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10 décembre 2021

Plainte contre la loi sur le prêt de e-books en bibliothèque voté par l'Etat du Maryland

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Dans un commuqué de presse, l'association des éditeurs américains annonce avoir déposé une plainte contre le procureur de l'état du Maryland.  Cette plainte concerne la loi contre le prêt en bibliothèque. Celle-ci doit rentrer en vigueur le 1er janvier 2022.  Selon eux, elle donne aux bibliothèques un contrôle sans précédent sur les transactions de droits d'auteur de base qui sont clairement réservés à ceux qui écrivent, développent, investissent, distribuent et rendent publiques l'ensemble inestimable de romans, biographies, des ouvrages historiques et politiques, de la poésie, des bourses d'études et des supports de cours dont la mission est de publier et qui, ensemble, alimentent le divertissement, l'émancipation. Ce qui contredit la loi fédérale sur le Copyring.

« Le Maryland n'a pas le pouvoir constitutionnel de créer une loi fantôme sur le droit d'auteur ou de manipuler la valeur des intérêts de la propriété intellectuelle », a commenté Maria A. Pallante, présidente-directrice générale de l'Association of American Publishers et ancienne directrice du United States Copyright Office. « Il est clair que la loi américaine sur le droit d'auteur régit la disposition des œuvres littéraires dans le commerce et, d'ailleurs, toutes les œuvres créatives de l'auteur. Nous prenons cet empiètement très au sérieux, comme la menace qu'il représente pour une industrie de l'édition indépendante et viable aux États-Unis et pour une économie du droit d'auteur sans frontières. »  

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18 août 2021

Une lettre d'auteurs et d'illustrateurs britanniques demandant aux éditeurs d'agir pour le climat

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Plus de 100 écrivains et illustrateurs britanniques, dont Cressida Cowell, Dara McAnulty et Piers Torday (photo),  ont signé une lettre ouverte aux éditeurs et agents littéraires britanniques les appelant à s'engager à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre conformément à l'Accord de Paris. La lettre ouverte, publiée par Torday sur Medium , indique que le rapport du GIEC de la semaine dernière a clairement indiqué que "l'humanité est au seuil d'un changement catastrophique et irréversible" après avoir connu neuf des 10 années les plus chaudes jamais enregistrées depuis 2005. Cependant, la lettre est écrit que  les signataires étaient "consternés" que "si peu d'éditeurs et d'agences littéraires britanniques aient souscrit à la Science Based Targets Initiative (SBTi) financée par le WWF et l'ONU pour fournir aux entreprises une voie clairement définie pour réduire les émissions conformément à la objectifs de l'Accord de Paris".

On peut aussi y lire la phrase suivante: "Nous avons la responsabilité envers nos lecteurs et nos communautés de publier de manière durable et éthique en ce moment de crise. Nous ne pouvons pas simultanément profiter de la résolution de notre plus grande crise tout en la perpétuant". 

Torday a déclaré à The Bookseller qu'il préparait la lettre aux côtés des auteurs Hannah Gold et Nicola Penfold depuis un certain temps, et que bien que de nombreuses grandes institutions médiatiques telles que la BBC et Channel 4 se soient inscrites à la SBTi , il n'y avait pas beaucoup d'éditeurs commerciaux. sur la liste—seulement Bloomsbury, Bonnier, Bertelsmann (PRH) et News Corp (HarperCollins).

"Dans une énorme industrie qui ne fait que gratter la surface", a-t-il déclaré. "J'ai écrit beaucoup de livres sur le changement climatique et l'édition n'est pas une entreprise si respectueuse de l'environnement parce que nous abattons des arbres pour imprimer des livres et nous les transportons partout dans le monde. C'est pourquoi j'étais très enthousiaste à l'idée que l'édition que j'ai il n'y a pas de scellant sur la couverture, il n'y a pas de papier d'aluminium, il n'y a pas de plastique dans l'emballage, il y avait un tirage très limité, le papier est recyclé. "Ce que ces lettres peuvent apporter, je l'espère, est un signal d'alarme [...] Je ne pense pas que nous puissions publier des livres sur l'environnement et en tirer de l'argent tout en perpétuant le problème. Certains éditeurs l'avaient depuis contacté en privé pour lui dire qu'ils avaient des projets en cours pour être plus durables. "Cette lettre n'est pas pour faire honte aux gens, c'est pour les obliger à rendre des comptes et leur dire:

" Bien, bien, les bonnes intentions sont fantastiques et très appréciées et nous les partageons, mais nous devons maintenant commencer à voir des propositions concrètes sur la façon dont nous pouvons publier et distribuer, emballer et stocker des livres de la manière la plus neutre en carbone possible'", a-t-il déclaré. 

"L'édition n'obtient pas de laissez-passer simplement parce que ce n'est pas une mine de charbon [...] il y a d'énormes quantités de carbone impliquées dans le transport, le stockage, les bureaux, le processus d'impression." Cependant, Torday pense qu'il y a « la volonté et la technologie » pour améliorer la situation. Il a déclaré que sa propre expérience avec l'équipe de production chez Hachette était "brillante" et que les imprimeurs étaient "totalement prêts à trouver des solutions", mais qu'il fallait faire davantage dans l'édition pour instaurer un "changement structurel". Il a juré de « revenir avec autre chose » s'il ne voit pas de résultats.  

14 juin 2021

Lauréats des Bologna Prize for the Best Children’s Publishers of the Year

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Créé par la Foire du livre jeunesse de Bologne en collaboration avec l'Association des éditeurs italiens (AIE) et l'Association internationale des éditeurs (IPA), le Prix  BOP - Bologna des meilleurs éditeurs jeunesse de l'année récompense les meilleurs éditeurs  jeunesse du monde. Ce qui le rend si spécial, c'est que le prix est décerné par les éditeurs eux-mêmes qui sont invités à nommer les maisons d'édition qui se sont distinguées par leur créativité , leur innovation et la qualité de leurs choix éditoriaux.

Voici les GAGNANTS des BOP en 2021:

28 avril 2021

Forte hausse des ventes de livres numériques et audio en 2020

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Selon le rapport publié par la Publishing Association, la valeur facturée des ventes aux éditeurs britanniques de livres, de revues et de droits / co-éditions combinés a augmenté de 2% pour atteindre 6,4 milliards de livres sterling en 2020. Les revenus des ventes au Royaume-Uni ont augmenté de 4% à 2,5 milliards de livres, tandis que les revenus des ventes à 3,7 milliards de livres sterling. 

Voici les secteurs en hausse :

  • l'édition grand public  de 7% à 2,1 milliards de livres sterling (de 16% à 688 millions de livres sterling pour la fiction,   de 4% à 1 milliard de livres sterling pour  la non-fiction et de 4%  à 675 millions £ pour les exportations de livres  et  de 4% à  1,7 milliard de livres sterling pour les livres imprimés ),
  • le numérique   de 7% à 2,1 milliards de livres sterling(de 8% à  67 millions de livres sterling pour l'éducation, de 9% à 2,5 milliards de livres sterling   et  de 24% à 418 millions de livres sterlings  pour l'édition grand public),
  • les téléchargements audio de 37% à 133 millions de livres sterlin,
  • les livres Jeunesse de 2% à 396 millions de livres sterling,
  • le secteur accadémiques de 3% à  3,3 milliards de livres sterling.

Les secteurs en baisse sont:

  • le sectuer éducatif de  21% à 528 millions de livres sterling (de 24% à 461 millions £ pour les livres imprimés et de 27% pour les exportations),
  • le secteur académique en ce qui le livre imprimé de 13% à 861 millions de livres sterling.

Stephen Lotinga, directeur général de l'Association des éditeurs déclare:

«L'édition s'est révélée incroyablement résiliente face aux défis importants de 2020. Il est clair que de nombreuses personnes ont redécouvert leur amour de la lecture l'année dernière et que les éditeurs ont pu proposer les livres divertissants et stimulants dont tant d'entre nous avaient besoin. Malgré les performances globales positives de l'industrie de l'édition, nous ne devons pas ignorer le fait que cette année a été particulièrement difficile pour les éditeurs de l'éducation et de nombreux petits éditeurs. Cela a également été une période extrêmement difficile pour de nombreux libraires et auteurs dont les moyens de subsistance ont été considérablement perturbés. Les librairies étant désormais en mesure de rouvrir et les événements physiques revenant, nous sommes optimistes que les gens pourront bientôt profiter à nouveau des livres ensemble. Nous devons exploiter ce retour à la lecture et tirer parti de l’immense opportunité que cela représente pour tout le monde. »  

 

27 avril 2021

French week pour l'édition française

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Organisée par le BIEF, la première French Week se tient la semaine du 17 au 21 mai 2021. Pendant cinq jours, ce nouveau rendez-vous est l'occasion d'échanges pour les éditeurs et responsables de droits des maisons adhérentes du BIEF et pour les professionnels internationaux.  Pour pallier l’absence de foires professionnelles en présentiel, le BIEF, en partenariat avec les Instituts français à l’étranger, invite des éditeurs du monde à rejoindre cet événement digital.

 Grâce à une plateforme facile d’utilisation, les professionnels peuvent convenir de rendez-vous en visio, du 17 au 28 mai, avec leurs partenaires ou pour prospecter de nouveaux professionnel.

Chaque jour de la French Week, les éditeurs internationaux pourront découvrir en vidéo les dernières tendances éditoriales du marché français dans les secteurs mis à l’honneur:

  • le lundi 17 mai la littérature,
  • le mardi 18 mai : la non-fiction, les  sciences humaines et sociales et les essais,
  • le mercredi 19 mai la jeunesse,
  • le jeudi 20 mai la bande dessinée et le roman graphique,
  • le vendredi 21 mai  l'art,  les beaux-livres et la vie pratique.
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3 août 2020

Hausse des revenus des éditeurs américains en 2019

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Les revenus des éditeurs américains ont progressé de 1,1% en 2019 pour s'établir à 25,93 milliards de dollars (22,06 milliards d'euros), selon des données publiées par l'Association des éditeurs américains (AAP) et relayées par Publishing Perspectives. Les auteurs du rapport estiment qu'environ 2,76 milliards de livres ont été vendus cette année là. Pour la troisième année consécutive, les ventes par internet représentaient un chiffre d'affaires supérieur aux ventes en magasin. Les achats sur les plate-formes en ligne ont généré 8,22 milliards de dollars en 2019 (6,99 milliards d'euros) contre 5,86 milliards de dollars (4,98 milliards d'euros) pour les achats en boutique. Les revenus tirés de la ventes de livres numériques ont continué de chuter et ne représentaient plus que 1,94 milliard de dollars (1,65 milliard d'euros) en 2019, en baisse de 4,9% par rapport à 2018 et de 30,8% depuis 2015. Logiquement, les ventes unitaires déclinent également : 335,7 millions de livres dématérialisés ont trouvé preneur aux Etats-Unis en 2019, en repli de 2,6% sur un an. Le segment du livre audio, en revanche, enregistre une croissance de 15% de son chiffre d'affaires. Depuis 2015, ce mode de consommation a progressé de 143,8%. Le livre audio numérique représentait 8,1% des revenus du secteur aux Etats-Unis l'an dernier, non loin derrière le livre numérique, en perte de vitesse (11,7%).

Source: Livres Hebdo

15 juin 2020

Lancement de""Le théâtre sur le pont" par les éditeurs de Théâtre

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Sur une idée de la directrice de l'agence théâtrale Claire Stavaux, L'Arche éditeur, Lansman et les dix éditeurs membres du réseau Théâdiff lancent l'opération "Le théâtre sur le pont", pour valoriser l'édition théâtrale alors que le festival d'Avignon a été annulé en raison de la crise sanitaire.

"L'idée était de mettre un coup de projecteur sur les titres qui devaient être présentés à Avignon, qui représente chaque année entre 8 et 12% de notre chiffre d'affaires" explique Pierre Banos, directeur des éditions Théâtrales, à Livres Hebdo. Les éditeurs participants ont conçu un bon de commande commun - avec des conditions commerciales identiques -  permettant à une trentaine de librairies participantes la possibilité de choisir une trentaine de titres "mais avec trois distributions et trois facturations à savoir Sodis, Daudin et BLDD, car nous n'avons pas d'autre solutions" précise Pierre Banos.

Les conditions commerciales établies garantissent une remise de 42% sur les livres, une faculté de retour intégral ainsi qu'une sur-échéance de 90 jours et l'opération est valable jusqu'au 31 juillet. L'Arche propose une sélection de 7 titres et valorise Dennis Kelly ( Love and Money), Lucy Kirkwood (Les enfants) ou encore Fabrice Melquiot. De son côté, Lansman met en avant Suzie Bastien (Sucré Seize), Céline Delbecq, Thierry Simon ou encore Erika Tremblay-roy (Le problème avec le rose) . Sont aussi sélectionnés, entre autres, Les cours de Louis Jouvet au conservatoire (Deuxième époque), Au début et à la fin des temps de Pavlo Arie (L'espace d'un instant), Le Malheur de David Kldiachvili ( L'espace d'un instant)

"Pour le moment, une quinzaine de librairies, soit près de la moitié, nous ont répondu et commandé plusieurs titres via le bon" estime Pierre Banos. Le prochain rendez-vous des éditeurs de théâtre aura lieu en octobre avec les journées de Lyon des auteurs de théâtre.

14 octobre 2019

Les éditeurs et les livres numériques

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Youboox a interrogé 312 éditeurs sur la lecture numérique. L’objectif de cette enquête était de comprendre ce qu’ils pensent des ebooks et des perspectives offertes par ce support de lecture.  Ce sondage sous forme de bilan et objectifs montre qu’au début de la publication des livres numériques, 58% des éditeurs étaient réticents à proposer des œuvres numériques. 73% des éditeurs avaient de sérieux doutes sur le succès de cette nouvelle technologie et pour 64% d’entre eux, le support posait énormément de problèmes de droits.

Le piratage des œuvres était également à la troisième place des craintes des professionnels de l’édition (57%), juste devant celle d’une baisse des ventes (54%). A noter également que les éditeurs redoutaient de perdre le contrôle du livre (43%) ou de porter préjudice aux livres papier (42%). Cependant, le manque de connaissances sur les solutions possibles de lecture numérique n’était pas un frein important (35%) ni les contraintes techniques liées à ces usages (29%).

En regard de ces chiffres, on note un espoir en la lecture numérique. Avec notamment l’envie de toucher encore plus de lecteurs (76%) et la capacité de promouvoir davantage les auteurs (69%). Le troisième atout est évidement l’augmentation significative des ventes (57%), bien loin devant le fait d’accompagner le succès encore flou du numérique (34%) et encore moins de proposer des contenus innovants (12%).


La plateforme note aussi que « 81% des éditeurs déclarent qu’ils souhaitent proposer davantage de contenus dans les prochaines années et plébiscitent à plus de 64% l’usage d’une plateforme comme Youboox

Plus de 79% des éditeurs français pensent que les jeunes générations sont très clairement susceptibles de lire davantage de livres sur des supports numériques, que ce soit sur tablettes, smartphones ou écrans divers. A la question « pensez-vous que la lecture numérique sera un jour prédominante ? », les éditeurs ont des avis partagés mais la grande majorité se rejoint sur un point : 73% sont convaincus que « oui ». Cependant pour 14% cette prédominance demandera plusieurs dizaines d’années alors que 59% pensent qu’il ne suffira que de quelques années seulement. 

Source: Idboox

3 octobre 2018

371 livres de la rentrée adaptés aux aveugles et malvoyants

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Débutée en 2013 sur une initiative conjointe du Syndicat national de l’édition (SNE) et de la Bibliothèque nationale de France (BnF), l’opération « la rentrée littéraire pour tous » destinée à rendre accessibles les livres récents aux personnes malvoyantes, vient de boucler sa sixième édition.
 
En tout, 79 éditeurs ont participé au processus, contre 65 l’an dernier, pour un total de 371 titres adaptés (contre 328 en 2017), soit environ les deux tiers du corpus de la rentrée littéraire de septembre, et 90% des titres sélectionnés pour les plus grands prix comme le Goncourt, le Renaudot ou encore le Femina.
 
Chaque année, le SNE et la BnF nouent un partenariat avec des associations de soutien aux aveugles et déficients visuels afin de développer l’offre de livres numériques disponibles en formats braille ou audio, lisibles sur des appareils spécialisés. Quelques mois avant la rentrée littéraire, les éditeurs sont conviés à déposer les manuscrits de leurs ouvrages sur la plateforme Platon de la Bnf afin que leurs versions accessibles soient disponibles dès leur parution en librairie.

Le Centre national du livre (CNL) a pris en charge la totalité des frais d'adaptation.

Source: Livres Hebdo

23 juin 2018

L'édition en France en 2017

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2017 a été une année "médiocre" pour l'édition française avec un chiffre d'affaires de 5,8 milliards d'euros (-2% par rapport à 2016), selon le classement annuel des éditeurs français publié vendredi par Livres Hebdo. "Le chiffre d'affaires cumulé des éditeurs classés baisse de 2% après avoir progressé de 3,7% l'année précédente grâce à l'impact de la réforme des programmes scolaires", constate l'hebdomadaire spécialisé. Cette baisse du chiffre d'affaires s'accompagne d'un recul sensible (-1,1%) du marché du livre. "Parmi les 104 groupes et maisons indépendantes classés, seulement 43 affichent une hausse de chiffre d'affaires en 2017, contre 69 un an plus tôt", relève Livres Hebdo. Le Syndicat national de l'édition (SNE) doit présenter les chiffres officiels de l'édition pour 2017 en marge de son assemblée générale prévue jeudi 28 juin.

Au niveau des éditeurs, la concentration se poursuit. Ainsi, l'année 2017 aura été marquée par acquisition de La Martinière (Le Seuil, L'Olivier...) par Média-Participation (Dargaud, Dupuis, Le Lombard...) devenu ainsi le troisième groupe éditorial français derrière Hachette Livre (branche édition du groupe Lagardère avec les marques Grasset, JC Lattès, Fayard, Stock, Calmann-Lévy...), et Editis (filiale de l'espagnol Planeta avec notamment les marques Julliard, Plon, Robert Laffont, Le Robert...).

À eux seuls, les dix leaders du secteur ont cumulé 88,9% du chiffre d'affaires total de l'édition, soit 5,1 milliards d'euros. 
Parmi les surprises du classement de Livres Hebdo on remarque le bond en avant du leader de l'édition juridique et fiscale, Lefebvre Sarrut (Dalloz) qui prend la 4e place du classement devant le groupe Madrigall (Gallimard, Flammarion, Casterman...). L'éditeur indépendant Michel Lafon fait également son entrée parmi les dix principaux éditeurs français.

"Après celle d'Actes Sud en 2015, cette irruption de Michel Lafon dans le club très fermé des dix principaux éditeurs de l'Hexagone souligne le parcours exemplaire de ces entreprises, pour la plupart familiales, qui se sont peu à peu imposées à côté des grands groupes comme les pôles d'équilibre de l'édition française", a commenté Fabrice Piault, rédacteur en chef de Livres Hebdo.

Source: Culturebox

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