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2 avril 2017

Bientôt un 50 000e prêt de livre numérique à la bibliothèque de Lévis

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Fière de ce cap qui sera bientôt franchi, la Ville de Lévis (Québec) marque le coup avec un concours où, d'ici le 15 avril, la personne qui louera le 50 000e ouvrage numérique remportera des chèques-cadeaux de librairies. Au bout du fil, la chef du Service des bibliothèques et des lettres à la Ville de Lévis, Suzanne Rochefort, note le chemin parcouru. De 10 245 livres numériques empruntés en 2014, le nombre est passé de 17 536 en 2015 à 18 107 en 2016. 

«Pour 2017, on s'attend à une plus grande augmentation, car on a beaucoup plus de titres disponibles», note-t-elle. 

Les ouvrages documentaires ont la cote, les livres de fiction aussi. Seuls les livres jeunesse tirent un peu la patte dans le domaine du sans-papier. 

Pour les enfants, c'est encore très papier. Mais pour les encyclopédies, c'est incroyable ce que le numérique a permis», ajoute Mme Rochefort.

Dans les 10 succursales de Lévis comme ailleurs, les prêts numériques ne sont qu'un exemple de la tendance aux changements pour les temples municipaux du livre.

«Les bibliothèques se sont ouvertes vers le monde», résume celle qui oeuvre depuis près d'un quart de siècle dans le domaine.

«Il y a 30 ans, une bibliothèque était l'endroit physique où on entreposait les livres et les prêtait. Maintenant, les bibliothèques sont hors les murs. On sort vers les gens avec une biblio mobile pour faire la promotion de la lecture, on a des tentes de lecture où on amène des livres», énumère Suzanne Rochefort.

Si le réseau lévisien est encore largement dominé par les documents papier avec 950 000 en 2016, les bibliothèques de Lévis offrent un coup de pouce à ceux qui voudraient prendre le virage.  Des «cliniques numériques» sont offertes pour les gens qui aimeraient bien lire sur la tablette, mais ne savent pas trop comment fonctionne le bidule.  Le bibliothécaire aux technologies, Éric Debroise, répond aux questions des gens en lien avec les services. Jusqu'à maintenant, 684 personnes ont participé aux 83 séances. «Il y a beaucoup de personnes de 50 ans et plus», note Mme Rochefort à propos de cette génération pour qui la connaissance des tablettes et des logiciels de lecture est moins innée que pour les plus jeunes. «On commence aussi à donner ces formations hors les murs. Dans les résidences de personnes âgées», ajoute-t-elle en soulignant qu'une dame de... 92 ans a suivi toutes les formations.

Pour les enfants, les bibliothèques de Lévis entendent aussi suivre la tendance vers la découverte des technologies avec des concours de programmation. «On s'est équipés de Littlebits et d'Ozobots», dit-elle à propos de ces jouets technologiques, sorte de petits robots qui permettent d'enseigner les rudiments de la programmation.

Source: Le Soleil

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12 mars 2017

Des ambassadeurs pour les Bibliothèques de Nancy

Stanislasext Nancy

La meilleure publicité est toujours celle qui se fait par le bouche à oreille. Partant de ce principe simple et efficace, les Bibliothèques de Nancy ont décidé de lancer un appel à volontaires pour constituer une équipe d’ambassadeurs culturels.  Si les Bibliothèques de Nancy ont une excellente réputation dans le milieu professionnel et sont reconnues en France pour la qualité de leurs services et leur sens de l’innovation, il est moins sûr que tous les Nancéiens les connaissent.

Certes, les récents travaux d’aménagement de la Médiathèque-Manufacture ont permis d’augmenter de 40% sa fréquentation, mais peu d’habitants savent quels sont ses nouvelles offres et nouveaux tarifs. Par ailleurs, beaucoup de gens pensent encore qu’une bibliothèque ou une médiathèque, c’est un sanctuaire peu ouvert et convivial.

Enfin, raison particulière à la Médiathèque-Manufacture : « Si on ne sait pas qu’elle existe, ce n’est pas en passant dans la rue qu’on le saura, puisqu’elle est en retrait. C’est donc à nous de nous faire connaître à l’extérieur et d’aller vers les gens », explique sa responsable, Isabelle Huber, qui a décidé de contourner ce handicap géographique en initiant un dispositif d’ambassadeurs culturels. « L’idée est d’avoir un réseau de gens qui parlent de nous dans la ville et donnent envie à ceux qui ne les fréquentent pas habituellement de venir dans nos structures. L’objectif est d’élargir ainsi notre public en nombre et en diversité ».

Seize personnes se sont déjà portées volontaires pour tenter cette expérience pilote. Evelyne, une canditate pour se poste:

"J’ai vu l’annonce et je me suis inscrite, explique Évelyne. Comme je suis une grande lectrice, l’idée de transmettre le goût de la lecture m’a motivée en premier. Mais la médiathèque, c’est aussi un lieu à faire connaître, un lieu d’échanges et de rencontres, où des liens intergénérationnels peuvent se tisser"

Les ambassadeurs suivront « une visite approfondie des bibliothèques, et recevront des fiches détaillant les collections et les services de chaque établissement, ainsi que les supports de communication habituels du réseau (plaquettes de présentation, programme culturel) ». En contrepartie, ils bénéficieront notamment d’un abonnement gratuit d’un an aux bibliothèques de la ville pour eux-mêmes et une personne de leur choix.

Source:   Site de la ville de Nancy

4 mars 2017

Premières sorties pour les 2 Ideas Box marseillaises

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Depuis les 1er et 2 mars, deux Ideas Box sont utilisées par la ville de Marseille et l’Association Culturelle d’Espaces Lecture et d’Ecriture en Méditerranée (ACELEM) pour aller à la rencontre des publics éloignés de la lecture. Le 1er mars, l’Ideas Box était déployée en extérieur et sous le soleil à la Maison pour Tous Kallisté la GranièreCette Ideas Box est opérée par ACELEM, avec le soutien de la Fondation Cultura. Les enfants du quartier se sont vite appropriés les tablettes, les livres et le matériel de dessin. Le 2 mars, la deuxième Ideas Box était présentée aux bibliothécaires de la ville de Marseille à la bibliothèque de l’Alcazar. Une première approche du dispositif pour le personnel des bibliothèques qui sera amené à utiliser l’Ideas Box pour des actions hors les murs dans les mois à venir. 

Financée par la ville de Marseille, la première Ideas Box sera déployée ponctuellement dans tout quartier de la ville qui ne dispose pas d’une bibliothèque ou d’un espace de lecture ouvert à tous, grâce aux bibliothécaires municipaux.
La ville souhaite ainsi développer la médiation territoriale de lecture publique, comme elle s’y était engagée dans le plan de lecture publique voté en décembre 2015.
Entre mars et juillet 2017, cette Ideas Box sera accessible lors d’événements littéraires (Francophonie, Oh les Beaux Jours, Partir en Livre) et installée au sein de centres sociaux. Bénéficiant du soutien de la fondation Cultura et d’ACELEM, la seconde Ideas Box sera déployée régulièrement dans les 3ème, 10ème, 13ème, 14ème et 15ème arrondissements, en partenariat avec des centres sociaux et des associations. Tout public, les animations et ressources proposées dans les Ideas Box souhaitent mobiliser tout particulièrement les jeunes de moins de 25 ans.

Source:  Bibliothèque sans Frontières

3 mars 2017

Un bus à bandes dessinées va sillonner le département de l'Oise tout le mois de mars

BD Bus

Pour la 11e édition de cette fête de la BD, le bus affrété par la Bibliothèque départementale de l'Oise va commencer son voyage par  un arrêt à Reilly, aujourd'hui. Il  s'arrêtera  dans 20 bibliothèques de communes du département (pour  connaître  les escales du BD Bus, cliquez ici).  C'est une véritable bibliothèque ambulante de bandes dessinées qui va à la rencontre des enfants des écoles primaires, des collèges et des centres de loisirs. A son bord, une exposition intéractive sur la série "Les Carnets de Cerise" de Joris Chamblain et Aurélie Neyret, des ouvrages et des ateliers pour s'initier au "strip", une histoire en petites vignettes déssinées.  

Source: France 3 Hauts de  France

2 mars 2017

Censure de la mairie pour un livre sur l'homoparentalité

Tango à deux papa

A La Madeleine (Nord), il ne faut pas choquer les adversaires de l’homoparentalité. Une affaire datant de 2014, restée secrète, a été jugée au tribunal administratif de Lille mardi 28 février. Yveline Perroy, responsable du pôle enfance de la médiathèque, défendue par Me Camille Briatte, contestait sa suspension de trois jours pour avoir défendu un livre jeunesse sur l’homoparentalité. En cause, le positionnement trop voyant, selon le maire (LR), Sébastien Leprêtre, d’un livre pour enfants, Tango a deux papas, sous-titré Et pourquoi pas ? L’ouvrage de Béatrice Boutignon, paru en 2010 (Le baron perché) et réédité en mars 2014, est tiré d’une histoire vraie : en 1998 deux manchots mâles avaient couvé un œuf abandonné et donné naissance à un petit, dans le zoo de Central Park à New York. A l’époque, le directeur général des services de La Madeleine, Vincent Eeckeman, avait exigé que ce livre soit positionné dans les rayons plutôt qu’en tête de gondole – pourtant la règle pour un livre considéré comme nouveau. Un livre pour enfant sur la transsexualité placé à hauteur d’enfants avait déjà fait réagir des usagers. Mme Perroy et ses collègues se sont exécutés mais ils ont contesté cet ordre lors d’une réunion interne. D’autant que l’adjointe à la culture, Evelyne Bizot, avait laissé entendre que des usagers de confession catholique vérifiaient les collections. Alors que le personnel cherchait à savoir quels livres étaient « interdits », il leur fut répondu qu’il s’agissait de « sujets sensibles susceptibles de choquer le public », comme l’a noté le rapporteur public Denis Perrin.

En réalité, il s’agissait de l’homoparentalité et du mariage pour tous. Pour Mme Perroy, ce genre de réaction pouvait « s’apparenter à de l’homophobie, et même à Hénin-Beaumont [ville dirigée par le Front national], cela ne se passe pas comme cela », note encore M. Perrin. A ses supérieurs qui lui demandaient si elle oserait répéter cela devant le maire, elle a répondu « oui ». Le 27 novembre 2014, Mme Perroy était suspendue trois jours, sans salaire. Pour la mairie, ses propos revenaient à traiter M. Leprêtre d’homophobe, et à le comparer au Front national. Mardi, le rapporteur public a estimé la sanction injustifiée, prenant en compte que les propos de Mme Perroy « avaient été tenus dans une réunion interne, dans un contexte de tension entre la mairie et les employés ». Il a rappelé que des fonctionnaires « pouvaient légitimement critiquer dans ce cadre le fonctionnement de leur service, dans des propos sans invectives ». Et il a conclu par le « caractère légal du livre, comme est légal en France le mariage entre personnes du même sexe », « la consigne municipale pouvant s’apparenter dans ce cas à un ordre illégal ».

Source:  Le Monde

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24 février 2017

Perte de milliers de livres dans les bibliothèques britanniques

25 million books are missing from UK libraries

Les collections de livres sont depuis plusieurs années en constante diminution dans les bibliothèques publiques britanniques. Mais la situation réelle pourrait être encore pire que ce que montrent les statistiques. Un inventaire mené récemment dans les bibliothèques du Suffolk a montré que 10000 ouvrages manquaient dans les rayonnages par rapport à ce qu’indiquaient les catalogues informatiques, comme le révèle The Guardian dans un article du 24 février. Le Cilip (Chartered Institute of Library and Information Professionals), la principale association professionnelle de bibliothécaires en Grande-Bretagne, a envoyé une lettre ouverte au ministre des Finances Philip Hammond pour réclamer un audit national qui permettrait de connaître avec précision l’étendue de la situation, et pour réclamer une augmentation des subventions pour la lecture publique. Nick Poole, directeur exécutif du Cilip, rend la politique d’austérité directement responsable de cette situation. La baisse importante des effectifs – 8000 bibliothécaires ont été licenciés en Angleterre et au Pays de Galle depuis 2010 soit un quart des postes au total, ne permet plus aux équipes en place d’assurer l’ensemble de leurs tâches et notamment les inventaires. Les coupes sombres dans les budgets sont également montrées du doigt. A Birmingham, l'ambitieuse bibliothèque ouverte en grande pompe en 2013 a dû suspendre ses acquisitions de livres en 2015, faute de budget.
"Les budgets d’acquisitions de livres sont les premiers touchés par les coupes car c’est moins visible que les réductions d’horaires d’ouverture ou que les fermetures d’établissement", relevait une directrice de bibliothèques dans les colonnes du Guardian.

Dans sa lettre ouverte, Nick Poole demande au gouvernement de reconnaître le rôle des bibliothèques dans la promotion du savoir et de l’information. "Au moment exact où, en tant que nation, nous avons le devoir d’investir dans le savoir et l’apprentissage, nous avons laissé fermer au moins 10% des bibliothèques publiques et un nombre plus important encore de bibliothèques scolaires, tandis que de nombreux autres établissements sont contraints de réduire de manière drastique leurs horaires et leurs services", souligne le directeur du Cilip.
 En décembre 2016, une commission gouvernementale a publié un plan national stratégique 2016-2021 pour les bibliothèques, qui vient s’ajouter aux nombreux autres élaborés au cours des six dernières années, et dont aucun n’a conduit, jusqu'à présent, à une amélioration notable de la situation de la lecture publique outre-Manche.

Source: Livres Hebdo

27 janvier 2017

Location de livres numériques dans les bibliothèques de Strasbourg

strasbourg livres numériques

Quelques curieux l’ont déjà expérimentée. Installée au deuxième étage de la médiathèque André Malraux l’été dernier, la borne de téléchargement de livres numériques est la première à apparaître dans un tel lieu culturel en France. Nommée @lapplibooks dans la lignée des actions innovantes menées dans les médiathèques de l’Eurométropole, elle vise à accompagner la découverte de la mise à disposition de 300 ouvrages numériques, nouveau support accessible à l’emprunt.

«La borne est un outil de partage intéressant, elle permet de conserver des relations humaines », justifie Franck Queyraud, le chef de projet.

Devant la méconnaissance encore grande des supports de lecture numérique, les bibliothécaires peuvent ainsi utiliser cette borne de démonstration comme un mode d’emploi. 

« Parmi les 80 premiers utilisateurs, on a remarqué que beaucoup ne maîtrisaient pas forcément bien leurs nouveaux équipements », prolonge Franck Queyraud.

D’une durée initiale d’un an (avec 200 livres en français, et 100 en anglais, allemand ou espagnol) pour un coût total de 2.400 euros, l’expérimentation strasbourgeoise s’intègre dans un dispositif national, avec une quinzaine d’autres villes.

« Le projet du Prêt numérique en bibliothèque porté par le ministère veut contribuer à la réflexion nationale, complète l’adjointe à la lecture publique Camille Gangloff. Car le système est un peu contraignant en France. »

A cause de droits à la location limités, les livres ne peuvent par exemple pas être empruntés simultanément par plus de cinq lecteurs. Mais le sujet avance.

Source: 20 Minutes

16 janvier 2017

Une carte de bibliothèque et un livre offerts aux nouveaux-nés

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La bibliothèque municipale de Fort Worth  (Texas) a lancé une opération pour favoriser la lecture dès le plus jeune âge.  Cette initiative a été baptisée « Read to Me ». S’appuyant sur des études qui démontrent que les enfants qui ne disposent pas de livres dans leur maison ou ne sont pas exposés à 20.000 mots par jour avant 3 ans sont moins susceptibles d’être prêts pour la maternelle, la bibliothèque anticipe le problème.

Le comté de Tarrant voit naître chaque année près de 5000 bébés il leur a donc semblé judicieux à la bibliothèque d’agir de façon originale. Pour cela, les bibliothécaires se rendent depuis début janvier dans les maternités et vont à la rencontre des bébés et des mamans avec un joli cadeau. Ils offrent une carte de bibliothèque gratuite et un livre en anglais et en espagnol à lire aux nouveaux-nés.

Source: Idboox

1 janvier 2017

Grâce à lui, le village de Baillet-en-France a sa bibliothèque gratuite

ballet en france bibliothèque

Philippe Bernhardt a deux grandes passions dans la vie. « La rénovation des cyclomoteurs et des vieilles mobylettes, et les livres », précise ce jeune retraité. « Quand je pars en vacances pour trois semaines, j’emmène au moins dix bouquins ! » L’idée de créer une bibliothèque, qui a ouvert ses portes fin novembre dans les locaux de l’ancienne mairie de Baillet-en-France (Val-d'Oise), c’est la sienne. « Je trouvais que ça manquait dans le village. Les gens avec qui je discutais me disaient que ce serait sympa d’en avoir une », raconte cet ancien artiste peintre dans le secteur de la pub, du théâtre et du cinéma. La maire Christiane Aknouche a été séduite par le projet, « qui a très vite suscité un engouement, précise-t-elle. On a fait quelques travaux, acheté le mobilier, comme les fauteuils et les étagères. » Philippe Bernhardt s’est chargé de les remplir, grâce aux dons des habitants du village de 2 050 âmes. « On a reçu 6 182 ouvrages. La collecte a commencé en début d’année. Des gens nous en amènent encore, mais je n’ai plus la place pour les mettre ! », rigole le sexagénaire, contraint d’entasser des piles de livres dans une petite pièce et dans des cartons à l’entrée.

Il s’occupe bénévolement de la bibliothèque, ouverte le mercredi et le vendredi, et désormais deux samedis par mois. En 15 jours, une cinquantaine de personnes se sont déjà inscrites. La location des livres est totalement gratuite. « C’est une vraie volonté, car avant on dépendait de celle de Montsoult, qui elle est payante. C’était aussi compliqué pour certaines personnes d’y aller », raconte Christiane Aknouche. La nouvelle structure a très vite trouvé son public : « De nombreuses mamans viennent avec leurs enfants. Des instituteurs veulent aussi utiliser la bibliothèque pour des ateliers lectures », se réjouit Philippe Bernhardt, qui n’a désormais qu’un souhait : « faire en sorte que la bibliothèque ne tombe pas dans l’oubli, en disant aux gens qu’il y aura toujours des nouveautés ».

Avec le stock de livres qui dort dans la remise, Philippe Bernhardt n’aura aucun mal à surprendre ses plus fidèles lecteurs.

Source: Le Paisien

9 décembre 2016

Le réseau des bibliothèques de Dunkerque remporte le Grand prix Livres Hebdo

grand prix bibliothèque

Dans le monde des bibliothèques, il existe une distinction très prisée, une sorte de Golden Globe Awards, décernée chaque année à la bibliothèque la plus performante : le Grand prix Livres Hebdo des bibliothèques francophones (Livres Hebdo étant La revue des professionnels du livre). Présidé cette année par Claude Ponti, rock star de la littérature jeunesse, le jury a choisi de décerner ce jeudi 8 décembre au soir, le Grand prix au réseau des bibliothèques de Dunkerque (Nord), dans les quatre catégories : l’accueil, l’animation, l’espace intérieur et l’innovation. Il salue « son énergie et son inventivité des nombreuses actions déployées pour raccourcir la distance entre les bibliothèques et les usagers, malgré un contexte économique contraint », précise Livres Hebdo.

« La future bibliothèque, implantée en centre-ville, sera par ailleurs un nouvel élément du dynamisme de la lecture publique à Dunkerque. Issu d’une Fabrique d’initiatives locales, le projet a déjà été salué par le ministère de la Culture dans le cadre de la recherche du label « Bibliothèque Numérique de Référence », et permettra au réseau dunkerquois de monter un peu plus encore en gamme », indique la Ville de Dunkerque.

Source: Le Phare dunkerquois

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