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13 décembre 2018

Application du prix unique pour le livre dans les librairies de Bruxelles

Vote prix unique

Le parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) a approuvé à l'unanimité, mercredi 12 décembre au soir, le projet de décret qui permet l'application du prix unique du livre dans la région bilingue de Bruxelles-Capitale, comme c'est déjà le cas en Wallonie, pour les livres en français, depuis le 1erjanvier 2018, mais également en Flandre, pour les livres en flamand, depuis le 1er juillet 2017.

Le texte approuvé donne assentiment à l'accord de coopération négocié au printemps dernier entre la FWB, la Flandre et l'Etat fédéral pour la vente d'ouvrages dans les librairies qui vendent des ouvrages dans les deux langues dans la capitale.

"Enfin, nous payerons tous le juste prix pour les livres édités en France", s'est réjoui la ministre wallonne de la Culture, Alda Greoli, sur twitter après le vote.

Suite à ce décret, les règles à Bruxelles seront les mêmes que celles qui se trouvent dans les législations des deux communautés. Les livres en français vendus à Bruxelles devront ainsi respecter les règles du décret de la Communauté française du 19 octobre 2017 relatif au prix unique du livre, et inversement pour les livres en néerlandais vendus dans la capitale.

Source: Livres Hebdo

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6 décembre 2018

40% des cadeaux seront des livres en France

cadeaux Noêl

Le livre est toujours un objet chéri pour les Fêtes. Selon l'étude CSA pour Franfinance (Société Générale), 40% des Français pensent offrir un livre, soit un peu moins que de l'argent (41%) et des jouets (50%). Le livre est un choix préféré aux parfums, à l'alcool ou aux cosmétiques.  L'échantillon de 1008 personnes ne concernant que des personnes majeures représentatives de la population française, il est logique de voir disparaître les jouets de la liste des cadeaux que les Français pensent recevoir. 29% des personnes interrogées pensent recevoir un livre, c'est d'ailleurs le bien qui attire le plus de suffrages dans cette catégorie, devant les vêtements, les parfums et l'argent.

Les femmes et les seniors sont particulièrement concernés. 46% des Françaises et 47% des plus de 65 ans envisagent d'offrir un livre à leurs proches. Le livre rencontre également beaucoup de succès en région parisienne puisque 30% de ses habitants pensent offrir ET recevoir un livre. Cette même étude montre que le budget moyen par personne serait de 358€ en cadeaux, 122€ en repas et 66€ en décoration. Enfin, 81% des Français pensent acheter leurs cadeaux en magasin, davantage en grandes surfaces qu'en magasins spécialisés. Mais 66% des Français ont aussi prévu de faire des achats sur Internet, principalement les 18-24 ans.

Source: Livres Hebdo

25 septembre 2018

Librarium : un musée innovant dédié au livre, à l'écrit et aux bibliothèques à Bruxelles

librarium_belgique

En 2007, la Bibliothèque royale de Belgique (KBR) envisage la création d’un espace permanent pour la mise en valeur de ses riches collections patrimoniales. En 2008, elle lance un concours destiné à concevoir la scénographie d’un tel espace. Et, dès 2010, ce chantier est lancé grâce à l’aide de sponsors dont la Loterie nationale.

Il propose un concept original offrant au spectateur divers niveaux de lecture qui évoquent l’histoire du livre, de l’écrit et des bibliothèques. Sa mise en scène interactive fait appel aux techniques multimédias les plus récentes, dont des bornes interactives et des audioguides.

Sous la dénomination de Librarium, il s’articule autour d’un espace central d’où rayonnent différentes thématiques. Chacune de celles-ci est développée dans une des huit salles spécifiques, définies par une phrase-titre qui en révèle le programme : « Des sociétés humaines naît une pensée », « Exprimée par l’écrit », « véhiculée par un support matériel », « Et figurée par l’image », « Pour passer d’un auteur à un lecteur », « Elle sera conservée dans des lieux de mémoire », « Où s’organiseront les savoirs », « Afin de faire éclore une pensée nouvelle ».

Les visiteurs peuvent ainsi découvrir de nombreux objets provenant des différentes sections de la KBR tels que papyrus égyptiens, manuscrits médiévaux, incunables, estampes ou documents autographes… Afin d’accroître l’intérêt de l’exposition et de protéger des pièces souvent extrêmement fragiles, le contenu présenté est modifié tous les trois mois. Un effort important d’animation valorise ce patrimoine : ateliers, animations et partenariats divers.

Ce programme est piloté conjointement par les services éducatif et patrimoine. Il dispose d’un cadre propre (trois-quatre personnes), appuyé par une vingtaine de bénévoles, principalement afin d’encadrer les groupes (écoles, associations…), ainsi que les visites guidées pour des visiteurs. Le succès de fréquentation de ce nouveau musée a permis de multiplier par trois le nombre de visiteurs individuels de la KBR, et ce malgré une baisse des emprunts et des consultations sur place. Toutes les catégories de visiteurs ont d’ailleurs manifesté un haut degré de satisfaction lors des enquêtes menées auprès du public. De plus, cette expérience a contribué à générer une nouvelle dynamique de coopération entre les services en charge du Librarium. La KBR a cependant entamé une large réflexion sur la poursuite de son projet. Elle envisage tout d’abord d’améliorer largement l’expérience multimédia qu’elle propose, par exemple en permettant une manipulation ou consultation virtuelles des différents objets exposés grâce à leur numérisation. Un choix plus étendu des langues des diverses notices devrait aussi répondre aux attentes d’un public cosmopolite. Une meilleure mise en valeur des pièces essentielles de son patrimoine, en particulier sa magnifique collection de manuscrits médiévaux dite « Librairie des Ducs de Bourgogne » pourrait aussi être prise en considération. La problématique d’une communication performante autour d’un binôme bibliothèque-musée devrait certainement être abordée.

Un accroissement de son offre muséale, en complément de la poursuite de son rôle de bibliothèque nationale, permettrait à la KBR de devenir un des pôles les plus attractifs et dynamiques du cœur de la cité.

Source : Archimag

7 septembre 2018

Pas de TVA pour les livres au Pérou

loi TVA Livre Pérou

Lae congrès a approuvé le premier tour de scrutin avec 75 voix  le projet de loi proposé pour le développement du droit à la lecture et à la promotion du livre, les bibliothèques et les librairies, soit exempté pour une autre année de paiement général de la TVA sur la vente et / ou l’importation de livres.

Au cours du débat à la Chambre, le député  du Congrès Miguel Torres, co - auteur du projet, a déclaré l'extension vise à éviter une augmentation du le prix des livres au public , avant le retrait des avantages fiscaux à une industrie qui se déplace 600 millions  de dollars chaque année .

La Cámara Peruana del Libro a prévenu que si une extension de cette loi n'était pas approuvée, le prix des livres aurait augmenté de 20 à 25% et  la croissance de l'industrie de l'édition aurait ralenti .

La loi sur le livre, qui exempte  de18% de TVA  sur  la production et l'importation de livres et de produits d'édition , a été approuvée en 2003 et a été régulièrement étendue au cours des 15 dernières années.

Source: RPP Noticias

26 août 2018

Création d'une anglaise: les couvertures de livres peintes sur galets

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Ella Dickson (1997, Mathématiques et philosophie), diplômée d'Exeter, a eu l'idée brillante d'encourager les enfants à lire davantage et à visiter leur bibliothèque locale. Ella décore de petites roches avec des versions miniatures de couvertures de livres pour enfants très appréciés avant de les cacher dans et autour de sa bibliothèque locale à St Albans pour les trouver. Les petites œuvres d'art ont rencontré un énorme succès, les enfants et leurs parents cherchant à trouver les rochers cachés avant que quelqu'un d'autre ne les fasse - et, très souvent, ils les cachent après avoir pris une photo pour que quelqu'un puisse découvrir la joie de la découverte. ! Parmi les dessins qu'Ella a peints figurent les couvertures de livres de  The Hobbit  et  Northern Lights des exoniens JRR Tolkien (1911, Classics and English) et Philip Pullman (1965, anglais) respectivement. Parmi les autres, citons Harry Potter de JK Rowling et The Philosopher's Stone , James et The Giant Peach de Roald Dahl , et Swallows and Amazons d'Arthur Ransome . Après avoir peint les rochers, Ella les vernit, les cache et affiche un message sur Facebook pour informer les gens que la chasse est lancée.

Ella, professeur de mathématiques et mère de deux enfants, a eu l’idée de rejoindre un groupe Facebook local, St Albans Rocks UK, où des membres du public décorent des roches et les cachent dans la ville ou postent des photos de roches peintes.

Ella a déclaré: «J'essayais de penser à ce que je pouvais faire car je ne suis pas très artistique mais je peux copier l'art d'autres personnes. Et j'ai pensé aux couvertures de livres et à Harry Potter - puis je suis devenu un peu accro! Mes garçons les aiment et aiment l'idée que d'autres les trouvent.

«Je pensais les cacher à la bibliothèque lorsque je vivais à proximité et j'ai pensé que cela pourrait encourager quelques visites, ce qui ne serait pas une mauvaise chose! Les parents sur Facebook sont très enthousiastes. Les bibliothèques sont une ressource locale si importante pour tout le monde.

«Ça a vraiment décollé et les gens sont descendus dans leurs voitures pour les trouver dès que j'ai posté en ligne que je les ai cachés.

Pour voir plus des merveilleuses créations d'Ella, ainsi que des peintures de certaines des personnes qu'elle a inspirées, visitez  twitter.com/elladickson .

Source: Exeter College Oxford

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30 juillet 2018

Des bancs-livres à Pont-l’Évêque

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Banc livres 3

Banc livres 1Pour la 1ère fois en France, une exposition inédite prend place à Pont-l’Évêque pour faire (re) découvrir à toutes les générations le plaisir et le goût de la Lecture. C’est l’histoire incroyable d’une rencontre entre un auteur, un artiste et un banc …

« Les Livres à deux Places » sont des sculptures de bancs en forme de livres ouverts, peints par des artistes sur le thème d’œuvres d’écrivains français.
Les bancs sont vendus aux enchères à l’issue de l’exposition au profit de l’association « Lire et faire lire ».

En devenant de véritables objets culturels, ces bancs sont destinés à mettre à l’honneur le patrimoine littéraire français. La ville de Pont-l’Évêque s’associe à l’Agence Haute Tension Communication, détentrice de la licence exclusive « Books about Town », pour la réalisation et la mise « en œuvre » de cette exposition.

Ce concept, né en Grande Bretagne, a connu un grand succès à Londres et maintenant en Australie… au tour de Pont-l’Évêque maintenant !!!

7 mai 2018

Nord, vous pouvez maintenant déposer vos livres chez Bio Bon Gourmand !

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Vous ne savez pas quoi faire de vos livres ? Il est désormais possible dans des bornes installées dans des magasins Bio Bon Gourmand (BBG) du Nord, à Marquette-lez-Lille, Capinghem et Petite-Forêt. En effet, en partenariat avec la Bouquinerie du Sart, les magasins bios BBG collectent les livres d’occasion et adhèrent ainsi à un projet à vocation sociale et solidaire. En remettant les ouvrages neufs ou d’occasion à la Bouquinerie de Villeneuve d’Ascq, BBG s’inscrit en effet dans une démarche permettant à des personnes sans hébergement de retrouver un emploi et un toit.

Plusieurs types d’ouvrages peuvent être déposés dans les bornes : livres de poche, bandes dessinées, livres pour enfants, etc. La Bouquinerie du Sart trie les ouvrages collectés, les recycle, alimente les bibliothèques associatives ou les revend sur internet. La structure organise également des braderies durant lesquelles les livres, DVD, disques vinyles et jeux vidéo s’achètent 1 euro pièce.

Source: Actu.fr

13 mars 2018

L'édition jeunesse française et l'evironement

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D'après les résultats de plusieurs études menées par le WWF France, les maisons françaises d'édition jeunesse pointeraient parmi les mauvais élèves en termes de protection des forêts. L'ONG a mené une première étude consistant à "examiner les mentions obligatoires sur un échantillon de 164 livres sur 3 segments (imagiers, pop-up, animé)", explique un communiqué. Le résultat: 90% des titres ne mentionnent pas la qualité du papier et des encres utilisés pour leurs impressions, 90% oublient l'incitation au recyclage, 63% des imprimeurs sont soit inconnus soit sans certification, et seuls 43% des titres satisfont à l'obligation légale d'indiquer le nom de l'imprimeur. 

"Les démarches engagées par nos voisins montrent aux éditeurs français qu'il est possible d'engager le livre dans la transition écologique", fait savoir Pascal Canfin, directeur général du WWF France. "Les groupes français ont aujourd'hui toutes les solutions disponibles pour sélectionner les papiers recyclés ou écocertifiés, démontrer publiquement qu'ils préviennent les risques et faire la transparence sur leurs pratiques", ajoute-t-il. 

Une autre étude, menée par le WWF à l'automne 2017, s'est ensuite concentrée sur huit maisons d'éditions (Auzou, Fleurus, Gallimard Jeunesse, Hachette Jeunesse, Milan, Nathan, Pi.kids, Piccolia). "Si les analyses n'ont pas détecté de lien direct avec la déforestation en cours (...), elles ont monté qu'une part significative des fibres provient de plantations industrielles", explique l'ONG dans son communiqué qui précise que trois éditeurs (Piccolia, Pi.kids et Auzou) "présentaient des risques particulièrement importants". Quatre faiblesses principales sont mises en avant: la transparence, le recyclage en fin de vie, l'écoconception et l'approvisionnement. 

Source: Livres Hebdo

1 mars 2018

Un excellent mois de janvier pour les ventes

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Le mois de janvier s'est révélé particulièrement dynamique avec une hausse de 4,5% des ventes par rapport à l'année dernière, ce qui contraste avec l'évolution du commerce de détail (+ 0,2%). Par conséquent la tendance annuelle s'améliore en atteignant - 0,5% en valeur, contre - 1,1% le mois dernier. Le livre reste cependant en retrait par rapport à l'évolution globale du commerce (+ 0,7% sur un an).


Tous les circuits de distribution en profitent. Les ventes ont ainsi progressé de 4,5% en janvier pour les librairies de premier niveau, de 5% pour les librairies de 2e niveau et de 6% pour les grandes surfaces culturelles. Même les hypers retrouvent pour la première fois depuis 2016 la voie de la croissance avec une légère hausse de 0,5%.

La tendance annuelle reste négative pour les librairies et les hypers. Seules les grandes surfaces culturelles affichent une augmentation annuelle positive (+2,1%).

Sourrce: Livres Hebdo

24 février 2018

Saint-Denis : empruntez vos romans dans un kiosque automatisé !

Kiosque emprunt livre

Plus la peine de courir entre midi et deux pour emprunter un livre à la médiathèque. Les salariés de Plaine Commune (Aubervilliers, Epinay, L’Ile-Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte, Saint-Denis, Saint-Ouen, Stains, Villetaneuse), ainsi que le public qui traverse le hall de l’établissement public territorial à Saint-Denis, ont accès depuis fin novembre à un kiosque automatisé, qui dispose de quatre étagères et peut contenir jusqu’à 200 romans, « neufs et à 90 % des nouveautés », tient à préciser Lucie Daudin, directrice adjointe de la lecture publique à Plaine Commune. « Cela fonctionne un peu comme un distributeur de friandises, les livres mettent l’eau à la bouche », illustre-t-elle. Cette boîte à livre numérique, une première en France, est accessible aux personnes détentrices d’une carte du réseau médiathèque. Elle peut aussi délivrer en quelques minutes une carte spécifique et gratuite.

Alice est salariée au siège de La Plaine. En un mois, elle a déjà emprunté deux romans, le maximum sur cette période. « Lorsque l’on passe sa carte, la porte du kiosque s’ouvre. Ce qui me plaît, c’est qu’on peut feuilleter les livres, les remettre sur l’étagère ou les emprunter. Et comme je passe devant tous les jours, cela m’incite à m’arrêter et à regarder quel roman j’aimerais lire », poursuit Alice.

 La moitié des utilisateurs, soit 75 personnes depuis le 30 novembre, se sont auto-inscrites sur le kiosque. Quatre cents prêts ont été réalisés. « L’idée, c’est de toucher un public qui ne va pas à la bibliothèque, soit par manque de temps ou par méconnaissance du service », poursuit Olivier Brossard, de la société Nedap, le développeur de cette machine, qui prévoit de tester un autre distributeur au même endroit. Celui-ci permettra uniquement de retirer des livres, préalablement réservés sur le site du réseau des médiathèques.  Pour Plaine Commune, pas question de cantonner le dispositif à son siège. « On veut l’implanter dans les lieux qui accueillent du public, comme les centres de santé, les maisons de quartier ou de l’emploi. Il y en aura une deuxième sur le territoire d’ici la fin de l’année. On souhaite donner le goût de la médiathèque en s’implantant sur le trajet des gens », poursuit Lucie Daudin.

Le kiosque répond aux objectifs du programme « Bibliothèques Numériques de Référence », initié par le ministère de la Culture et intégré par Plaine Commune en 2015. Il permet à des collectivités de bénéficier de subventions d’Etat pour des dispositifs favorisant le développement de la lecture. Une aide financière indispensable au regard du prix de la machine, « entre 50 000 et 120 000 € en fonction de la taille », précise Olivier Brossard. « C’est dans l’air du temps, pour les personnes qui ne sont pas forcément disponibles aux horaires d’ouverture des bibliothèques », estime le commercial Olivier Brossard.

Source: Le Parisien

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