L’École du chat de l’Aube organise, ce dimanche, une bourse aux livres au grand salon (rez-de-chaussée de l’école de musique de Sainte-Savine), de 9 h à 18 h, pour recueillir des fonds et permettre à l’association de poursuivre ses nombreuses missions pour les félins. Depuis plus de quinze ans, l’École des chats de l’Aube prend en charge les chats errants, abandonnés ou maltraités et leur offre un cadre de vie et des soins nécessaires à leur bien-être. Ils sont stérilisés, tatoués, soignés, nourris et proposés à l’adoption. Pour les chats dits « inadoptables » en raison de leur âge avancé, des maladies ou de leur état sauvage, l’association les accueille dans ses locaux et leur prodigue les soins dont ils ont besoin. La présidente de l’association, Claude Gardziel, alerte sur les difficultés auxquelles l’École du chat doit faire face : « Nous perdons un local dès l’année prochaine, nous devons trouver un endroit stable où accueillir les chats et nos bénévoles. Cela signifie que l’association va devoir trouver des fonds pour atteindre cet objectif ».

Source: L'est Eclair

C’est désormais une tradition pour la marque suédoise, qui invite chaque année un invité de marque afin de créer une collection exclusive. Une tradition qui fête cette année ses 10 ans, retracés pour l’occasion dans un livre. Dans "The First Ten Years", H&M revient sur ces dix dernières années qui ont changé la face de la mode. Ou comment une marque de masse a-t-elle réussi à attirer des créateurs de renom pour des collections spéciales et faire en sorte que les deux protagonistes en sortent gagnants ? Si Karl Lagerfeld a ouvert la voie en 2004, beaucoup de créateurs et de marques lui ont succédé depuis, notamment Stella McCartney, Matthew Williamson, Jimmy Choo, Lanvin, Maison Martin Margiela, Isabel Marant ou encore, le dernier en date, Alexander Wang.  C’est d’ailleurs à l’occasion de la sortie de la collection du créateur américain que la marque lancera son livre, le 6 novembre prochain. Et puisque H&M fait depuis plusieurs années maintenant preuve de générosité envers plusieurs associations, la marque continuera sur sa lancée en reversant 25% des bénéfices des ventes du livre (vendu 9,90€) à l’Unicef.

Source: Le Dépêche

«Feriez-vous confiance à votre chirurgien, s’il n’avait jamais lu un livre d'anatomie?»; «Feriez -vous confiance à votre avocat s'il n'avait jamais lu un code?», «Pour l’éducation de vos enfants, feriez-vous confiance à une enseignante qui n’aurait jamais lu un livre ?», «Pour voyager, feriez-vous confiance à un ingénieur qui n'a jamais lu un livre de génie mécanique?»

Ce sont les questions posées par une campagne d'appel aux dons lancée par  la  Fondation UVSQ.  Cette association cherche à récolter des fonds pour permettre aux différentes bibliothèques de l'Univeisité de Versailles-Saint-Quantin en Yvelines de renouveler leur fonds documentaires. Ces institution ont  bessions de plus de 300 000 € pour acheter plus de 7500 livres.  Pour permettre aux étudiants de travailler dans de bonnes conditions, vous pouvez faire un don sur le site internet suivant: www.fondation.uvsq.fr.

La Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) et le Groupement pour le développement de la lecture numérique (GLN) ont dévoilé, jeudi 23 octobre, les résultats d’une étude qu'ils ont conduite ces derniers mois avec l’Ifop sur "les perceptions et usages du livre numérique".
Premier chiffre : 11% des Français interrogés se déclarent lecteurs de livres numériques.
Presque la moitié d’entre eux ont commencé à utiliser le livre numérique en saisissant l’opportunité que leur procurait leur matériel (tablette, PC portable, liseuse…). La tablette est l’appareil le plus utilisé pour lire en format numérique, mais c’est la liseuse qui est l’outil jugé le plus satisfaisant en terme d’expérience de lecture. L’étude analyse les tendances en termes d’achat et, si les ouvrages gratuits sont les plus téléchargés, deux tiers des lecteurs numériques déclarent avoir acheté au moins un ebook au cours des 12 derniers mois. La rapidité et la fluidité d’accès aux livres payants sont appréciés, mais la largeur de l’offre, les recommandations et surtout les prix recueillent des appréciations plus réservées. Les acheteurs apparaissent réticents à acheter des livres numériques à un prix supérieur à 10 €. Par ailleurs, l’offre payante est jugée plus adaptée à un lectorat aux goûts "grand public". 34% des lecteurs déclarent avoir recours à des moyens illicites pour se procurer leurs livres numériques souvent ou de temps en temps. Ils justifient ce recours par rapport au prix élevé, à leur perception d’une offre parfois limitée et aux habitudes qu’ils ont prises. Le partage d’ebooks est, lui, pratiqué par 46% des lecteurs. L’étude aborde aussi la question des profils. Evidemment, les plus équipés et les plus à l’aise avec le numérique sont les plus à-même d’adopter ce mode de lecture (34% des lecteurs). Beaucoup envisagent même de lire davantage dans ce format, et la moitié d’entre eux déclarent lire moins en format papier depuis qu’ils lisent en numérique. Les moins équipés et en attente d’ouvrages plus pointus attendent une offre plus complète et ouverte.

Source: Livres Hebdo

La Bibliothèque publique de  San Antonio a installé hier   deux énormes kiosques, un dans chaque terminal, Il permettra aux voyageurs d'emprunter et télécharger des livres électroniques, des livres audio et de la musique sur leurs iPhones et les tablettes pour  y accéder au cours de leur vol.

"Le grand avantage est,  que je pourrait   les lire en mode avion, donc quand je suis das l'avion, je n'ai pas besoin d'avoir mon téléphone portable connecté à Internet pour accéder à ce contenu», a déclaré  le directeur de la Bibliothèque Ignacio Albarracin.

"Cette carte de bibliothèque temporaire fontionera  pendant 24 heures," at-il expiqué. "Pendant ce temps, je peux emprunter jusqu'à trois document, et je peux les lire pendant sept jours." Après le temps imparti, les livres disparaissent tout simplement, ils n'ont pas à être renvoyé.

  "J'ai accès à des livres électroniques, des livres audio et de la musique», a déclaré Albarracin.

 La borne utilise l'application «Overdrive», qui est l'application mobile standard pour le téléchargement des livres auprès des détaillants et des bibliothèques. Si vous avez une carte de bibliothèque San Antonio, vous pouvez télécharger des livres pour trois semaines. Mais les voyageurs qui ne vivent pas à San Antonio peuvent également utiliser la bibliothèque de prêt avec une carte de bibliothèque temporaire.Le processus de téléchargement est similaire à une navigation sur un téléphone intelligent ou une tablette. Le dispositif sert aussi de station de charge, de sorte que vous pouvez charger votre téléphone pendant que vous téléchargez des livres ou de la musique sur elle. Les kiosques ont été financés par les Amis de la Bibliothèque publique de San Antonioà un coût de $ 26,000.

Source: bizjournals

Le géant américain du commerce en ligne Amazon, toujours en plein bras de fer avec l'éditeur français Hachette (groupe Lagardère) sur les conditions de vente de ses livres aux Etats-Unis, a en revanche trouvé un accord avec l'éditeur concurrent Simon & Schuster (groupe CBS).
Des porte-parole de l'américain Simon & Schuster et d'Amazon ont confirmé lundi à l'AFP la signature d'un accord, qui entrera en vigueur début janvier. D'après une source proche du dossier, l'accord porte à la fois sur les versions imprimées et sur les versions électroniques des livres édités par Simon & Schuster, et assure que ceux-ci "resteront disponibles à la vente chez ce détaillant important durant la saison des achats de fin d'année et bien au-delà".

Selon la même source, Simon & Schuster aura, sauf quelques exceptions, le contrôle du prix de vente de ses livres électroniques. 
Dans une lettre à ses auteurs et à leurs agents dont l'AFP a eu copie, la directrice générale de l'éditeur, Carolyn Reidy, se dit "très contente avec cet accord car il est économiquement avantageux pour à la fois Simon & Schuster et ses auteurs, et il maintient la part des auteurs dans les revenus générés par les ventes de livres électroniques. Il répond à nos préoccupations mutuelles sur la préservation de la valeur de notre propriété intellectuelle sur le marché".
Amazon se dit également "très satisfait" de l'accord, "qui nous permet d'augmenter nos activités avec Simon & Schuster et d'aider leurs auteurs à atteindre un public encore plus large", mais également "crée une incitation financière pour que Simon & Schuster propose des prix plus bas pour les lecteurs", selon une porte-parole du géant du commerce en ligne.

Source: Le Parisien

L’évènement est original, insolite et très sympa. Le libraire japonais Junkudo dispose d’environ 90 magasins au Japon, à Taiwan et en France. Le 1er novembre, il propose aux noctambules et aux dévoreurs de livres de passer la nuit entière dans ses magasins. Chaque privilégié pourra lire à satiété de 17h à 8h du matin (le 2 novembre). Six personnes seront sélectionnées par magasin, pas une de plus. L’objectif est de collecter leurs impressions afin d’aider la librairie à proposer d’autres happening nocturnes.  Les participants à cette aventure pourront déambuler dans tous les rayons choisir les livres qu’ils veulent et les bouquiner tranquille. 

Ils pourront apporter leurs sacs de couchage, des boissons (non alcoolisées), de la nourriture.  La librairie fournira les lampes de poche car évidemment les magasins seront dans le noir.  La condition pour être accepté dans la limite des places disponibles, c’est de ne pas boire d’alcool et de s’engager à acheter au moins un livre avant le départ le matin.

Source: Idboox

A Lille, en ce moment, la lecture est à honneur de plusieurs façons d'abord avec la nuit des Bibliothèques qui a lieu ce week-end et ensuite avec BiblioMobi. Ce service permet aux lillois et aux personnes de passage de lire en numérique dans les transports en communs de la ville (métro et bus).

Les livres proposés ont été sélectionné  par les bibliothècaires des médiathèques liloises. Ces ebooks sont accessibles via des étiquettes NFC et QR Codes disséminés dans des stations de bus et de métro de la métropole. Avec un smartphone ou une tablette, chacun peut lire 5 nouvelles par mois de 12 auteurs québécois. Ces ebooks sont lisibles même hors connexion.

L’objectif des partenaires de cette expérimentation (CITC, la Bibliothèque municipale de Lille, la ville de Lille, Lille Métropole et Transpole) accompagnés de Cyberlibris et Sugarcube est de « positionner le citoyen de demain au cœur des échanges et de l’information pour qu’il puisse accéder à des services et à de l’information contextualisés et localisés en tout lieu, à tout moment, et sur tout support. Il s’agit également de repenser l’aménagement du territoire, de réfléchir aux interactions entre les personnes et les lieux et de renforcer la cohésion entre les territoires qui la composent. »

Source: Idboox

65 bibliothèques et médiathèques de 50 communes participent àla  Nuit des bibliothèques 2014 du 18 octobre  à17h jusqu'au  19 octobre à 1h du matin . Elles vous feront découvrir de façon originale leurs collections et services  par exemple en visitant les coulisses de la Médiathèque François Mittérand d'Annoeullin.  Il y aura aussi de nombreuse animations, allant de la lecture de contes pour les enfants, à des lectures coquines pour les adultes, en passant par du théâtre, de la musique et de la chanson, des cours de cuisine. Il y aura même une enquête policière du côté de Lannoy, Sailly-lez-Lannoy, Lyz-les-Lannoy, Toufflers et Hem... La médiathèque des Etreindelles à Quesnoy-sur-Deûle propose aux visiteurs d’apporter un légume et leurs recettes de soupe préférées pour préparer un potage collectif. A Tourcoing, l’atelier “2e vie des livres” de la médiathèque André Malraux montrera aux participants comment transformer les livres au rebut en hérissons et autres sculptures géométriques.

Le parrain de cette Nuit des bibliothèques 2014 est Pierre Lemaitre, prix Goncourt 2013 pour son roman Au revoir là-haut. Il rencontrera le public à La Madeleine à 17h, Templemars à 20h30 et Armentières à 22h30. Venez lui faire dédicacer les romans qui vous ont plu ! Il sera aussi le personnage central d’un jeu de piste qui convie les lecteurs à débusquer dans les bibliothèques participantes et sur leurs sites Internet les indices pour découvrir qui a enlevé l’auteur d’Au revoir là-haut.

 C'est la première expérience de ce genre en Italie. Les taxis florentins vont devenir une sorte de une sorte de bibliothèque itinérante.  en effet, à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 31 mars. les cliens pouront   des livres dans les taxis. Cette opération a pour nom "Donner un livre un taxi" et est l'initiative  de la coopérative de chauffeurs de taxi n Socota (RadioTaxi 4242) en collaboration avec Giunti Editore , dans le but d'encourager la lecture et l'échange de livres .

L'objectif du projet, comme l'expliquent Simone Giuliani et Cristiano Storchi , respectivement chargé des relations extérieures et du marketing de Radio Taxi 4242, «fait important ce qui serait autrement une simple voiture en mouvement anonyme."

Initialement, le taxi qui offrent ce service aura un « un parc de livres  de base »fourni par l'éditeur Giunti puis, comme je l'ai dit," ceux qui veulent prendre un livre doiten donner un qui lui appartient  que le Conseil de la lecture à un autre utilisateur inconnu, accompagné par une brève dévouement et une pensée qui pour expliquer pourquoi il vaut la peine de lire le livre ". Un des premiers livres qui voyagera dans la ville grâce à un taxi sera juste un écrit par un chauffeur de taxi, Susanna Madarnàs , intitulé Susy Cacao , récit autobiographique d'une vie difficile.

Source: toscanamedianews.it