Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Biblioworld
Biblioworld
Publicité
Biblioworld
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 330 201
14 octobre 2017

Fiesta organisée par treize écrivains pour sauver la librairie de Montparnasse

les treize salopard

De la solidarité, de l’humour, de la littérature et des verres de rosé qui circulent joyeusement entre les piles de livres dans les allées bondées de monde. Ce vendredi soir, jusque tard, un collectif d’écrivains à succès et autoproclamé « les 13 salopards du vendredi 13 » a réussi son coup ! Faire la fête, le buzz, faire rentrer de l’argent et surtout mobiliser tout un quartier et au-delà… Les treize artistes en question - Olivier Norek, Guillaume Musso, Bernard Minier, Niko Tackian, Ian Manook, Samuel Delage, Laurent Scalese, Claire Favan, Cendrine Wolf, Anne Plichota, Jérôme Attal, Jacques Saussey et René Manzor - ont organisé un apéro pour sauver la librairie L’œil écoute. La boutique, située au 77, boulevard du Montparnasse  dans le XVIème arrondissement de Paris qui existe depuis 44 ans, est étranglée par les dettes et menacée de fermeture : « La concurrence avec Internet dont Amazon qui ne paye pas de charges en France, l’Urssaf, les problèmes de distribution, la bouche de la station de métro Montparnasse-Bienvenuë de la ligne 4 fermée pendant trois mois mais surtout Internet », énumère lasse mais combative Armelle Lainé-Vairet, la libraire.  La chic sexagénaire, regard bleu pétillant, débordée, sollicitée de toute part, est « touchée par tout ce monde ». Un peu plus loin, Brigitte, sa sœur, confirme « que les auteurs qui se mobilisent comme ça, ça met du baume au cœur ».

Au fond de la librairie, Marie-Lise, lectrice, déchaînée, carrure imposante, venue de Seine-Saint-Denis « où les livres malheureusement se vendent surtout en grandes surfaces », pousse tout le monde pour arriver aux écrivains installés à une table de fortune devant leur livre à dédicacer.

Debout sur l’une des tables, l’un des « 13 salopards », René Manzor, écrivain et scénariste, en pleine forme, crâne rasé et mitaines aux mains, harangue la foule : « Votre mission, si vous l’acceptez, c’est de verser un petit peu d’argent, même la somme d’un livre de poche, sur la cagnotte sur le site web. Il sauver la librairie ! », insiste-t-il. La cagnotte, ouverte jusqu’au 21 octobre, a déjà récupéré 10 000€ mais a besoin de 25 000€ ! 

« Il faut soutenir cet endroit de culture, de convivialité, de partage », assène Jeanne, retraitée, qui habite de l’autre côté du boulevard Montparnasse (XIVe). Jérôme, la trentaine, de passage, venu de Bordeaux (!) attend Guillaume Musso. « Ma femme l’adore. Je vais lui ramener L’appel de l’ange dédicacé. Ça va lui faire trop plaisir ». L’auteur à succès enchaîne gentiment les signatures. « J’ai habité rue Campagne-Première pendant des années, juste derrière. Je venais souvent à L’Œil écoute. C’est ouvert tard le soir. Je suis attaché à cette librairie ».

Source: Le Parisien

Publicité
Publicité
17 janvier 2017

La librairie Lo Pais remercie ses bienfaiteurs pour avoir contribué à sa survie

Sauvetage Lo Païs

La solidarité n’a pas de frontière! En témoigne le chemin parcouru par les dirigeants et salariés de la librairie « Lo Païs » à Draguignan (Var). Il y a encore quelques mois l’avenir de l’établissement était menacé. La librairie lançait alors un appel aux dons depuis la plateforme internet Ulule pour collecter quelques 20 000 euros.

«Le premier a avoir répondu est un Dracénois parti travailler en Chine! De l’autre côté du globe, il a contribué à sauver cette institution dracénoise qu’il fréquentait durant sa scolarité», se souvient Colette Pétat, responsable de la librairie.

Samedi soir, à l’heure des remerciements, les sourires se lisaient sur tous les visages. Ceux de l’équipe et des bienfaiteurs (pour la plupart des Dracénois) ayant contribué à soutenir et sauver la structure. A ces 600 donateurs, l’équipe a adressé avant-hier soir un grand «merci» avant de partager le verre de l’amitié. 

Source: Var Matin

28 septembre 2016

La librairie jeunesse du Mans sauvée par la générosité de ses clients

Récréalivres sauvée

Alors qu'elle était il y a encore un mois clairement menacée, la librairie jeunesse du Mans (Sarthe), Récréalivres, peut de nouveau faire des projets. C'est un immense soulagement pour son gérant, Gwendal Oulès, mais aussi une belle surprise : la campagne de financement participatif lancée sur la plate-forme Ulule lui permet de disposer de 19 000 €, quand 7000 auraient déjà suffi à combler le trou causé par une sale affaire de chèque falsifié.

 "On ne s'attendait pas à ce que plus de 600 personnes répondent à l'appel", reconnait Gwendal Oulès. "C'est une source de surprise, de joie et de réconfort". Le libraire poursuit : "Cela montre que les gens tiennent à l'existence des librairies indépendantes. [...] Aujourd'hui, on est dans un contexte économique où tout le monde doit faire des choix, et on est très touché de voir que les gens font ce choix-là [de nous aider, NDLR]".

Première conséquence heureuse de cet apport d'argent frais : la participation de Récréalivres à la 25ème Heure du Livre, le salon du livre du Mans, est confirmée. "Nos problèmes financiers hypothéquaient notre présence au salon, et là nous sommes sûrs d'être présents, avec un beau plateau d'auteurs". A plus long terme, Gwendal Oulès aborde l'avenir avec sérénité. "Nous allons pouvoir continuer de monter nos projets sans tout le temps craindre d'être un peu court sur le plan financier".

Source: France Bleu

30 août 2016

Récréalivres, la librairie jeunesse du Mans, lance un appel aux dons

recrealivres-lance-un-appel-aux-dons

La falsification d’un chèque de Récréalivres, libraire jeunesse au Mans (Sathe) a fait basculer « le fragile équilibre de la librairie »,assure Gwendal Oulès, l’un des trois associés. D’un montant de 100 €, le chèque a été volé et falsifié à hauteur de 6 750 €. Le libraire n'en sera pas remboursé, à moins que l'auteur du vol ne soit interpellé. Le débit de 6 750 € a plombé la trésorerie du commerce, mais elle a été surtout malmenée par les frais bancaires découlant du vol, les agios. Dans le rouge depuis le début d’année, Gwendal Oulès s’est finalement tourné vers la plateforme participative Ulule. Sur sa page, il demande une aide pour les 6 750 €, puis pour l’accompagner dans le remboursement de son emprunt qui doit se terminer l’année prochaine. En ligne depuis vendredi, la plateforme Ulule a déjà recueilli 8 500 € de dons. Elle restera active jusqu’à la fin du mois de septembre. En contrepartie, les donateurs se verront offrir des sérigraphies ; des éditeurs et des auteurs ayant cédé leurs droits sur certaines illustrations. Et la veille de La 25e Heure du livre (8 et 9 octobre), un apéritif est prévu pour remercier les contributeurs.

Source: Ouest France

12 février 2016

Une nouvelle librairie fait appel au financement participatif pour se sauver

Librairie en Danger

« Sauvez la librairie A L’Encre Violette », c’est le titre de la campagne de financement participatif (Cruwdfunding) lancée par librairie indépendante de la ville Aurilac (Cantal),  sur Ulule. Située rue de l’Hôtel de Ville, l’établissement à la situation financière fragile est menacé de fermeture. Violette Le Clerc fait donc appel aux bonnes volontés qui souhaitent faire des dons à partir de cinq euros et ainsi aider la libraire qui a repris l’affaire en 2013 à : « sortir la tête de l’eau ».

« C’est la première fois que je fais ça, c’est une amie m’a soufflée l’idée et j’ai vu que d’autres librairies avaient recours à cette méthode » affirme Violette Le Clerc qui garde le sourire  : « Au début, lorsque j’ai repris, ça fonctionnait bien, puis il y a eu des hauts et des bas. Je constate qu’il y a de moins en moins de monde en centre-ville.Aujourd’hui, la banque ne me suit plus. Il ne reste que deux librairies à Aurillac et j’aimerais sauver la mienne. »

Le montant minimum fixé par Violette Le Clerc via le site de financement participatif s’élève à 3.000 euros : « Un minimum pour rassurer ma banque. Après s’il y a plus, je pourrais acheter d’autres livres et faire des investissements » poursuit celle qui a, en parallèle, fait une demande auprès de la Drac Auvergne (Direction régionale des affaires culturelles) pour obtenir des subventions afin de participer au festival de BD à Aurillac les 12 et 13 mars prochains. Depuis le lancement de cette campagne solidaire lancée le 4 février dernier, 44 contributeurs ont participé et 1145 euros ont été récoltés, cette opération prendra fin le 20 mars 2015. « C’est un bon début, mais pour obtenir l’argent, il faut que ça atteigne 3000 euros, le plafond qui a été fixé. Je suis très heureuse de voir que des amis, des clients et des anonymes m’aident à sauver ma librairie, ça réchauffe le coeur dans cette mauvaise passe. »

Source: Voix du Cantal

Publicité
Publicité
28 janvier 2015

La Librairie Le Bleuet ne fermera pas

repreneuse bleuet

Une bonne nouvelle pour les amateurs de litterature des Hautes-Halpes en ce début de l'année 2015, dans un post sur Facebook ,  la librairie le Bleuet  annonce qu'elle  ne fermera pas: " après bien des péripéties émaillées des rumeurs les plus folles (qui nous ont, il faut le dire, parfois énormément fait rire), Le Bleuet a trouvé sa nouvelle bonne étoile : elle se nomme Christine Rey et c’est notre nouvelle présidente. Grande amoureuse du Bleuet depuis de nombreuses années, c’est presque par hasard que cette professeure de musique passionnée de littérature a découvert récemment que sa librairie provençale favorite était à vendre. Et c’est donc elle qui portera désormais bien haut les couleurs retrouvées du Bleuet."

Dans le suite de celui-ci. on découvre qu'Il n'y a l'entrepôt à la sortie du village et suprimé. Tous les livres y étaient entreposés seront classés et rangées dans la librairie.  Voici les nouveaux horaires de la librairie, valables jusqu’au début des beaux jours : Nous serons donc ouverts tous les jours (week-end inclus) de 10h à 18h, sauf le lundi où nous ouvrirons de 14h à 18h.

Pour découvrir plus sur les difficultés de cette librairie, vous pouvez lire l'article suvant en cliquant ici

18 septembre 2014

Un académicien se bat pour sauver une librairie

Sauvetage librairie Paris

«C'est toujours quand grand-mère est malade qu'on se rend compte combien on l'aimait.», raconte Angelo Rinaldi, ému, à la terrasse du Café de la Comédie rue Saint Honoré, à deux pas de sa librairie préférée. L'enseigne Delamain est menacée de disparition. L'écrivain prend conscience de l'importance de ce lieu emblématique du paysage littéraire parisien.
Le fonds qatarien Constellation Hotels Holdings, propriétaire récent de l'immeuble qui abrite la librairie et le Grand Hotel du Louvre, s'apprête à renouveler le bail. Et il demanderait un doublement du loyer. Fondée en 1700, la plus vieille librairie de Paris n'y survivrait pas. Angelo Rinaldi a «vu s'éloigner la librairie Le Divan (de la place St Germain des Près au XVe arrondissement)» et se fermer la librairie mythique Del Duca il y a deux ans. Il ne veut pas voir disparaître ou déplacer une autre librairie historique de la ville de paris. «La voir disparaître, ce serait une atteinte au capital intellectuel parisien, un appauvrissement de l'horizon littéraire.» L'écrivain et ancien critique littéraire salue le personnel, «reconnu pour sa gentillesse et son savoir». Chez Delamain, il déniche des livres d'occasion, des livres anciens, des «introuvables». Il y retrouve aussi le charme d'une bibliothèque de province et «son odeur inimitable de papier». Il rappelle que c'est une de ces rares enseignes où l'on trouve encore des notes de lecture du libraire épinglées sur les livres.
«La rentrée à l'Académie française est le 25 septembre. Je vais alerter mes collègues.» Il n'en voit pas un pour refuser de s'engager à combattre, moralement du moins, pour la survie de la librairie. L'immortel compte aussi contacter les éditeurs et discuter avec le ministre de la Culture, Fleur Pellerin. En voisine, elle s'est rendue la semaine dernière au chevet de la librairie malade. «Maintenant, il faut foncer», annonce Angelo Rinaldi.
«Il faut se battre», s'exclame Angelo Rinaldi en feuilletant les livres rangés sur les étals à l'extérieur de la librairie. Ce lieu de fréquentation traditionnel des écrivains d'hier et d'aujourd'hui ne peut pas disparaître. Pour lui comme pour le Paris littéraire, la librairie Delamain est immortelle.
Source: Le Figaro

11 juin 2014

Une librairie reprise par des salariés

Les volcans

Les 12 anciens salariés de la librairie les Volcans de Clermont-Ferrand qui avaient monté un dossier de reprise du magasin ont convaincu le tribunal de commerce de Paris. Ils avaient défendu leur projet de reprise via une société coopérative le 21 mai devant le tribunal, depuis la décision se faisait attendre, elle est tombée ce jeudi. Aucun autre repreneur ne s’était manifesté dans ce dossier et les anciens salariés ont mobilisé autour de leur projet. Et il le fallait, la reprise de l’activité de la librairie a été évaluée à 1,4 millions d’euros. Via le site Ulule, la Scop a réussi à recueillir plus de 45.000 euros auprès de particuliers, deux fois le montant espéré. L’Association des amis de la librairie des Volcans a de son côté collecté 30 000 euros de dons et la région Auvergne a voté une aide de 72.500 euros. Les 12 anciens salariés licenciés ont également investi leurs indemnités dans la Société coopérative et participative. D’autres partenaires devaient aussi participer comme l’éditeur scolaire Rue des écoles ou le Centre national du livre.
L’ordonnance du tribunal de commerce de Paris fait état d’un délai de dix jours avant que les repreneurs ne puissent entrer dans les lieux. La décision étant intervenue le 2 juin, les membres de la Scop espèrent donc réinvestir la librairie clermontoise d’ici la fin de la semaine prochaine et devraient rouvrir le magasin au plus vite.

Les Volcans vont donc à nouveau s’agiter boulevard François Mitterrand à Clermont-Ferrand. Les membres de la Scop veulent garder la même surface commerciale avec l’aménagement d’un espace pour des concerts. ils prévoient également d’embaucher une vingtaine de personnes. La librairie les Volcans est une institution clermontoise. C’était, jusqu’à sa fermeture le 10 février dernier, l’une des plus grosses du réseau Chapitre avec plus de 1.600 m² de surface commerciale. L’enseigne aurait du fêter ses 40 ans au mois d’avril 2014. Après la liquidation judiciaire du réseau Chapitre en décembre dernier, 34 librairies sur 57 avaient été reprises.
Source: France Bleu

26 mars 2014

Succès de la campagne de financement participatif pour sauver une librairie

librairie les vocans

Après l'appel à l'aide  lancé par  la librairie Le Bleuet sur Internet , c'est au tour de la libraire des volcans à Clermont Ferrand qui a récolté des fonds  grâce à  Internet.  En effet, selon France 3 Auvergne, les Internautes ont donné plus 45 000 € pour sauver cette Libraire. Cette somme  représente  la double de la somme espérée au départ. Elle servira aux 14 employé à reprendre ce commerce qui faisait partie du groupe Chapitre et qui malheureusement n'a attiré aucun repreneur. Ils comptent créer une Société coopérative et participative. 

Pour André Hébrard, coordinateur des soutiens de la librairie, "cela prouve que la réouverture de la librairie est attendue par beaucoup de gens. Ce succès crédibilise notre projet et cet argent va nous permettre de mettre mettre en place les choses plus rapidement."

Ajoutés aux indemnités de chômage des associés (300.000 euros), à l’aide du Conseil Régional (72.500 euros), aux dons collectés par l’association "Les Amis des Volcans" (17.000 euros) et aux financements des banques, cet argent doit aussi permettre de convaincre le tribunal de Commerce de la viabilité du montage financier proposé par la SCOP. La décision est attendue dans le courant du mois d’avril. Si elle est positive, les salariés espèrent pouvoir rouvrir la librairie au plus tard en mai 2014.

5 mars 2014

Sauvez une librairie de village

lebleuet_banon

« J’ai besoin de votre aide pour sauver le Bleuet, sauver son esprit et sauver ses emplois : 13 emplois, 13 libraires passionnés ; sauver un lieu qui est la preuve vivante que l’on peut réussir à entreprendre en milieu rural. »

C’est par ses mots que Joël Gattefossé, fondateur et dirigeant de la célèbre librairie du petit village de Banon (04), justifie la collecte mise en ligne lundi 3 mars sur la plateforme Ulule.com, spécialisée dans le financement participatif. Vous avez jusqu'au 30 avril pour permettre le sauvetage cette librairie pour répondre à cette demande de don en cliquant ici. 

Il lui faut  25000€.  Cela va lui  servir à: 

  • consolider la trésorerie du Bleuet et sauvegarder ses emplois
  • participer à la création et au développement d'un nouveau site de vente en ligne plus performant et 100 % conforme à l'esprit de la librairie ; un site qui ne sera pas un Amazon bis, mais un espace indépendant et vivant de conseil, d'échange et de rencontre entre libraires, auteurs et lecteurs.
  • créer une plate-forme de réflexion et d'échanges gratuite et ouverte à tous consacrée à l'évolution du métier de libraire, à la vente de livres en ligne, la dématérialisation du livre, à l'économie de l'édition, à la librairie indépendante.

Pour ceux qui soutiendront le projet par leurs dons, les contreparties seront les suivantes :
•- production d’une série de nouvelles inédites par des écrivains,
•- production de dessins originaux par des dessinateurs de BD. 

Les noms des écrivains et des dessinateurs seront publiés dans un 2e temps (et feront l’objet d’une communication spécifique) puis selon les niveaux de dons :

- téléchargement d’une nouvelle ou d’un dessin au choix,
- remise d’un exemplaire imprimé,
- remise d’un exemplaire imprimé et numéroté,
- remise d’un exemplaire imprimé, numéroté et dédicacé.

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 > >>
Publicité