La bibliothèque de Bruxerolles a une idée originale pour fêter la coupe de monde de foot. En effet les bibliothècaires mettent en relief la littérature des pays participant à cette compétition.  Pour cela, chaque ouvrage représant un pays présent au mondial porte le drapeau du pays en question. Un classement permettra alors de savoir quelle  nation à gagner la coupe du monde littéraire.

Pour préparer ce projet qui tout de suite séduit les bibliothécaires, toute l'équipe a  travaillé.  « Mais c'est grâce à la persévérance et aux compétences de Josette Savin et d'Alicia Ferjoux que nous avons pu aboutir. Elles ont dû chercher dans nos stocks, emprunter des livres et des documents à nos collègues bibliothécaires afin d'obtenir un panel riche et varié. Nous sommes très satisfaits du résultat. Durant toute la durée du Mondial, des livres, documents, revues, romans, guides des pays encore en lice seront mis à la disposition des lecteurs. confie la responsable, Sylvia Delage au journal Centre Presse. »

Même La section foot de l'Étoile sportive de Buxerolles participe à l'opération. En effet, elle a prété la décoration à savoir des ballons de foot et des coupes.

Amis Angoumoisins,  si vous passez aujourd'hui entre 10h et 17h du côté de la place Saint-Martial, ne soyez pas étonné de voir d’immenses tables recouvertes de centaines de livres. "Six mille exactement au total, qui sortent des collections de la bibliothèque centrale et de celle pour enfants de Saint-Martial. Nous les mettons en vente 1€ pièce", détaille Dominique Peignet, le directeur de la médiathèque L’Alpha. Ces six mille ouvrages sont le résultat de ce que les bibliothécaires appellent un "désherbage". "Car une bibliothèque ou une médiathèque, c’est comme un jardin. Il faut l’entretenir en coupant les fleurs fanées ou enlevant les mauvaises herbes", explique Dominique Peignet au journal Charente Libre, qui prépare également ainsi le déménagement des bibliothèques vers la future médiathèque communautaire de L’Houmeau. On trouvera donc à la vente des livres dont les contenus sont devenus obsolètes avec le temps, des ouvrages qui ont été réédités et qui se retrouvent en plusieurs exemplaires, d’autres dont l’état ne supporterait plus le prêt après plusieurs décennies de passages de main en main. Un bon moyen de faire de la place et vider des rayonnages pour mieux les regarnir avec des nouveautés.

Ces livres mis au rebut auraient pu finir au pilon, leur papier recyclé. Ou donnés, comme la médiathèque et son réseau de douze sites dans l’agglo l’ont déjà fait auprès de services ou associations comme l’Eclaircie, l’école d’arts, le comité des jumelages, le service pédiatrique de Girac... "Cette vente est également l’occasion d’une rencontre avec nos usagers, en espérant même rencontrer des personnes qui ne viennent pas dans les bibliothèques", justifie Corinne Batime, la responsable des bibliothèques centrale et Saint-Martial. Quant au prix unique de 1€, "il est plus symbolique que représentant un prix moyen par ouvrage", souligne Dominique Peignet en rappelant que cette opération "désherbage" n’est pas organisée pour gagner de l’argent et surtout que le nombre d’ouvrages "sera limité à trente par personne". Au milieu d’un large choix hétéroclite.

La bibliothèque de Donnezac, un petit village de la Gironde vient tout juste de lancer un concept innovant et original : Privatiss'. Hors les murs, cette bibliothèque permet aux usagers de ce nouveau réseau d'emprunter les livres de particuliers volontaires (prix littéraires, nouveautés, ouvrages scientifiques ou techniques, etc.). Privatiss' va ainsi permettre à la bibliothèque d'enrichir son offre sans passer par la case acquisition. La bibliothèque du village, présidée par Séverine Mette-Vialatte, vient tout juste de lancer un concept innovant et original : Privatiss'. Hors les murs, cette bibliothèque permet aux usagers de ce nouveau réseau d'emprunter les livres de particuliers volontaires (prix littéraires, nouveautés, ouvrages scientifiques ou techniques, etc.). Privatiss' va ainsi permettre à la bibliothèque d'enrichir son offre sans passer par la case acquisition.

En janvier 2013, la bibliothèque municipale de Kalamazoo (USA) a lancé un défi aux enfants et aux parents. Ce programme original propose d’atteindre les mille livres jeunesse lus avec des adultes, et ceci, avant l’entrée en maternelle.  Le partage d’un livre peut inclure de chanter un livre, en parler en commentant les illustrations et bien sûr raconter l’histoire. L’essentiel est d’accompagner l’enfant avec un adulte vers la lecture. Les livres numériques font partis du challenge mais pas les applications de jeux.  Les bibliothécaires qui ont lancé ce programme conseillent d’entamer la lecture dès la naissance, à raison de 5 à 10 livres par semaine.

Les participants ont dû s’inscrire sur le site du programme « 1000 books before Kindergarten ». Ils tiennent un journal répertoriant tous les livres lus. Lorsque le chiffre de 50 livres est atteint, les lecteurs reçoivent un petit cadeau pour les encourager à poursuivre. Au-delà de ce défi qui peut paraître un peu fou, l’objectif est d’inciter les enfants à lire dès le plus jeune âge, pour favoriser les échanges et la transmission entre adultes et enfants référents, faciliter l’apprentissage et inculquer l’amour de la lecture. 350 enfants et leurs parents ont accepté de se prêter à cette expérience 8 ont réussi le challenge pour le moment mais le défi court toujours.

Source: Idboox

Généralement,  assimilées à "des temples de la culture", certaines bibliothèques n'ont jamais aussi bien porté ce nom... La Bibliothèque municipale de Lille a en effet lancé l'échange d'un nouveau type de bien "culturel" au sein de son établissement : celui des graines. C'est à l'occasion de la Semaine du développement durable et de l'événement local Floralille, et avec l'aide de l'association Graines de Troc, que la bibliothèque a installé depuis le 2 avril un nouvel espace parmi ses rayonnages : la grainothèque. Participatif, le projet vise à mettre gratuitement à disposition de tous les visiteurs plus de 500 sachets de semences de différentes variétés florales et potagères (courges, tomates, pois, etc) ; mais chacun peut également venir alimenter le stock de graines de la bibliothèque. Véritable succès, l'opération a vu disparaître, en quelques semaines seulement, cette collection d'un nouveau genre. Si les dépôts faits par les particuliers, eux, restent encore relativement modestes, les organisateurs affirment qu'ils sont toutefois en augmentation. Surtout, il faut laisser le temps à tous les passionnés de plantes et de fleurs de la région de récolter leur propre production de graines afin de la partager ensuite. En attendant, comme toujours dans une bibliothèque, on fait silence... ça pousse !

Source: Archimag

La nouvelle maire de Paris Anne Hidalgo souhaite  la refonte des horaires d’ouverture des bibliothèques. Dans ce projet, il y a notament l'ouvrerture 10 des  ses instiuttions le dimanche.   L'échéanche de cet objectif est fixée à mi-mendat  comme l'a souligné Bruno Julliard lorsqu'il reçu la cgt Culture:  « A mi mandat, l’objectif de 10 bibliothèques de prêt ouvertes le dimanche devra être atteint. A horizon 2020, je souhaite qu’une bibliothèque par grand arrondissement soit ouverte le dimanche » Selon la CGT Culture, cet objectif irréalisable car il manque déjà du personnel pour assurer correctement le survice aux usagers durant les horraires  ouvertures actuels.

Mais d'autresdifficultés viennent se greffer notament la prime des bibliothècaires volontaire pour travailler le dimanche. En effet, la mairie prévoit 60€. Alors qu'actuellement les agents travaillant le dimanche touche 100€. Les négociations sur ce problème ne commenceront qu'après les élections professionnelle du premier trimestre 2015.

Il n'y aura pas de Bibliothèque centrale et régionale à Berlin (ZLB), sur le site de l'ancien aéroport de Tempelhof. Les électeurs de la capitale allemande qui devaient se prononcer sur le projet de réaménagement de ce site de 350 hectares en plein cœur de la ville, ont rejeté le projet. 

Dimanche 25 mai, 65 % des Berlinois ont voté en faveur de la proposition des défenseurs du site, l'association 100 % Tempelhof, à l'initiative du référendum, qui réclamait le maintien du site en l'état. Et 59,5 % des votants se sont opposés au projet du Sénat de Berlin, qui comprenait en plus de la création de nouveaux logements celle d'une grande bibliothèque.

Le maire social-démocrate de la ville, Klaus Wowereit, a regretté que "le réaménagement ne soit désormais plus possible". Le regret est d'autant plus perceptible que son projet n'affectait que 120 ha, à peine un tiers du site, ne touchant pas à l’aérogare en arc de cercle, réalisation majeure de l’architecture nazie encore conservée dans la ville. Mais Tempelhof c'est aussi l'aéroport qui servit aux Américains à ravitailler Berlin Ouest durant le blocus soviétique. Aujourd'hui cette immense friche sert de paradis pour les skate boarders, les barbecues entre amis, les joggers et les vélo cyclistes. 

Outre le problème crucial du manque de logements dans une ville qui a accueilli 100 000 nouveaux arrivants ces dernières années, c'est bien l'arrêt du projet de la grande bibliothèque berlinoise qui retient l'attention. Dans une ville gravement surendettée, les berlinois ont envoyé un message clair aux élus : "Si on n'a pas d'argent, pourquoi mettre 620 millions dans un énième projet clinquant?” interroge l'association 100 % Tempelhof. "Plus qu'une immense bibliothèque centrale, développez les bibliothèques de quartier” propose-t-elle. 

Contacté par  Livres Hebdo, Anna Jacobi, responsable de la communication de la ZLB, se désole du résulatat: "Nous respectons ce vote. Mais nous croyons toujours que Berlin a besoin désespérément d'une bibliothèque publique centralisée et forte. Nous espérons que nous trouverons des politiciens, à l'avenir, qui soutiendront et donneront les moyens de fusionner les trois bâtiments acteuls en un seul lieu, offrant de meilleures services de fonctionnement, comme une bibliothèque moderne se doit de l'être."

La Bibliothèque Carnegie de Reims (bibliohèque municipale consacrée à l'étude, à la conservation et à la mise en valeur du patrimoine)  souhaite acquérir des manuscrits. Mais, elle n'a pas assez de sous. Donc, elle décidé de lancer une souscription publique.   Dans ce document intitulé Cahier Bleu, on peut découvrir deux mamuscrits de l'auteur:

• Le manuscrit complet de sa toute première oeuvre, que Bataille n'avait évoquée que par des souvenirs et qu'il avait déclaré brûlée : Ave Cesar. Rédigée pendant son incorporation au 154e régiment, en 1916, dans "une apocalypse lointaine".
• Le manuscrit de la première version de ce qui sera son premier livre publié,Notre-Dame de Rheims, rédigé deux ans avant sa publication. Récit capital sur le drame national des bombardements de Reims et le drame personnel de Georges Bataille, dont le père mourut sous les bombes à Reims.

La bilbliothèque devra le valoriser et de l'exposer notamment à travers sa numérisation et son exposition, la première étant prévue en fin d'année 2014 dans le cadre des Commémorations du Centenaire de la Grande Guerre pour l'exposition " Les plumes des tranchées". 

Si vous souhaitez souscrir, c'est par ici.

Les usagers de la bibliothèque de Chicago peuvent emprunter un nouveau type d'apareil. En effet depuis peu, cette institution prête des robots.  Ce nouvel outil nommé Finch Robots a été offert à la bibliothèque par le bureau de Google à Chicago.  Ils peuvent être programmé pour bouger, faire du briut, s'allumer et même dessiner. Celle-ci est tellement simple qu'elle peut être effectué par un enfant de 8 ans.  

Ces robots ont été  inventés par le laboratoire de  la Carnegie Mellon University.  Le Finch est compatible avec plus d'une douzaine de langages de programmation parmi les plus couramment utilisés.

Le chef du bureau de Google Chicago, Jim Lecinski, explique qu'en lançant ce projet il s'agit d'« inspirer la prochaine génération de techniciens comme d'informaticiens. Obtenir des élèves qu'ils soient enthousiasmés par l'informatique dès l'école primaire ou secondaire est essentiel ». Le maire Rahm Emanuel a déclaré que la partemariat avec Google  permet  à la population  un meilleur accès à la connaissance de  la science, de  la technologie, de l'ingénerie et des maths.  

Les bibliothèques de la ville de Brest ont de consulter le public.  Cet évènement nommé Bibliomix aura lieu pendant deux jours complets les 4 et 5 juillet  au lycée Vauban tout près des Fabriques du Ponant. Leur but est de savoir quels services souhaitent avoir le public  dans la nouvelle médiathèque des Capucins. Cet équipement verra le jour en 2015.

Pour pouvoir participer, il faut être disponible les deux jour que durent l'évènement. De plus, il faut remplir une fiche d'inscription. Dans laquelle on doit définir son profil parmi les choix proposés: 

• Le biblio-doc – Bibliothécaire, documentaliste ou encore archiviste… Noble représentant du Métier. Apporte sa vision professionnelle et d’ensemble au projet, en valide la pertinence du point de vue des services apportés aux publics.
• Le designer – Graphiste, architecte, dessinateur, designer, scénographe. Indispensable car il sait traduire visuellement les concepts et leur scénarisation. Mais possède aussi la faculté de mettre en espace des prototypes concrets.
• Le codeur – Développeur informatique. Connaît de nombreux langages ésotériques qui lui permettent de soumettre les outils et technologies modernes à la créativité de l’équipe. Peut développer des interfaces web ou des dispositifs d’interactivité analogique-numérique (Arduino, Processing, Pure Data, Javascript, C…)
• Le bidouilleur – Impression 3D, découpe laser, Makey Makey, Arduino ou d’autres dispositifs interactifs n’ont pas de secrets pour lui. Son jardin intérieur est comme un fablab… peuplé de prototypes en tous genres. Il est toujours partant pour scier, coller, visser, souder, marteler, couper, tarauder, poncer, câbler…