2016

Le festival de BD d’Angoulême accusé de sexisme après une sélection 100 % masculine

Sexisme festival BD Angoulême

Trente noms, et beaucoup de « grands » de la bande dessinée mondiale : Frank Miller, Chris Ware, Alan Moore, Milo Manara, Stan Lee, Emmanuel Guibert, Quino, Jirô Taniguchi, Joann Sfar… Trente noms incontestables, mais uniquement d’hommes, aucun de femme.  L’annonce de la liste des auteurs éligibles au Grand Prix du prochain Festival international de la bande dessinée d’Angoulême (28-31 janvier) a suscité un certain émoi dans le milieu du 9e art, mardi 5 janvier, au point qu’un collectif d’auteures a appelé au boycott du vote, censé désigner les trois finalistes de ce scrutin réservé aux professionnels du secteur. Trois des auteurs nominés, Riad Sattouf, l’Américain Daniel Clowes, et Joann Sfar ont demandé que leurs noms soient retirés de cette liste.

« Nous nous élevons contre cette discrimination évidente, cette négation totale de notre représentativité dans un médium qui compte de plus en plus de femmes », a protesté sur son blog le Collectif des créatrices de bande dessinée contre le sexisme, qui rassemble environ 200 auteures, en appelant à ne pas participer au scrutin.

Deux fois lauréat du Fauve d’or du meilleur album (en 2010 pour le tome 3 de Pascal Brutal et en 2015 pour le premier volume de l’Arabe du futur), Riad Sattouf, a expliqué sa demande de retrait sur son compte Facebook :

"Bonjour! 
J'ai découvert que j'étais dans la liste des nominés au grand prix du festival d'Angoulême de cette année. Cela m'a fait très plaisir ! 
Mais, il se trouve que cette liste ne comprend que des hommes. 
Cela me gêne, car il y a beaucoup de grandes artistes qui mériteraient d'y être. 
Je préfère donc céder ma place à par exemple, Rumiko Takahashi, Julie Doucet, Anouk Ricard, Marjane Satrapi, Catherine Meurisse (je vais pas faire la liste de tous les gens que j'aime bien hein !)... 
Je demande ainsi à être retiré de cette liste, en espérant toutefois pouvoir la réintégrer le jour où elle sera plus paritaire! Merci!
On se voit à Angoulême!
Riad"

« Je rejoins très volontiers le boycott et refuse que mon nom soit pris en considération pour ce qui s’avère être un “prix” vide de sens » a pour sa part déclaré M. Clowes.

Dans la nuit, le dessinateur français Joann Sfar a également rejoint le mouvement de boycott, expliquant lui aussi sa démarche sur sa page Facebook : « Je ne peux pas répondre à tous les courriers reçus suite à l’initiative de Riad Sattouf. Bien entendu, je soutiens à mille pour cent la démarche de Riad. Aucun auteur ne peut souhaiter figurer sur une liste entièrement masculine. Cela enverrait un message désastreux à une profession qui de toutes parts se féminise. Bien entendu, je demande que mon nom soit retiré de la liste des nommés. Je suis certain que l’ensemble des auteurs nommés auront la même réaction. »

Une seule femme, la Franco-Iranienne Marjane Satrapi, figurait dans la liste de 26 noms communiquée en amont du festival d’Angoulême l’an dernier. Deux en faisaient partie – Marjane Satrapi déjà, et la Britannique Posy Simmonds – lors de l’édition 2014, qui correspondait alors au nouveau mode de désignation du Grand Prix : un suffrage à partir d’une sélection préétablie, et non plus un système de cooptation par les précédents lauréats. Depuis ce changement de formule, la liste des « nominés » est établie par la direction artistique du festival.

Joint par le Monde mardi soir, son délégué général, Franck Bondoux, s’est défendu de tout sexisme :

« Le concept du Grand Prix est de consacrer un auteur pour l’ensemble de son œuvre. Quand on regarde le palmarès, on constate que les artistes qui le composent témoignent d’une certaine maturité et d’un certain âge. Il y a malheureusement peu de femmes dans l’histoire de la bande dessinée. C’est une réalité. Si vous allez au Louvre, vous trouverez également assez peu d’artistes féminines. »

En 42 ans de festival, une seule femme a réussi à s’incruster dans le palmarès des grands prix : Florence Cestac, désignée par ses pairs en 2005. Claire Bretécher, qui fut longtemps la seule en France à porter le flambeau de la BD féminine, avait, elle, reçu un prix du « dixième anniversaire » en 1983 – le Grand Prix étant cette année-là décerné à Jean-Claude Forest. Les femmes sont encore très minoritaires dans le métier aujourd’hui. D’après le dernier rapport de l’Association des critiques et journalistes de bande dessinée (ACBD), qui recense chaque année la production de la BD dans l’espace francophone, les créatrices représentent 12,4 % des professionnels. 

« Il faut forcer les choses, comme en politique ou dans les milieux dominés par les hommes. S’il n’y a pas de représentativité, il n’y a pas d’exemple. Et sans modèle, il est impossible de se projeter pour une jeune auteure », estime de son côté Catel Muller, dite Catel, spécialiste de biographies d’avocates de la cause féminine (Edith Piaf, Kiki de Montparnasse, Olympe de Gouges…) et lauréate, l’an dernier, du « grand prix Angoumixte », une distinction non officielle remise en marge du festival d’Angoulême.

Ce soupçon de sexisme tombe d’autant plus mal que l’année écoulée a vu « la parution d’excellents albums signés par des femmes », comme le rappelle Chantal Montellier, la présidente de l’association Artemisisa, qui promeut la BD féminine à travers un prix annuel. Citons le Piano oriental (Casterman) de Zeina Abirached et California Dreamin’(Gallimard) de Pénélope Bagieu, mais aussi Glen Gould, une vie à contretemps(Dargaud) de Sandrine Revel ou Fatherland (Ici même) de Nina Bunjevac. 

Pour en savoir plus, vous pouvez lire le réaction de Fleur Pellerin (ministre de la culture) sur  ce thème ce metin sur France Info.

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5 janvier 2016

Recherche d'un artiste pour construire un arbre à livres

cabane

La Ville de Nancy renforce la présence de l’art au cœur de la ville et « souhaite favoriser les rencontres entre les artistes et les habitants » indique la municipalité dans un communiqué. Dans ce cadre, elle lance aujourd’hui un nouveau dispositif de commande publique artistique sur son territoire. La première commande en 2016 permettra la création d’un Arbre à livres qui sera installé place Charles III. Pour cette réalisation, les personnes intéressées par le projet peuvent candidater jusqu’au vendredi 29 janvier 2016 en faisant parvenir un CV et une lettre de candidature. Les candidats sélectionnés seront ensuite rémunérés pour développer un projet avant le 30 mars 2016. 

Pour concevoir l’arbre aux livres, le candidat devra impérativement respecter quelques critères à savoir « L’œuvre devra être originale et fonctionnelle, résistante et mobile, et préserver la sécurité des utilisateurs et des usagers. Le matériau à privilégier en façade est le bois. Elle pourra accueillir jusqu’à 300 livres. Elle devra être protégée contre les intempéries et être équipée d’un dispositif de levage » précise la municipalité de Nancy. Autres spécificités de ce meuble, il devra peser à vide au maximum 1 000 kg et posséder une emprise maximale de 3 m2 et une hauteur maximale de 2,20 m. À noter que l’attributaire du marché se verra confier une prestation artistique comprenant la conception, la réalisation, l’acheminement et l’installation de l’œuvre sur le site. Le projet sera présenté à un comité artistique qui annoncera le lauréat début avril.  Les candidatures sont à envoyer sous pli cacheté avec la mention suivante :
"VILLE DE NANCY – CONCEPTION REALISATION D’UN « ARBRE A LIVRES » - MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE – NE PAS OUVRIR.

Source: Ici C Nancy

5 janvier 2016

Des livres imprimés à la demande pour économiser des sous et des arbres

IAD éditeurs

Il était autrefois moins coûteux d'imprimer un large tirage, mais l'imprimerie Marquis s'est dotée d'équipement numérique à Montmagny qui permet désormais d'imprimer, à moindre coût, jusqu'à 300 titres différents par heure. Cette innovation est non seulement économique, mais écologique en plus.

« Le but de tout ça, c'est que l'éditeur fasse plus de ventes, mais qu'il imprime moins de livres, parce que 30 % de ce qui s'imprime va finir au rebut. », déclare Serge Loubier à Tanya Lapointe de Radio Canada.

Pour éviter ce gaspillage, la compagnie québécoise s'est associée à SoBook, une compagnie française qui connaît le même problème de l'autre côté de l'Atlantique. En imprimant seulement le nombre de livres requis, les éditeurs règlent un problème récurrent. « C'est un besoin très important des éditeurs en ce moment de réduire des stocks qui dorment et qui, après quatre ou cinq ans, sont plus ou moins d'actualité, qui devraient peut-être être "rejaquettés" ou revampés, mais on ne le fait pas parce qu'on a des stocks et ça nous bloque dans les rééditions parce qu'on veut écouler les stocks », indique Serge Loubier.

L'impression à la demande permet aussi d'accélérer la livraison des livres en les imprimant près de leur destination, ce qui devrait faciliter l'accès aux livres québécois en France. « Nous avons une quinzaine d'éditeurs québécois qui nous confient leurs livres pour qu'on les imprime pour le marché français directement », fait savoir Serge Loubier.

« L'objectif est de pouvoir proposer au Canada l'ensemble des titres du catalogue des Presses universitaires de France. On a 5000 titres vivants, mais on a 15 000 titres sur lesquels on a des droits, mais pour lesquels on n'avait pas de solution d'impression. » déclare Alexandre Godefroy, consultant au Presses universitaires

L'inverse sera aussi possible. La collaboration avec le Québec est une première pour SoBook, qui vise l'ensemble de la francophonie d'ici quelques années.

Pour profitez de cette information en vidéo cliquez ici.

1 janvier 2016

Des livres au poids à la bibliothèque

vente livres au poids

La bibliothèque de Saint-Jory (Haute -Garonne) propose, à partir de ce mercredi 6 janvier 2016 des livres en soldes (les  lundi et mercredi de 9 heures à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30 mais ais les mardi, jeudi et vendredi de 16 h 30 à 18 h 30). Certes, les soldes d'hiver sont le rendez-vous de tous les amateurs de bons plans et de produits moins chers, mais l'originalité de la bibliothèque de Saint-Jory est de proposer des livres à 2,50 € le kilo ! Dans tous les domaines, romans policiers, histoire, géographie, revues, romans terroirs, littérature, albums enfants, BD jeunesse, etc., il suffit de choisir, de faire peser et on repart avec des livres à faible coût. Les documents élagués de la bibliothèque sont vendus afin d'aider à répandre le goût de la lecture et à donner une deuxième vie aux livres. 

Source: La Dépêche de Midi 

29 décembre 2015

Présentation des bibliothèques de Paris

 

28 décembre 2015

Triste fermeture de Bookincard

bookincard2

En 2013 ouvrait Bookincard, un nouveau service pour offrir des livres numériques matérialisé par des cartes papier élégantes. On choisissait une carte thématique sur le site dédié, on la personnalisait en ajoutant un mot, et on l’expédiait à la personne recevant le cadeau.  Deux ans plus tard, le service Bookincard, qui à l’époque était novateur, ferme ses portes. Le tribunal de Versailles a prononcé le 17 décembre la liquidation judiciaire de la société Antalie (qui abritait le service). Le concept du coffret cadeau permettant d’offrir des ebooks via un système de « crédits », a toujours été mis en doute par la profession. La conformité à la loi sur le prix unique du livre a été contestée à demi-mots bloquant ainsi l’évolution d’un catalogue attrayant pour les lecteurs.

Dans une lettre adressée à ses clients, Alain Montfort, Président de la société, a expliqué que tous les moyens ont été mis en place pour séduire les lecteurs et les éditeurs. Pourtant, l’accueil de l’interprofession n’a pas été au rendez-vous. A. Montfort a commenté cette défaite ainsi : « commercialement, nous nous sommes heurtés à des obstacles difficiles à surmonter, méfiance des grands éditeurs et de leurs distributeurs, manque d’intérêt pour le domaine de l’ebook de la part des libraires et des grandes surfaces, manque de fonds pour déployer une coûteuse visibilité sur le Net. » Il poursuit amer et déçu : « Malgré notre investissement total en énergie et en argent, nous avons manqué de temps et de moyens pour parvenir à le faire décoller.

Les charges s’accumulant sans que le succès soit au rendez-vous, nous avons dû renoncer. Aujourd’hui commence pour nous un combat d’un autre ordre pour faire face aux conséquences de cette triste aventure. »

Source: Idboox

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