Après le Harlem shake festif et revendicatif du 20 avril, les actions pour soutenir la librairie Arthaud continuent. En effet cette librairie grenobloise est menacé de fermeture.  Un album de 76 dessins de BD et de presse vient de sortir au prix de 10 euros. Les recettes des vente de celui-ci  seront reversées au fond de soutien à la librairie. Les bénéfices seront reversés à un fonds de soutien.   Pour le commander, rendez-vous sur le site sauvezarthaud.blogspot.com.  Parmi les participants à cette aventure, il y a le dessinateur humoristique grenoblois Cled'12,  Attanasio, Zep,  Cambon,, Keramidas, Margerin ou encore Redolfi.

Parallèlement, le 12 octobre, un concert de soutien sera organisé par l’Association avec la participation de plusieurs groupes grenoblois dont Ke Onda et Le petit K L’son.

Le site internet Chapitre.com et la Bibliothèque nationale de France ont signé un partenariat permettant l'impression de livres numérisés par la BnF et disponibles sur Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF, a annoncé Chapitre.com dans un communiqué daté du 31 juillet. Ce contrat porte sur des ouvrages publiés avant 1900, qui sont donc libres de droits. 
Depuis une quinzaine de jours, les lecteurs peuvent faire la demande sur Chapitre.com de l'impression d'un des 180 000 livres concernés, «dans une qualité identique à la version d'origine», précise le communiqué. Les ouvrages sont produits dans un délai de 24 heures. Les thématiques de ces livres sont diverses : Arts et culture, histoire et géographie, littérature, philosophie, religions, sciences et savoir.  Le but de cette opération, selon la Chapitre.com, est de «favoriser l'accès de tous les publics à des œuvres difficilement accessibles». Le prix moyen de l'impression d'un titre est de 20 euros, et les frais de ports sont gratuits. En septembre 2012, les éditions du Net avaient signé un contrat avec Chapitre.com pour réaliser l'impression à la demande d'ouvrages libres de droits numérisés pour Gallica .

Source: Livres Hebdo

En cette période de vacances, beaucoup de touristes se rendent à Auvers-Sur-Oise pour visiter la maison de Vincent Van Gogh. Mais ce n'est pas le seul attrait de la ville pour les passionnées des livres.  Sur la place de la gare se trouvent des vagon d'un vieux train postal remplis de livres. En effet, c'est dans ce lieu insolite que s'est instalée la librairie La Caverne aux livres. Ce choix du local n'a pas éré fait au hasard. En effet, c'est une librairie qui vend des livres anciens.Les prix varient en fonction du type de livre mais rien ne vous empêche de négocier avec le propriétaire.  Vous pouvez vous y rendre  du lundi au vendredi l'après-midi de 14h à 18h et le week-end de 11h à 18h.

Le Pacific Standard décrit une experimentation étonnante memée par une Librairie belge.  En effet, les scientifiques de l'université de Hasslet ont difusé une odeur de chocolat le matin ou l'après-midi pendant 10 jours. Le résutat est étonantt.  Sur les 201 clients de ce magasin,   les clients qui étaient imprégnés de cette fragrance se montraient 2,22 fois plus susceptibles de prendre en main des livres. 

Les scientifiques avaient en outre classé les livres en fonction de quatre genres précis : nourriture / boisson et romans d'amour, qui apparaissaient comme plus liés au chocolat. Les deux autres étaient les ouvrages historiques et les thrillers, polars. Au total 119 des 201 acheteurs passés dans la librairie ont pris au moins un livre de l'une de ces quatre catégories.  Avec pour conséquence de faire augmenter les ventes de romans et d'ouvrages portant sur la nourriture de 40 % lorsqu'il y avait cette odeur dans l'air. Les livres avec une thématique historique ou mystère ont également connu une hausse des ventes de 22 %. In extenso, les clients, lorsque l'odeur de chocolat était dans l'air, avaient bien moins tendance à se précipiter sur un livre puis à foncer sur la caisse pour régler leur achat. Il semble que l'odeur les incitait même à discuter avec les libraires, et se montrer plus enclins à échanger et se plonger dans la variété des livres présentés. 

Neuf libraires indépendants regroupés pour faire face à la concurrence d’Amazon ont ouvert un site Internet permettant trouver dans quelle librairies niçoises trouver le livre que l'on souhaite acheter , on peut. Peu de gens le savent, mais le prix du livre est encadré en France, Amazon ne vend pas moins cher que les libraires indépendants. Ce site se nomme  www.librairesanice.fr.  En revanche, les internautes ne peuvent pas acheter en ligne car l'idée est que les gens continuent à se rendre en librairie.  Cependat,  ils pouront réserver le livre et aller le chercher dans la librairie. Une application sera créee cet automne Un tel site a été crée par des librairies parisiennes.

La semaine dernière, rapporte le South China Morning Post, la chaîne de librairies taïwanaise Eslite annonçait qu'elle s'installerait pour la première fois à Shanghai, en Chine. Le magasin de 6500 m2 devait être l'une des enseignes prestigieuses de la nouvelle Shanghai Tower - 632  mètres de hauteur, 127 étages - qui s'ouvrira en 2015. Il n'a pas fallu 24 heures pour que le département chargé de la propagande à la mairie de Shanghai exige des éditeurs chinois un strict respect des lois en cours concernant les livres diffusables sur le territoire chinois, y compris par un libraire étranger. Le département a même exigé que les médias n'informent en aucun cas leurs lecteurs de cette ouverture puisque le bail est toujours soumis à l'approbation de la mairie.

La chaîne Eslite a immédiatement répondu qu'elle respecterait les lois locales, afin de ne pas compromettre son contrat avec la Shanghai Tower, où elle occuperait trois étages. Par conséquent, Eslite accepte que de nombreux titres ne seront pas dans les rayons de son futur magasin comme les livres du dissident Wang Dang, de Lung Ying-tai ou du Dalai Lama.

Source: Livres Hebdo

Cinq petites librairies indépendantes  situées à Montpellier, Sète, Pézenas, Lyon et Saintes qui ont accepté de vendre quelques livres numériques édités par E-Fractions, une jeune maison d’édition française qui veut promouvoir la littérature contemporaine.

« Plutôt que de demander aux libraires d’investir dans le numérique, nous avons décidé que c’était au numérique d’investir chez les libraires. Soucieux de conserver le libraire comme prescripteur, nous essayons de l’inclure et de lui trouver son rôle dans l’écosystème numérique », expliquent Franck-Olivier Laferrère et Paul Leroy-Beaulieu, les éditeurs.

Cette expérience, a priori contre nature, a convaincu Manu Donne, le libraire saintais qui tient De la lettre à la bulle, rue de l’Arc-de-Triomphe. « J’étais un peu réticent à ce genre de livre, avoue t-il. Mais la politique de l’éditeur est plutôt positive. Dans le numérique, par définition, il n’y a pas de contact avec le libraire. C’est ce qu’E-Fractions veut changer. Et puis le prix, moins de 4 euros, est attractif. Ça permet de découvrir de nouveaux auteurs. »

Comment ça marche ? Pour chacun de ses titres, la maison d’édition fait imprimer une carte sur laquelle on retrouve la couverture, la quatrième de couverture, l’URL de téléchargement ainsi qu’un QRcode permettant de flasher avec son téléphone portable. Ce sont ces cartes qui sont vendues chez le libraire qui à chaque vente touche une commission, déterminée d’un commun accord. Lors de l’achat d’une carte, le libraire remet à l’acheteur le mot de passe qui lui permettra de télécharger le livre ou, s’il le souhaite, de le recevoir automatiquement par mail. Manu Donne propose pour l’instant trois titres ( Lawrence d’Arabie à contre-corps » de Franck-Olivier Laferrère, « La Solitude de l’ours polaire » de Louis-Stéphane Ulysse et « Aimer, c’est résister », un ensemble de dix nouvelles.). « En dix jours, j’ai déjà vendu deux livres numériques. C’est peut-être l’occasion de récupérer des lecteurs qui sont passés au tout numérique », glisse-t-il.

Source: Sud-Ouest

La mairie de XVIIIème arrondissent dirigée par Daniel Vaillant et la marie de la Ville de Paris vont entamer une procédure d'éviction à l'encontre d'une entreprise économiquement saine la librairie l'Odeur du Book, installée depuis plus de 10 ans au 13, rue Ramey.Cette procédure n'a qu'un but: faire une opération immobilière.  En effet, il s'agit de renover l'immeuble. Cette renovation sera faite la SOREQA (Société de requalification des quartiers anciens). Elle est détenue à 78% par les pouvoirs publics.

De plus, la mairie de Paris n'a pas proposé de relogement et les indemités d'éviction sont honteusement dérisoires. 

Si vous vous voulez sauver cette librairie, vous pouvez signer la pétition en cliquant ici. 

A  Landivisiau (Finistère) rue de La Tour-d'Auvergne,, une librairie jeunesse étonante  ouvert le 29 avril.  En effet, cette librairie se trouve dans une créperie. La crêperie-librairie propose une trentaine de places assises, auxquelles s'ajoute une grande terrasse installée plein ouest, dans un patio muré, gravillonné et équipé de jeux et cabane pour les enfants. Un portique viendra bientôt s'ajouter à l'ensemble...   La librairie propose des livres neufs et des bandes dessinées pour les tout-petits jusqu'aux ados. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les ventes ont bien débuté. D'autant plus qu'il est possible de commencer la lecture des ouvrages avant de les emporter. 

La librairie est ouverte aux heures de service, et très prochainement, les mercredis, vendredis et samedis après-midi. L'occasion pour les jeunes lecteurs et acheteurs de prendre un goûter sur place.  Le crêperie « Chez le mari de Cécile » est ouverte tous les midis, du lundi au samedi. Ainsi que les vendredis et samedis soir, à partir de 18 h 30. 

Ce commerce a certain succès. Sa page Facebook ouverte le 23 avril compte déjà 119 amis.

Source: Ouest France

Valérie Tafforeau et Cécile Rol-Tanguy-Plet  veulent réouvrir la  librairie L’Herbe repousse entre les dalles située  au Mans. Mais, elles ne disposent pas dassez d'argent pour la fiancer malgrè les fonds récoltés grâce aux livres   le 6 avril vendus à La Fonderie . Pour les aider à récolter les fonds qui leur manquent, rendez-vous demain  de 15h à 21h au  café Le Barouf ( rue Victor-Bonhommet).  Dans ce lieu insolite pour trouver des livres, les visiteurs découvrir des livres rares, publiés chez des éditeurs parfois méconnus.