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bibliotheque municipale
23 juillet 2017

Suède : jugé raciste, un livre «Fifi Brindacier» est retiré des bibliothèques

Pippi-Langstrumpf

Les anciennes versions du livre Fifi Brindacier «Fifi dans les mers du Sud», écrit en 1948, ont été retirées des étagères dans les bibliothèques de la municipalité de Botkyrka, en agglomération de Stockholm. Le conseil de Botkyrka a contesté les affirmations du journaliste d’investigation suédois Janne Josefsson selon lesquelles les bibliothèques ont ciblé spécifiquement les livres «Fifi Brindacier» d’Astrid Lindgren, expliquant que se débarrasser de certains livres était un processus nécessaire pour que l’espace dans les étagères soit suffisant. Les autorités municipales ont déclaré qu’ils se débarrassaient régulièrement de livres qui étaient «épuisés», «obsolètes» ou qui «n’ont pas été empruntés depuis longtemps» mais admis écarter les exemplaires de «Fifi dans les mers du Sud» en raison d’un contenu «raciste» et de les remplacer par une nouvelle édition de 2015, celle-là expurgée de d’expressions «racistes». Dans la nouvelle édition de «Fifi dans les mers du Sud», l’expression «le roi des Nègres» ou «roi noir» – une référence au père de Fifi, que Fifi et ses amis retrouvent dans les îles exotiques appelée Couricoura en français après sa mystérieuse disparition –, a été remplacée par «le roi des Mers du Sud» et  «Roi des Mers du Sud». La série Fifi Brindacier avait déjà essuyé la polémique par le passé, ses détracteurs – notamment un théologien allemand –  lui reprochant la présence de «stéréotypes racistes coloniaux». Une scène de « Fifi dans les mers du Sud» dans laquelle un passage faisant allusion à des «enfants noirs [qui] se jettent dans le sable devant les enfants blancs», avait notamment été critiquée. Janne Josefsson, le journaliste qui a ébruité le sujet, a d’abord soulevé le problème sur la radio suédoise, affirmant que Botkyrka brûlait des versions originales du livre de Lindgren.

«Il y a quelque chose en moi qui me dit, attendez une seconde maintenant, allons-nous vraiment laisser ces choses disparaître ? Ne devraient-ils pas pouvoir survivre afin que je puisse dire à mon enfant que c’est ainsi qu’ils ont parlé à l’époque ? », a-t-il déclaré au journal Expressen.

Janne Josefsson est persuadé que la destruction des exemplaires de 1948 du livre, qui met l’accent sur les mésaventures et les expériences de Fifi Brindacier (Pippi Langstrumpf dans la version originale), une jeune fille reconnaissable à ses tresses et ses cheveux roux, a été faite pour des raisons idéologiques.

«Ils essaient de dissuader tout [débat] en disant « nous faisons cela avec tous les livres qui sortent mais ici c’est pour des raisons idéologiques, c’est parce que Botkyrka a quelque chose d’appelé politique interculturelle», a-t-il déclaré.

Ce n’est pas la première fois qu’un livre perçu comme raciste est écarté des étagères en Suède. Cette année, une bibliothèque à Stockholm avait refusé de stocker un livre traitant de l’immigration, de l’économiste Tino Sanandaji, affirmant qu’il «soutenait le racisme».

Source:  Médiapart

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22 juillet 2017

La bibliothèque d'Hérouville déménage pour l'été à la piscine

Hérouville bibliothèque piscineLa bibliothèque d'Hérouville Saint-Clair (Calvados) lance l'opération "Summer Bib". L'objectif: aller à la rencontre de nouveaux publics pour qu'ils découvrent la bibliothèque. Les livres vont donc envahir pour quelques dates la piscine de Montmorency à Hérouville.

Le personnel de la bibliothèque lit aussi des histoires aux enfants et organise même une "pêche aux histoires". Les enfants pêchent les poissons qui appartiennent à la même histoire et lorsqu'ils ont les trois poissons du même livre, les animateurs leur lisent l'histoire. Il n'y en a cependant, pas que pour les enfants. Les adultes trouveront aussi de quoi se détendre pendant que les enfants barbotent.

"C'est vraiment très sympa de pouvoir proposer à la piscine des moments de détente entre deux plongeons" conclut Laure Gombault. 

La bibliothèque participe aussi en partenariat avec l'Association Quartiers Jeunes à "Chaleurs des thés"et s'installe dans les rues pour aller à la rencontre des habitants des différents quartiers de l'agglomération caennaise.  La bibliothèque à la piscine ça se passe les jeudi 27 juillet, 3 et 8 août.

 En cliqunat ici vous entendrez les explications de Laure Gombault, coordinatrice du réseau territoire-lecture à Caen la mer à propos de ce projet.

Souce:  Tendance ouest

 

19 juillet 2017

Initiative originale près de Rouen pour faire aimer la lecture

Elbeuf roulotte

Comme l'an passé, une "Roulotte à histoires" va passer (du 16 au 21 juillet 2017) dans les rues d'une commune de l'agglomération d'Elbeuf (Seine-Maritime.  A raison d'un quartier par jour, cette roulotte va au-devant des habitants et notamment ceux qui n'osent pas entrer dans une bibliothèque.
"Il y a encore beaucoup de familles qui n'osent pas venir à la bibliothèque donc l'idée c'est d'aller dans les quartiers à leur rencontre", explique Béatrice Lajoie, responsable de la bibliothèque municipale.

Animations, contes, et ateliers permettent aux plus jeunes d'apprivoiser les livres, de s'en faire un ami et de partir dans les merveilleux voyages imaginaires qui se cachent dans les pages…
17 juillet 2017

Biblio games : des ateliers jeux pour s’amuser à la bibliothèque d’Aumale

Biblio games

En juillet et août, la bibliothèque municipale d’Aumale (Seine-Maritime) met en place des après-midi jeux de société. Une initiative qui s’inscrit dans une volonté de se renouveler et de faire connaître le lieu. Une page Facebook a d’ailleurs été créée il y a quelques semaines dans ce même objectif. 

« Il s’agit de donner une autre image de la bibliothèque, de montrer que l’on peut y faire autre chose. C’est avant tout un lieu de découverte, de rencontre, de convivialité » confie Sylvie Bellière, bibliothécaire à l’origine du projet.

Les premières séances se sont déroulées le jeudi 7 juillet. Elles ont reçu une quinzaine d’enfants, dont certains se sont d’ores et déjà inscrits pour toutes les après-midi. L’initiative a séduit le jeune public. 

« Si ces ateliers fonctionnent, de nouveaux seront programmés à la rentrée ou aux vacances scolaires » précise Sylvie Bellière, notant la possibilité que la Bibliothèque Départementale prête également des jeux de société.

Inutile d’être inscrit à la bibliothèque, les ateliers sont ouverts à tout le monde. Il est simplement à noter que les enfants de moins de 7 ans doivent être nécessairement accompagnés. De multiples jeux de société sont mis à disposition, accessibles dès l’âge de 5 ans. Habileté, rapidité, stratégie, mémoire : de multiples compétences sont mises en jeu, tout comme apprendre à perdre, à attendre son tour ou à respecter des règles. Afin de respecter la quiétude des lecteurs, ces ateliers ont lieu les jeudis après-midi. À ces moments, la bibliothèque d’Aumale est fermée au public. D’autres séances sont programmées pour les 21 et 28 juillet, ainsi que les 4 et 11 août. Chaque après-midi, trois séances ont lieu à 14 h, 15 h et 16 h. Des séances d’une heure chacune qui laisse le temps de découvrir l’activité et de s’amuser.

Source:  Le Réveil

25 juin 2017

La bibliothèque fait pousser ces légumes

Haselbourg jardin bibliothèque

Lieu de rencontres, d’épanouissement et de bien-être, le jardin s’inscrit au programme de la 10eédition des Insolivres du conseil départemental. Dans le cadre de cette animation, et pour marquer son 10e anniversaire, la bibliothèque de Haselbourg (Moselle) a aménagé un jardin expérimental derrière le bâtiment de l’ancienne école, qui abrite à présent la bibliothèque.

« Qui plante un jardin, plante le bonheur », peuvent lire les visiteurs sur une pierre. C’est précisément l’objectif recherché par Véronique Bour, la responsable et son équipe, comme elle l’a rappelé lors d’une courte allocution avant l’inauguration officielle par le maire Michel Wittmann, et la conseillère départementale, Mme Pierrard. « Nous avons pu concrétiser ce projet grâce au concours des bénévoles, des enfants du périscolaire et des entreprises (Holtzinger et Reko) ».

Les lieux étaient encore en friches il y a deux mois. Aujourd’hui, nettoyées, désherbées, les allées sont bien tracées et recouvertes de copeaux. Quelques tables, des bancs viennent faire de cet espace un endroit accueillant, bien exposé avec une vue imprenable sur la vallée.  Les radis côtoient les salades, les tomates cohabitent avec les plantes aromatiques, le persil, la sauge, la menthe et quelques fleurs… Un braséro est prévu au fond du jardin pour y installer un barbecue. Un petit jardin extraordinaire ouvert au public, riverains, promeneurs, à toute personne en recherche d’un peu de tranquillité, de bien-être.

C’est dans ce « lieu enchanteur » comme l’a fait remarquer le maire, que la conteuse Norvène Galliot a présenté son spectacle intitulé Et l’arbre se mit à chanter. Elle a emmené les participants à la découverte de la naissance du monde (Mère Soleil) à celle du feu (la petite fille qui aimait son peuple). Un bon moment qui s’est prolongé jusqu’à la tombée de la nuit et avant le verre de l’amitié offert par la bibliothèque.

Source: Le Républicain Lorrain

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7 mai 2017

La bibliothèque investit pour ses lecteurs malvoyants et malentendants

Marly le roi handicap

« Tout ce qui nous permet de penser que l’on fait comme les autres constitue une aide ». Colette, 73 ans, malvoyante depuis quatre ans, est l’une des bénéficiaires du nouveau dispositif mis en place par la bibliothèque de Marly-le-Roi (Yvelines). L’établissement vient de s’équiper d’un panel d’outils destinés au public en situation de handicap. Une boucle magnétique pour les malentendants pour assurer une meilleure qualité d’écoute des livres audio en isolant du bruit, 150 livres en gros caractères, une centaine de CD au format Daisy (pour Digital accessible information system) et deux appareils de lecture à utiliser sur place ou à emprunter sont disponibles gratuitement.

L’initiative a été impulsée par le département, dans le cadre de son appel à projet « Culture et accessibilité ». Cet équipement a nécessité un investissement de 18 000 €, financé à hauteur de 30 % par le département. La bibliothèque de Marly travaille en collaboration avec l’association Valentin-Haüy, qui œuvre pour l’accès à la culture des malvoyants, et huit autres bibliothèques du secteur : Le Vésinet, Le Port-Marly, Louveciennes, Le Pecq, Chatou, l’Etang-la-Ville, Mareil-Marly et Chambourcy. « L’idée est de faire tourner le fonds, ce qui permet aux petites bibliothèques de bénéficier du soutien des plus grosses », détaille Laurent Matos, directeur de l’établissement.

« Je ne peux même plus lire les livres en gros caractères, explique Colette, la lectrice malvoyante. Il me reste les livres audio. Le format Daisy offre un avantage énorme : il permet de placer un marque-page, de reprendre la lecture au mot près, là où nous nous sommes arrêtés. » Pour cette lectrice assidue, la démarche de la bibliothèque est « plus que nécessaire ». « Il faut sortir les handicapés de leurs abysses. Ces outils y contribuent. Le handicap de l’âge s’ajoute souvent au handicap tout court : les personnes âgées ne sont pas forcément à l’aise avec les nouvelles technologies. Ici, elles peuvent être accompagnées. C’est rassembleur et solidaire ».

Le projet de la bibliothèque de Marly comporte aussi un volet « inclusion sociale », en partenariat avec l’association de soutien aux travailleurs immigrés (Asti) et la Croix-Rouge. Des ateliers d’écriture et un roman-photo sont en cours d’élaboration.

Source: Le Parisien

3 mai 2017

Clermontois : bibliothèques cherchent lecteurs désespérément

Clermond Bibliothèque

6,7 %. C’est le taux de personnes qui résident dans la communauté de communes du Clermontois et qui sont inscrites dans l’une des bibliothèques du secteur. Soit environ 2 500 personnes parmi les 38 280 habitants. Ce chiffre est le résultat d’une étude qui vient d’être présentée aux maires des 19 communes. La situation est ainsi jugée alarmante pour le centre de l’Oise, qui pourrait atteindre les 55 000 habitants d’ici à vingt ans. « Dans des territoires équivalents, la norme se situe à 11 %. Le chiffre monte à 25 % dans les meilleurs cas », constate l’un des membres du cabinet ayant réalisé l’étude. Les préconisations pour inverser la tendance seront rendues au mois de juin. Isabelle Moreau, directrice de la bibliothèque de Clermont, ne nie pas ce triste bilan. « Nos bibliothèques ne sont pas adaptées au public ni aux besoins, reconnaît-elle en pensant à son lieu de travail situé au premier étage de la mairie. Nous ne proposons pas d’accès à la musique, n’avons pas d’espace de travail… » Le Clermontois possède pourtant huit bibliothèques. Quatre nouvelles sont d’ailleurs en projet ou en réflexion.

Et la dynamique n’est pas positive. Sur les trois dernières années, la bibliothèque de Clermont a perdu près de 140 inscrits. Une diminution importante ainsi qu’une « surreprésentation des enfants parmi les adhérents et une présence particulièrement faible des 30-60 ans », selon l’étude. Seules 4 000 personnes du territoire ont pu être touchées « grâce à des partenariats ou actions culturelles ». Isabelle Moreau propose d’organiser « plus d’expositions, des rencontres, lancer une campagne de pub pour désacraliser ces lieux ».

Et la gratuité ? « Pourquoi pas », songe la responsable. « 40 € pour l’abonnement à l’année, c’est un peu cher », admet Sophie, inscrite à la bibliothèque de Clermont. Même s’il y a aussi de nombreux autres points à revoir, appuie celle qui s’agace d’en voir certains s’installer dans les escaliers pour bouquiner… L’étude n’en dit pas moins, et pointe des incohérences : aucune médiathèque moderne et attractive, pas de coordination entre les structures, horaires restreints et peu adaptés, politique tarifaire dissuasive, offre numérique réduite… Du côté des élus, une prise de conscience aurait eu lieu. « Il va falloir recruter et débloquer des budgets », prévoit Lionel Ollivier, président de l’intercommunalité. « Il faut attirer les jeunes avec autre chose que des livres, observe Laurent, 49 ans, habitant de Neuilly-sous-Clermont. Je ne les fréquente plus, j’ai une liseuse numérique à la maison. »

Source: Le Parisien

25 avril 2017

Une séance de méditation au beau milieu de la bibliothèque

Wattrelos méditation

C’est une idée originale proposée samedi dernier à la bibliothèque de Wattrelos (Nord) : participer à une séance de méditation collective. Une initiation qui a attisé la curiosité des visiteurs. C’est un directeur de services de la mairie qui a proposé ce samedi une initiation à la méditation de pleine conscience. Jean Chenevière, qui s’adonne lui-même à la discipline quelques minutes chaque jour, avait envie de partager avec le public les bienfaits de sa pratique. Ainsi, en accord avec la bibliothèque, il a profité de la journée (inter)nationale organisée par le groupe S’asseoir ensemble pour caler ce rendez-vous original. Les participants ont donc médité au même instant avec des milliers d’autres personnes, réparties dans une vingtaine de villes.

Mais qu’est-ce que la méditation de pleine conscience ? Il s’agit d’une méditation laïque, qui consiste à prendre du temps pour… ne plus penser ! Et ce n’est pas si simple. Grâce aux conseils de Jean Chenevière, la petite dizaine de participants venus ce samedi matin a pu tester sa capacité à se concentrer sur son corps pour évacuer les milliers de pensées qui se bousculent tout au long de la journée dans nos têtes. «  Être ici et maintenant, c’est la seule chose qui compte quand on médite. Le reste peut attendre. Vivre l’instant présent, sans réfléchir à ce qu’on fera ensuite, aux petites contrariétés du quotidien, c’est ce qui permet de repartir avec un esprit plus positif  », a témoigné Jean Chenevière, tout en précisant qu’il était là en tant que simple pratiquant. 

La séance, prévue pour une durée de 20 minutes, a été guidée par le son du bol tibétain. Les visiteurs de la bibliothèque ont visiblement été troublés par cette réunion spéciale. On a d’ailleurs constaté que, même sans participer, beaucoup avaient les oreilles qui traînaient pour écouter l’échange qui a suivi entre les participants. La bibliothèque avait mis en valeur tous ses ouvrages sur la méditation. Une façon de créer l’événement !

Source: Nord Eclair

20 avril 2017

Une bibliothèque, c’est nouveau et c’est même du jamais vu en ville

Bibliothèque Chocques

La ville de Chocques (Pas-de-Calais) n’avait encore jamais disposé d’une bibliothèque. Le maire, Yvon Massart, en parlait déjà il y a deux ans pendant ses vœux à la population. Action, réaction : « Des habitants sont venus nous offrir des piles de livres, on en est déjà à 700 ou 800 stockés !  » Le signe que les Chocquois apprécieraient de trouver de la lecture à portée de main, sans avoir à faire la route jusqu’à Béthune. «  Avant, le Bibliobus passait ici mais c’est fini depuis quelques années  », rappelle son adjoint Francis Beugin, qui porte le projet. 

Oh, bien sûr, «  on ne va pas faire une médiathèque  », mais un local qui pourrait accueillir les amateurs de lecture au moins deux fois par semaine pour commencer, selon les disponibilités des deux étudiantes, «  rémunérées comme nos animateurs  », qui assureront l’accueil et la gestion des prêts. «  On ajustera en allant, selon la demande des habitants.  »

La bibliothèque va trouver sa place à la Maison des associations, dans un local de 60 m2 qui prévoit un espace enfants et en principe des créneaux horaires pour des lectures de contes. «  Le personnel a dû le repeindre, le chauffage a aussi été refait.  » Avec l’achat de mobilier approprié, la commune a investi 9 000 €. Par la suite, «  on verra si le Département peut nous offrir des livres  », histoire de renouveler les collections et d’être à la pointe de l’actualité.

Au début du moins, la bibliothèque, qui devrait ouvrir en juin, sera réservée aux Chocquois. «  Gratuite ou pas, ce n’est pas tranché mais même si c’était payant, la cotisation ne serait pas énorme.»

Source: La Voix du Nord

12 avril 2017

Le métier d’écrivain : Dévoilement du lauréat

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Les Bibliothèques de Laval  (Québec) sont heureuses de dévoiler le lauréat du concours Le métier d’écrivain, qui se mérite une résidence de création littéraire et de médiation du livre et de la lecture dans les bibliothèques de Laval et hors les murs. Le lauréat de cette année est un duo composé de Mme Lou Beauchesne, auteure et illustratrice jeunesse, et de Mme Julie Hétu, auteure de romans adultes. Le duo remporte ainsi une bourse de 10 000 $ afin de poursuivre leur travail de création tout en échangeant avec le public.  Du 17 juin au 26 août 2017, les lauréates animeront des ateliers pour les jeunes dans les bibliothèques Émile-Nelligan et Germaine-Guèvremont de même que dans plusieurs organismes jeunesse lavallois. Elles animeront également à plusieurs occasions des activités dans les parcs de Laval et seront accompagnées par la Bibliomobile.
 
« Ce projet atteint plusieurs objectifs, tous axés sur la jeunesse lavalloise. Non seulement il vise à favoriser l’accessibilité à la culture sous toutes ses formes mais, également, il sensibilise les jeunes issus de milieux socioéconomiques défavorisés au plaisir de lire.  De plus, il permet à ces auteures professionnelles de poursuivre leur travail de création et de développer davantage leur lectorat », a souligné Raynald Adams, conseiller municipal de Renaud et membre du comité exécutif.
 
Les lauréates ont été sélectionnées par un jury composé de cinq professionnels du domaine littéraire. Elles se sont démarquées grâce au respect des différents critères d’admissibilité, mais également grâce à la qualité du dossier de candidature, à leurs compétences littéraires, à leur expérience en animation de même que grâce à l’originalité de l’offre de projet.

Source:  L'Echo de Laval 

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