Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Biblioworld

Biblioworld
Publicité
Biblioworld
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 330 201
8 novembre 2021

Lauréat du Prix Vendredi 2021

amour-chrome-prix-vendredi-2021-sylvain-pattieu

Le Prix Vendredi 2021, le "Goncourt de la littérature jeunesse", a été décerné le 8 novembre à Sylvain Pattieu pour son roman Amour chrome, premier tome de la série Hypallage, paru à l'Ecole des loisirs en janvier 2021. le deuxième tome, Terrain frère, est sroti le 25 aôut. Ce roman adolescent débute en novembre 2015. Discret et populaire, Mohammed-Ali a 14 ans et vit dans le département de la Seine-Saint-Denis avec ses amis Zako, Lina et Margaux. Le collège, ça roule. Mais il a une vie secrète : il aime faire des graffitis la nuit et il est amoureux d'Aimée, passionnée de foot. Pour attirer son attention, il soigne de plus en plus son apparence et compte l’inviter au prochain match de l’équipe de France.

Sylvain Pattieu vit et enseigne en Seine-Saint-Denis, à l'université Paris 8 en tant qu'historien et membre de l'équipe du master de création littéraire. Il est l’auteur de plusieurs livres: Tourisme et travail, de l’éducation populaire au secteur marchand (1945-1985) (Presses de Sciences Po, 2009), Les camarades des frères. Trotskistes et anarchistes dans la guerre d’Algérie (Syllepse, 2002), Des Impatientes, premier roman, Le bonheur pauvre rengaineEt que celui qui a soif, vienne, et Forêt furieuse, tous quatre publiés par Le Rouergue, Beauté Parade, récit sous forme de comédie sociale (Le livre de poche). Amour chrome est son premier livre jeunesse.

Deux mentions spéciales ont été attribuées. La première à Joëlle Ercomier pour son roman , édité chez Zebulo. Quatre personnages se confrontent à la vérité et à leurs sentiments emmêlés : Kô, 16 ans, un adolescent taciturne qui ne vit que dans l'espoir du retour de son père, sa soeur Sindhu, 13 ans, une fille vive et enjouée, leur mère Nila et Darpan, un étranger énigmatique. L'histoire est inspirée par la découverte en juillet 2015 d'une aile d'avion sur la côte Est de l'île de La Réunion. La seconde distingue Je serai vivante de Nastasia Rugani (Gallimard jeunesse). "Moi, j'aurais préféré ne jamais me rendre sous le cerisier, il y a trois mois, en avril dernier." Trois mois après avoir été victime d'un viol, une adolescente fait sa déposition à la gendarmerie. Elle exprime sa souffrance et sa révolte.

Source:  Livres Hebdo

Publicité
Publicité
6 novembre 2021

Rappel des livres de Sally Rooney par les librairies israéliennes

4786

Trois semaines seulement après que l'écrivaine Sally Rooney (Castlebar, Irlande, 1991) a rendu publique sa décision de ne pas autoriser la traduction en hébreu de son dernier roman, "Où es-tu, beau monde", tous ses livres publiés en anglais ont été retiré des librairies israéliennes. Selon 'The Guardian', la mesure a été adoptée par les deux principales chaînes livresques en Israël, Steimatzky et Tzomet Sefarim , qui possèdent plus de deux cents établissements dans tout le pays. Le travail de l'écrivain irlandais traduit en anglais, la langue majoritaire en Israël, n'est plus disponible sur les sites Web des chaînes de librairies susmentionnées, et ne sera pas disponible dans leurs magasins physiques sous peu.

«La chaîne Steimatzky est un écrin littéraire et un lieu chaleureux et accueillant pour toute œuvre littéraire faite avec amour pour l'écrit. Dès le moment où nous avons découvert le problème, nous avons immédiatement retiré les livres du Web», a déclaré un représentant de Steimatzky au journal britanniqueIl se trouve que Modan, l'éditeur qui a traduit les deux premiers romans de Rooney en hébreu, "Conversations entre amis" (2017) et "Normal People" (2018), détient des parts dans Tzomet Sefarim.

À la suite d'une déclaration publiée par l'auteur irlandais, Yoseph Haddad, PDG de l'organisation d'activisme social Together - Vouch for Each Other, a lancé une campagne encourageant les libraires israéliens à boycotter son travail, et encourageant les citoyens israéliens à contacter les deux chaînes de librairies pour leur demander de arrêter de vendre leurs romans. D'où sa satisfaction après avoir appris la nouvelle : "Je suis très heureux que cette pression ait poussé les deux plus grandes chaînes de librairies en Israël à agir".

Source: ABC

5 novembre 2021

Lauréate de la Grande Ourse 2021

Grande-Ourse-2021-Lucie-Felix-768x768

Après Gilles Bachelet en 2019 et Marie Desplechin en 2020, c’est Lucie Félix qui revêt le costume de la « Grande Ourse 2021 ». En quelques années, en sept albums seulement, cette autrice âgée de 36 ans s’impose comme une figure incontournable dans le paysage éditorial jeunesse. CoucouLa Promenade du petit bonhomme… Des titres évocateurs qui invitent, tout en finesse, les tout-petits sur les chemins hasardeux de la lecture. La clarté percutante de ses images, son jeu d’écriture fait d’enchaînements ludiques et poétiques, l’invitation adressée au lecteur de prendre les rennes du déroulement de l’histoire, font de Lucie Félix une autrice qui s’inscrit dans la grande tradition d’artistes plasticiens qui, tel Bruno Munari, pensent l’album comme un terrain de jeu. Découpages, jeux de lumières, transparences, jeux de doigts… la forme de chaque ouvrage abrite une expérience de lecture inédite, construite de manipulations intimement liées au sujet même du récit. Avec Lucie Félix, la lecture devient une découverte esthétique, un chemin sensible qui engage tout le corps et suscite le désir de recommencer. Étudiés, disséquées, ses ouvrages tracent des narrations originales, maitrisées au cordeau, en laissant toute liberté au lecteur de construire son parcours personnel. La lecture devient un dialogue entre l’œuvre et le lecteur, entre le parent et l’enfant. Un espace de curiosité, d’enrichissement, de rencontres. Un regard nouveau sur l’album pour les plus petits, des mises en scènes soignées, une œuvre dense, font de Lucie Félix la Grande Ourse 2021.

«Mes livres sont des dispositifs expérimentaux, narratifs, poétiques, dont le petit lecteur est le personnage principal. Je les envisage en dialogue permanent avec d’autres pratiques artistiques, arts plastiques, écriture, scénographie… Le jeu, l’enfance, sont au cœur de mon travail», explique l'autrice sur le site du SLPJ.

4 novembre 2021

Lauréat du Booker Prize 2021

Internet_20211104_120800

L’auteur sud-africain Damon Galgut a remporté mercredi soir le Booker Prize, prestigieuxprix littéraire britannique, pour son roman «The Promise», qui retrace l’histoire d’une famille blanche dans une exploitation agricole près de Pretoria. 

«Je suis profondément, humblement reconnaissant», a déclaré le lauréat de 57 ans, finaliste pour la troisième fois du Booker Prize. Couvrant la période de la fin de l’apartheid jusqu’à la présidence de Jacob Zuma, « The Promise » retrace la progressive dislocation d’une famille blanche de Pretoria alors que le pays émerge vers la démocratie.

Damon Galgut faisait partie des favoris parmi les finalistes, trois hommes et trois femmes. 

« Ça a été dur », a expliqué la présidente du jury, l’historienne Maya Jasanoff, mais « après beaucoup de discussions nous sommes arrivés à un consensus autour d’un livre » qui « a une originalité et une fluidité de voix incroyables », « un livre dense, avec une signification historique et métaphorique ».

L’auteur a déclaré qu’il voulait accepter ce prix pour « toutes les histoires qui ont été racontées et celle qui ne l’ont pas été », les écrivains, reconnus ou non, « de ce remarquable continent dont je fais partie ». Le New Yorker a qualifié l’ouvrage de « remarquable », tandis que le Sunday Times d’Afrique du Sud a jugé « étonnant de voir combien d’histoire Galgut parvient à mettre dans ce court roman ».

Le vrai sujet du livre est « le temps et comment le temps passe ». Si un message était à retenir, « ce serait que la mortalité est ce qui sous-tend toutes nos vies », « nous vieillissons tous et tout change au fur et à mesure que le temps passe ».Retransmise sur la BBC, la cérémonie a réuni tous les finalistes en personne, après des apparitions par vidéoconférence lors de la précédente édition, en raison des restrictions liées à la pandémie de coronavirus. Y figuraient l’américaine Patricia Lockwood, en lice pour « No One is talking About This », qui met la tragédie d’une vie face à « l’absurdité » des réseaux sociaux, ainsi que deux de ses compatriotes : Richard Powers («Bewilderment », dans lequel un astrobiologiste s’échappe vers des mondes fantastiques alors qu’il aide son fils perturbé) et Maggie Shipstead («Great Circle », qui entraîne les lecteurs dans les parcours entrelacés d’une aviatrice du XXe siècle et une star de Hollywood du XXIe siècle). Était également en lice Richard Powers, qui a remporté le prix Pulitzer dans la catégorie fiction avec « The Overstory » («L’Arbre-monde ») publié en 2018. Les autres finalistes étaient l’écrivain sri lankais Anuk Arudpragasam, 33 ans, avec « A passage North », qui évoque traumatismes et souvenirs de la guerre civile au Sri Lanka et la Britannico-Somalienne Nadifa Mohamed, 40 ans, pour « The Fortune Men », basé sur l’histoire vraie d’un Somalien injustement condamné et exécuté pour le meurtre d’une femme dans le port de Cardiff au pays de Galles en 1952.

Source : Sud Ouest 

3 novembre 2021

Lauréats des Prix Goncourt et Renaudot 2021

Prix Gouncourt et Renaudot

Mohamed Mbougar Sarr décroche le prix Goncourt pour son roman La Plus Secrète Mémoire des hommes, paru aux éditions Philippe Rey (448 p., 22 €). Un récit qui revient sur l’histoire de l’écrivain malien Yambo Ouologuem, premier auteur africain de langue française à recevoir, en 1968, le Prix Renaudot pour Le Devoir de violence. Quelques années plus tard, il est accusé de plagiat, quitte la France et disparaît de la vie publique, au point qu’on le croit mort. Vraiment décédé en 2017, il n’est jamais revenu sur cette gloire fugace autant que fragile. Le livre du lauréat du Goncourt 2021 s’inspire librement de ce destin aussi fascinant que mystérieux. Né à Dakar en 1990, Mohamed Mbougar Sarr est l’auteur de quatre livres.

Le prix Renaudot a été attribué à Amélie Nothomb, romancière belge autrice d’un livre par an depuis 1992. Premier Sang(éd. Albin Michel, 180 p., 17,90 €) est son trentième roman. Il rend un hommage émouvant à son père Patrick Nothomb, diplomate belge mort en 2020. Le roman revient sur les jeunes années du héros, de sa naissance, en 1936, à la prise d’otages de Stanleyville, en 1964, point d’orgue de la crise congolaise du début des années 1960. Chacun des livres d’Amélie Nothomb est un best-seller vendu à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires en France et dans les pays francophones et traduit dans de nombreuses langues. L’écrivaine avait déjà été récompensée en 1999 par le grand prix du roman de l’Académie française pour Stupeur et tremblements.

Enfin, Anthony Palou, journaliste au Figaro et écrivain discret auteur de quatre livres depuis 2000, a reçu le prix Renaudot de l’essai pour Dans ma rue y avait trois boutiques (Presses de la cité, 192 p., 18 €), un vagabondage nostalgique et rassurant dans les échoppes, les boutiques et les bistrots qui, de Quimper à Paris, ont rythmé la vie, les rêves et les souvenirs de l’auteur. Un livre qui est également une réflexion sur la disparition des commerces de proximité.

Source: Le Point

Publicité
Publicité
3 novembre 2021

Le rachat de Simon & Schuster suspendu par le ministère de la Justice américain

Simon & SchusterL’achat ira-t-il à son terme ? Un an après avoir négocié pour près de 2,2 milliards de dollars l’acquisition de Simon & Schuster via sa filiale Penguin Random House, le groupe allemand Bertelsmann se heurte à l’opposition du département de la Justice américain. Ce dernier a entamé le 2 novembre, via son service antitrust, une procédure civile devant un tribunal fédéral pour empêcher la transaction. Une démarche justifiée par des motifs de protection de la concurrence : aux États-Unis, Penguin Random House détient environ 20 % de parts de marché tandis que la part de marché de Simon & Schuster est estimée à 6 %. Le rapprochement des deux entités fait craindre outre-Atlantique une distorsion de concurrence ainsi qu’une perturbation des prix des livres et de la rémunération des auteurs.
«Si le plus gros éditeur du monde est autorisé à racheter l'un de ses principaux rivaux, il aura un contrôle sans précédent sur cette industrie cruciale, a notamment fait valoir le procureur général des États-Unis, Merrick Garland. Les auteurs et les consommateurs américains paieront le prix de cette fusion anticoncurrentielle

L’entrée de Simon & Schuster (propriété du groupe de communication ViacomCBS) dans Bertelsmann ferait en effet du groupe allemand le nouveau leader mondial de l’édition, devant les groupes d’édition professionnels Relx Group (Reed Elsevier) et Thomson Reuters. Bertelsmann avait annoncé en novembre 2020 le rachat de Simon & Schuster, l’acquisition devant être finalisée dans le courant de 2021. Les deux parties devront finalement attendre. Selon le 15e « Global 50 », classement annuel de l’édition mondiale initié par Livres Hebdo et réalisé par Rüdiger Wischenbart Content and Consulting, Bertelsmann a réalisé 4,1 milliards d’euros de chiffre d’affaires dans l’édition en 2020, essentiellement grâce à Penguin Random House (3,371 milliards d’euros). De son côté, Simon & Schuster publie environ 2 000 titres par an à travers 35 éditeurs (Atria, Avid, Free Press, One Signal…) et affiche 733 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Dans un communiqué commun, Bertelsmann et Simon & Schuster ont défendu leur volonté de rapprochement : « Il s’agit d’une transaction en faveur des consommateurs, des auteurs et des librairies, qui permettra d’augmenter les investissements dans les programmes d’édition de Simon & Schuster et de Penguin Random House », ont-ils expliqué. Les deux entités ajoutent que « bloquer la transaction nuirait aux auteurs mêmes que le département de la Justice prétend protéger. » Elles concluent : « Nous lutterons vigoureusement contre cette action en justice et attendons avec impatience que Penguin Random House pilote cette maison d’édition légendaire dans les années à venir. »

Source : Livres Hebdo

 

2 novembre 2021

Lauréats des Prix littéraire des Inrockuptibles 2021

Prix littéraire des Inrockuptibles

Le Prix littéraire des Inrockuptibles récompense cinq ouvrages dans cinq catégories. Voici les lauréat·es de cette deuxième édition parrainée par Eric Reinhardt. Quand nous avons créé notre prix en 2020, notre souhait était de récompenser et de mettre en valeur une autrice ou un auteur dont le livre n’avait pas reçu un accueil à sa mesure ou un prix littéraire alors qu’il le méritait. Nous pensions notamment à une écrivaine comme Christine Angot, qui après avoir publié pendant trente ans des textes qui ont refaçonné le visage de la littérature française contemporaine, n’avait toujours pas reçu de grands prix. Pourquoi ? Parce qu’il nous a semblé nécessaire d’insister sur l’importance du Voyage dans l’Est. Un texte essentiel par son propos (transmettre ce qu’est véritablement l’inceste) et par sa forme (un tour de force littéraire éblouissant), et pour le courage d’Angot, qui n’a jamais cessé de dire cette vérité même si, parfois, elle n’était pas entendue. Nous voulions aussi saluer notre histoire commune : depuis ses débuts, en 1990, Les Inrockuptibles n’ont jamais cessé de suivre cette autrice qu’il est grand temps de reconnaître comme majeure.

Ocean Vuong, auteur d'Un bref instant de splendeur  paru chez Gallimard et  raduit de l’anglais (Etats-Unis) par Marguerite Capelle reçoit le prix du roman étranger. Seon le jury, ce livre est n ne magnifique révélation. Sous la forme d’une lettre adressée à sa mère, qui travaille dans un bar à ongles, un narrateur, Vietnamo-Américain, fouille la mémoire d’une famille déplacée, émigrée, et les traces traumatiques que la guerre du Vietnam a laissé sur lui-même, installé aux USA, et les siens. Un texte envoûtant, d’un jeune poète né au Vietnam et émigré en Amérique avec sa famille.

Dimitri Rouchon-Borie  reçoit le prix du premier roman pour Le Démon de la colline aux loups  publié  par Tripode.  Selon le jury, cette oeuvre est un tour de force littéraire. il raconte d'un homme incarcéré pour meurtre se souvient de sa propre enfance maltraitée.

Réinventer l’amour. Comment le patriarcat sabote les relations hétérosexuelles édité par Zones/La Découverte) de Mona Chollet  est couronnée par le prix de l'essai. Selon le jury, c’est le livre-somme qu’on attendait depuis longtemps, un essai brillant sur la façon dont le patriarcat s’invite dans notre intimité pour mieux la détruire et rendre difficiles, parfois impossibles, ou trop souvent fatales (sous la forme de féminicides) les relations amoureuses entre hommes et femmes. Un texte important, en partie basé sur le vécu de Mona Chollet à qui l’on aussi doit Sorcières  sorti en 2018.

 

1 novembre 2021

Une valise pleine de livres jeunesse autour de Santa Margherita Ligure

da5ba7d650f1df241d46ca62b82d6e24

Si les enfants ne peuvent pas aller à la bibliothèque... elle vient jusqu'à eux. La réglementation Covid rend difficile la visite des locaux de la bibliothèque de Santa Margherita Ligure près de  Gênes. Donc les bibliothécaires ont rempli une valise de livres.  

« Il en faut très peu pour créer une petite bibliothèque itinérante - expliquent la conseillère Beatrice Tassara et la responsable des services de bibliothèque Marina Marchetti - juste une valise à roulettes, un chariot. L'important est de les remplir de nombreux livres: un peu de polars, horreur, fantastique, aventures et bandes dessinées d'auteur". 

Les lieux de ces « rencontres littéraires » sont les plus variés. "Santa Margherita Ligure est si belle que nous n'avons que l'embarras du choix - continuent Tassara et Marchetti (au parc de la Flûte enchantée, sur la Piazza del Sole, sur la plage de Ghiaia, à la Villa Durazzo, etc. Et s'il pleut, il y a l'auditorium du collège. "

L'initiative durera toute l'année scolaire et s'adresse principalement aux écoles qui, les années précédentes, prévoyaient des visites à la bibliothèque mais avec l'entrée en vigueur des restrictions dues aux règles sanitaires, elles avaient suspendue leurs visites.

Source : Ansa

31 octobre 2021

“Donnez à lire” en Savoie : une opération des librairies et du Secours populaire

Donnez à Lire

Jusqu’au 20 novembre, dans le cadre d’un partenariat entre le Secours populaire français (SPF) et les librairies indépendantes, les clients sont invités à rajouter un livre jeunesse à leurs achats. Ce livre, remis au libraire, sera ensuite offert à un enfant ou à un jeune accompagné par le Secours populaire français. Cette 6e édition de l’opération “Donnez à lire” est bien plus qu’une simple collecte de livres, elle est aussi un moment de partage et de découverte autour de la lecture. En 2020, sur la Savoie, dans un contexte particulièrement difficile, une centaine de livres avaient été ainsi collectés par trois librairies. En 2021, sur le département, cinq librairies participent à cette opération:

  • Garin et Jean-Jacques Rousseau à Chambéry,
  • Les Danaïdes à Aix-les-Bains,
  • Librai’bulles à Aime-la-Plagne, 
  • Des livres et vous à Saint-Jean-de-Maurienne.

Pour la seconde année consécutive, le journaliste et animateur de télévision François Busnel est le parrain de cette opération.

Source: Le Dauphiné Libéré

29 octobre 2021

Palmarès du Grand prix des bibliothèques francophones 2021

bib_lechapeeLe Grand prix Livres Hebdo de bibliothèque doté de 5000 € a été remis à L’Echappée, dans la métropole lyonnaise. Selon le jury, c'est une médiathèque qui trouve l’équilibre entre culture académique et émergente, accompagnement et participation des usagers, beauté des lieux et fonctionnalité.  Le Grand prix Livres Hebdo des bibliothèques a pour partenaires Ammareal, Asler, Bibliotheca, Infor et la Sofia. Il est soutenu par l'ABF, l'ADBGV, l'ADBU, et l’Alca. Le jury a également remis des récompenses à d'autres bibliothèques:

  • la bibliothèque universitaire d’Angers (Maine-et-Loire, Pays de la Loire) vainqueur  du Prix de l'accueil,
  • la médiathèque de Moulins communauté (Allier, Auvergne-Rhône-Alpes)vainqueur du Prix de l'animation,
  • la bibliothèque du Palais - Université Jean Moulin Lyon 3 (Rhone, Auvergne-Rhône-Alpes) vainqueur  du Prix de l'espace intérieur
  • la bibliothèque départementale de la Meuse (Grand Est) vainqueur  du Prix du service innovant ,
  • la médiathèque de Languidic (Morbihan, Bretagne) vainqueur  du Prix de l'innovation numérique
  • la médiathèque de Fontaine-Étoupefour (Calvados, Normandie) vainqueur du Prix de la Petite bibliothèque,
  • la bibliothèque de Brossard Georgette-Lepage (Montérégie, Canada) vainqueur du Prix de la bibliothèque hors-de-France.

Le Coup de cœur du jury va à  la médiathèque de la Canopée-la fontaine (Paris).
« Ce qui traverse tous les prix, c’est la prise en compte des usagers », indique Claude Poissenot, membre du jury présidé par la l’auteure de bande dessinée Catherine Meurisse. Quelle est sa bibliothèque idéale ? « Une bibliothèque dans les arbres, en hauteur, pour allier culture et nature. Une bibliothèque qui coure dans les branches centenaires, sans fin, pour lire et rêver en plein air, avec les oiseaux et les grillons, dans les odeurs de campagne. »

Les lecteurs ont eux élu leur bibliothécaire de l’année, parmi les cinq proposés par la rédaction : le duo Charlène Rodrigues et Magali Vonesch, alias @leslecturesdechamallow. Ces bibliothécaires jeunesse de la médiathèque de Cavalaire-sur-mer (Var) vulgarisent leur métier et la littérature sur les réseaux sociaux.

Publicité
Publicité
Publicité