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bibliotheque municipale
26 février 2018

Une médiathèque 100 % numérique à Colombes

colombes offres numériques

Vous ne savez pas comment occuper les enfants pendant les sept heures de trajet vers le ski ? Le froid, votre âge ou un handicap vous empêchent de sortir ? Désormais à Colombes (Hauts-de-Seine), la médiathèque peut venir à vous. La ville vient de mettre en place une quatrième médiathèque accessible en ligne 24 heures/24 : l’Immédiatek. « C’est une offre vraiment innovante, s’enthousiasme-t-on à la direction de la culture. Il existe des contenus numériques ailleurs mais dans de nombreuses villes, il y a juste quelques films et Arte VOD. A Colombes, nous proposons aussi bien des conférences du Collège de France que les histoires pour enfants de La Souris qui Raconte, des concerts de le Philharmonie de Paris que des bandes dessinées Dargaud. Ces fonds sont complémentaires à ceux que nous avons dans nos trois médiathèques municipales. Et c’est où on veut, quand on veut. »

L’Immédiatek met à disposition des habitants de Colombes inscrits dans l’une des médiathèques plus de 6 000 titres de bandes dessinées à partir des catalogues d’une quarantaine d’éditeurs, parmi lesquels 2024, Bayard, Dargaud, Dupuis, Glénat, Le Lombard, Rue de Sèvres ou encore Urban Comics. Mais aussi 5 000 références de longs-métrages, courts-métrages et documentaires. Les usagers peuvent aussi bien visionner l’intégrale de François Truffaut, de Charlie Chaplin ou d’Akira Kurosawa que des sorties en salle plus récentes comme « La la land », « Divergente », « Machete Kills » ou « Le Sens de la fête ». On y trouve également du cinéma asiatique et oriental. Pour les enfants, l’Immédiatek propose une offre spécifique de films, livres audio, comptines et jeux pédagogiques sur une plate-forme dédiée. En clair, pas de risque qu’ils tombent sur des contenus inadaptés en utilisant la tablette. Les habitants peuvent visionner trois bandes dessinées ainsi que trois films par mois mais la plupart des autres contenus sont proposés en accès libre. Pour accéder à Immédiatek, il faut se connecter sur une tablette, un smartphone ou un ordinateur, à votre compte abonné médiathèque et utiliser les mêmes identifiants que d’habitude.

Source: Le Parisien

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12 février 2018

Lancement d'une bibliothèque numérique franco-polonaise

Bibliothèque numérique france pologne

Six établissements (dont la Bibliothèque Nationale de France, la Bibliothèque nationale de Pologne et les bibliothèques-médiathèques de Nancy) ont coopéré dans le but de créer une bibliothèque numérique. Celle-ci sera axée sur les liens franco-polonais. Le lancement officiel est prévu le 15 février 2018 à l'Hôtel de ville de Nancy avec la participation de Laurent Hénart, maire de Nancy (PR) et Tomasz Makowski, directeur de la Bibliothèque nationale de Pologne. L'initiative a été lancée à l'occasion des cinq cents ans d'existence des relations entre la France et la Pologne. Plus de mille documents illustrent ce passé commun, à travers des documents d'époque : actes officiels, cartes, livres et  illustrations... allant de la Renaissance jusqu'à la Seconde Guerre mondiale La période couverte est très vaste, allant de la Renaissance jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale. Pour l'occasion, les documents présentés sont accompagnés de textes bilingues français/polonais afin d'en présenter le contexte.  Un classement en quatre rubriques (Rois et souveraines, Littérature, Sciences et Arts, Grandes heures) a été fait afin d'offrir une approche globale du sujet.

Le choix de Nancy n'est pas un hasard. La région a développé dès le XVIIIe siècle des relations avec la couronne polonaiseLe roi polonais Stanislas, en exil, devient duc de Bar et de Lorraine dès 1737. Il finira ses jours à Lunéville, après avoir marié sa fille Marie Leszczinska au roi Louis XV. On lui doit la construction de la place Stanislas à Nancy et, selon la légende, l'invention du baba au rhum. Les industries de la région feront, dans l'entre-deux guerres, massivement appel à la main d'oeuvre polonaise, notamment pour faire tourner les mines de charbon en Lorraine. Des centaines de milliers de Polonais y resteront définitivement,donnant naissance à des enfants français par le droit du sol. Un passé pas si lointain, comme nous le rappelle cette initiative.

Source: France 3 Grand-Est

9 février 2018

Spots de pub au cinéma pour une bibliothèque

film promotion bibliothèque

La bibliothèque municipale de Morinville, commune du centre de l'Alberta (ouest du Canada), s'est associée avec le cinéma Landmark pour promouvoir l'importance des bibliothèques, révèle le quotidien Morinville News.
Landmark Cinemas "nous a proposé un espace publicitaire de 15 secondes avant la projection de chaque film", relate Ashley Cain, directrice de la bibliothèque. Seul problème: "Aucun [d'eux] ne savait réaliser une vidéo". L'établissement de lecture publique a alors fait appel aux journalistes de Morinville Newspour l'assister dans le tournage.

De cette collaboration sont nées trois vidéos. Celle qui sera diffusée au cinéma promeut la manifestation "Book-to-Movie" qui lie la littérature à ses adaptations cinématographiques à venir. En parallèle, Morinville News a réalisé deux vidéos de 30 secondes chacune, que la bibliothèque peut librement diffuser sur son site internet et sur les réseaux sociaux. La premièreévoque le pouvoir de voyage de la littérature et la seconde souligne que l'on ne trouve pas seulement des livres en bibliothèques.

"Il y a toujours une idée répandue mais fausse selon laquelle les bibliothèques sont poussiéreuses avec des salles ternes dans lesquelles s'empilent de gros volumes, et que les bibliothécaires sont grincheux et appellent continuellement au silence. Nous pouvons crier sur tous les toits et à en perdre la voix que les bibliothèques sont plus que des livres, cela ne suffit pas. Ces vidéos promotionnelles montrent la nouvelle réalité: les bibliothèques sont devenues des centres communautaires dynamiques et engagées et où la connaissance, l'innovation et l'action se lient pour créer l'un des endroits les plus inspirants que la société a à offrir", revendique Ashley Cain.

Source: Livres Hebdo

8 février 2018

Un legs d'une grosse somme d'argent à la Bibliothèque municipale de Lyon

legs prétre

Loïc Graber, adjoint à la Culture de la Ville de Lyon l’admet tranquillement : "Nous ne connaissons pas la motivation de ce leg". Gilles Eboli, directeur de la Bibliothèque Municipale de Lyon, n’en sait pas plus : "Dans nos collections nous avons son livre, Guérir et Sauver (édition du Cerf)mais personne à la Bibliothèque ne connaissait l’auteur".

Cela risque de changer prochainement. Car la Ville de Lyon, par une délibération du 20 novembre 2017, a accepté le legs de Louis Perrin : 3,5 millions d’euros "pour que ces biens ou le produit de ces biens servent à la Bibliothèque Municipale de Lyon", précise le testament.

Sur Louis Perrin, prêtre de Lyon, l’évêché non plus ne dispose pas de beaucoup d’informations. Mais sans trace d’amertume de voir cette énorme somme ne pas lui revenir, le diocèse de Lyon rappelle le travail d’une vie passée comme aumônier d’hôpital auprès des personnes malades et des mourants. Louis Perrin était prêtre sans paroisse.  Etait-ce parce qu’il habitait à moins de 200 mètres de la petite bibliothèque municipale de la rue Duguesclin qu’il a laissé pratiquement toute sa fortune à la Bibliothèque de Lyon (deux nièces se partageront le capital de son assurance vie) ? Ou bien était-ce par amour des livres qu’il avait fréquenté toute sa vie lui qui était docteur en théologie ?

 La question reste sans réponse, mais la préoccupation du directeur Gilles Eboli est dorénavant ailleurs : "En 7 ans de direction je n’ai jamais rencontré cette situation. Il arrive que l’on nous lègue des collections de livres - précieuses ou pas - mais une somme pareille, ça n’est jamais arrivé". Reste donc à savoir comment dépenser l’argent reçu : "On est en train d’y réfléchir : est-ce que l’on va ouvrir un nouveau service aux usagers qui portera le nom de Louis Perrin ? Ou une salle dédiée ? Ou une nouvelle collection d’ouvrages ?", s’interroge Gilles Eboli.

L’énorme somme d’argent laissée par Louis Perrin sera de toute façon rendu visible au public alors même que va bientôt débuter un plan de modernisation du "silo" (les différents étages de la bibliothèque de la Part-Dieu) où sont conservés les ouvrages.14 millions d’euros représentent à coup sûr un investissement considérable, que Loïc Graber resitue dans le contexte : "Rien qu’en 2017 on a ouvert 3 nouvelles bibliothèques. L’ensemble du réseau des bibliothèques de Lyon c’est 20 millions d’euros en fonctionnement tous les ans".

Source: Lyon Mag

6 février 2018

Album de chansons pour enfants publié par la Bibliothèque publique de New York

NYPL sings

La Bibliothéque publique de New York (NYPL) aime innover. La dernière initiative en date vise les plus jeunes. Les bibliothécaires ont sorti un album de chansons pour aider les enfants "à devenir plus confiant, plus curieux et plus intrépides dans leur apprentissage”.


10 chansons, écrites et composées principalement par Emily Elizabeth Lazio et Sean R. Ferguson, écoutables sur soundcloud en ligne sont ainsi disponibles et téléchargeables sur le site de la NYPL. Les airs un peu folks rappelleront Henri Dès et Anne Sylvestre aux plus vieux. Chaque chanson, de 3 à 4 minutes, porte un message clair, du plaisir de la lecture aux petites inquiétudes de la vie. Elles ont été écrites par des bibliothécaires et ciblent aussi bien les parents que les personnels éducatifs.

Un livret en version pdf regroupe l'ensemble des textes, avec des illustrations de Antonio de Jesus. Un CD est mis à disposition dans les bibliothèques du réseau.

Une version karaoké existe même sur le compte YouTube de l'institution pour deux de ces chansons.

 

Source: Livres Hebdo

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21 novembre 2017

30 noctambules à la bibliothèque

nocturne bibliothèque

Ce vendredi 17 novembre, il est bien tard du côté du parvis de l'Espace Herbauges pour qu'il y ait encore de la lumière dans la bibliothèque. Il est 20h passé et l'on y distingue des ombres furtives, la lumière est tamisée et l'ambiance lugubre... Pas de panique, c'est la soirée nocturne initiée par le réseau des bibliothèques du Pays des Herbiers (Vendée) en partenariat avec Game en Herb.

Masques, costumes ou maquillage, la trentaine de participants a joué le jeu du rendez-vous qui fait peur. Un druide invite à jouer au coin du feu, un jeu de piste interactif est disséminé dans les recoins de la bilbiothèque, alors qu'un jeu de cartes vous invite à trouver qui a tué la victime du soir ! une belle réussite qui devrait donner lieu à une nouvelle nocturne !

Source: Site officiel des Herbiers

18 novembre 2017

Legs de 18.000 albums jeunesse à la bibliothèque de Tours par Patrice Wolf

centre littérature jeunesse

Patrice Wolf a animé pendant plus de 20 ans l'émission " L'as tu lu mon p'tit loup" aux cotés de Denis Cheissoux sur France Inter. Une émission consacrée à la littérature jeunesse; période pendant laquelle il a accumulé des milliers de documents qu'il a décidé de donner à la bibliothèque centrale de Tours (Indre-et-Loire),  2 bis avenue André Malraux. Ces 18.000 documents vont servir de fond à la création d'un centre qui porte son nom, le centre Patrice Wolf, qui a été par ailleurs directeur du réseau Fil Bleu de 2006 à 2010.

Ce centre sera inauguré aujourd'hui à 17h à l'occasion d'une journée rythmée par des conférences et une exposition. Cette collection, explique Patrice Wolf, a commencé en 1974 quand j'étais critique de livres pour enfants dans l'hebdomadaire "La Vie du Rail". Ensuite j'ai rencontré Denis Cheissoux de France Inter et il m'a demandé de co-animer une émission du samedi matin intitulée " L'as tu lu mon p'tit loup".

Souce: France Bleu Touraine

30 octobre 2017

Constitution de la collection de la médiathèque avec la population

les-representants-seront-egalement-invites-a-des-visites-de-librairies-afin-de-comprendre-le-chemin-du-papier-depuis-sa-transformation-jusqu-a-son-arrivee-sur-les-etals-on-travaille-ensemble-et-on-achete-ensemble-a-exp

Puisqu’ils devront se l’approprier pour mieux y étudier, échanger, confronter leurs idées, découvrir quelques œuvres nouvelles, apprendre à chercher et dénicher le sésame, autant qu’ils soient à l’origine des collections qui la constituent. Ils, ce sont les 8 000 habitants du quartier de la Patrotte, à Metz (Moselle), que la municipalité consulte actuellement tous azimuts. À quel dessein ? Constituer de manière collective et donc participative, l’ensemble des collections qui enrichiront la nouvelle médiathèque et centre social en construction, la fameuse Agora !

Liliane Werthe, responsable de la bibliothèque de la Patrotte et chargée du projet Agora, recevait dernièrement les représentants du quartier et des centres sociaux, ainsi que des référents familles. Des gens qu’elle connaît bien : « Je vais expliquer à toutes ces personnes que tout le monde est concerné par le choix des collections qui remplieront la future médiathèque. Il est bien évident que ce que nous détenons actuellement à la bibliothèque est insuffisant. Nous avons retenu des thématiques fortes correspondant aux centres d’intérêt des habitants du quartier, comme la cuisine, la déco, les travaux, le recyclage d’objets ou encore la récupération et les langues étrangères… Et c’est avec eux que les choix seront faits. »

En termes de moyens financiers, ce sont 200 000 € qui seront alloués pour l’achat de ces collections de l’Agora. « C’est comme si nous inversions la vapeur, relève Pascale Valentin-Bemmert, directrice des Bibliothèques et médiathèques à la Ville de Metz. Nous travaillons tous ensemble, dans le quartier sur des thématiques précises puis nous achetons ce qui est choisi. Nous ne touchons pas toujours forcément un public de lecteurs alors il faut viser des thématiques précises pour ne pas se tromper. »

L’été prochain, si tout va bien, l’ouverture de l’Agora rimera ainsi avec les fermetures des centres sociaux Les Amis de la Patrotte, celui de Georges-Lacour et la bibliothèque de la rue Chevreux. Du beau monde à caser dans un seul et même endroit et de grands changements d’habitudes en perspective. Animatrice au centre des Amis de la Patrotte depuis cinq ans, Johanna Delauzun sait d’avance que les vieux locaux, aussi vétustes soient-ils ou de plus en plus inappropriés, lui manqueront beaucoup : « Ça fait quand même vingt ans que je vis dans ce quartier alors ces lieux vont me manquer, c’est certain. Mais je sais aussi que ce projet va dynamiser le travail de chacun d’entre nous. » Les deux centres sociaux et les membres de la bibliothèque vont aussi apprendre à travailler de concert. Avec pour écrin, un repère d’espaces et de lumières. Leur entrée dans le XXIe  siècle. D’un même pas.

Source: Le républication Lorrain

28 octobre 2017

Marseille : "Voyage en Alcazarie", chroniques à la Bibliothèque

voyage_en_Alcazarie

José Rose est sociologue et écrivain. C’est aussi un usager de la bibliothèque de Alcazar à Marseille (Bouches-du-Rhône). Des mois durant, il s’est rendu dans la grande bibliothèque de Belsunce comme on se rend dans un pays lointain soudain si familier. Cette exploration est devenue un livre qui vient de paraître aux Ediitions de  L'Harmattan.  Son titre est Scènes de vie ne Bibliothèque Voyage en Alcazarie. En voici un extrait publié sur le site de Marsactu:

Un matin à l’Espace jeunesse. Pour l’instant, ce vaste lieu est plutôt délaissé, école obligatoire oblige. Quand débarque soudain une volée d’enfants bruyants et toniques. Pépiements et caquètements de poulailler, cavalcade et bousculade, cris et coups de pattes : on se croirait à la sortie d’une école un vendredi soir. Pas étonnant, puisque c’est justement une sortie de classe. Les interjections fusent. Ouais ! Des romans ! Super ! Des vampires ! Les râlements aussi : J’ai chaud ! Ça m’énerve, il n’y a que des livres ici ! Et que pour les enfants ! On sent déjà la jeunesse à deux vitesses. Les lecteurs « commencent leur carrière à l’âge où les autres abandonnent la leur : vers huit, neuf ans » écrit Christian Bobin dans Une petite robe de fête. Les uns « se lancent dans la lecture et bientôt n’en finissent plus, découvrent avec joie que c’est sans fin » tandis que les autres… « Dans la lecture, on quitte sa vie, on l’échange contre l’esprit du songe, la flamme du vent. Une vie sans lecture est une vie que l’on ne quitte jamais ».

 Les enfants turbulent ainsi de rayons en rayons, l’un se couche par terre pour feuilleter une BD, un autre cherche ses copains, un autre encore marmonne tout seul : Cherche ! Cherche ! Cherche ! Trouve pas. Trouve pas. Trouve pas ? Un petit groupe s’agglutine autour d’un ordinateur tandis que d’autres s’interpellent. Certains sont couchés sur les banquettes et causent du match de foot de la veille au soir.

L’un d’eux lance fièrement à la cantonade : c’est la première et la dernière fois que je vais dans une bibliothèque ! Une enseignante est assise parmi eux, regard perdu : c’est peut- être une mère accompagnatrice. Une autre les rappelle à l’ordre scolaire : Vous avez échappé à 1 h 30 de français mais on va carburer en rentrant pour rattraper le retard ! … Quel retard ? Bientôt, la lassitude gagne. On y va madame ? … Encore dix minutes et on rejoint le métro… On peut y aller tout de suite si vous voulez, comme ça on sera moins pressés.

« On ne force pas une curiosité, on l’éveille » écrit Daniel Pennac dans Comme un roman. « Le temps de lire, comme le temps d’aimer, dilatent le temps de vivre », ajoute-t-il avant de décliner les droits imprescriptibles du lecteur, ceux de ne pas lire, de sauter des pages, de ne pas finir un livre, de relire, de lire n’importe quoi et n’importe où, de grappiller, de lire à haute voix… et de se taire.

Pour en lire un autre extrait, cliquez ici.

27 octobre 2017

Ex Libris, un documentaire pour visiter la New York Public Library

Ex Libris New York Public Library

La New York Public Library se visite tous les jours gratuitement à 11 heures et à 14 heures. Encore faut-il être à New York... Pour ceux qui ne peuvent se rendre aux Etats-Unis, il reste le cinéma avec Ex Libris : The New York Public Library un documentaire réalisé par Frederick Wiseman.

​D'une durée de 3 heures 17, ce film présente les multiples facettes de la célèbre bibliothèque new-yorkaise : "La New York Public Library a son bâtiment central célèbre, mais aussi près de 90 branches partout dans la ville. C’est aussi l’immensité de leurs archives, de leurs collections, la diversité de leur programmation et l’implication réelle et passionnée de ses équipes, tout comme leur dévotion et capacité à aider les autres qui m’ont attiré", explique le réalisateur.

Voici la bande anoncce du film:

Source: Archimag

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