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15 juillet 2018

Une méthode originale pour inciter les enfants à lire et à écrire

Plume site ecriture

Plume est une plateforme d'écriture créative qui propose à tous les enfants de 8 à 11 ans d'écrire à leur rythme et de façon totalement décomplexée. L'enfant est dirigé vers un univers adapté à ses goûts et compétences au sein duquel il peut choisir le début d'une histoire. Pour pouvoir en lire la suite, il lui faudra prêter main-forte à l'auteur en prenant la plume à son tour et en écrivant plusieurs parties du développement du récit interactif. Ses écrits sont corrigés par des professeurs et il peut visualiser ses progrès grâce à l'évolution de son avatar. Une libre (ré)interprétation du cadavre exquis, ce jeu littéraire inventé dans une maison où vivaient Marcel Duhamel, Jacques Prévertet Yves Tanguy. Chaque participant écrivait à tour de rôle une partie d'une phrase, dans l'ordre sujet-verbe-complément, sans savoir ce que le précédent avait choisi...

Cette plateforme d'écriture s'appuie sur la pédagogie inspirante de Maria Montessori qui fait valoir la nécessité absolue de faire écrire les enfants entre 8 et 11 ans, âge le plus propice à l'acquisition de bonnes pratiques linguistiques. Pour 4,90 euros, il est possible de permettre à un enfant de voyager dans 7 chapitres rédigés par des auteurs de littérature jeunesse et de « chatouiller » le talent d'écrivain qui sommeille en lui. Et cette offre sera disponible dès septembre pour les enseignants qui pourront l'utiliser en classe. L'enfant (et ses parents) reçoit ensuite un exemplaire du fameux livre, occasion pour ces derniers d'exhiber fièrement la première œuvre littéraire de leur rejeton !

Récompensée par La Fabrique Aviva pour le caractère innovant et la pertinence de son offre, Plume est l'application idéale pour progresser en écriture et en lecture tout en s'amusant. À vos plumes, prêts, partez !

Source: Le Point

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4 juillet 2018

SNCF – Des lectures numériques pour enfants avec e-Livre

SNCF e-Livre

La compagnie ferroviaire lance pour la seconde année une opération spéciale pour l’été. Les enfants de 8 à 13 ans vont pouvoir lire des ebooks pendant le voyage en train. Bien entendu les lectures proposées sont gratuites, il suffit de télécharger l’application e-livre. De plus, un jeu-concours est organisé pour tenter de remporter des livres numériques des éditeurs partenaires. Pour y participer, il suffit de s’inscrire en deux clics sur l’application SNCF e-LIVRE et d’attribuer de 1 à 5 cœurs à chaque ouvrage lu.

100 enfants seront tirés au sort à la fin des vacances et remporteront des livres numériques. 

La SNCF a noué un partenariat avec des éditeurs jeunesse. Ces livres numériques pourront être lus sur tablettes ou smartphones à bord des trains mais aussi une fois le voyage terminé et ce, jusqu’au 30 août.

Les ebooks sélectionnés sont les suivants : Namasté Tome 1 –Namasté – Sur la piste de Ganesh d’Eddy Simon et Aurélie Guarino, aux Editions Sarbacane, de Rachel Hausfater et Bruno Gibert, aux Éditions Casterman, Bao et le dragon de jade de Pascal Vatinel et Peggy Adam, aux Éditions Actes Sud.

L’appli e-Livre est sur l’Apple Store  ou sur Google Play

Source: Idboox

21 juin 2018

Livre-Audio : les Grands prix 2018

Partir-En-Livre-02

Présidée par Cécile Palusinski, La Plume de Paon, association qui œuvre à la promotion du livre audio dans ses dimensions sociales, culturelles et pédagogique, a récompensé hier les lauréats du Grand Prix du livre audio 2018 au Centre national du livre en présence des membres de son jury: Audrey Agnier, Daniel Bergès, Pascal Kané, Esther Leneman, Michel Nougué, Jean-François Puech, Christophe Rioux, Antoine Spire, Katharina von Bülow, Thomas von Joest et François Wach. Voici la liste:

  • Grand Prix du livre audio 2018, catégorie Document : Reconquérir le courage, de et lu par Cynthia Fleury, Frémeaux & Associés
  • Grand Prix du livre audio 2018, catégorie Classique:  Le drnier Jour d'un condamné, de Victor Hugo, lu par Bernard Métraux, Gallimard
  • Grand Prix du livre audio 2018, catégorie Contemporain : Aucun de nous ne reviendra, de Charlotte Delbo, lu par Dominique Reymond, Editions des femmes – Antoinette Fouque
  • Grand Prix du livre audio 2018, catégorie Jeunesse : Hector et Rosa-Lune, de Magali Le Huche, lu par Elsa Lepoivre, Didier Jeunesse
  • Plume d’or 2018 : Les récrés du Petit Nicolas, de René Goscinny, lu par Benoît Poelvoorde, Gallimard.

Souce: Aldus

12 juin 2018

Les Poussalire du Salon débarquent !

Poussalivre

Du 11 au 22 juillet 2018, dans le cadre de la quatrième édition de Partir en livre, le Salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis a imaginé un dispositif de lecture originale. Soutenu par la région Île-de-France , il est à découvrir dans quatre parcs et îles de loisirs de la région parisienne. Son nom ? Le Poussalire

Deux formes différentes sont proposées dans un but simple et ambitieux : offrir des instants de lectures agréables et accessibles à tous, pour des aventures littéraires en sons et en mots.

Dans le Parc départemental Georges-Valbon (93) et à la base de loisirs de Cergy-Pontoise (95), l’expérience Poussalire prend la forme d’un voyage à bord d’un cyclolivre qui vous transporte tout en vous proposant des lectures audios, à écouter au casque. Les mots deviennent alors des compagnons de route, le temps d’une balade verdoyante et intimiste.

Et il y en aura pour tous les goûts ! Des lectures variées vous attendent : en prenant l’engagement de la bibliodiversité, la petite édition et la création contemporaine sont représentées durant toute la durée de l’événement

Dans les îles de loisirs du Port-aux-Cerises (91) et de Saint-Quentin en Yvelines (78), la lecture sera quant à elle collective et partagée. Si le Poussalire ne prend pas de passagers à son bord, ils vous transporte bel et bien dans les mondes imaginaires de la littérature jeunesse.

Piloté par un comédien, le Poussalire prend la forme d’un triporteur. Rempli de livre, l’engin transforme son pilote en ménestrel. Face à la foule, il raconte à voix haute des histoires de qualité pour les petits et les grands. Le jeune public est aussi invité à se saisir des livres mis à disposition !

Source: SLPJ +

29 mai 2018

Création d'un bibliobus à Kaboul

Charmaghz_un

Avec seulement trois adultes sur dix capables de lire, l'Afghanistan a l'un des taux d'alphabétisation les plus bas du monde, selon l'Unesco, l'agence culturelle des Nations Unies. Et bien que le système éducatif progresse d'année en année depuis l'ère des talibans, les statistiques officielles montrent que trois millions d'écoliers sont encore privés d'éducation. La plupart des écoles publiques n'ont d'ailleurs même pas de bibliothèque. Depuis janvier dernier, un bus-bibliothèque baptisé "Charmaghz" tente de palier à ces manques en sillonnant les rues de Kaboul, la capitale du pays. Créé par une jeune diplomée d'Oxford de 26 ans, il accueille chaque jour près de 300 enfants gratuitement.

"Charmaghz est un sanctuaire pour les enfants de Kaboul, un endroit où les enfants peuvent être des enfants" explique Manizha Baraki, qui organise actuellement une collecte de fondspour "Charmaghz". 

"Notre mission est de créer une opportunité pour la pensée critique et de permettre aux enfants afghans de 18 ans et moins de s'interroger, de lire, de poser des questions, d'être eux-mêmes et de s'amuser, explique Freshta Karim, la jeune femme à l'origine du projet, sur son site internet ; nous pensons que la création d'un environnement favorable et constructif tel que Charmaghz aidera nos enfants à devenir des individus positifs et ouverts d'esprit".

Le nom de "Charmaghz", qui veut dire à la fois "noix" et littéralement "quatre cerveaux" en persan, a été choisi pour sa signification et la ressemblance de ce fruit à coque avec le cerveau, afin de véhiculer la notion de réflexion, que la bibliothèque mobile souhaite insuffler. 

Le premier bus-bibliothèque de Kaboul, loué à la compagnie publique de transports, réalise six jours par semaine le même circuit, en stationnant pendant deux heures devant des emplacements stratégiques tels que des écoles, des parcs ou encore des orphelinats. Il met à la disposition plus de 600 ouvrages, offerts par des éditeurs afghans.

"Quand j'étais enfant, je n'avais pas l'occasion d'aller à la bibliothèque et de lire les livres que je voulais lire", déclarait Freshta Karim à la Fondation Thomson Reuters en mars dernier. C'est avec l'aide de trois amis que la jeune femme de 26 ans, qui a grandi dans un camp de réfugiés au Pakistan, a lancé le "Charmaghz". Partie étudier à l'étranger grâce à des bourses, elle est aujourd'hui diplômée d'Oxford et souhaite ainsi partager la magie de la lecture avec les enfants de son pays.

"Nous sommes un groupe de jeunes Afghans qui ont été témoins de la guerre et de son impact direct sur notre enfance, explique le site internet de Charmaghz ; notre enfance, comme des millions d'autres enfants afghans, a été perdue avant que nous puissions la vivre. La douleur nous rassemble pour faire une différence dans la vie des autres enfants".

L'équipe souhaite aujourd'hui réunir de nouveaux fonds afin de s'étendre à d'autres provinces de l'Afghanistan et louer deux bus supplémentaires. Il est possible de soutenir son initiative ici.

Source: Archimag

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2 mai 2018

Lancement de box contenant des livres jeunesse par Amazon

Amazon Prime Box

Amazon revient à ses racines de libraire pour son dernier programme Prime. Le détaillant en ligne a présenté mardi Prime Book Box , un service d'abonnement qui propose des boîtes de livres à couverture rigide pour les enfants jusqu'à l'âge de 12 ans. Les clients peuvent choisir de recevoir les boîtes tous les un, deux ou trois mois. Chaque livraison coûte 23 $, ce qui, selon Amazon.  A l'interieur de chaque  Prime Book Box, il y a quatre livres  à couverture cartonnée pour les enfants  jusqu'a 2 ans et  deux livres à couverture rigide dans les trois autres groupes d'âge: 3 à 5, 6 à 8 et 9 à 12.

Le service réservé aux États-Unis est uniquement disponible sur invitation uniquement pour les membres principaux, une restriction généralement définie par Amazon pour certains programmes qu'il souhaite tester auprès du public.

Source:  cnet

15 avril 2018

« J’offre un livre à un enfant » : une sonnette d’alarme

offrir-livre-enfant

Créée en 1995 à l’initiative de l’UNESCO, la journée mondiale du livre se fêtera le 23 avril. Cette année, les éditeurs de livres jeunesse et scolaires, en partenariat avec l'Association des Éditeurs Belges (ADEB), la Foire du livre de Bruxelles et le Centre de littérature de jeunesse de Bruxelles entendent profiter de cette journée importante pour lancer un appel. En effet, si l’on se réfère aux résultats en matière de compréhension à la lecture révélés par l’enquête internationale PIRLS 2016 (Progress in Reading Literacy Study), nos élèves de 4e année primaire sont les plus faibles lecteurs de l’Union européenne et des pays membre de l’OCDE: seulement 1 élève sur 5 dispose de capacités de lecture suffisantes qui lui permettent d’interpréter et d’intégrer des informations contenues dans un texte : à titre de comparaison, la moyenne européenne s’établit à 1 élève sur 2. D’autres études, moins récentes, confirment ce triste constat. Des manifestations en faveur du livre et de la lecture existent en Fédération Wallonie-Bruxelles, parfois depuis longtemps (Foire du livre, Fureur de Lire, Lire dans les parcs), des mesures ont été prises (plan lecture), de nombreuses personnes motivées agissent au quotidien (enseignants, bibliothécaires, associations), mais le constat est là, et il est inquiétant. Les éditeurs estiment donc qu’il est de leur responsabilité de profiter de cette journée pour lancer un appel à l’action. Ils souhaitent en effet que cette question de la maîtrise de la lecture s’inscrive comme une priorité de société, afin de ne pas laisser 4 jeunes sur 5 dans une situation délicate, voire problématique, quant à ses capacités d’apprentissage, de formation et de développement futur. Chacun doit se sentir concerné par cette priorité. C’est pourquoi, en ce 23 avril, les éditeurs lancent l’appel à « offrir un livre à un enfant ». Offrir un livre à un enfant, cela peut aussi signifier l’emprunter en bibliothèque, le choisir dans sa bibliothèque personnelle, et peut-être surtout, prendre le temps de lire un livre à un enfant, ou avec un enfant, chez soi ou en classe. Cette journée du 23 avril n’est pas l’aboutissement d’une action, mais le début d’une mobilisation afin que le livre, mais surtout la lecture et la maîtrise de la langue française, soit à la fête tous les jours ! Le 23 avril marque le début d’une action de long terme qui veillera à :

• Communiquer largement sur l’importance de la lecture auprès du grand public, par le biais de campagnes de sensibilisation : si l’apprentissage de la lecture est du ressort de l’école, les parents doivent également être conscients de leur rôle et de leurs responsabilités dans ce domaine. La maîtrise de la lecture est un enjeu de société.

• Développer le plaisir de lire dès le début du parcours scolaire, et tout au long de celui-ci : de la maternelle à la fin du parcours scolaire, la lecture doit être une priorité. Les écoles, les enseignants, les associations, doivent se mobiliser derrière cet objectif. La non-maîtrise de la lecture est un handicap culturel, social et économique qu’il convient de combattre.

• Approfondir la formation, autour du livre et de la lecture, des futurs enseignants : ceux-ci doivent être mieux outillés pour aborder le livre et la littérature jeunesse dans leur classe. Il ne s’agit pas seulement d’apprendre à lire, mais également d’apprendre à aimer lire afin que les élèves puissent développer leurs capacités de lecture et d’analyse.

• Réfléchir sur les méthodes d’apprentissage : il n’y a probablement pas une seule bonne méthode d’apprentissage. Les enseignants doivent être formés à l’utilisation des méthodes les plus actuelles et veiller à favoriser quotidiennement les progrès: la relation pédagogique établie par l’enseignant, sa personnalité, sa créativité et ses compétences, constituent un des principaux facteurs de la réussite des élèves.

Source: Communiqué de presse de l'Association des Editeurs belges

27 mars 2018

Lauréate du prix commémoratif Astrid Lindgren 2018

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L'auteure américaine Jacqueline Woodson est la lauréate du prix commémoratif Astrid Lindgren 2018. Jacqueline Woodson est une auteur américaine, née en 1963 et résidant à Brooklyn, New York. Elle est l'auteur de plus de trente livres, y compris des romans, de la poésie et des livres d'images. Elle écrit principalement pour les jeunes adolescents, mais aussi pour les enfants et les adultes. L'un de ses livres les plus appréciés est le film autobiographique primé Brown Girl Dreaming (2014). Le prix commémoratif Astrid Lindgren (ALMA) est le prix le plus important au monde pour la littérature pour enfants et jeunes adultes. Le prix s'élève à 5 millions de couronnes suédoises (environ 613 000 ou 500 000 euros) et est attribué annuellement à un seul lauréat ou à plusieurs.

Le jury a déclaré ceci:  «Jacqueline Woodson nous présente des jeunes résilients qui luttent pour trouver un endroit où leur vie peut prendre racine.Par une langue aussi légère que l'air, elle raconte des histoires d'une richesse et d'une profondeur retentissantes.Jacqueline Woodson capture une note poétique unique dans une réalité quotidienne divisée entre peine et espoir. »

14 mars 2018

Réponse du SNE au rapport de WWF sur l'impact de l'édition jeunesse sur les forêts

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Le rapport publié par WWF et intitulé « Les livres de la jungle », prend acte des résultats obtenus par les éditeurs français en matière de production respectueuse de l’environnement. En particulier, contrairement à ce que peut laisser entendre le titre, il reconnaît qu’aucun d’entre eux n’imprime ses ouvrages sur du papier issu de la déforestation tropicale. Ce rapport est clair : le livre pour la jeunesse ne contribue en aucune manière à abîmer les forêts : « (…) les papiers graphiques analysés par cette étude semblent exempts de liens directs avec la déforestation (…) » (cf. page 84)

Les éditeurs sont dans un axe de progrès. Ainsi, 93% des livres publiés par des éditeurs français sont certifiés FSC, PEFC ou sont imprimés sur des papiers recyclés mais les éditeurs ne le mentionnent pas systématiquement (cf. étude SNE 2017) Le SNE regrette que WWF ne considère comme certification valable que le label FSC dont ils sont partenaires. Par ailleurs, le rapport lui-même constate que les imprimeurs chinois choisis par les éditeurs français sont très majoritairement certifiés FSC (71%) cf. page 65. Rappelons que les imprimeurs chinois sont les producteurs principaux de livres pour enfants pour le monde entier.

Pour ce qui concerne le papier recyclé, tous les éditeurs français souhaitent en augmenter les quantités dans leur production mais l’offre en papier recyclé ne répond pas aujourd’hui suffisamment aux besoins des éditeurs en termes de quantités, caractéristiques, formats et prix pour les tirages importants.

Quant à la recommandation de WWF de signaler que les livres sont recyclables et donc jetables dans la « bonne » poubelle, en considérant le livre comme un déchet potentiel, elle va à l’encontre de la valeur affective et symbolique que les auteurs et les lecteurs accordent à l’objet-livre.

Source:SNE

13 mars 2018

L'édition jeunesse française et l'evironement

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D'après les résultats de plusieurs études menées par le WWF France, les maisons françaises d'édition jeunesse pointeraient parmi les mauvais élèves en termes de protection des forêts. L'ONG a mené une première étude consistant à "examiner les mentions obligatoires sur un échantillon de 164 livres sur 3 segments (imagiers, pop-up, animé)", explique un communiqué. Le résultat: 90% des titres ne mentionnent pas la qualité du papier et des encres utilisés pour leurs impressions, 90% oublient l'incitation au recyclage, 63% des imprimeurs sont soit inconnus soit sans certification, et seuls 43% des titres satisfont à l'obligation légale d'indiquer le nom de l'imprimeur. 

"Les démarches engagées par nos voisins montrent aux éditeurs français qu'il est possible d'engager le livre dans la transition écologique", fait savoir Pascal Canfin, directeur général du WWF France. "Les groupes français ont aujourd'hui toutes les solutions disponibles pour sélectionner les papiers recyclés ou écocertifiés, démontrer publiquement qu'ils préviennent les risques et faire la transparence sur leurs pratiques", ajoute-t-il. 

Une autre étude, menée par le WWF à l'automne 2017, s'est ensuite concentrée sur huit maisons d'éditions (Auzou, Fleurus, Gallimard Jeunesse, Hachette Jeunesse, Milan, Nathan, Pi.kids, Piccolia). "Si les analyses n'ont pas détecté de lien direct avec la déforestation en cours (...), elles ont monté qu'une part significative des fibres provient de plantations industrielles", explique l'ONG dans son communiqué qui précise que trois éditeurs (Piccolia, Pi.kids et Auzou) "présentaient des risques particulièrement importants". Quatre faiblesses principales sont mises en avant: la transparence, le recyclage en fin de vie, l'écoconception et l'approvisionnement. 

Source: Livres Hebdo

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