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22 mai 2019

Plus de couverture en plastique pour protéger les livres

kirjasto kirjat

La bibliothèque municipale de Kuopio en Finlande même une experimentation intéressante pour l'environnement: la suppression  des couvertures plastiques.   Les livres onverture sans converture plastique ne sont pas plus abimé que les autres. En effet comme le souligne les responsable de la bibliothèque au site Yleles lecteurs ont rendu l'un des nombreux livres sans couverture de l'auteur Kalle Päätalo sans aucun dommage majeur.

Un autre des avantage est le recyclage plus rapide.  Le recyclage des livres mis au rebut est également beaucoup plus facile, grâce à cette initiative, a déclaré la bibliothèque. Les couvertures non recyclables devaient auparavant être déchirées, mais les livres sans couverture peuvent maintenant être placés directement dans l'unité de recyclage du papier.

Tu ula Tiihonen , une employée de la bibliothèque , a déclaré comprendre le besoin d'un projet sans plastique, mais reste sceptique. "Quand les livres seront beaucoup utilisés, ils s'useront. Je suppose qu'ils ne dureront pas. Voyons voir".

Et ce n'est pas seulement bon pour l'environnement - la nouvelle pratique pourrait également faire économiser de l'argent et du temps, a déclaré Koistinen. Les livres qu'il n'est plus nécessaire de couvrir se retrouveront plus rapidement dans les bibliothèques. L'argent économisé peut être utilisé pour acquérir de nouveaux livres.

Les responsables des bibliothèques estiment que cette expérience pourrait également intéresser d'autres bibliothèques en Finlande, car les couvertures en plastique peuvent coûter très cher. Les bibliothèques finlandaises ont acquis un total d'environ 1,6 million d'œuvres l'an dernier.

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20 mai 2019

Revente de livres egarés par la Poste par l'Etat belge

Fin shop

Justine Huart est médecin au CHU de Liège, et écrivaine. En octobre dernier, son roman « Ce qu’il reste de nous » est publié chez Noir édition, une maison d’édition spécialisée dans la littérature noire. Elle commande une petite centaine d’exemplaires du livre.

Mais « je n’ai reçu qu’une moitié du colis. J’ai donc tout de suite alerté mon éditeur, qui s’est renseigné auprès de la Poste française, puisque c’est un éditeur breton, qui a essayé de faire des recherches pour le colis manquant, donc de 45 exemplaires du roman. Les recherches ont alors montré que le colis avait été perdu au niveau du passage à la douane belge. On essaye donc de réclamer ce colis-là, mais on a dit qu’il était perdu ou introuvable. On n’a en tout cas jamais pu avoir de retour sur ce colis-là ».

Aucune nouvelle de ces livres pendant des mois, puis il y a quelques semaines, par hasard, elle tombe sur une annonce de Fin Shop, le magasin du SPF Finances chargée de vendre des biens meubles pour le compte de l’État belge, ce magasin qui met aux enchères les fameux 45 exemplaires perdus de son roman. Justine Huart est scandalisée, car, dit-elle, « il était tout de même assez facile de me retrouver ».

Ce sont des romans que j’ai écrits, donc c’est une propriété intellectuelle sur laquelle j’ai des droits. Mon éditeur l’a également imprimé et fabriqué, et ce sont des livres qui n’ont été achetés par personne, donc c’est une perte sèche pour mon éditeur. Ils ont été vendus sans donner ce à quoi l’éditeur avait droit, ni moi mes droits d’auteur. 

Source: RTBF

18 mai 2019

Un livre exceptionnel pour fêter le centenaire de Bentley

the-bentley-centenary-opus

Pour célébrer son centième anniversaire, Bentley sort un livre à la hauteur de son prestige. Dans sa version la plus exclusive, il est incrusté de diamants et coûte... 200'000 livres l'unité, soit près de 230'000 euros ! Élaboré avec Opus, spécialiste du livre de luxe, l'ouvrage compte neuf chapitres et plus de 800 pages retraçant l'histoire de Bentley depuis ses premiers faits d'armes dans les années 20. Le dernier chapitre évoque également l'avenir du constructeur, ses ambitions pour un deuxième siècle d'existence qui s'ouvre à peine. Il a été rédigé par Adrian Hallmark, le patron actuel de la marque. Le célèbre styliste américain Ralph Lauren, amateur de voitures anciennes et, faut-il croire, de Bentley en particulier, a lui aussi apporté sa pierre à l'édifice en écrivant l'introduction de l'ouvrage.

Lourd d'environ 30 kilos et large de près d'un mètre une fois ouvert, ce livre est, d'après Bentley, le plus gros jamais réalisé sur une marque automobile. Vu les chiffres annoncés, on serait tentés de croire que le constructeur ne nous ment pas. L'ouvrage, officiellement nommé "The Bentley Centenary Opus", est relié à la main. La couverture est garnie d'un cuir dont les clients pourront choisir la couleur, et reçoit un logo Bentley également fabriqué à la main. L'ouvrage existe en trois versions : la Mulliner, la Centenary et la 100 Carats. Toutes seront produites en nombre limité : 100 exemplaires pour la première, 500 pour la Centenary et enfin 7 seulement pour la 100 Carats (un pour chaque continent), la plus exclusive avec ses 100 carats de diamants incrustés et son logo en or blanc ou en platine. La Mulliner, elle, cache dans son coffret intérieur un petit bout de gomme Michelin prélevé sur le pneu avant gauche de la Speed ​​8 victorieuse des 24 Heures du Mans en 2013.

Pour s'offrir l'édition 100 Carats, il faudra donc débourser la coquette somme de 230'000 euros environ. Bien plus accessibles mais pas données pour autant, la Mulliner et la Centenary sont vendues respectivement 12'500 et 3000 livres (14'000 et 3400 euros environ). Comme pour une voiture, les clients se verront proposer des options de personnalisation et pourront par exemple demander à avoir des photos de leur propre Bentley dans leur livre.

Source: Motor 1

2 mai 2019

Baisse spectaculaire des ventes de livres en mars

caisseenregistreuse

Le reflux est général sur l'ensemble des circuits de ventes même si les grandes surfaces culturelles sont les moins affectées avec une baisse de 5 %. Par rapport à un très bon mois de mars 2018 (+ 6,5 %), le marché du livre accuse un repli brutal en mars 2019 : - 6,5 % en euros courants (- 3 % en données corrigès des jours ouvrables).


Bien qu’amplifiée par le jeu calendaire (mars 2019 compte un jour de semaine de moins que mars 2018), cette évolution provoque une nouvelle dégradation de la tendance annuelle à - 3 %, soit - 3,9 % en volume compte tenu de l’évolution de l’indice Insee des prix des livres.

Tous produits confondus, l'activité chute aussi en mars (-4 %). Sur le marché du livre, le reflux est général. Les grandes surfaces culturelles sont les moins affectées (- 5 %). Les 1er et 2e niveaux enregistrent une évolution proche (- 5,5 %). Les hypermarchés décrochent à - 12 %.

Sur les douze derniers mois, les évolutions par circuits s’échelonnent de - 7,3 % pour les hypermarchés à - 1,5 % pour les grandes surfaces culturelles.

Source: Livres Hebdo

8 avril 2019

Publication de livres permettant la lecture en réalité augmentée

Super Extra Lab

Avec son livre augmenté, Adrien Piffaretti a peut-être trouvé la bonne idée pour donner le goût de la lecture aux enfants d’aujourd’hui. Des enfants ultra connectés préférant souvent les écrans scintillants aux pages plus sobres d’un bon roman… Avec son équipe de sept salariés, l’entrepreneur a développé l’Extrapage, un concept au nom plutôt parlant. Il s’agit d’un dispositif venant proposer du contenu complémentaire aux pages d’un livre papier (conçu expressément pour cet usage) et permettant ainsi une lecture augmentée.  Comment ça marche ? Un petit miroir amovible, placé au-dessus de l’objectif d’une tablette sur laquelle a été téléchargée l’application, renvoie à la caméra les images du livre. L’appli détecte ainsi immédiatement la page en cours de lecture et déclenche de façon autonome du contenu complémentaire : de la musique par exemple, mais aussi des jeux interactifs, des vidéos… Les possibilités sont infinies. Dernière fonctionnalité en date développée par Super Extra Lab, le laboratoire d’innovations numériques d’Adrien Piffaretti portant l’innovation Extrapage : la reconnaissance vocale. Dans les tuyaux également : le papier tactile.

« Nous allons bientôt publier le papier tactile. Les lecteurs pourront toucher des endroits précis du livre pour déclencher des effets », explique au journaliste du Progrès le dirigeant de l’entreprise basée à Saint-Etienne (Loire).

L’équipe travaille désormais sur un autre projet, encore plus ambitieux, la reconnaissance des gestes. « Notre dispositif est déjà capable de reconnaître une page, une voix, un élément mobile (une carte par exemple)… Nous voulons maintenant réussir la reconnaissance des gestes. Nous espérons y parvenir d’ici un semestre. Pour l’instant, nous travaillons selon la méthode dite du deep learning. L’intelligence artificielle entraîne notre système en lui soumettant des milliers de gestes. Il apprend tout seul. Il doit être capable de reconnaître une main blanche, noire, petite, grande, avec des ongles vernis ou pas... »

Grâce à une campagne de financement participatif, super extra lab a publié à l’été 2018 son premier ouvrage, en auto-édition, en partenariat avec Universcience et la Rotonde : Esca’pad à Madagascar.  Il est disponible à 20€.  Pour profiter de l'expérience de la lecture augmantée, il faut installer une application en cliquant ici pour les possesseurs de tablettes Android et pour les possesseurs de produits Apple.

D’ici la fin de l’année, plusieurs nouveaux ouvrages pour enfants devraient voir le jour : un livre de cuisine intitulé Chef Binou, une collection de plusieurs livres documentaires sur les animaux pour les 4/7 ans et une collection autour de la musique dont le premier titre sera Musicats.  Dans ce livre l'enfant découvira l'histoire de 6 chats loufoques qui tentent de sauver leur école de musique en participant à un concours télévisé.  Il  pourra composer et enregistrer ses musiques et voix pour le grand show final. 

« Nous pensions attirer rapidement de gros éditeurs, mais dans ce milieu, les décisions se prennent très lentement. Nous n’avons pas le temps d’attendre, nous éditons donc nos propres ouvrages pour montrer notre savoir-faire ! », explique Adrien Piffaretti. Super Extra Lab vise un chiffre d’affaires de 300 000 euros pour son premier exercice, dix fois plus dans cinq ans. 

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2 avril 2019

Que lisent les les enfants?

héros préférés des enfants

Le site Aleteïa popose un classement des héros préfèrés des enfants.  Sans suprise Harry Potter occupe la première place avec plus de 155.000 exemplaires vendus sur l’année.   Le tome 1 du Journal d’un dégonflé   écrit  par  Jeff Kinney est à la troisième place du classement des meilleures ventes 2018 en fiction jeunesse, avec près de 42.000 exemplaires vendus sur l’année. Le succès de Frigiel et Fluffy, ces personnages sortis tout droit de l’univers des jeux vidéos est incontestable : Slalom, la maison d’édition, place cinq titres dans le top 15 des meilleures ventes 2018 en fiction jeunesse.  La vallée des dinosaures (tome 1 de la Cabane  magique) prend la quinzième place du classement en catégorie Poches, avec près de 40.000 titres vendus en 2018. Chez les files, Elisabeth, princesse à Versaille rencontre un grand succès.  

 Côté petite enfance, Le loup qui apprivoisait ses émotions est dans le top 3 des ventes 2018 dans la catégorie des albums illustrés, avec plus de 71.000 ventes. Les autres titres, traitant de sujets en rapport avec le développement de l’enfant, sont également bien positionnés. Une petite révolution dans le bestiaire des contes !T'choupi vendu à 58.000 exemplaires en 2018 obtiens ainsi la quatrième place du classement des albums illustrés Pas toute jeune non plus, la collection des Monsieur Madame (Hachette Jeunesse), inventée par l’anglais Roger Hargreaves en 1971 pour les « Monsieur », puis dix ans plus tard pour les « Madame », tient encore une place de choix dans le cœur des enfants et dans les bibliothèques. Si Madame Câlin remporte la palme du livre le plus vendu de la série en 2018, à la neuvième position dans la catégorie des albums illustrés, Madame Princesse arrive vite derrière (onzième position), suivie de Madame Invention (24ème position). Cette dernière a été écrite par le fils de Roger Hargreaves, Adam, celui-là même pour qui Roger avait conçu le premier livre, Monsieur Chatouille, pour lui expliquer à quoi ressemblait une chatouille. La mise en scène d’un trait de caractère bien spécifique, l’histoire simple et les dessins très colorés donnent sans doute aux Monsieur Madame encore de beaux jours devant eux.

5 mars 2019

Occitanie : E-books, Amazon… Face au numérique, comment le marché du livre s’adapte

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Has been, le livre​ ? Pas si sûr. Une étude de  l'association Livre et lecture, dévoilée ce lundi, montre un marché plutôt dynamique en Occitanie, même si l’ombre du numérique plane de plus en plus sur les libraires, les éditeurs et les auteurs. 20 Minutes a puisé dans ces chiffres-clés quelques-unes des mutations de cette filière. Oui, on lit encore, mais (beaucoup) moins. Les ventes de livres ne s’effondrent pas, dans la région, mais « se tassent », confie Laurent Sterna, le directeur d’Occitanie Livre et lecture. « Il y a moins de grands lecteurs, le nombre de personnes qui lisent plus de 15 livres par an s’est complètement effondré, reprend Valérie Travier, conseillère livre à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac). Le public est aujourd’hui plus large, mais il lit moins. Il y a plus de lecteurs qui lisent un à deux livres par an. » Selon Laurent Sterna, les bouquins sont en concurrence avec les autres loisirs, comme le cinéma, le jeu vidéo ou le spectacle vivant. « Et lire demande un vrai effort d’attention », note-t-il.

En Occitanie, l’étude de Livre et lecture montre toutefois une appétence toujours présente du public pour la littérature. Près de 70 salons ou festivals dédiés au livre ont été créés ces cinq dernières années, dont 32 nouveaux événements en 2016 et 2017. Le livre numérique n’est pas (encore) l’ogre que l’on attendait. L’offre de livres numériques est en forte augmentation en Occitanie : 4.775 titres sont proposés aujourd’hui par les éditeurs membres de l’association Livre et lecture, soit une hausse de 46 % par rapport à 2016. En Occitanie, 16 % des titres sont numériques. Un tiers des éditeurs de la région proposent des e-books, 10 % d’entre eux proposant 90 % de l’offre.

En France, selon une étude du Syndicat national de l’édition, ce marché représente 8,6 % du chiffre d’affaires des ventes de livres. Ainsi, si dans l’industrie musicale, le streaming a quasiment effacé le disque, dans la filière du livre, le bon vieux bouquin a encore très largement les faveurs du public. « Le livre numérique est une question qui faisait peur, il y a encore cinq ans, il y avait une crainte que cette vague vienne tout emporter, indique Laurent Sterna. Avec le livre, subsiste le plaisir de l’objet, il y a un rapport assez sensuel avec le lecteur. Lire sur un écran rétroéclairé n’est pas encore dans nos habitudes. Pour de l’information, oui, mais pas pour de la littérature. »

Amazon fait (beaucoup) de mal aux libraires. Ce n’est pas une surprise : le boom du e-commerce a été dévastateur pour les libraires. Et les tentatives politiques pour remédier à ce phénomène ont été particulièrement infructueuses. « Quand on se félicite [en 2014] d’une loi dite anti-Amazon en décrétant que les frais de port ne pouvaient pas être gratuits, et que cela allait sauver la librairie française, c’est invraisemblable, indique Laurent Sterna. Evidemment, dans la seconde, Amazon a facturé ses frais de port un centime d'euro. C’est à la représentation nationale d’organiser des conditions et des lois qui vont provoquer un écosystème. » Acheter son livre chez un libraire et non sur Internet, peut ainsi représenter aujourd’hui un véritable « acte militant ». « La façon dont on achète un livre n’est pas neutre », souligne le directeur de Livre et lecture.

Les librairies sont (très) fragiles. Avec la concurrence féroce du e-commerce, pas facile d’être libraire, notamment dans les petites structures. Les grosses librairies, dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à 2 millions d’euros, font près de la moitié (48,9 %) du chiffre d’affaires total des librairies d’Occitanie, alors qu’elles ne représentent que 8,6 % du paysage. Les petites boutiques, qui font moins de 300.000 euros de chiffre d’affaires par an, se partagent quant à elles 11,6 % du chiffre d’affaires total du secteur. Alors quand un petit libraire veut passer la main, il a parfois un peu de mal à trouver un repreneur. Or, un tiers des librairies ont déclaré à l’association Livre et lecture envisager une transmission « à plus ou moins long terme ». « Un très bon libraire, formé, va gagner difficilement plus d’un Smic, regrette Laurent Sterna. C’est la triste réalité. C’est un métier où l’on gagne peu. Mais pourtant, de l’envie, il y en a. » Certaines petites structures ne présentent même plus un modèle économique viable, et ne se payent pas. Alors, hormis les traditionnelles lectures, séances de dédicaces ou animations, pour subsister (ou innover), certaines librairies se diversifient en Occitanie. « Avec des résultats qui sont extrêmement variés, il n’y a pas de méthode miracle, souligne Cécile Jodlowski-Perra, la directrice d’Occitanie Livre et lecture. Par exemple, la Librairie-Tartinerie de Sarrant (Gers), devenue l’un des poumons économiques de ce village, propose des livres, mais aussi des tartines, comme son nom l’indique. Cette convivialité permet d’attirer des familles, des groupes, des touristes. En revanche, une librairie de Sète, qui avait proposé du vin et des assiettes de fromage, a fermé. Une partie de l’activité avait même fait couler l’autre. D’autres librairies proposent des jouets. »

Source: 20 minutes

4 mars 2019

Exposition d'un livre la bibliothèque de Valenciennes à Los Ageles

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Un livre médiéval de la médiathèque de Valenciennes (Nord) va parcourir des milliers de kilomètres ! Direction Los Angelesoù il sera visible lors de l’exposition « The Book of Beast : The Bestiary in the Medieval World (Le Livre des bêtes : le bestiaire dans le monde médiéval) », organisée par le Getty Museum. Le livre qui sera prêté est le Liber de natura rerum, écrit par le moine dominicain Thomas de Cantimpré, réalisé vers 1280-1290 et provenant de l’abbaye de Saint-Amand. Il compte parmi les plus vieilles encyclopédies d’histoire naturelle.

« Surtout, il est richement enluminé de plus de 600 miniatures rehaussées d’or. Dans l’exposition, ce manuscrit permettra de montrer aux visiteurs l’articulation entre l’imaginaire médiéval et la volonté, alors naissante, de décrire les mondes animal, végétal et minéral tels qu’ils sont », assure-t-on du côté de la médiathèque.

Nancy, restauratrice de manuscrits au J. Paul Getty Museum, et Peter, chercheur indépendant, sont venus prendre les côtes du manuscrit à Valenciennes pour préparer l’exposition. Ils ont profité de leur voyage dans les Hauts-de-France pour étudier d’autres manuscrits d’histoire naturelle conservés à Valenciennes, mais aussi dans les bibliothèques de Douai et de Saint-Omer.

Source:  actu.fr

17 janvier 2019

Un livre gratuit pour les fonctionnaires fédéraux américains

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Tom King,  un des scénariste de  Batman a décidé de réagir au shutdown (les fonctionnaires fédéraux ne sont plus payés) que subissent les Etats-Unis d'une façon originale. En effet, il a décidé d'offrir des romans grafiques ou des  bandes dessinées a chaque foncrionnaire fédéral pour qu'il passe du bon temps.  Pour en profiter, il faudra être de son identifiant fédéral.

 Cet événement est organisé le samedi 19 janvier par la librairie Third Eye Comics à Annapolis (Maryland)  de 11h à 21h . Durant cette journée,  aura lieu également  une dédicace de cet auteur de 11h à 14h.

30 décembre 2018

Un livre de collection sur Stan Lee de 7 kg et à 1250 euros

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 Enorme plaisir de libraire pour Frédéric Kilfiger à l’Octopus rue Maréchal De Lattre de Tassigny à Epinal (Vosges)  qui a vu arriver un colis XXL. Dans cette boîte cartonnée de taille, quasiment collector, un exemplaire de la Stan Lee Story, version livre d’art de chez Taschen, commandé au professionnel par un collectionneur local.

« Ce n’est pas tous les jours que l’on a le plaisir de tenir un livre de cette taille, qui pèse 7 kg et coûte 1250 euros », note l’heureux vendeur. Il faut dire que cet ouvrage, signé du papa des X-Men, Hulk et autres Spider-Man, décédé en novembre dernier (le 12 à l’âge de 95 ans) n’a été tiré qu’à 1000 exemplaires dans le monde. Et que seuls 22 ouvrages ont été réservés aux fans de super-héros français. Frédéric Kilfiger n’aura pas le loisir de le feuilleter de suite, en dépit de la jolie paire de gants blancs livrée avec.

« Je laisse la primeur à mon acheteur », note celui qui couve ce petit bijou comme son bébé. En attendant la livraison imminente.

Source: Vosges Matin

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