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19 novembre 2016

Des ateliers de rigologie à la bibliothèque de Saint-Pierre

rire saint pierreDepuis une semaine la bibliothèque de Saint-Pierre à Saint  Pierre et Miquelon accueille un professionnel du rire. Julien Peschot, rigologue à l'école internationale du rire et du bonheur de Frontignan, anime des ateliers pour les scolaires et les adultes.   Rire c'est bon pour la santé. Cela augmenterait même l'espérance de vie de 7 ans selon une étude norvégienne. De nos jours la psychologie du rire et de la pensée positive se répandent un peu partout et touchent de nombreuses personnes. 

La rigologie s'adresse en effet à tout le monde. Son objectif : apprendre à être plus heureux. Le comédien Julien Peschot en a fait son crédo et surtout son mode de vie. A travers différents exercices il amène les participants à ses ateliers à libérer leur rire, à exprimer leurs émotions.

Cela défoule, cela détend, et cela rend plus heureux...Les scolaires de Sain-Pierre ont en tout cas apprécié. 


Source: La 1ère

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18 novembre 2016

Droits d’auteur et lectures publiques : les bibliothécaires invoquent les droits culturels

adaptation-du-petit-prince-cr-david-stanger

Après avoir rencontré la Société civile des éditeurs de langue française (SCEF), le 14 novembre 2016, pour un premier tour de table relatif aux droits d’auteur sur les lectures en public, l’Association des bibliothécaires de France (ABF) affûte ses arguments.   Dans un communiqué publié le 17 novembre, les bibliothécaires repoussent officiellement la perspective, pour leurs collectivités, de payer des droits sur les lectures en public organisées dans le cadre de leurs programmations culturelle : "une exception totale en faveur des bibliothèques nous semble la meilleure solution." Outre le fait que ces lectures s’inscrivent dans le cadre « du rôle majeur des bibliothèques, [qui] est de promouvoir le livre et la lecture », ils rappellent que leurs équipements constituent « les seuls lieux d’accès à la littérature et à la culture pour un grand nombre de personnes. » Et de faire explicitement référence aux droits culturels et à l’article 27 de la Déclaration universelle des droits de l’homme : "les lectures publiques et les heures du conte relèvent de plusieurs droits culturels reconnus par la Déclaration universelle des droits de l’homme tel que le droit de participer librement à la vie culturelle." Cette référence aux droits culturels est loin d’être anodine dans la mesure où ces droits figurent dans la loi NOTRe du 7 août 2015 (article 103). De ce fait, leur mise en oeuvre s’annonce comme un des principaux enjeux des politiques culturelles publiquespour les années à venir. Le débat qui oppose actuellement la SCELF à l’ABF, et, surtout, sa conclusion, pourrait constituer un cas pratique parmi d’autres, pour les collectivités, encore nombreuses à s’interroger sur le sens et les modalités de concrétisation de cette notion. Reste à savoir  si les associations d’élus vont s’engager pour appuyer les arguments des bibliothécaires.

Par ailleurs, l’ABF invite la SCELF à distinguer entre deux cas de figure :

  • les « programmations de spectacles » organisés par les bibliothèques, avec rémunération des auteurs et paiement des droits afférents
  • le « fonctionnement quotidien : accueil de groupes, animations lors des temps périscolaires, etc. »

Pour le second cas, les bibliothécaires estiment que « ces actions culturelles ne causent pas un préjudice disproportionné aux titulaires de droits» . Pour appuyer leur argument, ils rappellent la position adoptée par la Société des auteurs et compositeurs dramatiques(SACD), qui, en 2012, a accepté d’exclure les « heures du conte » des droits perçus sur les spectacles.

Source: La Gazette des Communes

17 novembre 2016

Hommage à Lola Salines et Ariane Theiller

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Le monde du livre a rendu hommage mercredi 16 novembre à Lola Salines et Ariane Theiller, les deux éditrices assassinées lors des attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Réunis au Centre national du livre à Paris, une centaine d'éditeurs, patrons de maison ou confrères les ayant côtoyées, se sont retrouvés, en présence des familles des victimes, pour évoquer la mémoire de ces jeunes femmes mortes au Bataclan. Se sont succédés à la tribune Vincent Monadé, président du Centre national du livre, Benoît Pollet, P-DG de Rustica où travaillait Ariane Theiller, Alexandra Bentz, directrice éditoriale de Gründ jeunesse et du Dragon d'or avec qui Lola Salines préparait le lancement du label 404. Le père de Lola Salines et la mère d'Ariane Theiller ont ensuite pris la parole pour évoquer l'amour du livre que partageaient leurs filles;  Lola Salines avait 29 ans et était à l'origine du label 404 dédié à la culture geek. Elle avait aussi travaillé neuf mois aux éditions de l'Homme au Canada. Ariane Theiller, 23 ans, était passionnée de comics et de super héros. La "wonderwoman", comme l'appelle sa mère, avait effectué son stage de master chez Urban Comics, maison dédiée à la bande dessinée américaine, avant d'être embauchée dans le même groupe chez Rustica. Pour saluer sa mémoire, un ginkgo biloba a été planté le 14 septembre dernier dans le parc du château de la Bourdaisière (37), en présence de sa famille, de ses amis et de plusieurs collaborateurs du magazine.

Source: Livres Hebdo

15 novembre 2016

Un carnet de dessins inédits de Vincent Van Gogh dévoilé aujourd'hui

couverture Van Gogh Le Brouillard d'Arles

Un carnet de dessins inédits du peintre Vincent Van Gogh sera présenté mardi à Paris, deux jours avant sa publication simultanée en France et dans plusieurs pays dont les États-Unis et le Japon. Pratiquement rien n'a filtré sur le contenu de cet ouvrage. On connaît son titre: "Vincent Van Gogh, le brouillard d'Arles, le carnet retrouvé" et sa couverture: un portrait au chapeau de paille jusqu'ici inconnu. Le livre de 288 pages qui, selon Le Seuil, contient "un nombre significatif de dessins, plus qu'une dizaine", est signé par une des meilleures spécialistes de l'oeuvre du peintre néerlandais, la Canadienne Bogomila Welsh-Ovcharov, une des commissaires de l'exposition "Van Gogh à Paris" en 1988 au Musée d'Orsay.

"Ce carnet n'est connu que des propriétaires, de moi-même et de l'éditeur", avait confié il y a quelques mois à l'AFP Bernard Comment, éditeur de l'ouvrage, par ailleurs directeur de la collection "Fiction et Compagnie", où il a notamment réédité en 2014 une biographie du célèbre peintre néerlandais par Viviane Forrester ("Van Gogh ou l'enterrement dans les blés").

Interrogé sur le contenu du carnet, il s'était contenté de répondre: "C'est stupéfiant, fulgurant".

Le livre qui sera vendu 69 euros en France doit paraître simultanément jeudi également aux États-Unis et au Royaume-Uni (Abrams), en Allemagne (Knesebeck), aux Pays-Bas (Lannoo) et au Japon (Kawade Shobo).  Le carnet original est détenu par un propriétaire privé. "Ces dessins forment un ensemble très impressionnant, leur authenticité est bien établie par un faisceau d'indices et de recoupements: on ne s'est pas engagé à la légère dans ce projet", a souligné l'éditeur.

"Il y a eu un véritable travail scientifique" pour attester que c'était bien un carnet utilisé par Van Gogh", a assuré Bernard Comment.

La période arlésienne de Van Gogh correspond au crépuscule de sa vie. C'est notamment à Arles, le 23 décembre 1888, que Van Gogh se trancha une partie de l'oreille après une dispute avec Paul Gauguin. Mort à 37 ans, en se suicidant à Auvers-sur-Oise le 29 juillet 1890, Vincent Van Gogh est considéré comme l'un des plus grands artistes de tous les temps. Ses toiles, exposées dans les plus grands musées, comptent parmi les plus recherchées. Un "Portrait du Dr Gachet"(1890) a atteint 82,5 millions de dollars lors d'une vente Christie's à New York en 1990. En mai 2015, une autre de ses toiles, "L'allée des Alyscamps" a été adjugé pour 66 millions de dollars lors d'une autre vente aux enchères à New York. Quant aux dessins, on connaît environ un millier de feuilles de l'artiste.

Source: France 24

14 novembre 2016

Financement participatif pour le développement d'un livre numérique

L'île au bout du monde

Via Fabula, un éditeur de livres numériques jeûneuses  fait appel au financement participatif pour continuer à développer de nouvelles possibilité d'utilisation du livre numérique intitulé L'ïle du bout monde écrit par Vincent Leclerc (Pour découvrir l'histoire, cliquez ici). Ils veulent notamment permettre au jeune  lecteur d'écouter l'histoire et de choisir encore plus  quelle histoire veut lire. Pour cela, il souhaite crée un jeu de carte. L'énfant choisira une carte, la scanera et pourra lire l'histoire correspondante.  Si vous voulez les aider, Rendez-vous sur Ulule

Voici la vidéo qui explique cette campagne de financement participatif

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13 novembre 2016

Une "Nuit de la poésie" à l'IMA en mémoire des attentats de Paris

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Quelque 1.500 personnes ont participé à la "Nuit de la poésie" organisée pendant la nuit de samedi à dimanche à l'Institut du monde arabe en mémoire des victimes des attentats de Paris. Une nuit, notamment marquée par une performance mêlant théâtre, musique et vidéo. Des poètes, romanciers, musiciens, comédiens ont participé à la manifestation organisée en partenariat avec la Maison de la poésie, dans le cadre du festival "Paris En Toutes Lettres" dont la 7e édition se tient jusqu'au 21 novembre 2016.   

"A 23H, tout le monde avait pu entrer et le public a continué à se rendre à l'Ima toute la nuit, jusqu'au petit déjeuner oriental", a indiqué l'Institut. Le public a été accueilli dans la salle du Haut conseil au 9e étage de  l'Institut, où il a été invité à s'asseoir sur des tapis orientaux, éclairés par des photophores posés au sol.

Cette nuit, notamment marquée par une performance mêlant théâtre, musique et vidéo, entendait proposer "un voyage inédit à travers la poésie arabe, du mystique persan al-Hallâj à Mahmoud Darwich et à Adonis".

La Nuit était également l'occasion de découvrir des "poèmes syriens d'hier et d'aujourd'hui", selon ses promoteurs, qui entendaient ainsi se joindre aux commémorations des attentats du 13 novembre 2015.  

Source: Culturebox

12 novembre 2016

Découvrez la lecture via le numérique

lecture numérique

Découvrir le livre sous un autre angle. Dans le quartier ultra-connecté du Fort d’Issy, la médiathèque Le Temps des Cerises organise une séance de lecture en groupe samedi après-midi à 15h,  à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Une lecture... numérique, car une sélection d’albums jeunesse et de bandes dessinées seront projetées à l’aide d’un vidéo-projecteur. Un moyen, pour les organisateurs, de rendre la lecture « plus interactive et créative ». Les séances sont réservées aux enfants de 7 à 17 ans.

Source: Le Paisien

11 novembre 2016

La Cour de l'UE assimile le prêt numérique à celui du livre papier

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"Le prêt d’un livre électronique (e-book) peut, sous certaines conditions, être assimilé au prêt d’un livre traditionnel. Dans une telle situation, l’exception de prêt public, qui prévoit notamment une rémunération équitable des auteurs, a vocation à s’appliquer" indique un communiqué du service de presse de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE). Celle-ci était saisie d'une question soulevée par la justice néerlandaise à la suite d'une procédure engagée par l'association regroupant les bibliothèques publiques des Pays-Bas contre les contrats de licence que lui imposent les ayants droit, via une société de gestion de droits. Les bibliothécaires néerlandais considèrent que "le régime pour les livres traditionnels devrait s’appliquer également au prêt numérique", et ont donc obtenu gain de cause. "Il n’existe aucun motif décisif permettant d’exclure, en toute hypothèse, du champ d’application de la directive le prêt de copies numériques et d’objets intangibles", souligne le communiqué. Sous réserve que le prêt respecte le même principe, à savoir "un exemplaire, un utilisateur", le prêt numérique est compatible avec l'exception prévue par la directive de 2006 sur le droit de prêt et les droits voisins du droit d'auteur. La CJUE s'est donc rangée à l'avis de son avocat général, qui jugeait l'alignement du prêt numérique sur le prêt papier compatible avec la réglementation de l'Union. 

En France, le "prêt numérique en bibliothèque" (PNB) apparaît similaire au système mis en cause aux Pays-Bas, et soulève les mêmes questions du côté des bibliothèques en raison de son coût. Elles doivent s'acquitter d'une licence assortie d'un nombre limité de crédits de prêts, ce principe de base étant mis en oeuvre sous des formes variables par les éditeurs. Lorsque les crédits sont épuisés, les bibliothécaires doivent les réalimenter. D'autre part, les éditeurs n'acceptent pas tous d'ouvrir cette possibilité pour leurs livres numériques. L'arrêt de la Cour de justice de l'UE n'entraîne pas de conséquence immédiate, mais il place le système français sous la menace d'un recours identique, qui s'appuirait sur cette décision de la juridiction suprême en Europe. Pour clarifier cette situation, une adaptation du droit de prêt en France pourrait s'avérer nécessaire. Encadré par la loi du 18 juin 2003, le droit de prêt du livre papier prévoit que les auteurs ne peuvent s'opposer à cette disposition, mais perçoivent un dédommagement financé par un pourcentage du prix de vente de leurs livres aux bibliothèques (6%) et par une rémunération forfaitaire versée par l'Etat, indexée sur le nombre d'inscrits en bibliothèques. Le tout est réparti par la Sofia, à proportion des livres achetés, à parts égales entre auteurs et éditeurs.

Sourcc: Livres Hebdo

10 novembre 2016

Un site Internet répertoriant tous les livres polynésiens

Moemoea

Lancé à la veille du salon du livre, le site moemoea.org actuellement aux couleurs de l’événement littéraire qui vient tout juste d’ouvrir ses portes. Il présente, une fois n’est pas coutume, les ouvrages des auteurs invités comme En douce de Marin Ledun, Le Héros de Pierre Cornuel, Les Guerriers de l’arc en ciel d’Andrea Hirata ou bien Maiba de Russell Soaba.  Mais ce n’est pas sa mission. Son concepteur, Philippe Darius, explique : "C’est un projet culturel à dimension économique, un projet qui se place comme un acteur sur le marché du livre local". Moemoea a donc vu le jour pour présenter les titres polynésiens disponibles.  L’idée de Philippe Darius (qui planche sérieusement sur le site depuis deux mois) a dénombré à peu près 300 références, dont une quarantaine est déjà en ligne. "Les livres phares. Je me donne un mois pour terminer la liste". Ensuite, de nouveaux livres s'ajouteront au rythme des parutions. Pour chaque ouvrage, sont précisés : le titre, le nom de l’auteur, la maison d’édition et le résumé rédigé en quatrième de couverture. Les internautes ont plusieurs voies d’accès à ces titres : par éditeur, par thème (albums jeunesses, art et artisanat, BD, culture, encyclopédie…) ou par titre. 

"Le secteur du livre est en difficulté, la survie de son modèle économique n’est pas garanti, le livre numérique peine à décoller, il ne représente que 2% du marché et, sur le territoire, les éditeurs n’ont pas vraiment de visibilité sur internet. Le virage numérique n’a pas encore été pris et peine à l’être", résume Philippe Darius. D’où moemoea.org. "Il devrait être une vitrine de plus pour les ouvrages du territoire. Je le vois comme une force de proposition, un coup de pouce au sein du marché lui-même.

"Si ce n’était pas dans mon projet initial, la vente locale en ligne sera probablement proposée sur Moemoea", annonce Philippe Darius qui pourrait alors devenir le créateur d’une sorte "d’Amazon" local. Certains éditeurs passent par ce genre de plateformes internationales pour vendre leurs ouvrages. Lesquels font donc des milliers de kilomètres pour rejoindre leurs lecteurs, le système paraît insensé sur une planète asphyxiée par les transports continus d’hommes et de marchandises. 

Par ailleurs, "cela contribuera à rendre le site rentable et donc durable." La durabilité est une caractéristique chère au fondateur qui envisage aussi de faire du contenu propre, d’ajouter du texte, des liens, vidéos sur les nouveautés, de donner la parole aussi et dans une certaine mesure, aux internautes. "On est dans l’idée du blogging.

Source: Tahiti Info

8 novembre 2016

L'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle ouvre sa bibliothèque

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Bonne nouvelle pour les voyageurs en transit à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. Ils peuvent désormais déambuler dans un espace baptisé "Instant Paris" et profiter de nouveaux équipements : un bar, un restaurant, un hôtel et... une bibliothèque. Située dans le Terminal 2, la bibliothèque de "Instant Paris" propose plus de 300 livres multilingues que les voyageurs peuvent consulter dans un salon doté d'une cheminée et de confortables fauteuils. La sélection d'ouvrages fait la part belle aux best-sellers essentiellement anglophones : Ken Follett, Harlan Coben, Paul Auster, Paolo Coelho, Stieg Larsson... Une section jeunesse propose l'incontournable saga Harry Potter. 

"Instant Paris" met également à disposition des voyageurs une sélection de la presse française et internationale ainsi que des tablettes en libre service. D'une superficie de 4 500 m², "Instant Paris, c'est l'art de vivre à la française" explique le groupe Aéroport de Paris. L'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle accueille chaque jour 180 000 passagers et a enregistré 469 338 mouvements d'avions en 2015.

Source: Archimag

 

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