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30 mars 2017

Le langage Makaton s’anime à la bibliothèque

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Le Makaton est avant tout une méthode de communication. Mise au point en 1973-1974 par l’orthophoniste anglaise Margaret Walker, elle se base sur la langue des signes. Le Makaton est composé de pictogrammes et de signes et s’associe à la parole. À travers des livres, mais aussi dans la vie de tous les jours, elle permet donc une représentation visuelle du langage et permet d’améliorer la compréhension et faciliter l’expression.La méthode répond avant tout aux personnes en situation de handicap, des enfants autistes par exemple, mais aussi aux tout-petits.Il complète la thématique de l’année sur le handicap, au sein du réseau des bibliothèques. « Il faut sensibiliser le public, rappelle Bénédicte Gardin, vice-présidente du Pays des Herbiers. Tout le monde doit avoir accès à la lecture. »

Une vingtaine de titres seront à la disposition du public dans le réseau des bibliothèques. Pour l’instant, une valise comprenant les ouvrages se déplace d’une bibliothèque à l’autre. D’autres livres pourraient suivre. Les titres ? Plusieurs tomes de la série Tchoupi, pour les jeunes enfants, mais aussi Ami-Ami de Rascal et Girel. Un livre créé l’association AAD Makaton, l’Anniversaire de Mark, est également disponible et un autre concocté spécialement par la classe Ulis de Jacques-Prévert : Le conte magique des émotions. Si vous avez des enfants sourds vous pouvez les emmener à l'heure du conte le mercedi 5 avril à 14h  et 15h à la bibliothèques des Herbiers (Vendée).

Source: Ouest France

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21 mars 2017

“Les Français et la lecture” : une étude réconfortante du CNL

les-francais-et-la-lecture-une-etude-reconfortante

Non, le livre n'est pas mort ! Alors que Livre Paris (ex-Salon du Livre) démarre vendredi 24 mars, une étude du CNL (Centre national du livre), intitulée « Les Français et la lecture » et publiée ce mardi 21 mars, nous en apporte la démonstration. Menée en janvier 2017 (la dernière datait de 2015), elle dresse un constat globalement positif, mais fait ressortir plusieurs évolutions, dans les motivations comme dans les pratiques. Les Français sont d'abord 84% à se déclarer spontanément lecteurs de livres : 24% lisent peu, mais 60% affirment lire moyennement ou beaucoup. Près de la moitié d'entre eux lit d'ailleurs tous les jours, ou presque : principalement par plaisir ou pour apprendre, et parce que les bienfaits de cette activité sont nombreux. Ainsi, lire est avant tout un moyen d'approfondir ses connaissances, de s'ouvrir l'esprit et se faire plaisir... mais aussi de passer le temps et d'oublier ses soucis. Le roman reste le genre littéraire le plus apprécié (69%), et particulièrement le roman policier qui attire 43% des lecteurs. Suivent (59%) les livres pratiques (consacrés à la cuisine, la décoration, le bricolage, les voyages…) et les BD, mangas ou comics (48%). L'étude révèle également l'influence importante de l'éducation et du contexte familial sur les pratiques de lecture : ainsi, 20 % des Français n'ayant pas été « initiés », plus jeunes, à cette activité, resteront des non-lecteurs une fois adultes.

Le poids du numérique se renforce, suivant deux tendances : le nombre de lecteurs de « e-books » (24%) est en hausse de 5 points par rapport à 2015, et le nombre de livres numériques lus passe de deux à trois, dans le même temps. Le lectorat, enfin, s'est « considérablement féminisé », souligne l'étude : il est aujourd'hui composé d'autant d'hommes que de femmes, majoritairement jeunes, et diplômé(e)s. 

Si l'achat de livres neufs reste stable, l'analyse du CNL fait ressortir que « les circuits alternatifs affichent une très forte progression » : 34% des lecteurs ayant acquis un livre en 2017 se sont tournés vers un ouvrage d'occasion ; ils n'étaient « que » 26% en 2015. Cette hausse est plus marquée chez les 35-49 ans. Le livre reste par ailleurs un objet que l'on aime offrir, et conserver, souligne l'étude. Pour leurs achats, les Français choisissent encore, en majorité, les librairies (générales et spécialisées) et les grandes surfaces culturelles, mais les difficultés que connaissent les premières sont réelles : forte progression des sites de vente en ligne (désormais troisième lieu d'achat), absence de librairies à certains endroits du territoire, ouvrages parfois indisponibles, et l'impression que les prix y sont plus élevés, alors même qu'en France, la loi garantit depuis trente-cinq ans le prix unique du livre !

Source: Télérama

6 mars 2017

HarperCollins mise sur l'intelligence artificielle

HarperCollins IA

L'éditeur HarperCollins parie sur la technologie pour cibler de manière plus précise les lecteurs. La "recommandation" du librairie fera place prochainement, selon l'éditeur anglo-saxon, à un système équivalent automatisé.  Cette fois-ci, pas de questionnaire en ligne pour comprendre les goûts des lecteurs comme chez Penguin depuis 2014. HarperCollins veut utiliser l'intelligence artificielle. L'éditeur expérimente cette innovation technologique notamment sur les livres jeunesses (sur le compte Facebook d'Epic Reads, communauté en ligne spécialisée lancée par HarperCollins il y a cinq ans) et la littérature (sur le compte Facebook de la marque). Un moteur permet ainsi des recommandations de lecture quasi instantanées. Cet outil, Bookgenie, est activé à partir de l'icône "Envoyez un message" (qui relie l'utilisateur Facebook à vers "Facebook Messenger"), présent en haut de la page de chacun des comptes

Après avoir démarré la conversation sur Epic Read, un "Gif animé" s'affiche pour nous souhaiter la bienvenue.  Puis après avoir répondu à deux questions, toujours illustrées par de fantaisistes "gif", la proposition de lecture est envoyée. Cela prend moins de dix secondes. Le logiciel se fonde sur un livre qu'on a apprécié, son humeur ou son auteur favori.
Source: Livres Hebdo

1 mars 2017

"Silence on lit"

collège Banon lecture

Tous les jours les élèves du petit collège de Banon ( Alpes de Haute Provence)  lisent pendant 15 minutes après la pause déjeuner. Un rendez vous instauré par la principale du collège, inspirée par l'exemple d'un lycée turc, pour redonner aux élèves le goût à la lecture... et ça marche ! Voici le reportage diffusé par France 3 Provence Alpes Cote d'Azur sur ce thème:

 



17 février 2017

Des petits livres en vente des les transports en communs à Singapoursont

imrs

En ce qui concerne l' alphabétisation, Singapour est pas en reste. Le pays augmente un taux d'alphabétisation de 98 pour cent , et son programme de lecture est le meilleur dans le monde , selon le Programme international pour le suivi des étudiants. Cela ne signifie pas, cependant, que Singapour est un pays de microclimat. Un sondage 2015 a révélé que seulement 40 pour cent de la population avait lu une oeuvre de la littérature dans l'année écoulée. (En Amérique, ce nombre est d'environ 70 pour cent .) Juste un quart avait ramassé quelque chose par un auteur singapourienne. Maintenant, les dirigeants ont mis au point une solution: des livres minuscules. À partir de ce mois, les coureurs de transport public seront en mesure d'acheter des tomes de poche pour environ 10 $. Les «livres  billets» font partie d'une campagne plus large pour amener les gens à lire à nouveau. Leur lancement coïncidera avec un week-end de foires du livre, l'auteur rencontrer et salue et séminaires de la littérature à travers l'état-ville.

Il y a aussi une campagne de cinq ans appelé le National Reading Movement. "Je pense qu'il est de plus en plus difficile d'adhérer à une discipline de la lecture dans notre société d' aujourd'hui,"  observe Yip Guan Hui, président de l' Université nationale de la Société littéraire de Singapour, . "L'afflux dereseaux sociaux signifie que les gens lisent, oui, mais ils lisent  des articles plus courts, des extraits, des résumés, commentaires etc.. 

Ce sera une habitude difficile à inculquer. Selon cette étude de 2015, la moitié des répondants ont déclaré ne pas avoir le temps de lire en raison des engagements  (d travail ou  famille). Selon la même cité, il un manque d'intérêt pour  la fiction et de la poésie. Environ 40 pour cent ont dit qu'ils préféraient les réseaux sociaux et la navigation sur le Web. Les singapouriens entre 16 et 30 passent environ 3,5 heures en ligne chaque jour. Ang Beng Heng, 24, étudiant interrgé par le Straint Times  déclare qu'il préfère vérifier ses nouvelles applications et Facebook dans son temps libre. 

Cette attitude est en contradiction avec la publication littéraire importante du pays. Chaque année, 36 millions de livres sont emprunté à la bibliothèque;  lors de  la vente de livres du système - 300,00 livres à 1,50 $ un pop - attire des milliers. Le Festival annuel des écrivains de Singapour a honoré des sommités comme Alfian Sa'at, Claire Tham et Anuar Othman. De minuscules librairies obstruent les rues latérales; la spacieuse bibliothèque centrale se trouve à proximité de "Book City", un développement mixte en peluche avec des librairies, des imprimeries et papetiers bon marché. La ville-état a des dizaines d'éditeurs, mais les livres les plus courants (et populaires) sont des guides d' auto-amélioration. Ceci est, selon Vanessa Quirk , journaliste arch Daily "symptomatique d'une anxiété nationale que l' éducation est devenu un sport de compétition piloté par les tests."

Source: Washington Post

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21 janvier 2017

Ooredoo lance Kacheeda et Youboox pour développer la e-lecture

Ooredoo-E-lecture

Ooredoo Tunisie vient de lancer deux nouvelles applications dédiées à la e-lecture : Kacheeda et Youboox, qui transforment le smartphone en bibliothèque. Le numérique étant devenu un mode de vie, avec ses habitudes et ses rites, l’opérateur vise à travers ce service à mettre à la disposition de ses clients des œuvres normalisées et entièrement numérisées en langues arabe et française. L’application Kacheeda offre aux utilisateurs la possibilité d’acheter des livres en langue arabe d’une large bibliothèque évolutive (de plus de 1600 livres) comprenant des ouvrages de la littérature arabe ou encore des succès internationaux traduits. Cette application, téléchargeable sur   Kacheeda, permet également de visualiser le contenu choisi sur différents supports : smartphones, tablettes (Android), etc. Ooredoo propose également une fourchette de prix allant de 1 à 28 DT pour que chacun puisse approfondir et enrichir ses connaissances quel que soient ses moyens.

Grâce au service de Youboox, toute la famille pourra accéder en illimité à plus de 100.000 livres numériques, BD et magazines. Un seul abonnement suffit pour que chaque membre puisse plonger dans l’univers de son choix. Un contenu riche et varié est ainsi proposé, sans engagement, au tarif de 2 DT la semaine et de 5 DT le mois. Pour y accéder, il suffit de cliquer sur ce lien. Si on dispose d’un smartphone ou d’une tablette (Android & iOS), il suffit de télécharger gratuitement l’application Youboox pour lire où que l’on soit.

«Outre les avantages liés au coût, à la mobilité ou encore à l’autonomie, ces deux lancements viennent consolider la position d’Ooredoo en tant qu’opérateur innovant et écologique. La culture devient désormais accessible au bout des doigts pour le plus grand bonheur des adultes et des enfants», a déclaré Houssem Abbassi, directeur marketing d’Ooredoo.

Source:  Kapitalis

4 janvier 2017

En Côte d’Ivoire, des salons littéraires dans les salons de coiffure

salon de coiffure mini bibliothèque

Des livres rangés sur une étagère au milieu des crèmes défrisantes, des bigoudis et des mèches: en Côte d’Ivoire, des salons de coiffure deviennent désormais aussi des salons littéraires. Pour faciliter l’accès des femmes à la lecture, la Bibliothèque nationale de Côte d’Ivoire a installé 23 mini bibliothèques dans des salons de coiffure à Abidjan et dans des villes de l’intérieur du pays. Chacun dispose de 50 livres, renouvelés régulièrement grâce à une rotation du fonds de 1.750 ouvrages.  Le projet "Femmes et lecture" constitue une démarche de "bibliothèque hors les murs" dans un pays où il "n’existe pratiquement pas de bibliothèques dans nos quartiers" et où celles qui existent "ne sont pas fréquentées par la population, encore moins par les femmes", résume Chantal Adjiman, directrice de la Bibliothèque nationale et initiatrice de ce projet lancé en 2012.
Selon elle, entre leurs obligations professionnelles et/ou ménagères, les femmes n’ont pas assez de temps pour lire. C’est pourquoi la bibliothèque a décidé d’aller à leur rencontre là où elles se rendent régulièrement.
"Les femmes ivoiriennes sont très coquettes (...). Et cette raison peut les maintenir pendant au moins une heure et demie dans un salon de coiffure", souligne à l’AFP Mme Adjiman.
A la Bibliothèque nationale, située au Plateau, le quartier administratif et des affaires d’Abidjan, des collaborateurs empilent dans des cartons des ouvrages destinés aux salons de coiffure. Romans, livres pour enfants mais aussi essais qui parlent des droits de la femme ou des enfants... A Adzopé, au sud d’Abidjan, l’une des 7 mini-bibliothèques est installée à l’intérieur du marché de la ville. Dans le petit salon de 1,5 m2, des livres côtoient sur les étagères les produits cosmétiques. Assise sur un banc devant le salon, ignorant les bruits alentour et les échanges de deux vendeuses installées juste derrière elle, une jeune femme lit un roman.

"Comme je n’ai pas d’argent pour en acheter, je viens régulièrement ici pour lire des livres", confie-t-elle à l’AFP.
"Il y a même des femmes qui viennent juste pour lire", souligne Bénédicte Ouguéhi, la propriétaire du salon.
Sous un casque, une cliente lit un roman pendant que ses mèches sèchent.
La mini-bibliothèque a augmenté la fréquentation du salon, assure Mme Ouguéhi, la mine réjouie.
Désormais, les coiffeuses du marché installées en plein air viennent elles aussi emprunter des livres à la mini-bibliothèque pour leurs clientes. A Cocody, quartier chic d’Abidjan où elle exerce depuis de nombreuses années, Justine Inagohi, 66 ans, a tout de suite adhéré au concept.
"Quand les femmes viennent au salon, pendant qu’elles sont sous les casques, elles papotent. Pour les occuper, je préfère qu’elles lisent des livres, plus instructifs", explique-t-elle bigoudis et peigne en mains.
Anastasie N’Guetta, une habituée du salon, a trouvé le moyen "de passer le temps et de ne pas s’occuper de choses qui sont inutiles": elle lit "On n’échappe pas à l’amour", de Louisiano N’Dohou - un roman à l’eau de rose comme elle les "aime", dit-elle.
Justine Inagohi a aménagé un espace spécialement destiné aux enfants qui accompagnent souvent leur mère au salon et à ceux de la cité où elle réside également. L’un des objectifs du projet "Femmes et lecture" est justement "de conquérir un public qui est très proche des enfants", afin d’initier ceux-ci à la lecture, relève la directrice de la Bibliothèque nationale.
"Les Ivoiriens aiment lire mais ils n’ont pas accès aux livres", estime-t-elle, en soulignant qu’un nombre croissant d’hommes "s’invitent" désormais dans les salons de coiffure pour "emprunter" eux aussi des livres.
Les mini-bibliothèques dans les salons de coiffure ont "suscité un besoin d’alphabétisation", assure Mme Adjiman. Elle y voit un moyen de démocratiser l’accès à l’information et à la connaissance, source de cohésion sociale.
"Les femmes analphabètes ne sont pas oubliées. Dans les ouvrages pour enfants que nous proposons, il y a beaucoup d’images", dit-elle. En leur permettant de parcourir ces livres, on suscite chez elles "un besoin de lecture", se réjouit-elle.

Source: @bidj@n.net

15 décembre 2016

La Croatie devient une Zone de lecture gratuite

Croatia Reads

La Croatie vient de faire l' histoire en devenant le premier pays dans le monde en fait une  Zone de lecture gratuite (FREZ), à savoir, une bibliothèque virtuelle ouverte accessible à tous gratuitement , indépendamment de leur emplacement à l' intérieur du pays.Cela inclut non seulement les citoyens croates , mais des millions de touristes du monde entier qui visitent le pays chaque année. Toutes les personnes à l' intérieur des frontières du pays peuvent télécharger une application de lecture gratuite, appelée la Croatie Reads.L'application est alimenté par Total Boox, un service d'ebook connu pour les éditeurs et lesbibliothécaires pour son modèle révolutionnaire qui rend ebooks instantanément disponibles sans restrictions, tout en payant les éditeurs pour la lecture et offrant auxlecteurs une expérience de lecture transparente et sans interruption.  

Plus de 250 éditeurs participent, y compris une gamme de marques de classe mondiale, comme  Lonely Planet, Workman, Sourcebooks, Berlitz, Oxford University Press, F & W Media, O'Reilly, Other Press, Elsevier, Wolters Kluwer, New World Library,  Marshall Cavendish, Berrett-Koehler, Lerner, et beaucoup d'autres. 

L'application fonctionne sur tous les  smartphones et tablettes Android et iOS et est disponible dans les boutiques d' applications maintenant toutes les personnes vivant ou envisite en Croatie .

Source: No Shelf Required

12 novembre 2016

Découvrez la lecture via le numérique

lecture numérique

Découvrir le livre sous un autre angle. Dans le quartier ultra-connecté du Fort d’Issy, la médiathèque Le Temps des Cerises organise une séance de lecture en groupe samedi après-midi à 15h,  à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Une lecture... numérique, car une sélection d’albums jeunesse et de bandes dessinées seront projetées à l’aide d’un vidéo-projecteur. Un moyen, pour les organisateurs, de rendre la lecture « plus interactive et créative ». Les séances sont réservées aux enfants de 7 à 17 ans.

Source: Le Paisien

3 octobre 2016

J'arrive dans 5 minutes, chaîne de booktuning créée par des bibliothécaires.

Chaine Booktuning Bibliothèque

Les Bibliothècairess travavaillant à la bibliothèque Loise Michel à Pais sont très heureux de vous présenter J’arrive dans 5 minutes, la toute nouvelle chaîne de booktubing de la bibliothèque.

Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est le bookubing, et bien c’est un mot qui mélange « book » et « YouTube ». Autrement dit, le booktubing est une façon de présenter ses coups de cœur de lecture en vidéo ! En ce qui nous concerne, ce sera bien sûr l’occasion de parler bouquins (pour les grands et comme pour les petits), mais aussi musique, films et tout ce qui nous plaira. Et tout ce qui vous plaira aussi, puisque nous comptons sur vous pour venir participer et partager vos coups de cœur  !

Allez, Je vous laisse découvrir le premier épisode de cette nouvelle aventure, le premier d’une longue série, on l’espère … Et aujourd’hui je vous parle de BD pour les enfants !

Source: Blog de la bibliothèque Loise Michel (Paris)

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