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20 août 2018

Le Kindle très apprécié en Chine

Kindle vente chine

Pour fêter les 5 ans de son arrivée sur le marché du livre numérique en Chine Amazon a communiqué quelques chiffres.  La firme de Jeff Bezos se satisfait des ventes d’ebooks en Chine et annonce une progression de 12% et la vente de millions d’appareils Kindle. Le nombre de livres numériques disponibles dans la boutique Kindle est de 700 000. Ce chiffre a été multiplié par 10 depuis 2013, selon Amazon.

De plus, Amazon révèle sans donner les chiffres exacts, que les lecteurs paient pour lire avec le service d’abonnement Kindle Unilimited. Le nombre d’abonnés a augmenté de 10 fois à 12 fois depuis le lancement il y a deux ans. Pour le géant américain, la Chine est devenue le plus grand marché pour les ventes mondiales d’appareils Kindle.

Autre donnée intéressante, le nombre d’éditeurs chinois qui coopèrent avec l’équipe Kindle était de 200 en 2013. 700 éditeurs proposent aujourd’hui des ebooks dans la boutique d’Amazon.

Source: Idboox

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17 août 2018

Ventes de livres numériques en hausse en Allemagne

ebook vente allemagne 2

Les ventes de livres numériques ont dépassé les 100 millions d’euros pour la première moitié de l’année 2018 en Allemagne, révèle une enquête réalisée par GFK Entertainment et le Börsenverein, l’Association des éditeurs et libraires allemands. Avec 16,7 millions d’exemplaires vendus depuis le début de l’année, les ventes ont progressé de 16,4%, contribuant à un chiffre d’affaires de +11,3%.

Le prix moyen du livre numérique allemand est en baisse de 4,3% en 2018, et la lecture numérique séduit davantage de lecteurs. Près de 2,7 millions d'Allemands ont acheté au moins un e-book depuis le début de l’année, soit 6,1% de plus que l’année passée à la même période. L’enquête dévoile que l’achat d’un livre numérique est également plus courant, les lecteurs ayant un panier de 6,2 e-books en moyenne, soit 9,7% de plus qu’en 2017.

En France, le chiffre d’affaires de l’édition numérique représentait 202 millions d’euros en 2017, selon les derniers chiffres du Syndicat national de l’édition, soit une progression de 9,8% par rapport à l’année précédente. Le Royaume-Uni affichait au contraire un recul des ventes de e-books de 4% la même année, selon le rapport annuel de l’institut Nielsen.

Source: Livres Hebdo

31 juillet 2018

La Chine, l’eldorado des livres jeunesse français

chine eldorado

L’École des Loisirs est un éditeur heureux. « Nous, notre Histoire », un album de découverte avec de grandes et belles images et des textes simples, a passé le cap des 100 000 exemplaires vendus… en Chine ! Cette année encore, l’Empire du milieu reste un eldorado pour les éditeurs français, avec les droits de quelque 2400 titres cédés à des éditeurs chinois. Un dynamisme porté depuis une bonne dizaine d’années par la littérature jeunesse, et plus récemment par la bande dessinée. Alors que l’année 2017 a été plutôt morose pour l’édition française avec une activité en baisse de 1,61 %, hors de nos frontières, la profession a sabré le champagne. « Le secteur a connu un vif succès à l’international, notamment les titres de jeunesse, de bande dessinée et de fiction qui, à eux seuls, représentent 72 % des titres cédés », se félicitait en juin dernier le Syndicat national de l’édition (SNE) dans son rapport annuel. Et de préciser que « le chinois reste aussi la principale langue de traduction des ouvrages français (16 % du total) devant l’italienne (9 %), l’espagnole (9 %), l’allemande (6 %) et l’anglaise (6 %) ». Pourtant, le SNE s’attendait en 2017 à un coup de mou. Fin 2016, les autorités chinoises avaient mis en place différentes mesures pour mieux contrôler les livres de jeunesse traduits. Et inciter les éditeurs locaux à publier des auteurs nationaux. Mais le coup de frein redouté n’a pas eu lieu.

« Cela fait plus de dix ans qu’on travaille avec la Chine. On vend essentiellement des albums jeunesse et pour les romans, on en est au balbutiement », explique Isabelle Darthy, responsable des droits étrangers à l’École des loisirs. « La Chine est de loin notre premier marché à l’international ; là-bas, tout va très vite. »

« Le made in France en édition jeunesse est un vrai gage de qualité dans le monde entier, et particulièrement en Chine », confirme une professionnelle chinoise de l’édition. L’émergence d’une classe moyenne, très soucieuse de l’éducation de ses enfants et de les ouvrir au monde extérieur, a porté le marché des livres pour enfants, et notamment le français. »

Car selon cette experte, les Chinois sont très sensibles au graphisme des albums de chez nous. « C’est souvent du très haut niveau d’un point de vue artistique », souligne-t-elle. « Sans compter que depuis deux ans, le gouvernement a mis fin à la politique de l’enfant unique, et ce sont donc plein de futurs lecteurs pour vos éditeurs », ajoute-t-elle en riant.

Si la littérature jeunesse semble confortablement installée au pays de feu Mao, depuis deux ou trois ans, la bande dessinée est en train d’y faire son nid. « C’est un marché encore jeune, et ce sont surtout les grands classiques comme Tintin, Valérian ou encore Largo Winch qu’on trouve dans les librairies chinoises, explique notre expert. Mais il est très prometteur car, comme en jeunesse, la BD française est reconnue pour son savoir-faire, la qualité de son graphisme et de ses histoires. »

Et nos stars de la littérature moderne, Guillaume Musso et Marc Lévy ? Se vendent-ils aussi bien en mandarin et en cantonais ? « Le problème en Chine, c’est qu’il n’y a pas de chiffres officiels, ni d’organisme qui contrôle les ventes comme en France. Alors chacun peut annoncer ce qu’il veut », nous confie un éditeur français. « Pour ces écrivains, assure-t-il, la Chine reste un micro marché, avec des ventes qui ne doivent pas dépasser les 40 000 exemplaires par roman ». De quoi déjà faire rêver…

Source: Le Parisien

25 juillet 2018

Les ventes de livres très en forme en juin

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Le baromètre mensuel du mois de juin, réalisé par l’institut I+C pour Livres Hebdo, indique que les ventes de livre ont progressé de 2,5% en euros courants par rapport au même mois de l’année passée. Une légère progression favorisée par les jours ouvrables, avec un samedi de plus en 2018. Compte tenu du déroulement des quinze premiers jours de la Coupe du Monde de football, le résultat peut être jugé positif. 
 
Avec une hausse de 1,3%, la tendance annuelle des ventes de livre suit et dépasse même celle du commerce en général, qui affiche une hausse de 0,8% en juin, avec un boom des ventes d’électronique grand public à l’occasion des évènements sportifs de l’été. Cette progression en juin fait suite à celle de mai (+1,5%)
 
Les tendances annuelles de tous les circuits de commercialisation du livre se redressent. Les librairies de proximité (premier et deuxième niveaux) sont proches de l’équilibre en tendance annuelle. Les librairies de 1er niveau encaissent 2,5% de ventes en plus tandis que celles de 2e niveau sont en légère croissance de 1%.. Les grandes surfaces culturelles atteignent 3% de croissance en juin (pour une tendance annuelle de 3,5% en positif), tandis que les hypermarchés limitent leur baisse à 2,1% (celle-ci atteignait près de 5% en janvier), grâce à un deuxième mois consécutif à la hausse (+2%).
 
Ainsi, la progression des ventes, toujours par comparaison entre le chiffre d’affaires de juin 2017 et celui de juin 2018, s’avère relativement homogène entre les circuits. 

Source: Livres Hebdo

21 juillet 2018

Autant de livres vendus en ligne qu'en boutique aux Etats-Unis en 2017

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Les ventes de livres en ligne aux Etats-Unis ont égalé pour la première fois, en 2017, celles réalisées en points de vente physiques, selon les chiffres publiés vendredi par l'Association des éditeurs américains (AAP).

Dans le détail, le chiffre d'affaires réalisé par les éditeurs par le biais de canaux de distribution en ligne a atteint 7,5 milliards de dollars, contre 7,6 milliards pour les ouvrages achetés en personne.

En 2016, les ventes physiques étaient encore sensiblement supérieures à celles réalisées sur internet, avec 7,95 milliards de dollars contre 7,13. Au total, 2,72 milliards de livres ont été vendus aux Etats-Unis en 2017, un chiffre équivalent à celui de l'année précédente (2,71).

Globalement, le marché a été soutenu par la croissance toujours impressionnante du livre audio, en hausse de 28,8% par rapport à l'année précédente, à 820 millions de dollars. Concernant les genres, les livres de «non-fiction» pour adultes ont tiré leur épingle du jeu, ainsi que la littérature jeunesse et surtout la fiction pour jeunes adultes. 

Source: Le Matin

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25 mai 2018

La BD et la jeunesse tirent l'activité en librairie en début d'année

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Les rayons BD-mangas et la jeunesse ont tiré l'activité en librairie en ce début d'année puisque leurs ventes progressent d’environ 5% au premier trimestre, selon le tableau de bord Livres Hebdo/I+C, "Les ventes par secteurs" de Livres Hebdo.  La moyenne du marché pour le premier trimestre 2018 est de + 2,5% en valeur, comparés aux trois premiers mois de l’année 2017.

Le rayon BD-mangas a rencontré un franc succès au sein des grandes surfaces culturelles et des librairies de 1er niveau. La croissance a été plus modeste dans les librairies de 2e niveau et les ventes se sont légèrement réduites dans les hypermarchés.

Le rayon Jeunesse progresse sensiblement au premier trimestre (+ 4,5% à un an d’intervalle) et redevient l’un des moteurs du secteur. Si ce dynamisme touche tous les circuits de distribution, les grandes surfaces culturelles se distinguent avec d’excellents résultats.

La fiction et les poches réalisent également de bonnes performances. Les rayons sciences humaines, sciences et techniques, beaux livres, parascolaire et pratique ont rencontré un certain succès, avec des hausses comprises entre 2% et 2,5%. La croissance a été plus contenue (+ 1%) pour les ventes de livres scolaires et les ouvrages d’économie. Le premier trimestre a été plus atone pour les essais et documents ainsi que pour les ouvrages de droit. Seules les ventes de dictionnaires ont continué de se réduire cet hiver.

Source: Livres Hebdo

12 avril 2018

Forte hausse des ventes de livres audio au Royaume-Uni

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Les consommateurs britanniques ont acheté 3% de livres de moins que l’année dernière pour l’ensemble des formats imprimés et numériques, les achats de livres audio ont augmenté 15% en volume. Les achats de livres audio représentent maintenant 5% des dépenses de livres consommation au Royaume-Uni, et 7% des ventes de fiction en valeur, a déclaré Nielsen. L’enquête Nielsen UK Books & Consumers a également révélé que certaines populations étaient de plus en plus attirées par l’audio, y compris les hommes entre 25 à 44 ans, et ceux vivant dans les régions plus urbaines de Londres et du Nord-Ouest. Les ventes de livres audio ont fait une entrée fracassante dans différents genres littéraires : la science-fiction et la fantaisie, la fiction classique, les livres pratiques, l’histoire et la science, selon un porte-parole de Nielsen.

« La croissance des livres audio est un signe encourageant le consommateur de livres en 2017, a eu une véritable appétence pour le contenu dans de nombreux formats« , a déclaré Oliver Beldham, responsable des comptes chez Nielsen Book Research.

« Le profil différent des consommateurs montre également la portée que les formats audio peuvent avoir parmi les acheteurs au-delà du client traditionnel du livre. » commente l’analyste.

Les plateformes BookBeat, Kobo, Google Play et AudioBooks.com sont tous entrés sur le marché l’année dernière, bien que BookBeat ait  » suspendu  » l’investissement sur le marché britannique le mois dernier parce que les éditeurs ne voulaient pas se séparer du contenu.

Source: Idboox

7 avril 2018

Pour la première fois, un livre autopublié N°1 des ventes papier d'Amazon.fr

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La liberté de ma mère - Mai 68 au pays basque, l'essai que le journaliste Jean-Michel Aphatie a publié le 15 mars sur Kindle Direct Publishing (KDP), la plateforme d'autoédition d'Amazon (cliquez ici pour un extrait de cet essai), se classe en tête des meilleures vente de livres imprimés sur le site de commerce en ligne. S'il est devenu courant que des livres autoédités soient N°1 de la liste des ventes de livres numériques d'Amazon.fr, aucun d'entre eux n'avait atteint un tel résultat dans sa version papier assure le service de communication du groupe.
 
"Les ventes atteignent les 4000 exemplaires, dont les deux tiers en version imprimée. Elles ont progressé après mes passages à C dans l'air, mais surtout après On n'est pas couché. Christine Angot a été très positive, et les ventes ont dépassé les 800 exemplaires le lendemain" se félicite l'auteur, qui dépassait encore, le 6 avril Joël Dicker (La disparition de Stéphanie Mailer, De Fallois) et Raphaëlle Giordano (Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une, Pocket)
 
Le lectorat de Jean-Michel Aphatie explique peut-être ce résultat : "je suis frappé par la méconnaissance de l'univers numérique que j'ai constaté dans mon entourage" a constaté avec surprise le chroniqueur politique.

Jusqu'à maintenant, aucune personnalité disposant d'une certaine notoriété n'avait utilisé le service d'autoédition d'Amazon (sauf Alain Juppé, candidat à la primaire de la droite, qui avait diffusé gratuitement son dernier livre-programme). Outre une autopromotion rapide à la télévision et la radio, cette surface médiatique lui a apporté des facilités inconnues de l'utilisateur de base de KDP. "J'ai obtenu le mail de Frédéric Duval [le directeur France d'Amazon], et j'ai rencontré des gens vraiment sympathiques" note Jean-Michel Aphatie, qui se dit très séduit par la facilité d'usage de KDP, mais reconnaît qu'il faut assurer la promotion ensuite. Amazon l'avait aussi invité à un déjeuner de presse organisé à la veille du salon du livre.
 
Dans cet essai de 108 pages (9,99 euros en version imprimée, 2,99 euros en téléchargement, et proposé aussi dans l'abonnement Kindle), l'auteur veut démontrer à travers l'histoire de ses parents que la révolution de Mai 68 a été précédée d'une évolution à bas bruit mais bien plus profonde de l'ensemble de la société française. "J'ai commencé à écrire ce texte en décembre dernier, bien trop tard pour une parution au printemps dans les délais de l'édition. L'autopublication m'est apparue comme une solution à ce problème"explique l'auteur.
Source: Livres Hebdo
15 mars 2018

Au Japon les ventes de mangas numériques dépassent le papier

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Selon une étude réalisée par Research Institute for Publications pour la All Japan Magazine and Book Publisher’s and Editor’s Association, regroupant 95 éditeurs japonais, les ventes de mangas numériques ont dépassé de beaucoup les ventes de mangas papier.

Les ventes de mangas numériques auraient progressé de 17,2% l’an dernier pour s’établir à 171,1 milliards de yens, tandis que les ventes de mangas imprimés ont chuté de 14,4% et ont généré 166,6 milliards de yens.

Selon les éditeurs cette hausse s’explique d’abord par l’adoption massive des smartphones dans le pays et l’appétence pour lire en ligne, mais aussi par les politiques de prix agressives pratiquées par les éditeurs japonais sur ce segment. Par ailleurs, l’absence de nouveaux blockbusters seraient à l’origine de la chute des ventes physiques, selon l’organisme de recherche basé à Tokyo.

Les ventes combinées (papier et numériques) restent toutefois pratiquement inchangées en 2017, reculant de 0,9% par rapport à l’année précédente.

Source: Idboox

1 mars 2018

Un excellent mois de janvier pour les ventes

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Le mois de janvier s'est révélé particulièrement dynamique avec une hausse de 4,5% des ventes par rapport à l'année dernière, ce qui contraste avec l'évolution du commerce de détail (+ 0,2%). Par conséquent la tendance annuelle s'améliore en atteignant - 0,5% en valeur, contre - 1,1% le mois dernier. Le livre reste cependant en retrait par rapport à l'évolution globale du commerce (+ 0,7% sur un an).


Tous les circuits de distribution en profitent. Les ventes ont ainsi progressé de 4,5% en janvier pour les librairies de premier niveau, de 5% pour les librairies de 2e niveau et de 6% pour les grandes surfaces culturelles. Même les hypers retrouvent pour la première fois depuis 2016 la voie de la croissance avec une légère hausse de 0,5%.

La tendance annuelle reste négative pour les librairies et les hypers. Seules les grandes surfaces culturelles affichent une augmentation annuelle positive (+2,1%).

Sourrce: Livres Hebdo

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