Le don de 1000$ en argent d’une mécène permet à la bibliothèque de Roxboro (Monréal) d’ajouter 40 livres à sa collection jeunesse. Si ce geste paraît inhabituel, il ne l’est pourtant pas pour la donatrice Estelle Savoie-Dufresne, une ancienne résidente de Roxboro. La jeune trentenaire a voulu redonner à un lieu public de son enfance qui, dit-elle, a contribué à alimenter son amour de la lecture et de l’écriture.

«C’est une façon différente de s’engager, explique l’avocate et médiatrice. J’ai fait ce genre de don à différentes occasions comme à l’Université Queen’s en Ontario où j’ai étudié et aussi pour des œuvres contre le cancer.»

«J’ai grandi à Roxboro. La bibliothèque est un endroit que j’ai fréquenté et qui m’a permis de développer des passions», ajoute-t-elle.

Le don de 1000$ a rendu possible l’achat de près de 40 livres, dont des œuvres classiques adaptés pour les jeunes. la famille de Mme Savoie-Dufresne est connue du quartier pour y avoir été active et engagée. Son père, Karl Dufresne a été conseiller municipal de 2001 à 2003 au moment où Roxboro était encore une ville. Sa grand-mère, Bertha Weils, a été membre fondatrice du Fonds de dépannage de Roxboro maintenant appelé le Fonds d’aide de l’Ouest-de-l’Île.

Source: Metro

Lorsque Marie-Lyne Trépanier de Saint-Arsène a signé avec la maison d’édition La courte échelle, en juillet, elle était ravie qu'une si importante maison accepte de publier son second roman. Avec la faillite de 4 millions $ de l'éditeur, elle a perdu le contrôle de son œuvre et des droits qui y sont rattachés. 

«Je l'ai appris en lisant le journal. La courte échelle devait le savoir que la faillite les guettait lorsque nous avons signé. Mais je venais de conclure avec une importante maison d'édition et c'est tout ce qui comptait. Je me suis dit que de toute manière c'était une entreprise tellement importante qu'elle serait certainement vite rachetée», dit Marie-Lyne, attablée au Café Nelligan de la Librairie du Portage.

Comme les 500 auteurs et illustrateurs liés à La courte échelle, Marie-Lyne croyait de toute manière qu'en cas de faillite, la Loi provinciale concernant le statut des artistes s'appliquerait, comme il est stipulé dans son contrat, et qu'elle pourrait récupérer les droits de son œuvre. Or, c'est faux.

«C'est la loi fédérale qui prévaut et invalide cette clause du contrat. Ni moi ni personne ne le savions. Nous l'avons appris suite à une rencontre d'information du syndic de faillite.» C'est dire que les droits des œuvres qui ont déjà été publiées et, croit-on, des contrats signés appartiendront au nouvel acheteur, encore inconnu. Au moment d'écrire ces lignes, 9 groupes avaient fait une offre d'achat confidentielle.

Marie-Lyne ne sait donc pas entre quelles mains son roman se retrouvera, ni la priorité qui lui sera allouée. «Je devais le lancer pour le Salon du Livre de Québec, au printemps. Maintenant, je ne sais plus».

Source: Infodimache.com

Un arrêté détermine pour l’année 2014 le nombre d’usagers inscrits dans les bibliothèques accueillant du public pour le prêt et le montant de la part de la rémunération au titre du prêt en bibliothèque à la charge de l’Etat.
Pour l’année 2014, le nombre des usagers inscrits dans les bibliothèques accueillant du public pour le prêt, pris en compte pour la rémunération au titre du prêt en bibliothèque, se décompose comme suit :

• usagers inscrits dans les bibliothèques publiques : 5 619 767 ;
• usagers inscrits dans les bibliothèques des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel et des autres établissements publics d’enseignement supérieur relevant du ministre chargé de l’enseignement supérieur : 1 074 403 ;
• usagers inscrits dans les autres bibliothèques accueillant du public pour le prêt : 234 157.

Pour l’année 2014, le montant de la contribution forfaitaire à la charge de l’Etat se décompose comme suit :

• ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche : 1 074 403 €.
• ministère de la culture et de la communication : 8 780 886 € ;

Source : La Gazette des Communes

La chaîne de librairies italienne  Giunti al Punto et Amazon ont signé un accord stratégique visant à apporter une nouvelle bibliothèque de modèles et de créer une relation plus étroite entre la physique et la boutique en ligne. Un projet qui multiplie les services et avantages: ceux offerts par 177 bibliothèquesGiunti al Punto distribué sur tout le territoire national et ceux permis par la commodité de l'achat, la livraison rapide, l'ampleur extraordinaire de l'ensemble et les prix les plus compétitifs du marché, que seul un acteur mondial comme Amazon est en mesure d'offrir.

"Notre défi est la realisation de la librairie defutuer - dit Martin Montanarini, PDG du groupe Giunti  - un endroit où vous choisissez ce qu'il faut lire, lire et quand le faire, la création d'une relation étroite entre les lecteurs qui fréquentent nos librairies (détenteurs de notre carte de fidélité ), plus de 600 libraires et libraires qui travaillent dans nos magasins et tous les amateurs de livres qui veulent faire partie de cette communauté incroyable. Une librairies ouverte, une agora moderne qui brise les barrières entre le  virtuel et le réel, où les livres papiers cohabitent avec les e-ebook.. »
D'ici la fin d'année, les clients de Giunti al Punto pourront choisir et acheter les liseuses Kindle et Kindle Paperwhite dans leur librairie, et jusqu'au 31 décembre 2014, les possesseurs de la GiuntiCard qui achèteront une liseuse dans le point de vente, recevront cinq livres numériques gratuits à choisir dans le catalogue des éditions Giunti.
Mais les nouvelles ne se termine pas là: le libraire et libraires Giunti al Punto donnera une carte-cadeau d'une valeur de 10 € à tous ceux qui font leur premier achat sur le nouveau site GiuntialPunto.it; une initiative qui veut inviter tous les lecteurs à découvrir la bibliothèque en ligne et hors ligne, mais qui veut aussi être un moment important pour promouvoir la lecture.

Source:Giunti al punto

Réunis à Rennes, mardi 18 novembre, les lycéens ont choisi David Foenkinos pour Charlotte (Gallimard) pour leur 27e prix Goncourt. Il succède à Sorj Chalandon (Le quatrième mur, Grasset).
L’ouvrage qui relate l’histoire de Charlotte Salomon, peintre allemande morte à Auschwitz en 1943 à l'âge de 26 ans, a déjà été récompensé par le prix Renaudot. Il a aussi été désigné comme le meilleur roman de la rentrée par les libraires dans le Palmarès Livres Hebdodes libraires.

Pour en savoir plus sur ce livre, cliquez ici.

Vaste opération promotionnelle chez Bragelonne jusqu'à samedi . La maison  d'éditionvient de franchir le million d'exemplaires d'ebooks vendus. Cette offre est proposée avec un site dédié OP1000k. Chaque jour de l’opération, vous pourrez repartir avec un e-book, après simple inscription sur le site et en répondant à une question très (TRÈS) simple. Nous avons sélectionnés 10 romans parmi les nouveautés et les titres phares deBragelonne, Milady ou Castelmore.  Il y a aussi  un grand concours qui permettra à l’issue de ce festival à trois heureux élus (un par label), tirés au sort parmi les personnes inscrites, de gagner l’équivalent de 500 € de livres numériques sur une période d’un an. Pour participer c'est par là.

Le lancement de la saison de « Tu Connais la nouvelle ? » a lieu, ce dimanche, avec une animation « jamais vue en France » : la bibliothèque foraine…

« Décomplexer l'approche de la littérature. » Tel est l'objectif de l'événement organisé ce dimanche, à partir de 15 h 30, au théâtre Clin-d''il, dans le cadre du lancement de la saison de « Tu Connais la nouvelle ? »

« C'est une grande première », annonce, d'emblée, Aline Baudu, chargée de mission au sein de l'association. Cette nouveauté, c'est une bibliothèque foraine, ou « l'union de la fête foraine avec l'univers des lettres et des mots ». Aline Baudu insiste : « Nous sommes les premiers à le proposer. Comme nous avions été les premiers à proposer des matchs d'improvisation littéraire. 

L'idée est de jouer avec les mots. « Le lancement ayant lieu un dimanche, nous voulions quelque chose de ludique qui attire un public familial. » C'est l'auteur et metteur en scène Yves Javault qui a imaginé ce rendez-vous. Il s'est inspiré « d'images d'antan », a voulu retrouver « l'esprit kermesse ». Écrire un texte surréaliste au stand du cadavre exquis. Composer un alexandrin à la loterie des poètes. Deviner le nom d'un personnage de roman à partir du chamboule-tout. Les stands seront plus originaux les uns que les autres.

« Un vrai spectacle avec cinq comédiens des compagnies Clin-d''il et Porte-lune » suivra. Aline Baudu souligne : « Il s'agit d'une première qui pourra être amenée à se développer. »

Pour rappel, « Tu connais la nouvelle ? » est une association dont la mission est de favoriser l'accès à la lecture et à l'écriture sous toutes ces formes, à travers des rencontres d'auteurs en milieu scolaire, des ateliers d'écriture, des concours de nouvelles, des comités de lecture et des éditions de recueils de nouvelles. « À travers ce lancement, nous espérons rassembler un public large et attirer ceux qui ne seraient pas forcément venus à une rencontre littéraire ordinaire », conclut la chargée de mission.

Source: La rep.fr

Le département du Loiret vient de lancer sa médiathèque en ligne, baptisée Loiretek, qui donne accès gratuitement à des dizaines de milliers de documents, livres, disques, films, magazines, etc., a-t-on appris vendredi 14 novembre auprès du conseil général à Orléans.  En ligne depuis début novembre, le site, qui fonctionne en streaming, compte déjà 1.350 inscrits. Il propose un bouquet de ressources, en agrégeant des plates-formes existantes, comme musicMe, Relay pour la presse, Gallica, etc. On peut aussi y trouver des méthodes de langues, des tests pour s’initier au code de la route, ainsi que des contenus propres proposés par les services de la médiathèque départementale, sur la musique, l’art ou la littérature. Pour la plupart des documents, la consultation est libre, mais pour les films ou les magazines par exemple, elle est limitée à trois par mois.

L’accès à la Loiretek est conditionné à une inscription dans une des bibliothèques du département, l’objectif étant de « retisser du lien humain grâce au numérique », a précisé le directeur général des services du Loiret, Jean-Charles Manrique.

Source: La Gazette des communes