Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Biblioworld
Biblioworld
Publicité
Biblioworld
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 330 272
5 septembre 2016

Dans les transports australiens, les livres n'attendent que vous

Books on the rail

Deux Australiennes ont lancé "Books On The Rail", un réseau d'ouvrages laissés volontairement dans les bus et autres rames de métro australiennes pour être lus par les voyageurs. Si un passager des transports australiens descend d'une rame en laissant son livre sur le siège, inutile de lui courir après l'ouvrage à la main: il l'a peut-être fait exprès. Il suffit de regarder si un autocollant au nom de "Books On The Rail" ("les livres sur le rail") se trouve sur la couverture. Lancée en avril, cette initiative encourage les voyageurs à partager leurs propres livres dans le train ou le métro, et à emporter ceux des autres à la maison.
View image on Twitter
Deux femmes, Ali Berg, rédactrice, et Michelle Kalus, institutrice, ont mis en place cette librairie itinérante quand la première est revenue de Londres, où elle a participé à "Books On The Underground" ("les livres dans le métro"). Parmi les premiers ouvrages mis en circulation sur le sol australien, des classiques tels que Gatsby le Magnifique de Francis Scott Fitzgerald, issus de leur propre bibliothèque ou de bouquinistes. Des autocollants estampillés "Books on the Rail" permettent d'identifier les livres qu'il est permis d'emmener avec soi. Plus de 300 livres circulent désormais dans le réseau de transports de la capitale, Melbourne, au sud de l'île. Les participants, surnommés les "ninjas", signalent leur intérêt pour l'initiative en commandant des autocollants sur le site Internet. Une centaine de personnes ont sauté le pas, assure Michelle Kalus au Sydney Morning Herald. Et les professionnels du livre se montrent intéressés.
es éditeurs anglophones notables comme Penguin ou Harper Collins ont en effet contacté le duo, soit pour donner des livres, soit pour manifester leur soutien, ajoute 9News. "Nous recevons quelques cartons de livres chaque semaine", confirme Kalus, y compris de la part des auteurs eux-mêmes. Désormais, les sièges des bus et autres trains d'autres villes australiennes seront décorés de livres en libre service, les deux créatrices ayant décidé de faire sortir le concept des frontières de la capitale. "Nous voulons encourager les Australiens à poser leur iPhone et prendre un livre", explique Ali Berg. Un concept il est vrai difficile à reproduire avec des livres numériques.
Source: SFR News
Publicité
Publicité
27 août 2016

La boîte à livres de l'escalier Badelard vandalisée

Boite à livres Quebec

«Un livre qui ne circule pas est un livre triste.» Outré que la boîte à livres de l'escalier Badelard (Québec), reliant Saint-Roch et Saint-Jean-Baptiste, ait été vandalisée dans la nuit de mercredi à jeudi, le fondateur des éditions Alto, Antoine Tanguay, s'est engagé à payer la facture des réparations.

«Je fais ça par simple intérêt comme citoyen. Je l'utilise en toute saison. Je dépose des livres et j'en prends aussi», indique auSoleil M. Tanguay, trouvant déplorable la situation. «La boîte à livre est un peu une façon de remettre le livre au centre de la ville. [...] Comme c'est une boîte où les gens donnent des livres et ne les achètent pas, je me suis dit que c'est comme une maison qui fait des livres et qui encourage le livre dans le sens plus large. C'est important», poursuit-il.

Jeudi matin, le groupe Verdir et Divertir, un organisme à but non lucratif, a eu une bien mauvaise surprise. La cabane à bouquins qu'il a mise en place au printemps 2014 dans l'escalier Badelard avait été en partie détruite. Les réparations sont estimées à «quelques centaines de dollars». Quant aux livres, la porte-parole de Verdir et Divertir, Suzie Genest, n'est pas en mesure de dire combien ont été volés.

«Il y a beaucoup de roulement à cet endroit, alors je ne peux pas savoir ce qu'il y avait. Lorsque je suis passé un peu avant, il n'y en avait pas beaucoup. C'est vraiment plus un acte de destruction», dit-elle, ajoutant que la cabane avait déjà été vandalisée par le passé, mais rien de comparable. Elle a aussi tenu à remercier M. Tanguay pour son geste.

 

16 juillet 2016

Le Petit Maroc inaugure sa « Boîte à livres »

boites-a-lire Lille

L’association Filofil a installé une boîte à livres dans le quartier du Petit Maroc (Lille). Objectif  : favoriser la lecture en permettant le partage de livres.

«  Les enfants, il y a ici un trésor  », annonce sans ambages le coordinateur de Nos Quartiers d’été au Petit Maroc. Le clou du spectacle ? La toute nouvelle Boîte à livres, installée rue Mariotte, et qu’un garçon sautillant se charge d’inaugurer. Les premiers livres investissent déjà le bois de ses étagères. Aux origines de cette initiative, un constat : «  Les inégalités scolaires se construisent avant même l’entrée à l’école, et sont ensuite très difficiles à réduire. Or la maîtrise du vocabulaire est déterminante.  » L’association Filofil entreprend alors d’éveiller les habitants du Petit Maroc à la lecture, en intervenant dans les crèches et centres aérés comme dans les écoles maternelles et primaires.

La Boîte à livres, portée par le Conseil de quartier, la ville et le Fonds de participation des habitants, est le symbole des progrès accomplis. «  C’est un projet qui peut sembler peu naturel pour ce quartier réputé difficile. Pourtant, la lecture fait désormais partie de la vie du quartier.  » Après avoir «  donné des repères et des habitudes  » aux enfants, Filofil offre désormais la possibilité à chacun de prendre et de déposer les livres qu’il souhaite partager. Des activités se poursuivent cet été, en attendant «  que les boîtes à livres se généralisent dans toute la France  »…

Source: Nord Eclair

28 mai 2016

Des cabanes pour échanger des livres dans Joigny

cabanes livres Joigny

« Il n'y a rien de plus navrant que de jeter un livre à la poubelle ! » Le cri du cœur est celui de Sylvie Chevallier, adjointe au maire de Joigny (Yonne) en charge de la culture et de l'événementiel. L'élue affirme : « Un livre se partage, un livre doit circuler, voyager. Un livre doit connaître plusieurs vies. » Les habitants souhaitant faire dons de lectures, ou se constituer des provisions, ont assurément rendez-vous au Marché couvert, ce dimanche. La Halle accueille en effet un troc-livres, en même temps que la désormais traditionnelle Fête du jeu.

Surtout : à 11 h 30, à l'intérieur même du Marché, la Ville inaugurera sa toute première cabane à livres. D'autres cabanes, toutes construites par les services techniques à partir de matériaux de réemploi et de récupération, seront progressivement installées « partout dans la commune, dans des lieux fréquentés, stratégiques », poursuit l'élue. « En tout, ces cabanes seront au nombre de quatorze. » Sylvie Chevallier cite : la piscine, les places Colette et Jean-de-Joigny, le camping et le parc du Chapeau, le quai d'Epizy… Les cabanes seront accessibles à tous. On pourrait les qualifier de petites bibliothèques gratuites. « L'idée est que des habitants qui le souhaitent viennent y déposer les livres dont ils ne veulent plus. Que d'autres se servent, librement, et ensuite qu'ils rapportent les ouvrages, mais pas forcément dans la cabane où ils les ont trouvés. On peut aussi choisir de conserver les livres que proposaient les cabanes. » Les bibliothécaires de la Ville veilleront à la bonne tenue des documents. Dans un premier temps, les cabanes seront garnies d'exemplaires provenant des fonds de la médiathèque de Joigny et résultant des opérations, régulières, de désherbage.

Source; l'yonne.fr

14 mai 2016

Une armoire à livres installée à Luxembourg

Armoire à livres Luxembourg

Si vous passez par la place du Théâtre, en plein cœur de la capitale, vous remarquerez une nouvelle installation. Cette machine, à peine plus grande qu'un distributeur de boissons, contient un condensé de culture. Le «Bicherschaf», la première armoire à livres en libre-service de Luxembourg-ville, a été inaugurée jeudi.  Accessible tous les jours, 24h/24, cette armoire a pour objectif de recycler les bouquins «de manière citoyenne» et de rendre la place du Théâtre plus conviviale. Le principe est simple. Les personnes intéressées peuvent emprunter un ou plusieurs livres, les lire sur place ou à la maison. Une fois la lecture terminée, il suffit de replacer le livre dans l'armoire ou de le remplacer par un autre. S’il reste de la place, vous pouvez aussi ajouter d'autres ouvrages au «Bicherschaf». Cet échange se fait gratuitement et sans aucun abonnement.

L'initiative a été lancée par l'ASBL «Freed um Liesen». Le concept n'était plus à prouver. Il fonctionne déjà depuis de nombreuses années dans d'autres villes européennes. En 2012, un projet identique avait été lancé à Esch, avec le «Escher Bicherschaf», qui était une première pour le Grand-Duché.

Source: L'Essentiel

Publicité
Publicité
1 mai 2016

Le sauvetage de la librairie Les Volcans au cinéma

marie-serve-realisatrice-film-sur-la-scop-librairie-des-volc_2607446

Ce jeudi 28 avril, le documentaire "Tournez la page" était diffusé au cinéma Le Rio de Clermont-Ferrand. Il raconte l'histoire des salariés de la librairie Les Volcans qui ont décidé de reprendre le commerce sous forme de Scop. Leur histoire a fait le tour de la ville et au-delà. Ces douze salariés qui n'ont pas baissé les bras à l'annonce de la mise en vente de leur librairie et qui, pour la sauver, ont créé une Scop. 
Ce jeudi, le documentaire "Tournez la page", réalisé par Marie Serve et Éric Morschhauser, a été projeté au cinéma Le Rio de Clermont-Ferrand . L'occasion de revenir sur cette belle aventure humaine. Pour découvrir leur histoire, cliquez ici.
Source: La Montagne

 Pour en savoir plus, voici des exraits:

19 avril 2016

La voie est libre pour Google Books

1214675_bibliotheque-numerique-google-books-peut-continuer-son-projet-controverse-web-tete-021848968548_660x399p

Une décision de la Cour suprême des États-Unis a ouvert lundi un boulevard pour le projet de bibliothèque numérique géante de Google, qui devrait rassembler des millions d’ouvrages, freiné depuis plus d’une décennie par des recours en justice sur les droits d’auteurs. Le projet Google Books, lancé en 2004, constituera la plus grande bibliothèque numérique jamais créée. Plus de vingt millions d’ouvrages ont déjà été numérisés, dont une partie seulement est libre de droits. La plus haute juridiction des États-Unis a débouté, sans apporter de commentaire, un recours du syndicat américain des auteurs (Authors Guild) qui faisait appel d’une précédente décision de justice, lorsque des écrivains avaient assigné Google en justice, estimant que la numérisation d’ouvrages sans leur consentement enfreignait leurs droits d’auteur. La justice américaine avait déjà donné raison à Google. Sans autoriser directement le géant californien à réaliser son projet Google Books, la décision de la Cour suprême lui permet donc de le poursuivre en consolidant ce précédent arrêt daté de 2013. « Nous sommes reconnaissants que la Cour ait décidé de consolider la décision de la Cour d’appel qui avait conclu que Google Books a un effet transformateur et est en adéquation avec la loi sur les droits d’auteur », a réagi le groupe de Mountain View. Ce nouveau « produit », a poursuivi Google dans son communiqué, offre une « nouvelle manière de trouver et d’acheter des livres tout en améliorant les intérêts des auteurs ».Google Books est présenté comme un outil de recherche qui permet de balayer le contenu de millions de livres. Il ne propose que des extraits aux internautes, pas leur totalité, et renvoie vers des liens permettant de les acheter.

La décision de la Cour suprême met fin à une bataille judiciaire qui dure depuis plus d’une décennie. Dès 2005, trois auteurs américains, Jim Bouton, Betty Miles et Joseph Goulden, avaient assigné Google en justice contre ce projet. Ils avaient été déboutés dans un premier temps en novembre 2013, puis une Cour d’appel avait confirmé cette décision en octobre dernier. Les soutiens du géant de l’informatique estiment eux que le projet gigantesque va profiter autant au grand public qu’aux chercheurs. Krista Cox, de l’association des bibliothèques de recherche, a ainsi salué dans un tweet la décision de lundi, évoquant une « victoire de l’utilisation équitable ».

Le syndicat des auteurs a lui exprimé sa déception : « Aveuglée par les arguments sur les bénéfices pour le public, la décision […] nous indique que Google, et non les auteurs, mérite de tirer profit de la numérisation de leurs livres ».

La Cour « n’a pas compris l’importance des marchés émergents des livres et extraits de livres en ligne », a estimé Mary Rasenberger, directrice du syndicat.

Source: Le Devoir

23 mars 2016

Le Biblitroc, un réfrigérateur devient distributeur de livres

Biblitroc

C'est l'idée originale qu'ont eu trois jeunes étudiantes en bac pro Services aux personnes et au territoire (Sapat) du lycée Saint-Yves de Gourin (Morbihan).  À la recherche d'un projet pour leur module comptant pour le bac, trois jeunes étudiantes ont eu l'idée de mettre en place un libre-service de livres dans un réfrigérateur.  Candyce Bigot, Thiphaine Quemener, Emeline Perrot ont été aidées dans leurs démarches par Recup' R', du Faouët, qui a fourni le réfrigérateur, les élèves de CM1 et CM2, pour la décoration, pendant les temps d'activités périscolaires et la médiathèque de Guiscriff. Le réfrigérateur, avec son fonds de lecture, sera déposé au jardin associatif Prad-Dero à Guiscriff

Un fonds de lecture sera mis à la disposition de tous. Pour l'entretenir, les personnes pourront y déposer leurs anciens livres, revues, BD, et en emprunter d'autres. Cet échange est gratuit. Le Biblitroc sera mis en service prochainement avant les épreuves du bac. Un vernissage sera organisé à l'occasion de la mise en service.

Source: Ouest France

13 février 2016

Un parc d'attraction ayant pour thème la BD dans l'agglomération d'Angoulême

aglo-angouleme-parc-d-attractions-bd

Grand Angoulême planche sur la construction d’un parc d’attractions de 5ha sur une emprise de 30ha. Un thème: la BD. A la clé, 100emplois directs et jusqu’à 600en ajoutant les emplois induits. Gand Angoulême n’avait pas prévu d’annoncer son projet aussi tôt. Une phrase énigmatique, lâchée hier jeudi par François Bonneau, le président du conseil départemental, en pleine séance consacrée au budget –«une collectivité travaille sur un établissement touristique majeur»– a chamboulé sa stratégie de communication. L’agglo confirme l’information murmurée en coulisses: elle planche sur la création d’un parc d’attractions dédié à la bande dessinée. Dix attractions distinctes à l’heure de l’inauguration, mais 17 à la fin de la décennie. Pas des manèges façon fête foraine, mais des animations type dark rides: les visiteurs s’installeront dans des wagonnets pour se lancer dans un parcours scénique à travers des univers fantastiques, peuplés de personnages de bande dessinée. Ils vont croiser le Marsupilami, Lucky Luke, les Schtroumpfs, Blake et Mortimer, Spirou... Avec, au fil du voyage, des projections vidéos et des animations en trois dimensions. «La plupart des attractions seront indoor [dans des bâtiments fermés] mais il y aura aussi un Roller Coaster [une montagne russe] à l’extérieur», explique Jean-Patrick Demonsang, président de Parexi, la société privée censée devenir le gestionnaire du parc.

Cet investisseur a déjà une solide expérience dans le domaine: appuyé par ses actionnaires, dont certains sont «des industriels lyonnais» et d’autres sont «déjà impliqués dans des parcs existants», il s’apprête à lancer un Parc Spirou près d’Avignon: ouverture à l’été 2017 sur 4,5hectares. Une quinzaine d’attractions pour débuter, une trentaine après six ans d’exploitation. A Avignon, comme en Charente, insiste Jean-Patrick Demonsang, il ne s’agit pas de rivaliser avec les parcs géants type Disneyland Paris ou Futuroscope. L’idée, c’est «un parc compact». «Il sera destiné aux familles. Aux enfants plus qu’aux ados.» Avec un souci, insiste l’entrepreneur: proposer des prix d’entrée abordables. «Pas plus de 15€, ce serait bien», envisage Jacky Bouchaud. Et renouveler les attractions, en jouant notamment sur les échanges entre Avignon et le futur outil charentais. Concernant la fréquentation, l’agglo qui a construit son dossier sous l’égide de Xavier Hurteau, directeur adjoint à GrandAngoulême, et Dominique Lasnier, chargé de mission, a fait ses projections: le nombre d’entrées minimales pour être rentable, c’est 190000visiteurs par an. «Le potentiel c’est , 400 000après trois ou quatre ans d’exploitation», explique Jacky Bouchaud.

Si la collectivité a mis le doigt dans cet engrenage, c’est pour renforcer l’identité autour de l’image, avec l’ambition de capter des touristes, mais aussi le désir de créer des emplois: «Le parc ce sera 100 emplois directs et 600 induits à terme», assure le vice-président. Si l’agglo vise une emprise de 30hectares, c’est pour, au-Au Au delà du parc, laisser de la place pour d’autres activités. De l’hôtellerie au premier chef. «Les loisirs, c’est le secteur qui créé aujourd’hui le plus d’emplois. Sa croissance est à deux chiffres», plaident Xavier Hurteau et Dominique Lasnier. Tous les deux ont déployé une panoplie d’arguments pour attirer l’investisseur. «C’est vrai qu’au départ, je demandais à être convaincu, admet Jean-Patrick Demonsang. Avignon, le parc Spirou à proximité de l’autoroute A7 qui voit passer 100millions de voitures, c’était évident. Mais Angoulême...» La présence du Festival de la BD, la position «centrale» du département dans la nouvelle grande région et le «potentiel» après études l’ont fait changer d’avis. Un élément clef sur lequel insiste Jacky Bouchaud: «Ce dossier, à cet instant, n’a pas coûté un centime d’argent public.» Parexi a pris les frais d’études en charge. L’objectif, c’est d’aller chercher un maximum de partenaires privés: «Le parc ne devrait pas coûter plus de 15 millions d’argent public», selon Jacky Bouchaud. GrandAngoulême, transparent aujourd’hui sur ce projet, choisit juste de ne pas divulguer un élément essentiel: où se situera le parc d’attraction. «Quelque part dans l’agglo», éludent les intervenants. Comme les élus, à l’image de François Bonneau hier, ont souvent du mal à tenir leur langue, l’information risque de transpirer assez vite. 

Source: Charente Libre

30 janvier 2016

La poésie est dans le métro

grd_prix_ratp_2016

Les amateurs de poésie pourront de nouveau envoyer leurs œuvres au Grand Prix Poésie RATP, entre le 14 mars et le 17 avril 2016, et les voir s’afficher sur le réseau des transports parisiens, lues par des millions de voyageurs.  Après une première édition en 2014 qui avait mobilisé plus de 6000 participants, les poètes en herbe, quel que soit leur âge, peuvent à nouveau espérer voir leurs œuvres exposées sur les bus ou dans les couloirs du métro à Paris. Pour sa deuxième édition, le grand concours d’écriture poétique proposé par la RATP invite les amateurs de poésie à déposer leur texte en vers ou en prose, sur le thème de leur choix, du 14 mars au 17 avril 2016, sur un site dédié.
 
Le jury et sa présidente 2016, l’actrice, réalisatrice et metteuse en scène Zabou Breitman, révéleront l’identité des 12 lauréats du Grand Prix Poésie RATP 2016 au mois de juin. Les grands gagnants verront leur poésie affichée sur le réseau de transports parisiens pendant les deux mois d’été. Deux catégories sont proposées: les poèmes courts de 5 lignes maximum, exposés par exemple à l’intérieur des rames de métro, et les poèmes longs, pouvant aller jusqu’à 14 lignes, qui se retrouveront sur les quais. Zabou Breitman, présidente du jury 2016, déclare dans un communiqué que "les pépites sont partout, et ces élans vers le plus beau de l’homme doivent être entourés, récompensés ou juste mis sous la lumière". "La première fois que j’ai vu des poèmes affichés, confie-t-elle, j’ai été très émue et reconnaissante de la démarche. J’ai trouvé que c’était l’endroit idéal pour s’échapper en pensées, pour méditer aussi, pour que les mots qui font rêver viennent nous chercher".

Source: Livres Hebdo

Publicité
Publicité
<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 > >>
Publicité