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10 février 2017

La Martinière reprend le Serpent à Plumes

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La Martinière reprend le Serpent à plumes annonce le groupe dans un communiqué publié le 10 février, sur leur page  Facebook sans préciser le montant de la transaction. Pierre Bisiou, Xavier Belrose et Irène Rondanini, qui ont relancé la maison en 2014 avec le soutien des éditions de l’Aube, continuent d'assurer sa production et sa gestion. Fondée en 1993 par Pierre Astier et Pierre Bisiou, Le Serpent à Plumes était passé sous le contrôle des Editions du Rocher en 2004, devenues filiales des éditions Desclée de Brouwer, elles-mêmes passées par un redressement judiciaire avant un rachat par Artège. "La littérature contemporaine, française et étrangère, représente le cœur de son catalogue. Elle a également lancé avec succès la collection de poche Motifs, puis Le Serpent Noir, consacré à des romans policiers. Elle publie également des essais et des ouvrages dans l’univers de la musique" rappelle le communiqué.

 
Le Serpent à Plumes a publié 18 titres depuis sa relance. Le fonds ancien est progressivement numérisé, une vingtaine de références est disponible en EPUB et PDF.
Source: Livres Hebdo

 

 

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2 février 2017

Canopé : un service de prêt de livres numériques avec Numilog

canopé livres numériques

Réseau Canopé (Réseau de création et d'accompagnement pédagogiques), anciennement Centre national de documentation pédagogique (CNDP) dépendant du ministère de l'Education nationale, propose désormais un service de prêts de livres numériques en partenariat avec Numilog et son outil BiblioAccess. Les livres sont proposés aux formats ePub ou PDF, ils peuvent être consultés en ligne et/ou téléchargés pour une durée de 21 jours (3 livres en même temps). L'emprunt de livres numériques requiert un abonnement auprès de chaque atelier Canopé en régions. Un catalogue de 450 titres pour l'instant, essentiellement du groupe Hachette, Hachette Education, Dunod, Armand Colin, Foucher, Larousse, Livre de Poche, etc. Sauf erreur, ces versions numériques ne sont pas proposées par des libraires qui vendent habituellement les livres imprimés aux établissements dans le cadre des marchés publics. Une telle offre bientôt dans les centres de documentation et d'information des établissements scolaires ? Voir ici.

Source: Aldus

19 janvier 2017

Guillaume Musso a été le plus gros vendeur de livres en 2016

Guillaume Musso

Le Figaro et l’institut d’études GfK* ont dévoilé mercredi leur classement des auteurs à succès de 2016. Alors que l’écrivain qui vend le plus de livres en France est, sans surprise, Guillaume Musso avec 1.833.300 exemplaires vendus en 2016, la seconde place est occupée… par un professeur de géographie à l’université. 

Michel Bussi, chercheur au CNRS spécialisé en géographie électorale et professeur de géographie à l’université de Rouen est aussi romancier à ses heures. Il a vendu 1.135.300 de ses polars, qui se déroulent le plus souvent en Normandie. Il arrive devant Anna Todd (1.025.100 exemplaires vendus) et Marc Levy (1.024.200 exemplaires).

La suite du classement est plus ou moins attendue : Harlan Coben a vendu 797.200 exemplaires devant Françoise Bourdin. L’auteure d’Au nom du père a séduit 679.300 lecteurs. En queue de classement, on retrouve les noms familiers de Laurent Gounelle (675.400 exemplaires vendus), Gilles Legardinier (604.000), Elena Ferrante (560.900), et enfin, en dixième position, Mary Higgins Clark (546.200).  Voici le classement en vidéo:

Source: 20 Minutes

18 janvier 2017

Une librairie québécoise ambulante sillonne la France

Libraire ambulante québécoise

Depuis le 14 janvier, l’auteur Michel Vézina et le libraire Maxime Nadeau sont en France, à bord de leur camion transformé en librairie ambulante, Le Buvard. L’objectif des deux passionnés de littérature est de mettre en avant la littérature québécoise dans l’Hexagone à travers des rencontres, des apéritifs, des conférences ou encore des ventes chez des amis. A bord du Buvard, 500 à 600 titres sont disponibles pour un total de 3000 exemplaires, soit 604 kg de livres. "Le poids, je le connais. Tout a été bien pesé et facturé lorsque les ouvrages ont pris le bateau pour la France", ironise Michel Vézina. 

"La littérature est aujourd’hui devenue très industrielle. Des ouvrages sont vendus en très grande quantité, c’est magnifique mais cette tendance entraîne l’oubli des livres qui ont un petit tirage mais qui sont pourtant des bijoux de littérature", souligne Michel Vézina.
 
Ce constat a forgé la ligne directrice du Buvard et du Salon, le Pub-librairie ouvert le 31 janvier 2015 dans une commune rurale du Québec, au nord-est de Sherbrooke. "Il faut arrêter d'attendre que le lecteur vienne aux livres, nous devons aller voir les lecteurs avec nos livres", revendique l’auteur.
 
En France, Michel Vézina et Maxime Nadeau veulent faire découvrir "des trucs qui nous explosent un peu la tête". L'auteur cite notamment La vie est d’hommage de Jack Kerouac, dont il possède "une trentaine" d’ouvrages à bord du Buvard. A l'origine l’ouvrage est écrit en français, la langue maternelle de l’écrivain. Mais il a été traduit en anglais pour pouvoir rencontrer le marché canadien et retraduit en français pour le marché tricolore. Avec Maxime Nadeau, il sillonne donc la France, en commençant par le Nord, en quête de rencontres imprévues et imprévisibles "mais avec toujours 2-3 caisses de livres à disposition que nous sommes capables de débarquer partout". Ils tiennent un journal de bord à quatre mains et notent tout : les rencontres, le temps, le nombre de ventes. "Ce serait bien qu’un livre sorte de cette aventure", conclut Michel Vézina.

Source: Livres Hebdo

2 janvier 2017

Dominique de Saint-Mars, chevalier de la Légion d'Honneur

Dominique de Saint-Mars

Petite joie dans le monde de la littérature jeunesse, après il y a quelques mois Susie Morgenstern et Sophie Audoin-Mamikonian, voici les nouveaux promus de la nouvelle année ! Une auteure jeunesse rejoint la petite liste en la personne de Dominique de Saint-Mars, créatrice des ineffables Max et Lili.  C'est en 1992 que l'auteure lance chez Calligram avec l'illustrateur Serge Bloch, la série des Max et Lili qui traite de tous les sujets plus ou moins sociaux, plus ou moins ancrés dans le quotidien et que peuvent rencontrer les enfants à la manière de petites bandes dessinées. La drogue, l'hôpital, les passions, la piscine, la bagarre ou encore la mort, l'alcoolisme, la maltraitance, mais également, les mensonges, la triche, les grands-parents ou le chômage, presque aucun sujet n'est ignoré par l'auteure. Depuis des années, comme beaucoup d'auteurs jeunesse, elle rencontre ses jeunes lecteurs dans les classes qu'elle visite régulièrement et peut ainsi directement discuter avec eux sur différents sujets qui leur tiennent à cœur.  Pour en savoir plus su sur autueur,  cliquez ici.

Source: Les Histoires sans Fins

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8 novembre 2016

L'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle ouvre sa bibliothèque

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Bonne nouvelle pour les voyageurs en transit à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. Ils peuvent désormais déambuler dans un espace baptisé "Instant Paris" et profiter de nouveaux équipements : un bar, un restaurant, un hôtel et... une bibliothèque. Située dans le Terminal 2, la bibliothèque de "Instant Paris" propose plus de 300 livres multilingues que les voyageurs peuvent consulter dans un salon doté d'une cheminée et de confortables fauteuils. La sélection d'ouvrages fait la part belle aux best-sellers essentiellement anglophones : Ken Follett, Harlan Coben, Paul Auster, Paolo Coelho, Stieg Larsson... Une section jeunesse propose l'incontournable saga Harry Potter. 

"Instant Paris" met également à disposition des voyageurs une sélection de la presse française et internationale ainsi que des tablettes en libre service. D'une superficie de 4 500 m², "Instant Paris, c'est l'art de vivre à la française" explique le groupe Aéroport de Paris. L'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle accueille chaque jour 180 000 passagers et a enregistré 469 338 mouvements d'avions en 2015.

Source: Archimag

 

8 octobre 2016

Un hackathon pour imaginer la bibliothèque du futur

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La BnF organise son premier hackathon. Durant 24 heures non-stop, les participants investiront la Bibliothèque François-Mitterrand pour développer des projets autour de la réutilisation des données publiques et imaginer ensemble la bibliothèque du futur.  Les ressources de la bibliothèque numérique Gallica mais aussi de toutes les autres bases de données de la BnF offriront la matière de ce marathon participatif à l’issue duquel sera remis le premier Prix du hackathon BnF. Ce hackathon débutera le 19 novembre, les geeks, bibliothécaires, codeurs ou tout simplement curieux sont invités à s’inscrire.

Cet évènement sera aussi destiné au grand public qui pourra assister à cette fête ludique. Des ateliers et un concert à partir de partitions numérisées, ainsi que du prototypage d’objets (impression 3D, broderie numérique découpe laser) en partenariat avec le TechShopAteliers Leroy-Merlin, seront également proposées. Cet événement est organisé dans le cadre de la semaine de l’innovation publique. Pour s’inscrire c’est ici.

Source: Idboox

11 septembre 2016

Proxi : avec VivalLivres, Casino compte revitaliser les petites communes

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C’est une première pour une enseigne alimentaire de proximité", indique-t-on chez CasinoVival lance VivalLivres, des bibliothèques libres d’accès, placées devant les magasins. Ces installations s’inspirent des "petites bibliothèques libres". Le principe ? Quatre étagères de livres sont installées, et chacun peut emprunter un livre librement et gratuitement, à condition d’en déposer un autre. "Cela ressemble à une ruche, c’est une vitrine avec des alvéoles. Il n’y a pas de clés", décrit Corinne Aubry-Lecomte directrice Marketing et Communication de Casino Proximité. La genèse du projet est partie d’un constat : "Vival est une enseigne de la ruralité : c’est souvent le dernier commerce de la commune. Au-delà du fait qu’il faille mettre le bon produit au bon endroit, nos magasins sont des lieux de vie où commerçants et clients entretiennent une relation étroite, explique Corinne Aubry-Lecomte. "Partant de ce constat, nous voulions donner du sens à cet ancrage local".
"Ensuite, tout est allé très vite", indique-t-elle. "L’idée a émergé il y a quelques semaines et nous avons aussitôt créé un logo à dessein pour la concrétiser". Casino Proximité a dû convaincre les exploitants d’un côté et les mairies de l’autre, pour obtenir l’autorisation. La première "petite bibliothèque libre" VivalLivres a été inaugurée le 25 août 2016 à Saint-Germain-Laval (Seine-et-Marne). La seconde a vu le jour le lendemain à Saint-Paul-de-Varces (Isère). Jusque-là, l’initiative semble bien accueillie. "Les commerçants se sentent valorisés, et cela revitalise les petites communes. C’est complémentaire aux bibliothèques municipales", constate Corinne Aubry-Lecomte. "Les gens peuvent aussi s’asseoir, ce qui crée un petit attroupement et une attraction dans la commune".

Fort d’un réseau de 1800 points de vente d’environ 100 m2, Vival compte bien déployer le concept à d’autres communes. Seule condition pour les commerçants : s’assurer de la bonne tenue de la bibliothèque. Quant au budget à prévoir pour ces derniers, il est trop tôt, à ce jour, pour communiquer sur un coût, selon le groupe. "Il faut compter le coût du prototype, mais ce n’est pas rédhibitoire", assure Corinne Aubry-Lecomte. D’autant que pour le moment, encore en phase de test, l’initiative est entièrement à la charge de Casino.
Avec VivalLivres, Vival rejoindre le mouvement international des "Little Free Library", qui compte aujourd'hui environ 40.000 bibliothèques ouvertes pour près d'un million de livres échangés chaque année. "On est dans l’esprit du partage. L’idée est d’associer un magasin où il y a un flux de clients à une opération sympa. Nous sommes sur des notions de lien social et de valeur éthique", conclut Corinne Aubry-Lecomte.

Source: LSA

11 juillet 2016

Quand les livres partent à la plage

Paillotes plage livres

C'est une initiative pour le moins originale. Plutôt que de laisser dormir les livres dans des bibliothèques désertées l'été, certains ont eu l'idée de les amener sur les plages. C'est gratuit et ça marche. Ce sont des paillotes extraordinaires avec vue sur mer. Ce sont des paillotes pour une fois sans Mojito. Mais avec des mots vitaux à consommer sur place, dans un espace ombragé et naturellement climatisé par le vent et les brises de mer. Ainsi les idées qui sortent des livres à la plage sont-elles rafraîchies. C'est la huitième année que le Conseil Départemental de l'Hérault offre ainsi des pages et des pages à la plage, en accès libre et gratuit à condition de lire sur place et pas sur la serviette. En complément des polars, du dernier Musso, du dernier Goncourt, les lecteurs de l'été peuvent aussi consulter les journaux, des magazines nombreux, des guides touristiques des bandes dessinées et mêmes des cartes pour se donner envie de se dégourdir les jambes.

«Nous sommes partis du constat que les bibliothèques étaient totalement désertées pendant l'été, que les livres ne sortaient plus. Nous avons alors décidé de transporter les étagères et les livres au plus près des lecteurs disponibles, c'est-à-dire à la plage. Mais aussi à la piscine comme à Paulhan ou bien encore au lac comme au Salagou. Et la formule, au fil du temps est devenue un formidable succès» explique Pierre André Ithier directeur adjoint du centre des archives Pierres Vives créé par Zaha Hadid. Dans chacune des paillotes de lecture, on peut trouver deux mille ouvrages différents. C'est le cas à Carnon-ouest comme à Frontignan, ou bien encore à Agde et à Valras-Plage.

Entre bains de soleil et baignades, les vacanciers qui s'ennuient un peu sont ravis. «C'est vraiment une super initiative. Chaque matin, je viens ici lire les journaux au frais. Il serait intéressant que l'on trouve un service comme celui-ci sur toutes les plages de France» estime Philippe, 50 ans, vacancier de Saint Quentin en Yvelines, véritablement enthousiasmé.Sophie de Montpellier est, elle, devenue, une lectrice par épisode. «Cela fait deux fois qu'on vient à la plage. Chaque fois c'est un chapitre du dernier livre d'Andrea Camilleri. Et ensuite on va se baigner» s'exclame-t-elle.

Un peu plus loin, à deux pas de jeunes enfants qui s'éclatent dans la bande dessinée, Michel, inspecteur des impôts à la retraite, consulte un hebdomadaire avant de prendre en main un mensuel économique. En deux mois, en moyenne à Carnon comme à Frontignan, 8 000 personnes passent par la bibliothèque de plage. C'est une fréquentation sans commune mesure avec celle de la bibliothèque de ville en pleine canicule. Et une vraie deuxième chance pour les livres.

Source: La Dépêche du Midi

3 juillet 2016

Une liseuse numérique pour aider les enfants dyslexiques

Appidys

La start-up toulousaine Mediatools lance Appidys, une liseuse numérique pour les enfants dyslexiques. Ou comment aider les enfants porteurs de ce handicap invisible à accéder plus facilement à la lecture. Les mamans ont souvent de bonnes idées. Celle-là, Isabelle Desprez y pense depuis au moins deux ans. Confrontée aux difficultés de lecture de son fils Luc, aujourd'hui âgé de 13 ans, elle a voulu transformer bonnes idées et bons tuyaux en outil ludique. En 2015, elle convainc Dimitri Galitzine, directeur et fondateur de Mediatools, start-up toulousaine déjà bien connue pour ses produits digitaux pour enfants, de créer une liseuse numérique (sur tablette et ordinateur) pour les enfants dyslexiques. Typographie soigneusement choisie, espacement étudié entre chaque mot, système de surlignage pour accompagner la lecture sans sauter de mots, lecture audio à vitesse personnalisable pour prendre le relais, tout a été choisi pour rendre la lecture un peu plus facile et surtout plus agréable aux enfants porteurs de ce trouble de l'apprentissage du langage écrit.

Pour le prototype, Isabelle a imaginé une nouvelle version du conte «La soupe au caillou» avec hérisson, écureuil, champignons et noisettes destinée aux 6-9 ans. Luc a été son premier testeur mais aussi son meilleur conseil. «Il connaît le premier conte par cœur et si je l'écoutais, il faudrait encore ajouter plein d'idées !» Les 30 premiers testeurs (enfants, parents, orthophonistes, ergothérapeutes) en redemandent. «Il y en aura d'autres, pour tous les âges, à des tarifs entre 4,99€ et 8,99€. Le but est de créer une grande librairie virtuelle avec des ouvrages connus mais aussi des créations maison », complète Dimitri Galitzine. 

Pour mener à bien son projet Appidys, liseuse numérique pour enfants dyslexiques, Mediatools a lancé une campagne de financement participatif (crowfunding) de 10 000 €. Les 7 premiers jours de la campagne, qui sera menée jusqu'au 15 août, ont déjà permis de récolter 17 % de la somme. L'entreprise compte finaliser son prototype pour la journée des «dys» (10/10/2016) et lancer les trois premiers livres en janvier 2017.

Source: La Dépêche du Midi

Pour en savoir plus cliquez ici pour allez sur leur site.

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