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17 mai 2018

Digital Publishing Summit : les moyens de savoir enfin ce que veut le lecteur

Digital Publishing Summit

L’EDRLab, organisation basée à Paris et qui porte en Europe le développement de l’interopérabilité du livre numérique, tient à Berlin les 16 et 17 mai sa troisième conférence annuelle, moment d’échanges et de rencontres autour du marché et de la technologie. L’essentiel de la première session du Digital Publishing Summit Europe (ex-EPUB Summit), mercredi 16 mai, a été consacrée aux outils d’observation du marché. Cristina Messinelli, secrétaire générale de l’Association éditeurs italiens (AIE) a présenté les résultats et la méthode d’un sondage bi-annuel, très fouillé, sur les habitudes de lecture croisées avec l’usage des nouvelles technologies. Alors que le taux de lecture augmentait en Italie depuis les années 1960, où il était parti de très bas, il a commencé à fléchir au milieu des années 2010, correspondant à la massification des terminaux numériques. Mais l’enquête a montré au cours de ses vagues successives que les utilisateurs les plus avertis de matériel numérique et de réseaux sociaux (les « techno-curieux ») sont aussi les plus grands lecteurs, mais pas forcément d’ebooks : 3% des sondés disent ne lire qu’en numérique. En majorité, les répondants déclarent que ce support ne leur convient pas, et préfèrent le livre papier. L’usage des nouvelles technologies apparaît étroitement lié à l’âge au niveau d’éducation, variables également essentielles dans les niveaux de lecture. Pour les plus jeunes, scotchés à leur smartphone, la technologie apparaît en revanche bien concurrente du livre.

L’EDRLab, organisation basée à Paris et qui porte en Europe le développement de l’interopérabilité du livre numérique, tient à Berlin les 16 et 17 mai sa troisième conférence annuelle, moment d’échanges et de rencontres autour du marché et de la technologie.

La technologie aussi est au cœur des nouveaux outils d’étude des habitudes et des goûts des lecteurs. Andrew Rhomberg, fondateur de JellyBooks, a présenté les résultats obtenus avec son système de suivi de lecture qui enregistre tout de l’usage d’un livre, à commencer par le critère premier : a-t-il été terminé et en combien de temps. Avec 300 à 500 lecteurs (jusqu’à 800 s’il faut tester aussi différentes couvertures), motivés par un accès à des livres non encore publiés, et avertis de l’objectif, Jellybooks est capable de prédire le succès ou l’échec d’un roman dans 90% des cas, assure Andrew Rhomberg qui travaille avec les plus grands groupes d’édition au Royaume-Uni et en Allemagne. Volker Oppman, cofondateur de Mojoreads, veut quant à lui démocratiser l’accès aux données de lecture pour les éditeurs, les grands revendeurs (Amazon, Apple) ne les partageant pas. Le principe est d’inciter les lecteurs à publier des commentaires de livres, et de les rémunérer s’ils déclenchent des ventes, sous forme d’accès gratuit à d’autres titres, le tout sur une plateforme qui fournit l’ensemble des services nécessaires au numérique : commentaires pour la découverte, achat et liseuse intégrée. Konstantin Diener, directeur technique de sgrol.io, a exposé la conception de cette plateforme de publication conçue pour recueillir aussi les statistiques de lecture, se proposant d’être une sorte de « Google analytique » du livre.

Source: Livres Hebdo

 

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3 mai 2018

325 librairies françaises offrent des comics

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Le Free Comics Book Day (FCBD), qui se tient chaque premier samedi de mai dans les librairies américaines, se déroulera samedi 5 mai dans 325 librairies en France. Ce jour-là, les librairies participantes offrent gratuitement des comics édités spécialement pour l’occasion et peuvent aussi proposer d’autres événements comme des séances de dédicaces ou des offres spéciales (concours, tombolas, cadeaux…). Neuf éditeurs français prennent part cette année à la manifestation en diffusant des histoires inédites publiées uniquement pour la manifestation ou des chapitres en avant-première. Akileos propose une histoire inédite autour de l’univers du thriller d’Aurélien Rosset, EmpriseBliss Comics a préparé un flipbook sur Valiant et des histoires courtes introduisant les prochaines séries de cet univers. Casterman lance son label "Paperback" et publie un extrait d’un album d’anticipation Magnus, à paraître en septembre. La librairie Comics Zone réalise un sketchbook sur le thème Super-héros & steampunk. Delcourt Comics présente deux fascicules: un premier réunissant un extrait de Walking Dead Origins, une preview de la série Green Valley et quelques pages inédites de Redneck ;  un second offrant un titre jeunesse dans l'univers de Star wars. Glénat Comics propose un titre de 48 pages avec le premier épisode de Winnebago Graveyard et un épisode inédit de la série RiverdaleHi Comics(anciennement Milady Graphic) fête l'arrivée des Tortues ninja à son catalogue avec Teenage Mutant Ninja Turtles. Snorgleux Comics prévoit sur 80 pages deux histoires courtes et complètes tirées de deux de leurs séries ainsi que des previews. Enfin, Urban comics livre en avant-première Batman: White Knight. 

Plusieurs libraires en France proposeront d'ailleurs aussi des fascicules en VO conçus pour le FCBD américain. En effet, le FCBD a commencé aux Etats-Unis en 2002. En 2011, Kader Chaibi, qui vient d'ouvrir à Lyon la librairie Comics Zone, importe le concept. En 2014, il donne une impulsion nationale à l'opération avec l’association BDCineGoodies.

Source: Livres Hebdo

15 avril 2018

« J’offre un livre à un enfant » : une sonnette d’alarme

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Créée en 1995 à l’initiative de l’UNESCO, la journée mondiale du livre se fêtera le 23 avril. Cette année, les éditeurs de livres jeunesse et scolaires, en partenariat avec l'Association des Éditeurs Belges (ADEB), la Foire du livre de Bruxelles et le Centre de littérature de jeunesse de Bruxelles entendent profiter de cette journée importante pour lancer un appel. En effet, si l’on se réfère aux résultats en matière de compréhension à la lecture révélés par l’enquête internationale PIRLS 2016 (Progress in Reading Literacy Study), nos élèves de 4e année primaire sont les plus faibles lecteurs de l’Union européenne et des pays membre de l’OCDE: seulement 1 élève sur 5 dispose de capacités de lecture suffisantes qui lui permettent d’interpréter et d’intégrer des informations contenues dans un texte : à titre de comparaison, la moyenne européenne s’établit à 1 élève sur 2. D’autres études, moins récentes, confirment ce triste constat. Des manifestations en faveur du livre et de la lecture existent en Fédération Wallonie-Bruxelles, parfois depuis longtemps (Foire du livre, Fureur de Lire, Lire dans les parcs), des mesures ont été prises (plan lecture), de nombreuses personnes motivées agissent au quotidien (enseignants, bibliothécaires, associations), mais le constat est là, et il est inquiétant. Les éditeurs estiment donc qu’il est de leur responsabilité de profiter de cette journée pour lancer un appel à l’action. Ils souhaitent en effet que cette question de la maîtrise de la lecture s’inscrive comme une priorité de société, afin de ne pas laisser 4 jeunes sur 5 dans une situation délicate, voire problématique, quant à ses capacités d’apprentissage, de formation et de développement futur. Chacun doit se sentir concerné par cette priorité. C’est pourquoi, en ce 23 avril, les éditeurs lancent l’appel à « offrir un livre à un enfant ». Offrir un livre à un enfant, cela peut aussi signifier l’emprunter en bibliothèque, le choisir dans sa bibliothèque personnelle, et peut-être surtout, prendre le temps de lire un livre à un enfant, ou avec un enfant, chez soi ou en classe. Cette journée du 23 avril n’est pas l’aboutissement d’une action, mais le début d’une mobilisation afin que le livre, mais surtout la lecture et la maîtrise de la langue française, soit à la fête tous les jours ! Le 23 avril marque le début d’une action de long terme qui veillera à :

• Communiquer largement sur l’importance de la lecture auprès du grand public, par le biais de campagnes de sensibilisation : si l’apprentissage de la lecture est du ressort de l’école, les parents doivent également être conscients de leur rôle et de leurs responsabilités dans ce domaine. La maîtrise de la lecture est un enjeu de société.

• Développer le plaisir de lire dès le début du parcours scolaire, et tout au long de celui-ci : de la maternelle à la fin du parcours scolaire, la lecture doit être une priorité. Les écoles, les enseignants, les associations, doivent se mobiliser derrière cet objectif. La non-maîtrise de la lecture est un handicap culturel, social et économique qu’il convient de combattre.

• Approfondir la formation, autour du livre et de la lecture, des futurs enseignants : ceux-ci doivent être mieux outillés pour aborder le livre et la littérature jeunesse dans leur classe. Il ne s’agit pas seulement d’apprendre à lire, mais également d’apprendre à aimer lire afin que les élèves puissent développer leurs capacités de lecture et d’analyse.

• Réfléchir sur les méthodes d’apprentissage : il n’y a probablement pas une seule bonne méthode d’apprentissage. Les enseignants doivent être formés à l’utilisation des méthodes les plus actuelles et veiller à favoriser quotidiennement les progrès: la relation pédagogique établie par l’enseignant, sa personnalité, sa créativité et ses compétences, constituent un des principaux facteurs de la réussite des élèves.

Source: Communiqué de presse de l'Association des Editeurs belges

30 mars 2018

La collection d'estampes et d'œuvres uniques des Éditions de la Différence aux enchères

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Les 4 et 5 juin Drouot et les commissaires priseurs Morand & Morand mettront aux enchères la collection d'estampes et d'œuvres uniques des Editions de La Différence.  Fondées en 1976, les Éditions de la Différence ont publié 2000 titres, 960 auteurs et 350 artistes, avec comme spécialité la littérature française et étrangère, les essais, la poésie et l'art contemporain. La maison a été placée en liquidation judiciaire en juin 2017.

Seront proposées des œuvres originales imprimées sur papier et un ensemble d’œuvres uniques signées par les plus grands noms de l’art moderne: Pierre Alechinsky, Arman, Miquel Barcelo pour Michel Butor, Robert Combas, Olivier Debré, Paul Delvaux, André Derain, Niki de Saint-Phalle, Jean Dubuffet, Eileen Gray, René Magritte, Jean-Luc Parant, Julio Pomar, Sayed Haider Raza, Sacha Sosno, Luc Tuymans, Maria Helena Vieira da Silva et d’autres...

Cette vente (cliquez ici pour découvrir les oeuvres mises en vente), accessible à tous les amateurs, collectionneurs et professionnels, sera l’occasion d’acquérir une œuvre originale, numérotée et signée, d’un artiste contemporain choisi par la célèbre maison d’édition. Les impressions multiples de gravures, lithographies, eaux-fortes et sérigraphies seront proposées aux enchères à l’unité mais avec faculté de réunion. Une exposition publique aura lieu à Drouot les 1er et 2 juin.

Source: Livres Hebdo
 

27 mars 2018

Des albums de BD pour des enfants à l'hôpital

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Quand BD rime avec solidarité ! Pour les fêtes de Pâques, 6 auteurs de bande dessinée et 2 éditeurs vont offrir une centaine d'albums aux enfants malades de l'hôpital "couple enfant" à Grenoble (Isère). Carine Racine, Jean-Marc Arden, Quentin Lefebvre, Olivier Ferra, Serge Ernst et Zep, le papa du célèbre Titeuf. Voilà pour les 6 auteurs qui participent à l'opération "100 BD pour Pâques". Deux éditeurs ont décidé de s'associer à l'initiative : Dupuis et Glénat. Une bonne action sous le signe de la bande dessinée durant laquelle 100 albums vont être offerts aux enfants hospitalisés.

En organisant cette opération, Quentin Lefebvre, auteur de Handman,souhaitait démontrer que la bande dessinée pouvait être "solidaire".

Le rendez-vous est pris le 5 avril prochain. De 11h30 à 15h30, les auteurs offriront et dédicaceront leurs albums et pourront dialoguer avec les enfants. 

Source: France 3 Rhone-Alpes

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15 mars 2018

Au Japon les ventes de mangas numériques dépassent le papier

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Selon une étude réalisée par Research Institute for Publications pour la All Japan Magazine and Book Publisher’s and Editor’s Association, regroupant 95 éditeurs japonais, les ventes de mangas numériques ont dépassé de beaucoup les ventes de mangas papier.

Les ventes de mangas numériques auraient progressé de 17,2% l’an dernier pour s’établir à 171,1 milliards de yens, tandis que les ventes de mangas imprimés ont chuté de 14,4% et ont généré 166,6 milliards de yens.

Selon les éditeurs cette hausse s’explique d’abord par l’adoption massive des smartphones dans le pays et l’appétence pour lire en ligne, mais aussi par les politiques de prix agressives pratiquées par les éditeurs japonais sur ce segment. Par ailleurs, l’absence de nouveaux blockbusters seraient à l’origine de la chute des ventes physiques, selon l’organisme de recherche basé à Tokyo.

Les ventes combinées (papier et numériques) restent toutefois pratiquement inchangées en 2017, reculant de 0,9% par rapport à l’année précédente.

Source: Idboox

14 mars 2018

Réponse du SNE au rapport de WWF sur l'impact de l'édition jeunesse sur les forêts

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Le rapport publié par WWF et intitulé « Les livres de la jungle », prend acte des résultats obtenus par les éditeurs français en matière de production respectueuse de l’environnement. En particulier, contrairement à ce que peut laisser entendre le titre, il reconnaît qu’aucun d’entre eux n’imprime ses ouvrages sur du papier issu de la déforestation tropicale. Ce rapport est clair : le livre pour la jeunesse ne contribue en aucune manière à abîmer les forêts : « (…) les papiers graphiques analysés par cette étude semblent exempts de liens directs avec la déforestation (…) » (cf. page 84)

Les éditeurs sont dans un axe de progrès. Ainsi, 93% des livres publiés par des éditeurs français sont certifiés FSC, PEFC ou sont imprimés sur des papiers recyclés mais les éditeurs ne le mentionnent pas systématiquement (cf. étude SNE 2017) Le SNE regrette que WWF ne considère comme certification valable que le label FSC dont ils sont partenaires. Par ailleurs, le rapport lui-même constate que les imprimeurs chinois choisis par les éditeurs français sont très majoritairement certifiés FSC (71%) cf. page 65. Rappelons que les imprimeurs chinois sont les producteurs principaux de livres pour enfants pour le monde entier.

Pour ce qui concerne le papier recyclé, tous les éditeurs français souhaitent en augmenter les quantités dans leur production mais l’offre en papier recyclé ne répond pas aujourd’hui suffisamment aux besoins des éditeurs en termes de quantités, caractéristiques, formats et prix pour les tirages importants.

Quant à la recommandation de WWF de signaler que les livres sont recyclables et donc jetables dans la « bonne » poubelle, en considérant le livre comme un déchet potentiel, elle va à l’encontre de la valeur affective et symbolique que les auteurs et les lecteurs accordent à l’objet-livre.

Source:SNE

31 janvier 2018

Festival international de la bande dessinée 2018: bilan positif pour les éditeurs

FIBD

La 45e édition du Festival international de la bande dessinée (FIBD) d'Angoulême, organisée du 25 au 28 janvier, a connu une hausse de fréquentation avec un "intérêt croissant pour la programmation culturelle" et pour le manga qui "a attiré un public jeune et mixte", selon un communiqué de 9e Art +, société organisatrice de la manifestation, qui ne précise pas le nombre de visiteurs total.
 
"Les éditeurs exposants, qui ont proposé de nombreuses animations exclusives, bénéficient de cet engouement, avec une présence accrue des visiteurs sur leurs espaces", souligne le communiqué.

Le bilan est "extrêmement positif" pour Frédéric Schwamberger, directeur de Futuropolis, qui vante même le "grand cru" de cette 45e édition du FIBD. La maison, qui a notamment bénéficié de la visibilité générée par la présidence de Cosey et de la remise du prix de la critique ACBD à Gipi pour La terre des fils, enregistre un chiffre d'affaires en hausse de 23%. Si Calypso de Cosey et La terre des fils de Gipi figurent naturellement dans le top des ventes sur le stand de Futuropolis, les "nouveautés de début d'année, dont les auteurs étaient présents, tiennent également le haut du pavé", à commencer par Essence de Fred Bernard et Benjamin Flao et le premier tome du Suaire de Gérard Mordillat, Jérôme Prieur et Eric Liberge.
 
Avec 12000 albums vendus, Delcourt, qui a remporté deux prix Fauve dont celui du meilleur album pour La saga de Grimr de Jérémie Moreau, annonce également une hausse de son chiffre d'affaires, de l'ordre de 7,5%.
 
Du côté de Dupuis, cette 45e édition se termine également avec de très bons résultats. De la "bulle des Frères Lumières" – qui accueillait le pavillon manga – l'année dernière, la maison a migré dans "le monde des bulles". Ce déménagement a entraîné une hausse de la fréquentation qui se reflète sur le chiffre d'affaires de la maison : +39 % par rapport à 2017.  

Porté par Dans la combi de Thomas Pesquet de Marion Montaigne, Prix Cultura du public et best-seller depuis décembre, Les vieux fourneaux, vol. 4 de Wilfrid Lupano et Paul Cauuet, présent dans le Top 50 des meilleures ventes 2017, et par Opération Copperheadde Jean Harambat, lauréat du prix René Goscinny 2018Dargaud reste sur des "performances égales" par rapport à l'année précédente, selon Marie Parisot, directrice marketing de la maison.

 

Sur le stand du Lombard, Diane Rayer, du service presse de la maison, note une "hausse de la fréquentation mais une légère baisse du panier moyen" – qui tourne, pour la plupart des maisons, autour de la fourchette 20-25 €. Ce constat n'empêche pas la maison d'enregistrer une augmentation de 9% de son chiffre d'affaires, notamment porté par les ventes du premier tome de Lunesome d'Yves Swolfs et de Duke, vol. 2d'Yves H. et Hermann.
 
Avec un panier moyen plus élevé que la moyenne (35 euros), Urban Comics réalise également une progression de 25% de ses ventes grâce au succès de titres comme Charlie Chan Hock Chye de Sonny Liew, Justice League vs. Suicide Squad de Josh Williamson et collectif, Jay Fabok et Tony Daniel ou encore Batman Rebirthvol. 1 de Tom King, Mikel Janin et Mitch Gerads.
 
Même tonalité chez Casterman où la "tendance est à la hausse" avec une progression de 10% des ventes, rapporte l'attachée de presse Kathy Degreef. Sur le stand de la maison, le huitième tome de Kaamelott, l'antre du basilic d'Alexandre Astier et Steven Dupré, le volume 2 de Jonas Fink de l'italien Vittorio Giardino, Une sœur de Bastien Vivès et Bâtard de Max de Radiguès, récompensé par le Prix Découverte des lycéens, ont particulièrement remporté les faveurs du public.

Source: Livres Hebdo

10 novembre 2017

Cinquième édition de « la rentrée littéraire pour tous » : des romans accessibles à tous, quel que soit le support de lecture

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Lancée en 2013, l’opération « la rentrée littéraire pour tous » initiée par le Syndicat national de l’édition (SNE), en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France (BnF), a pour objectif de rendre systématiquement accessibles aux personnes aveugles ou malvoyantes les livres de la rentrée littéraire, dans un format numérique adapté. Le Centre national du livre (CNL), dans le cadre de sa mission d’aide à la diffusion du livre en direction de tous les publics, finance l’intégralité des frais d’adaptation. A l’occasion de la cinquième édition de cette opération, 65 éditeurs se sont organisés sur la base du volontariat pour envoyer avant leur parution – via la plateforme Platon de la BnF – les fichiers des romans adultes, jeunesses et des essais grand public de leur catalogue numérique aux associations partenaires afin que celles-ci puissent adapterles livres pendant l’été. Depuis septembre 2017, 328 titres sont ainsi disponibles pour les lecteurs malvoyants ou aveugles en formats gros caractère, synthèse audio ou braille numérique, soit 94 % des titres figurant sur les listes des sélections des prix littéraires, dont les lauréats des prix Goncourt, Renaudot, Femina, Femina étranger, Décembre, Flore, roman de l’Académie française, Médicis, Médicis du roman étranger, Interallié, Roman Fnac, littéraire du Monde. « La rentrée littéraire pour tous » s’inscrit dans une démarche interprofessionnelle en faveur de la prise en charge du format EPUB3 accessible par l’ensemble des acteurs de la chaîne du livre et de l’édition afin que les livres numériques produits par les éditeurs soient lisibles sur tous les supports (liseuses, tablettes, smartphones, ordinateurs, lecteurs brailles, lecteurs audio), pour tous les lecteurs. Cet objectif fait partie des missions du laboratoire européen EDRLab, soutenu parle ministère de la Culture, le Centre national du livre et le SNE. En cours d’adoption par les éditeurs pour leurs nouveautés, le format EPUB3 accessible a fait l’objet d’une documentation technique produite par le groupe Normes & Standards en libre accèssur le site internet du SNE.  Pour connaitre les liste des  éditeurs participant, vous pouvez lire le communiqué de presse du SNE en cliquant ici.

Source: SNE

8 septembre 2017

L'auteure Amélie Antoine partage une photo avec toutes ses lettres de refus d'éditeurs, appelant à ne pas baisser les bras

Lettre refus

L'abnégation, ça paye, et on ne peut pas plaire à tout le monde. Ces deux maximes résument à merveille le cliché partagé par l'auteure Amélie Antoine sur sa page Facebook. La jeune femme a photographié les nombreuses lettres de refus d'éditeurs qu'elle a reçues pour son roman "Fidèle au poste", qui a fini par être publié chez Michel Lafon et qui a connu un beau succès en librairies. Et encore, comme elle le précise, "ces lettres ne sont qu'un échantillon, les refus par mail étant plus nombreux"...

"Quand on sait la chance que ce premier roman a eue, quand on sait le destin inattendu qui lui a été réservé quelques mois après... On se dit que ça vaut le coup de continuer à y croire un peu avant de remiser son texte dans un tiroir de bureau", développe-t-elle en légende de sa photo, eucourageant les jeunes écrivains à ne surtout pas baisser les bras dans leurs tentatives d'être publiés pour la première fois.

Source: Huffingtonpost

 

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